C’est la saison des oignons rouges, une spécialité de Toulouges, banlieue ouest de Perpignan.
Ils sont juteux, sucrés à souhait, il faut en profiter car ils sont riches en quercétine. Qu’est-ce que la quercétine ? C’est un polyphénol de la famille des flavonoïdes, de pigment jaune. Il se trouve dans les végétaux et principalement dans le cacao, les câpres, le jus de pamplemousse, le vin rouge (sans sulfite, c’est mieux!), les oignons rouges, les myrtilles, les échalotes etc. A quoi sert la quercétine pour le corps ? C’est un antioxydant très important qui agit d’une part sur le glutathion qui est un antioxydant produit par notre corps, et d’autre part pousse l’organisme à produire plus d’enzymes antioxydantes. C’est un anti-inflammatoire polyvalent en inhibant différents éléments impliqués dans l’inflammation. La quercétine lutte contre le diabète de type 2 en agissant sur l’intestin grêle, le pancréas, les muscles, le tissu adipeux et le foie, contrôlant ainsi l’équilibre du glucose. Elle inhibe l'absorption intestinale du glucose, elle améliore la sécrétion et la sensibilité à l’insuline, elle favorise l’utilisation du glucose par les cellules. Elle protège le cœur en luttant contre les maladies cardiovasculaires. Elle diminue l’oxydation du mauvais cholestérol (LDL), elle a des effets vasodilatateurs, elle fluidifie le sang et réduit l’agrégation plaquettaire, elle lutte contre le stresse oxydatif, l’inflammation et les molécules d’adhésion pour une meilleure circulation dans les vaisseaux sanguins. La quercétine exercerait des effets anticancéreux en modulant différentes voies cellulaires. Comme le fait le jeûne, elle favoriserait l’apoptose et l’autophagie (autodestruction des cellules anormales ou malades). Elle préviendrait également les métastases. Elle exercerait des effets métaboliques contre les cancers en les privant de glucose. La quercétine est un composé lipophile, c’est-à-dire qu’elle est mieux absorbée avec des graisses alimentaires. Les fibres peuvent également faciliter son absorption. La biodisponibilité de la quercétine, comme la plupart des principes actifs des végétaux, est meilleure lorsqu’ils sont consommés avec l’aliment entier, c’est pourquoi je vous ai donné une petite liste des aliments principaux qui contiennent pas mal de quercétine. La quercétine en complément L’alimentation apporte seulement que quelques milligrammes de quercétine, les compléments alimentaires, eux, peuvent apporter des centaines de fois plus de cette substance. Ils n’ont pas pour vocation de combler un manque en quercétine, mais plutôt d’apporter des doses potentiellement thérapeutiques. Pour ma part, je conçois les compléments alimentaires uniquement pour des raisons thérapeutiques ponctuelles. L’efficacité de la quercétine en complément est limitée à cause de sa solubilité et de sa faible absorption. La forme qui serait la plus assimilable est la quercétine phospholipide, dite aussi phytosome. La prise de quercétine phospholipide peut restreindre drastiquement la gravité et les symptômes du Covid-19.
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Il existe des aliments naturels très efficaces pour stimuler les processus de détoxification et d’élimination de certaines substances indésirables et même dangereuses pour notre corps. Il est important de les connaître pour éviter une accumulation trop importante de ces toxines pour réduire les risques de maladie dû à ces poisons. Ces substances toxiques peuvent venir de l’extérieur (toxines exogènes). C’est le cas des métaux lourds, des pesticides, du tabac, de la pollution, des médicaments, vaccins etc. Elles peuvent venir aussi du fonctionnement de notre organisme (toxines endogènes), comme les radicaux libres, les hormones, les toxines produites par notre microbiote et les intestins poreux. Ces intoxications provoquent de la fatigue, des troubles intestinaux, des sueurs nocturnes et des douleurs. Elles peuvent aussi conduire à des maladies touchant les systèmes nerveux, digestif, immunitaire, métabolique, ostéo-articulaire etc. La détoxification est une tâche cellulaire vitale qui conduit à l’élimination d’une partie de ces toxines. Mais le corps n’a pas la capacité d’éliminer rapidement tous ces composés chimiques nocifs, car de nombreuses substances toxiques s’accumulent durablement dans les tissus, entraînant à long terme des dommages à l’organisme. Le jeûne et une alimentation physiologique vont jouer un rôle important pour favoriser le travail de détox et d’élimination. La consommation régulière de casse fistula complète ce nettoyage en profondeur. Il est primordial d’éviter autant que faire se peut l’exposition aux toxiques, mais il est impossible de les éviter tous.
Traquer les sources d’exposition aux poisons
Les végétaux seront toujours moins pollués que les animaux qui consomment ces végétaux. Les animaux sont victimes eux aussi d’une accumulation de substances toxiques. C’est la raison pour laquelle il est toujours mieux de consommer des poissons sauvages de mer de début de chaîne (petits poissons) plutôt que les gros poissons de fin de chaîne (requin, thon etc.). Un autre avantage des végétaux est leur richesse en fibres qui permettent de moins s’intoxiquer car les fibres peuvent retenir des métaux lourds, qui seront éliminés par les selles. Les polluants organiques persistants se solubilisent et s’accumulent dans les graisses. Ainsi les graisses animales seront toujours plus polluées que les graisses végétales, en raison de la place des animaux dans la chaîne alimentaire. Les micronutriments permettent de capter les toxines et ainsi d’une certaine façon, nous protègent. (vitamines, minéraux, oligo éléments, caroténoÏdes et polyphénols), donc plus on apporte de minéraux par l’alimentation, plus l’empoisonnement sera limité. Exemple : le sélénium permet de limiter l’empoisonnement au mercure. Le zinc atténue la toxicité du cadmium. La vitamine C inhibe la conversion des nitrites en nitrosamines dans le tube digestif. Le calcium limite la toxicité du plomb et de l’aluminium. Quels sont les moyens d’apporter un maximum de ces micronutriments ?
Quels sont les moyens pour détoxifier et éliminer les toxiques accumulés ?
Jeunes pousses de tournesol et petit pois Les graines germées sont faciles à faire et peu encombrantes pour les personnes qui n’ont pas de place chez elles. Pour les jeunes pousses, il est préférable de les mettre sur terre après germination pour qu’elles soient plus riches en nutriments, mais on peut aussi laisser certaines graines germées devenir des jeunes pousses assez facilement juste avec de l’eau.
La plupart des magasins bio vendent des graines déjà germées prêtes a consommées en salade ou à la croque. Parfois, certains vendent aussi des jeunes pousses de tournesol ou autres. Mais acheter tout prêt revient forcément plus cher, alors qu’en les faisant soi-même le coût est vraiment faible pour un aliment aussi énergétique et riche. Dès que les températures deviennent plus clémentes autour de 20 à 25 ° elles poussent très rapidement. De plus, si l’ on en fait tous les 3 ou 4 jours en variant, cela permet d’en avoir toujours de prêtes sous la main. Ce sont des aliments frais et vivants, naturellement riches en nutriments qui se consomment non cuits et non transformés. Quelles graines utiliser ? Les graines germées se font avec des graines de légumes, de légumineuses, de céréales ou d’oléagineux, dont le métabolisme a été réveillé au contact de l’eau, de l’air, de la chaleur et qui vont croître en quelques jours. Les Celtes, les Esséniens en consommaient déjà. Ils savaient que la germination augmentait de façon spectaculaire leur valeur nutritive. Les graines germées et les jeunes pousses sont des aliments de santé d’une puissance exceptionnelle. Elles sont riches en vitamines A, C, E, D, K, B, en minéraux tel que le calcium, le magnésium, le zinc, le phosphore, le fer, le sélénium, le potassium etc. En acides aminés et acides gras insaturés bénéfiques pour le système cardiovasculaire, ainsi que des fibres et des antioxydants qui luttent contre le vieillissement cellulaire. Ce sont, de ce fait, d’excellentes sources de protéines végétales, digestes et facilement assimilables. Elles corrigent les carences provoquées par l’alimentation moderne. La graine en se réveillant lors du processus de germination, va décupler la quantité de ses vitamines et minéraux. Le potentiel entier de la graine se trouve activé et complètement disponible. Tout le monde peut consommer des graines germées et des jeunes pousses, du jeune enfant aux personnes âgées sans aucun risque. Chaque variété a ses qualités propres, c’est pourquoi il est bon de varier tout au long de l’année. Par exemple les graines germées de radis roses ou noirs sont reconnues excellentes pour le foie, elles contribuent au bon fonctionnement de la vésicule biliaire et des fonctions hépatiques en général Le fenugrec améliore la circulation sanguine, stimule le pancréas, nettoie le foie et favorise la lactation pour les femmes qui allaitent. Les graines germées de carvi, fenouil, coriandre et cumin sont excellentes pour le système digestif. L’alfalfa est reminéralisant, régénérant et détoxifiant. Les graines germées de betterave rouge sont alcalinisantes, minéralisantes et régulent l’action du foie. Le brocoli est antioxydant. Les lentilles sont consistantes et nutritives. Les graines de poireaux sont diurétiques, celles de trèfles rouges sont recommandées pour les femmes et particulièrement en période de ménopause. Le quinoa germé contient tous les acides aminés essentiels et a l’avantage de germer en 24 heures. Les oléagineux comme les amandes, noisettes, noix, pignons de pin etc. sont plus digestes trempés 6 à 8 heures ou germés. Le tournesol décortiqué germe rapidement lui aussi. Si vous souhaitez faire des jeunes pousses, utilisez plutôt des graines de tournesol non décortiquées, faites les germer puis posez-les sur du terreau humide en les pulvérisant tous les jours. Mais pour qu’elles poussent bien il leur faut une température clémente, s’il fait trop froid, elles ne poussent pas ou mal. La plupart des magasins bio vendent des sachets de graines à germer les plus courantes comme l’alfalfa, le fenugrec, le tournesol, certaines enseignes ont plus de choix. Sinon la boutique en ligne Biovie propose un excellent choix de graines à germer avec des conditionnements plus grands aussi. Boutique Biovie – La force du vivant https://www.biovie.fr/ Indiquer le code : CURENATURE-BIOVIE Pour avoir 10% de réduction sur votre première commande Comment faire germer des graines ? Le matériel souvent utilisé est un germoir. Il en existe de plusieurs modèles mais le plus pratique reste le bocal avec un couvercle à trous que l’on peut poser à l’envers en diagonale pour laisser l’eau s’écouler. Attention commencez avec 1 ou 2 c à soupe de graines, car elles vont prendre du volume et remplir le bocal assez vite. Lorsque j’ai du monde et que je veux faire de plus grandes quantités, je les mets à tremper dans un saladier puis je les rince et les égoutte avec une passoire fine avant de les remettre dans le saladier et je n’ai jamais de problème non plus de cette façon. L’été lorsqu’il y a des moucherons, je recouvre le saladier d’un tissu fin. Laissez vos graines germer dans un endroit sombre, puis lorsque vous souhaitez qu’elles deviennent des jeunes pousses mettez-les à la lumière sans recevoir pour autant directement les rayons du soleil. Rincez et égouttez vos graines matin et soir lorsqu’il fait chaud. Lorsque vous souhaitez stopper la pousse des germes, placez-les au réfrigérateur. Comment les consommer ?Les jeunes pousses de légumes ou de légumineuses se consomment crus en salade ou à la croque. Elles peuvent aussi donner une touche de fraîcheur en décoration sur un plat plus classique. Les graines germées se consomment dans les salades, les soupes ou tout autres plats mais sans les faire chauffer pour conserver toutes leurs propriétés nutritives. Vous pouvez en consommer autant que vous le souhaitez, une tasse à chaque repas par exemple, vous fera le plus grand bien. Mes articles déjà publiés sur le même thème : Contre le diabète,nous avons tous entendu dire qu'il faut supprimer les sucres. Mais est-ce si simple ?
Limiter sa consommation de glucides, c’est bien sûr indispensable, mais cela concerne essentiellement les sucres raffinés et les sucres ajoutés. Néanmoins manger des fruits frais en quantité raisonnable est également indispensable. Pour prévenir, lutter ou contrôler le diabète, il est important de consommer des fruits et des légumes car ils apportent des éléments qui permettent de s’attaquer aux causes profondes du désordre. Le diabète est caractérisé par un taux anormalement élevé de glucose dans le sang, lui-même causé par une résistance à l’insuline qui est l’hormone faisant entrer le sucre dans nos cellules en temps normal. Lorsque l'insuline n’arrive plus à jouer son rôle, le sucre reste dans le sang faisant ainsi monter la glycémie. Le diabète de type 2 touche 1 personne sur 5 de plus de 70 ans dans les pays occidentaux, mais touche également de plus en plus de personnes jeunes. Cette hausse est encore plus rapide dans les pays en voie de développement. Souvent, nous prenons conscience d’un problème subitement par une prise de sang qui indique un taux de glycémie anormalement haut, mais en réalité, le problème se prépare depuis déjà un bon moment. Pendant des années, progressivement, la résistance à l’insuline est compensée par une plus grande quantité d’insuline libérée par le pancréas, ainsi la glycémie reste normale. Mais ces sécrétions importantes d’insuline favorise la prise de poids qui à son tour favorise la résistance à l’insuline et fatigue le pancréas. C’est donc un cercle vicieux. Progressivement, l’insuline ne peut plus jouer son rôle et l’on découvre un pré-diabète ou un diabète. En dehors de l’alimentation, l’inflammation chronique aggrave les risques de diabète. L’inflammation chronique de bas grade (quantité de médiateurs inflammatoires supérieure à la normale, mais en dessous du seuil de douleur) est un élément commun à différentes maladies métaboliques dont le diabète de type 2. Elle contribue grandement à la résistance à l’insuline. On sait aujourd’hui que le microbiote intestinal participe au métabolisme de l’ensemble du corps, affecte l’équilibre énergétique, la glycémie et l’inflammation de bas grade. Un des processus contribuant grandement à l’inflammation de bas grade est le passage d’endotoxines dans le sang, on appelle cela l’endotoxémie. Les endotoxines sont des petits éléments qui passent la barrière intestinale et entrent dans le sang, réagissent avec le système immunitaire et engendrent une réaction inflammatoire. C’est le cas dans ce que l’on appelle les intestins poreux et l’hyperméabilité intestinale. Ce problème concerne beaucoup plus de personnes qu’on ne le croit. Il semblerait même que la grande majorité de la population en souffre. Comment prévenir un intestin poreux ? Lorsque l’intestin est en bonne santé, les nutriments (vitamines, minéraux, acides aminés,..) sont absorbés correctement et arrivent directement aux cellules qui en ont besoin. Un intestin perméable ouvre la porte non seulement à des problèmes digestifs et intestinaux mais aussi aux maladies chroniques, inflammatoires et auto-immunes. L'intestin est comme un gros tuyau entouré d'un filtre que l'on appelle muqueuse. Cette muqueuse est composée de liaisons serrées (appelées aussi jonctions serrées) qui servent de bouclier contre les éléments extérieurs. Lorsque la muqueuse fonctionne normalement, elle laisse pénétrer dans l'organisme uniquement les nutriments et empêche la pénétration des micro-organismes, macromolécules et composés toxiques. Elle fait office de rempart naturel. Lorsque la muqueuse est abîmée, les liaisons se distendent, l'intestin devient poreux laissant passer dans l'organisme de nombreuses toxines. Les causes majeures de l’intestin poreux L'alimentation moderne. Une faiblesse d'enzyme digestive. Un déséquilibre de la flore (dysbiose). Les antibiotiques, les anti-inflammatoires, les corticoïdes,... La consommation de substances toxiques; drogue, tabac, alcool,...pesticides. Les traitements en naturopathie Une bonne santé ainsi que la réduction de l'hyperperméabilité intestinale passe par: - Une bonne hygiène de vie et l'arrêt d'aliments morts et raffinés. Un rééquilibrage alimentaire est indispensable avec la mise en place d'une alimentation hypotoxique riche en vitamines et minéraux. C’est ce type d’alimentation que l’on pratique pendant le séjour vitalité qui a lieu chaque année au printemps et à l’automne. - La reconstitution d'une flore saine avec de bonnes bactéries qui vont évincer les mauvaises. - La restauration de la muqueuse intestinale grâce notamment à la L-glutamine, le curcuma, l'argile verte, la mélisse, les implants de jus d’herbe, de sérum de Quinton etc. Il n’y a pas que les glucides qui sont pointés du doigt, un régime riche en graisse (comme on le voit avec les régimes cétogènes par exemple ou une alimentation principalement industrielle), favorise le déséquilibre du microbiote. Les fibres et les prébiotiques liés aux glucides alimentaires (dans les fruits, légumes, graines, légumineuses etc.) restent indispensables pour moduler le microbiote et agir sur cette endotoxémie. La flore intestinale joue un rôle majeur dans le diabète de type 2. On parle même de communication entre le microbiote et le métabolisme de l’hôte, via la sécrétion d’hormones intestinales, elles-mêmes stimulées par certains éléments du microbiote. L’alimentation influence directement la composition de la flore. Ainsi, une alimentation pauvre en mauvaises graisses et en sucres, mais riche en fibres et en prébiotiques est une arme concrète pour lutter contre le diabète de type 2. Source : Secrets de nutrition (décembre 2021) Peut-être faites-vous partis des personnes qui se sentent perdus dans une "jungle" alimentaire ?
Vous avez essayez différents régimes, différentes méthodes et autres conseils d'experts en nutrition et au final vous n'obtenez pas les résultats dont vous rêvez en terme de vitalité, de perte ou de prise de poids, de compréhension de vos réels besoins... Pour sortir de la maladie et prendre soin de vous, l'important n'est pas de trouver une énième solution miracle, mais bel et bien d'avoir les principes essentiels qui vont vous permettre de discerner au quotidien, et même tout au long de votre vie, ce qui est bon pour vous en matière d'alimentation de ce qui ne l'est pas ! Nous sommes tous différents, et ce qui convient aux uns, ne convient pas nécessairement aux autres et c’est logique. Il est donc impossible de donner une manière de s’alimenter qui convienne à tout le monde. Comment faire pour savoir ce qui nous convient ? La première étape est de ne prendre en considération que des aliments naturels sans transformation. C'est-à-dire tous les aliments comestibles que l’on trouve dans la nature et tel qu’on les trouve dans la nature, sans avoir été chauffés, irradiés, assaisonnés, congelés etc. On met d’un côté toutes les variétés de fruits de la région et de la saison et éventuellement d’autres fruits plus exotiques parce que l’on a une appétence pour ces fruits aussi. D’un autre côté toutes les variétés de légumes que l’on peut trouver, y compris les jeunes pousses de légumes si on en a. Et enfin tous les aliments riches en protéines ou en lipides (graisses naturelles) Cela comprend les protéines animales (viandes, œufs, poissons, produits marins), les protéines végétales (champignons, graines germées, graines trempées, légumineuses trempées et germées etc.) et les produits gras naturellement comme les avocats, les oléagineux, les safous, les olives etc. L’idéal est que tous ces produits soient non seulement biologiques mais si possible produits par des petites fermes en permaculture ou du moins ne venant pas d’une monoculture qui appauvrit les terres et rendent les végétaux également pauvres en minéraux. Attention aux aliments que l’on croit crus et qui ne le sont pas comme les fruits séchés, les oléagineux etc. même venant de magasins bio, (séchés à plus de 40°). Pour choisir ce que vous pouvez manger, ce dont votre organisme a besoin à un moment précis, il faut sentir chaque variété de fruits. Pour le déjeuner, par exemple, sélectionnez celui qui sent le meilleur et qui vous fait saliver. Les fruits se mangent majoritairement crus et dans leur entièreté, commencez par manger le fruit que vous avez sélectionné tranquillement en mâchant bien et en conscience. Si vous vous rendez compte au bout de quelques bouchées qu’il n’est plus aussi bon, ou bien que vous observez un signe montrant que vous ne produisez plus les enzymes nécessaires à la bonne digestion de ce fruit, arrêtez-vous aussitôt. Quels sont les signes d’alliesthésie ou d’arrêt que vous pouvez observer ? Vous pouvez trouver à un moment donné, que le fruit devient trop sucré, ou trop acide, amer, astringent, piquant, ou encore qu’il brûle les commissures de vos lèvres. Vous pouvez aussi vous mordre la langue, avaler de travers, tousser, éternuer, etc. Ces signes vous montrent que vous devez cesser de consommer ce fruit pour cette fois-ci, car votre métabolisme ne pourra pas le traiter correctement. Il est donc inutile d'insister et si vous avez encore faim, sentez de nouveau les autres variétés de fruits et choisissez-en un autre. Mais il est possible aussi que vous n’ayez aucun signe d’arrêt et que vous mangiez un kilo ou plus de ce fruit. C’est parfait ainsi, allez-y jusqu’à satiété. Moins on mélange de variété, plus la digestion est facile, discrète et rapide. Après avoir mangé, une ou deux variétés de fruits, si vous avez encore faim, faites la même chose avec votre choix de légumes. Sentez-les et choisissez le légume qui sent le meilleur et vous fait saliver. Le mieux est de le manger cru à la croque sans assaisonnement. Mais si vous n’avez pas l’habitude de manger de cette façon, alors assaisonnez-le légèrement avec une sauce que vous avez faite vous-même avec de bons produits. Si vous voulez les cuire, la moins mauvaise des cuissons est la vapeur douce à moins de 100° et pas longtemps, 15 à 20 minutes suffisent. Cette cuisson respecte les saveurs et n’oblige pas à assaisonner les aliments. Le seul inconvénient est que vous allez perdre des nutriments sensibles à la chaleur comme certains minéraux et les enzymes. Mais cette chaleur douce ne provoque pas de molécules toxiques. Pour votre dîner, choisissez un aliment dans la catégorie des protéinés ou gras. Le mieux est de choisir une seule variété, donc choisissez bien celle qui vous fait saliver. Mangez-en, là aussi, jusqu’à l’arrêt et cru. Les protéines et les lipides chauffés contiennent des molécules de Maillard qui sont toxiques et cancérigènes. Ce sont les aliments les plus dangereux après la cuisson. Plus ils sont chauffés à haute température et longtemps, plus ils deviennent toxiques. Les pires sont ceux qui sont carbonisés au barbecue ou frits à haute température. Après cette étape vous pourrez manger des légumes autant que vous voudrez toujours en choisissant les variétés de manière olfactive.. Une dernière chose à savoir : les légumes se marient facilement avec tous les autres aliments. En revanche, il est préférable de manger les fruits seuls ou seulement avec des légumes. Pas de protéines ni d’aliment gras au cours d’un repas comportant des sucres. Bien entendu, pour se nourrir correctement et de manière équilibré, il faut varier tout au long de l’année, c’est pourquoi il est recommandé de suivre les produits de saison, ainsi avons nous la garantie de varier notre alimentation et, de surcroît, de manière moins onéreuse. Pour apprendre à suivre ses besoins alimentaires, je vous invite à un stage d’alimentation vivante du 3 au 9 septembre 2022. Vous trouverez tous les renseignements et des photos du lieu sur ce lien : Je parle beaucoup dans mes articles et lors des réunions avec les jeûneurs, des nutriments.
Est-ce bien clair pour tout le monde ? Les nutriments sont des éléments nutritifs pour nos cellules. Ce sont des composés organiques et inorganiques nécessaires aux organismes vivants pour entretenir la vie. Les protéines Les protéines proviennent des animaux (œufs, viandes, poissons et sous-produits animaux, lait etc.). Elles viennent aussi du monde végétal où elles sont moins concentrées (les oléagineux , les légumineuses, les graines germées etc. Les fruits et les légumes en contiennent en plus petites quantités. Les protéines se digèrent dans l’estomac, puis dans l’intestin grêle en donnant des acides aminés utilisables pour la construction ou la restauration des tissus de l’organisme. Cette utilisation ou métabolisme des protéines provoquent des déchets urés et de l’acide urique qui doivent être éliminés par le foie et les reins. Si ces déchets sont mal éliminés, notre organisme s’encrasse et la maladie peut apparaître. Notre organisme recycle une partie des protéines, toutefois un apport journalier est important. Les lipides Les lipides sont les matières grasses apportées avec les protéines animales et les végétaux gras comme les avocats, les olives, les oléagineux etc. Ces lipides libèrent dans l’organisme des calories qui lui servent à maintenir sa température et à produire de l’énergie. Le métabolisme des lipides génère des déchets glycériques source d’encrassement de l’organisme. Toutefois les lipides sont nécessaires et les meilleures que l’on peut apporter à notre corps proviennent des graisses naturellement présentes dans les aliments. Toutes les matières grasses ajoutées comme l’huile, le beurre, la margarine etc. provoquent souvent des excès et donc de l’encrassement. Les glucides Les glucides appelés aussi hydrates de carbone, existent abondamment dans les matières amylacées des végétaux : amidon, céréales, sucres divers (saccharose, glucose, lactose, lévulose etc.) et les fruits et légumes. La digestion des glucides commence dans la bouche et se termine dans l’intestin grêle et donne un produit final qui est le glucose. Celui-ci parvient au foie qui le met en réserve sous forme de glycogène. Le glucose est utilisé principalement par le cerveau et les muscles. L’utilisation des glucides produit des déchets qui sont l’eau et le dioxyde de carbone ou gaz carbonique, évacué par la respiration pulmonaire. Lorsque nous jeûnons ou si nous suivons un régime strict limitant les sucres, le foie produit des corps cétoniques qui seront parfaits pour le cerveau et les muscles. Ces 3 nutriments sont aussi des macro-nutriments. Mais il y a aussi les micro-nutriments qui, comme leur nom l'indique, sont présents en très faible quantité dans l’organisme. Les vitamines On distingue les vitamines liposolubles (solubles dans les matières grasses) des vitamines hydrosolubles (solubles dans l’eau). Les vitamines liposolubles sont les vitamines A, D et E. Les vitamines hydrosolubles sont les vitamines C, B1, B2 et PP essentiellement. La vitamine A favorise la vision, les vitamines B protègent le système nerveux et favorise la digestion des glucides, les C protègent des infections, la D est antirachitique et favorise la croissance du squelette, la E est anti stérilitique et la PP antipellagreuse, (la carence provoque la pellagre, c’est-à-dire des symptômes de malnutrition). Les sels minéraux Ils servent à l’organisme aux échanges cellulaires et à la construction notamment du squelette et de la dentition. Ces sels minéraux sont biodisponibles dans les végétaux essentiellement; fruits et légumes, plantes sauvages comestibles, aromates, plantes médicinales etc. Les sels minéraux contenus dans les structures minérales ne sont pas assimilables correctement par nos organismes. Citons les plus connus tels que le calcium, le magnésium, le manganèse, le fer sont des métaux constituants de ces sels minéraux auxquels s’adjoignent des métalloïdes tels que le phosphore, le soufre, l’iode etc. Ce sont les minéraux qui captent les acides et permettent un bon équilibre acido-basique. Ils sont donc extrêmement importants. Et ne pensez pas qu’il suffit de se complémenter pour trouver un bon équilibre. Les compléments alimentaires peuvent aider ponctuellement, mais seule une alimentation variée et équilibrée sera garante d’une bonne santé. Autres nutriments Il reste encore les oligo-éléments, les enzymes L’eau Enfin notre organisme a besoin d’eau, essentiellement celle contenue dans les fruits et les légumes. Lorsque l’on mange cru, il n’est pas nécessaire de boire de grandes quantités d’eau, tandis qu'avec la cuisine la soif est exacerbée par la consommation de sel, des épices et aussi par le fait que la cuisson fait diminuer le taux d’eau des aliments. Les fibres Les fibres alimentaires ne sont pas non plus des nutriments puisqu’elles n’apportent rien directement aux cellules. Elles contiennent de la cellulose dont le rôle est important pour notre biote et le tractus intestinal. On les trouve essentiellement dans les végétaux. Conclusion Comme vous l’avez lu précédemment, les végétaux doivent constituer la majorité de tous nos repas. Un bémol toutefois avec la consommation des céréales. Avant l'agriculture, les céréales se trouvaient à l’état naturel très dispersées, l’homme en consommait en petite quantité uniquement. Les céréales sont formées de grosses molécules d’amidon qui sont digérées par hydrolyse en les transformant en sucre double : saccharose, puis en sucre simple : glucose. Ce qui nécessite beaucoup d’énergie, engendrant ultérieurement des états de toxémie et corollairement des troubles de santé. Les amidons concentrés fatiguent le cœur et les voies respiratoires, ils encombrent les intestins et représentent un facteur de vieillissement. Le sel n’est pas proposé en hygiénisme car il s’agit d’eau de mer déshydratée qui a perdu sa charge électromagnétique, il est donc mal assimilé. Le sel de cuisine est une substance morte au même titre que les produits chimiques, est irritante pour le tube digestif. Un bol alimentaire salé est rapidement acheminé, précipité vers le côlon, presque sans digestion ! Ceci finit par irriter les muqueuses intestinales et empoisonner le corps. Cette réaction crée une déperdition énergétique et l'énergie économisée dès la suppression du sel, sera disponible pour l’évacuation des toxines que l'absorption de tout produit chimique ne permet pas. Le sel donne soif parce que l’eau sert à diluer le poison qui sera ensuite facilement évacuer par les reins. Le sel ne contribue pas à la fabrication de l’acide chlorhydrique puisqu’il n’est pas assimilé par l’organisme. Cette sécrétion est inhibée, les parois de l’estomac étant irritées. Notre approvisionnement en sel doit se faire par voie organique, la seule harmonieuse et équilibrée par la consommation de fruits et légumes appropriés. Ceux-ci sont pourvus de sels minéraux, diastases, vitamines et oligo-éléments. Le sel est un accélérateur du rythme cardiaque qu’il dérègle et épuise. Il favorise l’hypertension et la rétention d’eau. En perturbant tous les échanges humoraux et les sécrétions, il encrasse le milieu extracellulaire. Préférez l’eau de mer si nécessaire à la place du sel ou encore des algues marines. Les substances minérales ne sont pas assimilables tant qu’elles ne sont pas passées par le végétal. Voici ce que je vous conseille pour bien digérer et assimiler les aliments.
1 - S’abstenir de manger tant que la digestion du repas précédent n’est pas terminée. Si ce dernier a été très copieux, il vaut mieux sauter le prochain repas. 2 - Sous l’effet de la douleur, de la fièvre, de l’inflammation, du chagrin, de la colère ou de la peur, il est préférable de s’abstenir de manger tant que les symptômes persistent. Manger dans ces conditions provoque des malaises, ralentit la digestion, amène un inconfort voire même des douleurs. 3 - En cas de grande fatigue, il vaut mieux se reposer avant de manger, seuls le repos et la détente permettent de retrouver de l’énergie 4 - Tout le monde le sait, les repas de fête, de famille etc. sont éprouvant pour l’organisme, boire ou manger par obligation, pour faire plaisir et manger trop avec trop de sortes d’aliments n’est pas bon. Si c’est exceptionnel, prenez du charbon actif après le repas pour aider. Mais si cela est régulier, vous détruisez votre santé et vous allez très vite manquer d’énergie. Nous devons sortir de table avec une légère faim. 5 - Adultes comme enfants, choisissez vos aliments, laissez-vous le choix des fruits et des légumes, nous n’avons pas tous les mêmes besoins au même moment ! Il faut toujours manger avec plaisir. 6 - N’ayez pas de conversations trop animées pendant les repas, ce n’est pas le moment de régler ses comptes. L’idéal est de manger dans le calme et en conscience. Ne regardez pas d’écran et ne lisez pas en mangeant. Prenez quelques instants de détente après vos repas pour favoriser la digestion. 7 - Bien mastiquer les aliments et manger tranquillement sans précipitation. On ne devrait avaler que lorsque les bouchées sont devenues de la bouillie presque liquide. On dit qu’il faut boire les aliments solides et mâcher les jus de légumes frais. Pensez à poser votre fourchette et votre couteau entre chaque bouchée. N’oubliez pas que la digestion commence dans la bouche avec les enzymes salivaires. 8 - Ne buvez pas pendant le repas, mais avant. Si vous avez soif en mangeant, c’est soit que vous mangez trop salé, sucré ou épicé. Réduisez ces aliments plutôt que de céder à la facilité et boire. 9 - Ne mélangez pas toutes les sortes d’aliments dans un même repas; Les légumes vont avec tout : fruits ou protéines. Les fruits se mangent seuls avant le repas ou avec d’autres fruits ou avec des légumes, mais jamais de gras avec le sucré. Les protéines (végétales ou animales) ne s’associent qu’avec les légumes. Retenez que sucres et graisses ne font pas bon ménage, et que les protéines contiennent quasiment toujours des graisses même non visibles. 10 - Abstenez-vous de prendre des aliments que vous savez ne pas pouvoir digérer, au moins pendant 3 ou 6 mois puis réessayez en toute petite quantité pour voir si vous les tolérez mieux après ce temps. Bon appétit La cuisson Cuire les aliments a pour première incidence de détruire les enzymes (diastases) à partir de 40°. Nous savons qu’aujourd’hui, nous sommes tous plus ou moins carencés en enzymes. La cuisson est une invention de l’homme qui favorise un déséquilibre progressif dans l’organisme. L’idéal est de manger cru ou si ce n’est pas à 100%, au moins de manger des légumes crus (crudités) à chaque repas et de manger des fruits crus bien mûrs chaque jour. Il est recommandé de commencer les repas par des crudités afin d’éviter la leucocytose digestive qui est l’élévation brutale des leucocytes, globules blancs, qui ont pour mission de défendre l’intégrité de l’organisme vis-à-vis des corps étrangers. Les chercheurs ont observé cette élévation des globules blancs dans le sang après un repas cuisiné et soupçonnent qu’il s’agit d’un processus anormal de l’organisme, une réaction pathologique. Ils démontrent que la leucocytose n’apparaît que lorsqu’on absorbe des aliments cuits et qu’elle est par conséquent une réaction de l’organisme au même titre que la leucocytose qui se produit en cas d’intrusion microbienne. Les fruits et légumes crus ne produisent pas cette leucocytose. L’aliment cru ne suscite pas de réaction inflammatoire de la part de l’organisme. Les personnes qui ne supportent pas le cru ont un tube digestif malade. Elles devront trouver des alternatives pour progressivement régénérer leur digestion et pouvoir manger plus sainement, même si cela leur demande des mois voire des années. Le jeûne permet aux organes une assimilation plus rapide du cru du fait de la désintoxication effectuée et de la remise en état des différents organes. Plus on est intoxiqué, moins on supporte le cru. Mais il est important de faire une transition alimentaire très progressive. La durée de cuisson des aliments Prenons l’exemple de la teneur en vitamine C du chou en cours de cuisson. Celle-ci diminue à mesure que la cuisson se prolonge. Mais on retrouve des paramètres assez semblables pour les autres vitamines et les minéraux sont encore plus fragiles à la chaleur. Cru : 70 mg pour 100 gr de chou Après 10 mn de cuisson : 47,5 mg pour 100 gr Après 15 mn de cuisson : 29,5 mg pour 100 gr Après 30 mn de cuisson : 22,3 mg pour 100 gr etc. Si vous devez cuire vos aliments, la meilleure cuisson est à la vapeur douce et peu de temps. Ainsi l’aliment n’est pas en contact avec l’eau, les phénomènes d’osmose sont très réduits, les minéraux et autres corps solubles sont retenus dans l’aliment. Temps de cuisson vapeur pour décrudire les légumes : 5 minutes pour les choux, épinards, endives, poivrons et champignons. 10 minutes pour les asperges, aubergines, courges, courgettes, haricots verts, poireaux, potirons etc. 10 à 15 minutes pour les carottes et choux de bruxelles 15 à 20 minutes pour les betteraves, navets et artichauts L’irradiation ou ionisation des aliments L'irradiation des aliments consiste à exposer des aliments à des rayonnements ionisants afin de réduire le nombre de micro-organismes qu'ils contiennent. Pour certains végétaux, ce procédé empêche la germination (pomme de terre, ail, oignon etc.) pour d’autres, cela sert à une plus longue conservation (fraise etc.) L'OMS l'a accepté pour l’alimentation humaine. Ce procédé fait partie des procédés de pasteurisation à froid. L'irradiation de la nourriture est une technique développée par des entreprises agroalimentaires parce que les aliments ainsi irradiés s'abîment moins. Le procédé réduit également le risque de contamination par un organisme pathogène. Les supermarchés tentent de faire croire que ce système est mieux pour les végétaux et sans conséquence pour notre santé. Toutefois sachez que les enzymes sont très radiosensibles, l’ADN de celles-ci est altéré et les fruits et légumes sont ainsi stérilisés. Les cellules germinatives, celles en voie de division et les tissus en développement rapide sont très sensibles à ce type de traitement. Le charançon des grains, la teigne du riz, la bruche du haricot, tous les insectes sont rendus stériles par l’irradiation, le plus souvent ils meurent quelques jours plus tard. Les vitamines sont elles aussi très sensibles à ce type de traitement de conservation et aux rayons ionisants en particulier, notamment la vitamine C. Les fruits comme les pêches, les citrons, les tomates, les fraises sont très touchés par cette perte en vitamine C. Les autres vitamines très sensibles également sont les vitamines K, B1 puis B6, PP, A et E. Les pertes seraient du même ordre que lors de la cuisson. À des doses supérieures à 6 kilogray, l'irradiation peut fortement dégrader les vitamines liposolubles (vitamine D notamment). En 2008, Caulfield a montré que l'irradiation gamma oxyde fortement les vitamines liposolubles dans les rations sèches, entraînant une effondrement de la teneur de certains produits en vitamines après irradiation. Il en va de même pour quelques autres nutriments, ce qui diminue les qualités nutritives du produit irradié. Quand elle concerne des produits gras (viandes notamment), l'irradiation peut avoir un impact négatif sur le goût, l’odeur et la texture des aliments traités (rancissement). En France, la dose maximale de 10 kilogray est autorisée pour le traitement des céréales, de la farine de riz ou des épices, et la dose de 5 kilogray ne doit pas être dépassée pour la viande ou le poisson. Les aliments doivent être irradiés assez longtemps pour que les bactéries et moisissures ciblées soient inactivées. Sans compter les effets nocifs sur nos organismes… Le raffinage Le raffinage nous donne la possibilité de manger des plus grandes quantités d’aliments que l’on ne pourrait pas manger à l’état naturel. Cela permet donc les abus, et l’on sait que l’on mange trop et souvent trop riche dans les pays occidentaux. Je pense aux fruits séchés, aux oléagineux transformés en huile, aux hydrates de carbone qu’il vaut mieux manger sous leur forme naturelle comme la betterave à sucre, la canne à sucre etc. Il vaut toujours mieux consommer nos aliments sous leur forme entière si nous sommes en bonne santé et désirons le rester. Le bilan
La nature ne produit pas de protéines ou de glucides , elle produit des aliments entiers, contenant en juste équilibre tous les éléments indispensables à l'élaboration de tissus nouveaux, à la croissance et au renouvellement des cellules. Non transformés par quelque procédé industriel, ou même amoindris par la cuisson, ils apportent la vitalité à l’organisme. N’oubliez pas que nous ne mangeons pas des protéines, glucides, lipides etc. , mais des noix, des dattes etc. La seule exception qui peut être bénéfique, sont les jus de légumes frais faits maison qu’il faut boire tout juste fait sans attendre qu’ils s’oxydent. Parce que la plupart des gens ne mangent pas assez de légumes qui sont si riches en minéraux et vitamines. Je fais suite à mon précédent article sur les sucres : Vous avez compris maintenant que les sucres se cachent partout, même là où on ne s’y attend pas du tout. Vous savez qu’il faut à tout prix éviter de consommer l’alimentation industrielle qui en contient systématiquement. Vous avez encore besoin d’être convaincu pour surveiller votre consommation de sucre ? voici les conséquences directes d’une consommation trop élevée de sucre :
La surconsommation de fructose dans les aliments transformés, le sirop de maïs (très utilisé par l’industrie agro-alimentaire, surtout aux USA) provoque les mêmes effets qu’une grande consommation d'alcool car le fructose est métabolisé par le foie comme l’alcool. C’est pourquoi on entend dire parfois que le sucre est l'alcool des enfants et peut provoquer les mêmes dommages sur le foie !
En conclusion
Les seuls bons sucres que nous devons consommer sont ceux naturellement présents dans les végétaux, préférentiellement les légumes, les fruits en quantité raisonnable en lien avec l’activité physique, les céréales en petite quantité, les oléagineux et les légumineuses. Plus tôt nous prenons conscience de notre trop grande quantité de sucre consommée, plus facile sera l’inversion de l’état de notre foie et par là même, de tout notre organisme. 175 millions de tonnes de sucre sont consommées dans le monde, soit 25,5 kilos par habitant et par an ; les français en consomment 35 kg par an ! Pain, pizza, charcuterie... Le sucre est addictif et dangereux. Il se trouve dans de nombreux aliments qui ne sont pas supposés en contenir... La consommation mondiale de sucre augmente de manière régulière, à un rythme moyen de 2,5% par an. Où sont les sucres? Le sucre est présent dans de nombreux aliments, soit parce qu’on le retrouve naturellement, soit parce qu’il y est ajouté. Il y a des sucres dans tous les légumes, les fruits, les céréales et donc les farines, les pommes de terre, le lait et produits laitiers etc. Le sucre est une source d’énergie (en calories), mais ne présente pas d'avantage nutritionnel. On le retrouve sous plusieurs formes : sucre blanc, cassonade, mélasse, miel, sirop d’érable, sirop de maïs, glucose, fructose, dextrose, maltose ou saccharose, etc. Le sucre est utilisé dans de nombreux aliments non seulement pour leur donner du goût, mais également pour transformer leur texture. C’est pour cette raison qu’on en retrouve partout. Les sucres visibles sont faciles à reconnaître : bonbons, confiture, miel, biscuits, gâteaux, sucre blanc ou roux. Mais les sucres invisibles sont plus difficiles à dénicher : plats cuisinés, céréales de petit déjeuner, charcuteries, surimi, ketchup, sodas, alcool, desserts lactés, smoothies, jus de fruits, vin doux, jambon, pâtes de fruits, certaines conserves et, de façon générale, tous les produits industriels. Les végétaux contiennent tous du sucre en plus ou moins grande quantité : les fruits, tous les légumes, les oléagineux, les légumineuses et les graines. Ce sont des sucres naturellement présents dans des aliments que l’on trouve dans la nature, ils ne causent pas de problèmes pour notre santé. Plus on consomme du sucre, plus on en a envie Si les industriels en utilisent autant, c'est peut-être parce que ces petits cristaux de saccharose nous rendraient dépendants autant que des drogues dures. Serge Ahmed, chercheur au CNRS à Bordeaux (Gironde), l'a prouvé en étudiant des rats habitués à consommer de la cocaïne et du sucre : dans les cages, les rats ont le choix entre les deux et préfèrent à chaque fois le sucre. Quand nous en avalons, il active le circuit de la récompense dans le cerveau. Serge Ahmed explique que l'on peut aujourd'hui considérer la dopamine comme “l'hormone du désir de plaisir". Elle nous donne envie "de répéter l'expérience de plaisir qui a été générée par la consommation de sucre", explique-t-il. En clair, plus on consomme de sucre, plus on a envie d'en reprendre. Ainsi, en vingt-cinq ans, le taux d'obésité a doublé : 15% des Français sont aujourd'hui touchés par ce problème. De nouvelles maladies apparaissent, comme la NASH, ou "maladie du soda", qui détruit progressivement le foie. Quelle est l’incidence du sucre sur la santé ? S’il semble difficile pour certains de s’en passer, c’est à cause de l’effet addictif du sucre. Les spécialistes aujourd’hui associent l’excès de sucre aux risques liés à l’obésité, aux caries, au diabète, au cancer, à l’hypercholestérolémie et aux maladies cardiaques qui seraient coupables d’environ 16 millions de décès prématurés chaque année dans le monde. Cet excès de sucre participe à la production des triglycérides, responsables des tissus adipeux et de l’augmentation de la résistance à l’insuline. Il augmente aussi l'accumulation de matière grasse dans le foie pouvant causer la stéatose du foie ou NASH , le foie gras ! Il faut savoir lire les étiquettes des emballages des produits que vous achetez. “Sans sucre ajouté” signifie que l’on a pas ajouté de glucose, de fructose, du miel ou de la mélasse. Mais il peut contenir du sucre naturel comme celui qui est présent dans les fruits ou les produits laitiers. “Teneur réduite en sucre” ou “faible en sucre” signifie que la teneur en sucre de l’aliment est inférieur à au moins 25% par rapport à l’aliment auquel il est comparé. “Non sucré” signifie que l’on a ajouté aucun sucre ou édulcorant comme l’aspartame ou le sucralose. “Sans sucre” signifie que la portion contient moins de 0,5 g. de sucre et moins de 5 calories. L’expérience de Damon Gameau Cet acteur et réalisateur Australien a tourné un documentaire nommé Sugerland. Pour cela il a voulu tester les effets d’une alimentation riche en sucre, composée uniquement d’aliments considérés comme sains et équilibrés, sur un corps en bonne santé. Pendant 60 jours il a consommé l’équivalent de 40 cuillères à café de sucre chaque jour, trouvé dans des aliments comme des boissons habituels, sans être particulièrement connus comme riches en sucre, c’est-à-dire qu’il consommait des yaourts allégés, des barres de muesli, des céréales saines, des jus de fruits, des boissons sportives et des smoothies. Ces quantités de sucre sont à peine au-dessus de la consommation moyenne d’un adolescent d’après Damon Gameau. Le résultat c’est qu'après 3 semaines, Damon a développé une stéatose hépatique (un foie gras) et à la fin il avait un prédiabète avec un risque accru d’infarctus et 11 cm de tour de taille en plus. Tout cela en consommant moins de graisses et de calories qu’avant. Heureusement pour lui après quelques semaines de reprise alimentaire d’avant, sa santé est revenue à la normale. Les quantités de sucres maximales recommandées. La fondation des maladies du cœur et de l’AVC recommande de veiller à ce que la quantité de sucre consommée par jour ne dépasse pas 10% des calories totales. Commencez par réduire tous les sucres ajoutés, voir progressivement les supprimer totalement. En diminuant doucement sa consommation de sucres, l’organisme se déshabitue de cette addiction, il n’y a plus de manque bien au contraire, nous finissons par ne plus être attirés par les plats sucrés. Ensuite évitez les glucides à Indice glycémique (IG) élevé comme les frites, les galettes de riz, le pain blanc, les pommes de terre, le riz blanc etc. Privilégiez les produits à IG égal ou inférieur à 50. (voir la liste ci-dessous) Les apparences sont trompeuses. Sucrée, la patate douce ? Malgré son goût suave, sa teneur en amidon est compensée par sa teneur élevée en fibres, si bien que son IG est bas (50) alors que les pommes de terre ont un IG plus élevé. Le melon a un indice plus bas que la pastèque etc. Pour avoir une idée de ces indices, vous trouverez plus bas une liste des produits à IG acceptable. L’index glycémique et la charge glycémique Il est important d’avoir des notions sur l’indice glycémique et la charge glycémique. La glycémie est le taux de sucre dans le sang. A jeun, un taux normal se situe entre 0,7 et 1,1 g. par litre de sang. Lorsque nous mangeons un aliment qui contient du sucre, ce taux s’élève. Pour éviter de trop gros pics de glycémie, l’insuline sécrétée par le pancréas fait baisser le taux de sucre en l’aidant à entrer dans les cellules. Le taux de sucre dans le sang est, bien sûr, important. Trop élevé, il est synonyme de diabète, de maladies cardiovasculaires, d’obésité et de certains cancers. Or, comme nous venons de le voir, le sucre est omniprésent dans notre alimentation, plus que nous ne le soupçonnons ; d’où l’intérêt de s’y repérer. Par ailleurs, la seule teneur en sucre d’un aliment n’est pas une indication suffisante en tant que telle. En prenant l’exemple des pommes de terre, celles cuites à la vapeur ont un indice glycémique de 65, alors que l’indice de celles cuites au four est de 95. C’est de cette complexité dont a tenu compte le Pr David Jankins, le père de l’indice glycémique, qui a classé les aliments en trois catégories selon la vitesse à laquelle ils augmentent le taux de sucre dans le sang : Les aliments avec un IG élevé (supérieur à 60), les aliments avec un IG intermédiaire (entre 40 et 60) et ceux avec un IG faible (inférieur à 40). Les aliments à index glycémique bas sont ceux qui font peu grimper le taux de sucre dans le sang lors de leur digestion et assimilation. Ce sont en général les aliments peu transformés, qui sont très riches en fibres. Voici quelques exemples d’aliments à IG bas et plus élevés.
Si vous voulez voir précisément la composition des aliments que vous consommez, allez voir la table Ciqual sur internet.
Vous trouverez également des tableaux d’index glycémique sur le net. L’état de notre intestin
La muqueuse intestinale est la seule barrière entre notre sang et notre lymphe, et de dangereux agents de l’environnement : bactéries et aliments. L’état de cette barrière dépend beaucoup de deux facteurs : les cellules épithéliales de la muqueuse et la flore bactérienne du grêle. La nutrition actuelle paraît responsable de façon directe ou indirecte de nombreuses affections. Si l’on compare l’alimentation ancienne et l’alimentation moderne, on constate que les principales différences se situent au niveau des laits animaux, des céréales, de la cuisson, de la préparation des huiles, de la pollution et de la teneur en vitamines et minéraux. Il est indispensable de réparer en continu notre système digestif et notamment l’intestin dont le rôle de barrière permet d’éviter que certains aliments indésirables passent dans la circulation générale. Quand on a une candidose, c’est-à-dire une mycose intestinale qui élimine les levures, les fibres insolubles ne sont plus détruites : elles gonflent et notre ventre aussi. Ce signe est important pour reconnaître un problème de candidose digestive. Des flatulences, voire des diarrhées peuvent aussi apparaître au niveau du côlon si on absorbe trop de gluten glyqué (protéines des céréales, ou de caséine glyquée (protéine du lait). C’est aussi le cas si les germes du côlon sont mal en point, (suite par exemple à des traitements médicaux comme des antibiotiques). Ces germes propres au côlon ont aussi d’autres rôles importants et méconnus : permettre la sécrétion de certaines substances non apportées par l’alimentation ou en quantités insuffisantes (exemple la vitamine K), et permettre de réguler toute la réponse immunitaire. C’est la raison pour laquelle il faut en prendre grand soin ! Une barrière qui fait parfois des trous Comme la peau fait barrière entre l’extérieur et l’intérieur de notre organisme, l’intestin sert de barrière entre les éléments nutritifs venant des aliments et notre sang. L’intestin est constitué d’une muqueuse unicellulaire de quelques microns d’épaisseur posée sur une membrane basale. Les entérocytes (cellules de la paroi intestinale en contact avec le chyme alimentaire (la bouillie qui arrive dans le côlon), forment un tissu dans lequel les cellules sont liées les unes aux autres par un film très peu perméable. Seules l’eau et les très petites molécules peuvent la traverser pour parvenir jusqu’à la circulation sanguine. Pour que cette muqueuse joue son rôle de filtre et n’envoie pas dans le sang des particules trop grosses, des résidus, des toxines ou des germes, il faut qu’elle soit perméable à ce qui est bon pour nous et imperméable à ce qui ne l’est pas. Ce film peut être altéré par l'ingestion de toxines, de germes ou virus, une mauvaise oxygénation par le sang dû au stress, un excès de viande etc. La muqueuse devient alors comme poreuse et laisse passer dans la circulation sanguine ce qui ne devrait pas y pénétrer, empoisonnant le foie et intoxiquant les tissus. Normalement, un intestin en bonne santé permet une perméabilité contrôlée. Mais pour de multiples raisons la paroi intestinale peut-être lésée, enflammée, endommagée et laisser échapper des toxines et des toxiques qui migrent ensuite dans tout l’organisme en le polluant. Les espaces entre les cellules qui composent la paroi intestinale s’agrandissent et laissent passer des antigènes de plus grosses tailles qui d’ordinaire ne peuvent pas traverser. Ces antigènes de grosses tailles font réagir le système immunitaire qui les prend pour des particules étrangères qui agressent l’organisme. Il en résulte une production d’anticorps contre des aliments inoffensifs ! Si ce phénomène s’emballe, la production d’anticorps se multiplie et se répand dans tout l’organisme et attaque nos propres tissus. Actuellement ce syndrome de perméabilité de l’intestin touche la majorité de la population, très peu y échappent. Les symptômes sont les suivants : gaz, ballonnements, constipation ou selles collantes nauséabondes, urine foncée malodorante, léthargie après les repas, cernes marquées sous les yeux, troubles ORL, maux de tête, langue blanche chargée, haleine fétide, envies difficiles à réfréner de sucre, de gâteaux, de produits laitiers, hyperactivité, TOC etc. Cela permet aussi de comprendre pourquoi nous sommes de plus en plus nombreux à souffrir d’allergies et d’intolérances. Nous venons de voir comment des molécules d’un aliment peuvent s’échapper par une voie anormale en traversant la barrière intestinale directement sans passer par le filtre normal de la cellule. Dans ce cas, même un aliment qui nous convient dans l’absolu va devenir un poison car une fois échappé de l'intestin, notre système immunitaire le voit comme un allergène. La solution la plus simple est de manger très peu pendant quelques jours, ou encore mieux de jeûner puis de ne plus consommer de gluten ni de produits laitiers. Conséquence Cette perméabilité entraîne des problèmes de diarrhées et de constipations, de mauvaise haleine, de fatigue, de dermatoses, des intolérances alimentaires, le syndrôme du côlon irritable, la candidose, des infections vaginales, des pathologies auto-immunes. Cela peut aller encore plus loin : l’hyperperméabilité liée à une inflammation de l’intestin avec une production de radicaux libres qui pourront être à l’origine de cancers. Peut-on réparer nos intestins ? La flore et la muqueuse intestinales se renouvellent en permanence. Il faut veiller à la qualité et la quantité des aliments ingérés. Nous disposons de deux armes efficaces pour contrer l’hyperperméabilité intestinale, les probiotiques qui agissent sur la flore en les régénérant et les anti-inflammatoires de la muqueuse intestinale (glutamine, curcumine, chlorophylle). Éventuellement aussi des huiles essentielles et de l’extrait de pépin de pamplemousse en cas de dysbiose. Il faut contrer ce problème le plus tôt possible si l’on veut profiter des avantages d’un changement qualitatif de programme alimentaire. Comme je l’ai écrit dans mon précédent article sur les aliments, le XXe siècle a vu se développer l’industrie agroalimentaire qui a entraîné plusieurs changements dont celui de la préparation des huiles alimentaires.
Les dangers liés aux méthodes actuelles pour la préparation industrielle des huiles ont été dénoncés dès 1980 par le Dr Kousmine et ultérieurement par d’autres. Autrefois les huiles étaient extraites des plantes par première pression à froid avec une température d’environ 30°C. Ces huiles contenaient des acides gras essentiels, en particulier l’acide linoléique et l’acide alpha linolénique ou vitamine F. Cependant le rendement n’atteignait que 30%. Depuis la seconde guerre mondiale, de nombreuses huiles sont extraites à chaud, sur de la vapeur d’eau entre 160 et 200°C. Ce procédé porte le rendement à 70%. On y ajoute souvent un pressage à froid, après mélange de la graine avec un solvant, l’hexane, ce qui permet de recueillir 100% des corps gras. Ceci oblige à de multiples raffinages. Ce mode de préparation entraîne 3 inconvénients :
Ces considérations ont conduit le Dr Kousmine (1983) à proposer le remplacement des huiles industrielles par des huiles de première pression à froid, notamment dans le traitement des maladies auto-immunes. Sources : Dr Kousmine et Dr Seignalet L’importance de nos aliments est à l’heure actuelle grandement sous-estimée par la grande majorité des médecins à l’exception de quelques pionniers. Alors que pour commercialiser un nouveau médicament, on exige à juste titre qu’il remplisse de nombreux critères d’efficacité et d’innocuité relative, bien moins de précautions sont prises en matière nutritionnelle. Si bien que l’alimentation des hommes et des animaux a beaucoup changé au cours des siècles sans assez de surveillance. C’est pourquoi, à l'heure actuelle, elle offre trois caractères inquiétants :
Ces différents aspects ont un impact sur nos organismes qui ne sont pas génétiquement adaptés, entraînant des perturbations plus ou moins importantes sur notre santé. Les chromosomes et les gènes peuvent être modifiés par certains facteurs de l’environnement : radiations, substances cancérigènes etc. et le Docteur Seignalet a mis également en évidence que les molécules bactériennes ou alimentaires venues de l’intestin grêle peuvent passer la barrière intestinale (hyper-porosité intestinale) pour se retrouver anormalement dans le sang. Phénomène qui a bien évidemment des répercussions sur la santé. Voici ce que dit le Dr Seignalet : “ La muqueuse intestinale est la seule barrière entre notre sang et notre lymphe et de dangereux agents de l’environnement : bactéries et aliments. L’état de cette barrière dépend de deux facteurs : les cellules épithéliales de la muqueuse et la flore bactérienne de l’intestin grêle. La nutrition actuelle paraît responsable de façon directe ou indirecte de nombreuses affections. Si l’on compare l’alimentation ancienne et l’alimentation moderne, on constate que les principales différences se situent au niveau des laits animaux, des céréales, de la cuisson, de la préparation des huiles, de la pollution et de la teneur en vitamines et minéraux. Le XXe siècle a vu se développer l’industrie agroalimentaire qui a entraîné plusieurs changement :
Pendant des millions d’années, les hommes ont consommé une nourriture naturelle, analogue à celle des animaux sauvages. D’après les lois de Darwin, les enzymes et les mucines digestives*, les enzymes cellulaires étaient adaptées aux diverses substances ingérées. L’alimentation moderne est riche en macromolécules nouvelles, pour lesquelles enzymes et mucines ne sont souvent pas adaptées. Les enzymes ont une spécificité étroite, semblable à celle d’une clef qui n’entre que dans une seule serrure. Ces enzymes s'avèrent donc incapables de métaboliser correctement beaucoup de molécules nouvelles, ce qui n’est pas sans conséquence vous vous en doutez bien. Interactions entre protéines et glucides réducteurs Ce sont les fameuses réactions de Maillard, mises en évidence par ce chimiste dès 1916 et qui ont donné lieu à de nombreux travaux. Elles se produisent entre le groupement amine des protéines et le groupement carbonyle des sucres, aboutissant à la formation de substances de plus en plus complexes. Au cours des réactions de Maillard se créent des substances à faible effet mutagène. Et l’on peut vraiment se demander quel est le devenir de ces grosses molécules lorsqu'elles ont traversé la barrière intestinale. Certains composés de Maillard sont insolubles dans l’eau et résistants aux enzymes protéolytiques. Même l’eau de Javel ou les détergents ne peuvent les casser. Rien ne s’oppose à l’accumulation de ces substances, sans modification de leur structure, sinon dans les cellules, du moins dans le milieu extracellulaire. Ce qu’il faut retenir c’est que la cuisson engendre un grand nombre de molécules complexes, n’existant pas à l’état naturel, et dont les propriétés ainsi que le destin nous sont inconnus. Il a été démontré que certaines substances issues de la cuisson sont toxiques ou cancérigènes. Alors que les pesticides et les colorants préoccupent beaucoup les consommateurs, on estime à juste titre qu’ils contiennent beaucoup moins de composés mutagènes que les aliments cuits. Les modifications induites par la chaleur sont d’autant plus importantes que la température est élevée et que le temps d’exposition est long. Il faut éviter les grillades et les fritures qui se situent entre 300 et 700°C Il faut éviter le four classique qui atteint 300°C Il faut éviter la cocotte minute qui parvient jusqu’à 140°C Il convient d’opter pour la cuisson à l’étouffée ou la cuisson à la vapeur douce. Le four à micro-ondes élève la température pendant un temps très court autour de 75°C. Cependant cet appareil possède plusieurs propriétés inquiétantes :
Les produits chauffés au four à micro-ondes subissent donc des modifications de structure subtiles, mais probablement redoutables. (Des expériences faites par le professeur Henri Joyeux sur des souris prouvent que ces produits ne sont pas sans conséquence sur la santé). Additifs alimentaires (Chambolle 1992) Colorants, Conservateurs, Antioxygènes, émulsifiants, sels de fonte, épaississants, gélifiants, stabilisants, exhausteurs de goût, acidifiants, correcteurs d’acidité, anti agglomérants, amidon modifié, édulcorants, poudres à laver, antimoussants, agents d’enrobage, traitement de la farine, affermissants, humectants, enzymes, agents de charge, gaz propulseurs, gaz d’emballage etc. Produits administrés aux animaux et aux végétaux : Hormones, antibiotiques, tranquillisants. Médicaments divers, pesticides, engrais, fongicides Tous ces produits sont délétères pour notre santé. Le terme “biologique” indique en principe : “élevé ou cultivé dans des conditions naturelles”. Mais peut-on considérer naturel le blé d’aujourd’hui, le maïs, le soja ? et les animaux qui ont consommé ces aliments ? Les oléagineux et les fruits séchés chauffés à plus de 40°C ? etc. Les carences en vitamines et en minéraux
Aujourd’hui la plupart des animaux d’élevage ne sortent pas de leur local et sont nourris avec des batteries comportant entre autre : luzerne déshydratée, céréales séchées, plantes séchées, produits fermentés par ensilage, tourteaux qui correspond aux résidus des graines après l’extraction de l’huile, résidus de plusieurs industries (huilerie, meunerie, amidonnerie, brasserie), farines de viandes, déchets de poissons etc. (Cordesse 1994).” Et ce n’est pas tout… J’ai reçu en jeûne récemment un chauffeur routier qui me racontait qu’une fois, il a eu comme mission d’aller chercher des colis de bonbons périmés pour les conduire dans un élevage pour servir d’aliments à moindre coût aux animaux ! “Beaucoup de légumes et de fruits poussent dans des serres et sont récoltés après une vie plus courte que les légumes et les fruits traditionnels. Il est probable que l’animal ou la plante dont la croissance est accélérée ne fixent pas une partie des minéraux et des vitamines. Nos organismes ne sont pas adaptés à ces aliments artificiels, cuits, où la proportion des divers minéraux et vitamines est mal équilibrée. La diététique ne doit pas être fondée sur des notions quantitatives, mais sur des notions qualitatives. Un retour à des aliments naturels et crus serait un grand pas dans cette direction.” * Les mucines digestives sont les constituants principaux des mucus tapissants les muqueuses digestives. Ces glycoprotéines forment un réseau protéique aux caractères physico-chimiques bien particulières qui confèrent aux mucus leur propriétés viscoélastiques. Sources : Dr Seignalet : L’alimentation ou la troisième médecine. En hygiénisme, c’est-à-dire lorsque l’on respecte son organisme et que l’on évite de le perturber soit par une hygiène de vie inadéquate soit par une alimentation délétère, nous évitons l’utilisation du sel de mer dans l’alimentation.
Le sel fin blanc de table est toxique, il est transformé et devient un produit chimique aux effets déséquilibrants. Il contient des éléments toxiques comme des sels d’aluminium. Le sel de mer gris est probablement le meilleur de tous comme le sel de Guérande ou le sel de l'himalaya. Toutefois le sel gris de mer non traité est de l’eau de mer déshydratée qui a perdu sa charge électromagnétique et n’est donc pas correctement assimilé par l’organisme. Il est nettement préférable de le remplacer par de l’eau de mer dans les salades, les sauces etc. L’eau de mer est vendue parfois dans les magasins bio et par les boutiques en ligne comme Jurassicfruit (Voir plus bas le code de promotion pour avoir 10% de réduction). Il ne faut pas la faire chauffer, car la chaleur détruit une grande partie des nutriments qu’elle contient. Le sel est une substance irritante pour le tube digestif, le bol alimentaire salé est précipité dans le côlon sans être correctement assimilé, ce qui devient irritant pour les muqueuses. Le sel donne soif également et nous oblige à consommer des liquides au cours des repas, ce qui dilue le bol alimentaire. Le sel est aussi un accélérateur du rythme cardiaque qu’il dérègle et épuise. Il favorise l'hypertension et la rétention d’eau créant ainsi des oedèmes. Il perturbe les échanges hormonaux et les sécrétions et encrasse le milieu extracellulaire. Notre approvisionnement en sel doit se faire par les plantes pour être correctement assimilé. Les fruits et les légumes consommés crus en quantité suffisante nous apportent les sels minéraux, les enzymes, les vitamines et les oligo-éléments indispensables à notre santé. Le céleri branche par exemple est extrêmement riche en sodium. Séché à moins de 40 ° et broyé, il se transforme en sel de céleri naturel et assimilable que l’on peut utiliser comme le sel de table. Dans vos plats chauds, vous pouvez remplacer le sel par des algues séchées à moins de 38°. Dans les crudités vous pouvez réhydrater les algues sèches en les trempant une minute dans de l’eau froide ou tiède puis égouttez les et laissez les gonfler pendant 15 minutes. La boutique en ligne Jurassic fruit propose un choix important de variétés d’algues séchées à moins de 38° ainsi que de l’eau de mer. Avec le code de promotion CURENATURE vous obtenez 10% de réduction sur votre première commande. Comme vous le savez surement, toutes les personnes qui viennent à CureNature bénéficient d’un bilan à résonance magnétique gratuit effectué avec l’appareil Mini Quantum. Force est de constater qu’environ 90 % des personnes qui font ce bilan ont une grande perte de calcium avec des taux parfois inférieurs à 5 fois ceux recommandés par l'OMS. Je peux dire que les ¾ des personnes dans ce cas de figure sont également en acidose avec un pH plus ou moins bas.. Nous savons que pour neutraliser les acides, l’organisme va chercher des minéraux disponibles en premier dans les vaisseaux sanguins, augmentant ainsi les risques de faire un AVC. Puis l’organisme va continuer à chercher des minéraux là où il y en a le plus dans le corps c’est-à-dire dans les os. Ainsi plus on sera en acidose plus forte sera la perte de calcium des os dans le système tampon qui permet au sang de garder un pH toujours stable. Pour environ ¼ des personnes qui ont un pH neutre, comment peut-on expliquer ce manque de calcium, qui je vous le rappelle, a des incidences sur notre densité osseuse, augmentant les risques de rhumatisme; de calcification osseuse, d’ostéoporose et d’hyperostose et a un impact sur la croissance osseuse. Ces personnes ont-elles une alimentation riche en calcium et peu acidifiante ? Si ce n’est pas le cas, elles doivent revoir leur alimentation et éviter les produits les plus acidifiants et favoriser ceux riches en calcium. Vivent-elles ou travaillent-elles en ville et sont donc peu en contact avec la lumière du jour, avec le soleil ? Ce soleil qui, je vous le rappelle, permet de fixer la vitamine D qui elle-même permet de synthétiser le calcium. Si cette perte de calcium continue dans le temps, les risques de fracture des os augmentent de ce fait avec l’âge. C’est pourquoi les personnes âgées ont les os plus fragiles. Les conséquences comme les fractures du col du fémur, douloureuses et handicapantes, ne sont pas rares, et entraînent une opération avec tous les risques qu’elle comporte pour des personnes plus fragiles. Qu’est-ce que le calcium? Le calcium est le constituant minéral le plus abondant chez l'homme : de 1 à 1,2 kilo à l’âge adulte dont 98 % sont situés dans la matrice osseuse. 99% de ce calcium contribue à la formation et à la solidité des os et des dents. Le calcium non osseux, malgré sa faible part (1 %), intervient dans de multiples fonctions indispensables : coagulation sanguine, contraction musculaire, conduction nerveuse, libération d'hormones… Le taux de calcium dans le sang est maintenu dans des limites de valeurs très étroites et ce au détriment des réserves osseuses. Ainsi, l'impact d'un régime n'apportant pas suffisamment de calcium (alimentation carencée), n'est apparent que lorsque surviennent des modifications au niveau de l'os (mauvaise constitution osseuse chez le jeune, décalcification chez l'adulte et la personne âgée). Le calcium sert à former et à solidifier les os et les dents ; à dynamiser la circulation sanguine ; à limiter l'hypertension artérielle ; à éviter les crampes, surtout pendant la grossesse ; à réguler le taux d'insuline et mieux assimiler le sucre ; à diminuer les risques de cancer du côlon. Le corps ne peut pas le synthétiser, il faut donc un apport extérieur indispensable. Il soutient la fréquence cardiaque, la conduction nerveuse, musculaire, la coagulation du sang. Quels sont les apports conseillés en calcium ? À tout âge, l'organisme a besoin d'un apport régulier en calcium. Les besoins sont cependant différents selon les périodes de la vie. Les apports quotidiens conseillés en calcium sont de :
Le calcium est l'un des minéraux essentiels au développement, puis au renforcement, des os et des dents. Les médecins ont pris l’habitude de supplémenter en calcium, généralement en association avec de la vitamine D, les femmes de plus de 50 ans afin de limiter les risques d'ostéoporose. Le calcium est également efficace contre les douleurs prémenstruelles. Que provoque une carence en calcium ?Il faut veiller à consommer régulièrement des aliments riches en calcium. Une carence en calcium peut entraîner : des crises de tétanie ; des fourmillements ; des troubles de l'humeur ; des maux de tête ; des crampes abdominales, associées ou pas à des diarrhées ; un essoufflement.
Dans quels aliments trouver du calcium ?Dans le cadre d'un régime alimentaire équilibré, nous absorbons quotidiennement environ 1000 mg de calcium. L'aliment le plus riche en calcium est ... le wakamé, une algue brune très utilisée dans la cuisine japonaise, en salade ou dans les soupes. Toutes les algues alimentaires sont également riches en calcium. Les végétaux apportent du calcium et il est mieux assimilé que celui du lait. Certains légumes verts contiennent beaucoup de calcium, notamment les épinards, les blettes, le cresson, le persil, le chou. Pour un bon apport quotidien en calcium, il est recommandé d’en manger 400 à 600 g par jour. Les légumineuses, quant à elles, sont aussi particulièrement riches en calcium. Il s'agit par exemple des haricots blancs et des pois chiches. Tous ces aliments sont excellents pour la santé, puisqu'ils contiennent aussi d'autres minéraux comme le magnésium et le potassium. Les graines oléagineuses les plus connues sont les graines de sésame, de pavot, de tournesol, de lin ou encore la graine de courge. Ces graines fournissent une grande quantité d’acides gras insaturés mais également beaucoup de calcium. En effet, 100 g de graines de sésame fournissent environ 950 mg de calcium. De même, châtaignes, amandes, noisettes, pistaches ou encore noix de macadamia en fournissent de 250 à 85 mg (pour 100 g). Très saines, ces graines peuvent être consommées sans risque, d’autant qu’elles apportent également de nombreux autres minéraux, des lipides et des protéines. Quels sont les autres aliments riches en calcium?
Notre organisme recycle les protéines, mais pas en quantité suffisante. Il faut donc en apporter de l’extérieur par l’alimentation. De source animale ou végétale, les protéines sont essentielles à de nombreuses fonctions biologiques comme la récupération et la réparation musculaire. Elles sont constituées d’acide aminés et représentent 15 % de la masse corporelle. Nous n’avons pas tous les mêmes besoins en protéines selon notre âge et notre activité physique. Les enfants en ont un gros besoin pour leur croissance. Pour vous donner un ordre d’idée, un adulte en bonne santé a besoin d’environ 0.83 g/kg/jour. Ce sera un peu plus pour la femme enceinte, les personnes âgées ou pour certains sportifs comme ceux qui font de l’endurance et aussi pour les adeptes de la musculation. En moyenne pour une femme, il faudra 50 g/ jour de protéines et 60 g/jour pour les hommes. Attention, nous parlons ici de quantités de protéines pures. Limitons notre consommation de viande, à la fois pour notre santé, et pour des raisons éthiques afin de réduire la souffrance animale et progressivement supprimer l’élevage de viande et la pisciculture qui n’ont rien de bon autant pour les animaux que pour nous. Sachez aussi que 100 g de poulet maigre contient plus de gras que 100 g de noix ! Voici quelques exemples riches en protéines : 100 g de poulet : 21 g de protéines 100 g de cabillaud : 18 g de protéines 2 œufs : 13 g de protéines. 100 g de quinoa : 13 à 14 g de protéines 100 g de riz : 3,5 g de protéines Les protéines demandent plus de temps pour la digestion, aussi est-il préférable, afin de mieux digérer, de ne pas cumuler plusieurs sortes de protéines dans un même repas.
L’enquête Cambell (le lien ci-dessus), met en avant que trop de protéines est aussi nuisible que trop peu. A savoir aussi que dans nos pays occidentaux, nous sommes plutôt dans l’excès de protéines ! Les personnes végétariennes ou véganes doivent veiller à ce que leur apport en protéines soit suffisant chaque jour. Si vous consommez des protéines végétales, l’association céréales/légumineuses permet un apport des principaux acides aminés essentiels. Pour éviter la consommation de protéines animales ou la réduire, le houmous, le tempeh et le tofu sont de bonnes alternatives. Seuls le quinoa et le soja sont complets en acides aminés essentiels, vous n’êtes donc pas obligés de les associer à des légumineuses. Pour les autres, en apportant dans la même journée des céréales et des légumineuses, vous êtes sûr d’avoir tous les acides aminés essentiels. Attention tout de même au soja. 70 % de la production mondiale de soja serait transgénique ! On le soupçonne également d’être un perturbateur hormonal. Les légumineuses Les protéines des légumineuses sont de qualités. Toutefois, elles n’apportent pas à elles seules tous les acides aminés essentiels. Mais ce n’est pas grave, car il suffit de consommer des produits céréaliers au cours de la journée comme du riz, des flocons de céréales ou encore des oléagineux comme les noix, noisettes, amandes etc. Il est important aussi de savoir que vous n’êtes pas obligé de manger les céréales et les légumineuses au cours du même repas. Il suffit d’en consommer dans la même journée lorsque vous ne mangez pas de protéines animales. On entend par légumineuses, les arachides, les fèves, toutes les sortes de haricots (sauf les haricots verts), toutes les sortes de lentilles, le lupin, la mogette, les pois cassés, les pois chiche et le soja. Les fruits à coque et oléagineux Attention tout de même aux personnes qui sont allergiques aux fruits à coque, ils peuvent mettre leur vie en danger. Ces personnes doivent soigner leurs intestins avant toute chose. Les noix nous apportent des vitamines, des minéraux, des fibres, de bonnes graisses et des protéines. Tout ce qu’il faut pour être en parfaite santé et ne plus avoir faim. Leur consommation régulière permet de prévenir de nombreuses maladies comme l’asthme, le diabète de type 2, le cancer du sein, le risque de maladies cardiaques, les noix réduisent également les risques de calculs biliaires, les risques liés aux lipides sanguins (triglycérides et cholestérol). Il est bon d’en consommer régulièrement en petite quantité et de les mettre à tremper 4 ou 6 heures avant de les consommer pour les réhydrater avec ou sans la coque. Ainsi elles retrouvent leur croquant et sont plus digestes. Elles sont aussi une bonne source de vitamine E. Cette vitamine est antioxydante, anti-inflammatoire et retarde le vieillissement cellulaire. Les fruits à coque sont riches en lipides. Les lipides, tout comme les protéines, développent des molécules de Maillard sous l’effet de la chaleur. Ces molécules étant cancérigènes, il est préférable d’éviter autant que possible de chauffer les protéines et les graisses. Les oléagineux qui se consomment souvent crus, sont malheureusement très fréquemment chauffés, même si nous les achetons en magasins bio. Pourquoi ? Parce qu’ils sont lavés pour être plus présentables sur les étalages ce qui oblige à les sécher sous des machines chauffantes pour éviter les risques de moisissures. Il me paraît important de s'approvisionner chez des producteurs qui ne lavent pas leurs oléagineux, donc n’ont pas besoin de les sécher à chaud, ou de les acheter dans une boutique spécialisée en aliments garantis crus ! Dans cette catégorie nous trouvons, les amandes, les noisettes, les noix de cajou, les noix de Grenoble, les noix de macadamia, les noix de Ginkgo, les noix du Brésil, les noix de kola, les noix de pécan, les pistaches, les pignons de pin, les châtaignes et les glands. Les graines oléagineuses Dans cette catégorie, il y a les graines de courge et de citrouille, les graines de chanvre, les graines de tournesol, les graines de lin, de sésame, de pavot et les graines de chia. Toutes sont riches en oméga 3. Les fruits oléagineux Ce sont les avocats, les olives, la noix de coco et le safou. La boutique en ligne Jurassic Fruit, propose un grand choix de noix, de graines et beaucoup d’autres aliments d’excellente qualité, bio, et garantis non chauffés et vous êtes livré à domicile. Voici le code promo qui vous permet d’obtenir 10% de réduction sur votre première commande : CURENARTURE (en majuscules) La liste des additifs toxiques est trop longue pour la passer en revue, mais on peut étudier leurs incidences sur la santé à travers deux exemples d’additifs couramment utilisés, sans que le consommateur soit conscient, pas plus qu’averti des dangers qu’ils représentent pour sa santé. Avec les additifs les industriels réinventent un goût, une texture, une couleur avec des produits chimiques d’un coût infiniment moins cher que le produit d’origine. Le glutamate. C’est un poison alimentaire présent partout : dans le sel, l’huile, les conserves, les boissons industrielles, le pain, les pâtisseries, les viennoiseries, les vins, les sauces, les plats cuisinés, les surgelés, les produits allégés, les produits laitiers dégraissés, les yaourts, la viande crue des supermarchés, les petits pots pour bébé, les biscuits, les bouillons cubes, les crèmes pâtissières industrielles, les biscuits apéritifs, les farines industrielles, les glaces, les médicaments etc. Cet exhausteur de goût permet de mettre un minimum de matières premières et d’avoir un produit ayant le goût voulu. Il irrite le tube digestif et déclenche une faim mécanique qui pousse le consommateur à continuer à manger. C’est une des causes de la crise d’obésité mondiale actuelle. Le glutamate existe naturellement dans notre corps, c’est un acide aminé faisant fonction de neurotransmetteur, présent dans le cerveau qui a un rôle sur les hormones et les neurones. Mais dans l’alimentation, les industriels utilisent une molécule chimique de synthèse que notre corps ne peut pas reconnaître parce qu’elle lui est étrangère. Les scientifiques ont constaté dès 1969 les dégâts foudroyants dans l’hypothalamus, petite glande du cerveau qui contrôle le système neuro hormonal. Codes et noms chimiques du glutamate : E620 Acide L-glutamique, E621 Monosodium glutamate/Aji-no-moto/Sodium hydrogène L-glutamate/MSG, E622 Mono potassium glutamate/Potassium hydrogène L-glutamate, E623, E624, E625, E627, E631, E635, E636, E637. Source : revue Soignez-vous n°13 janvier 2002 L’aspartame On en trouve également partout : dans les boissons, les confiseries, les plats préparés, tous les produits industriels et beaucoup de consommateurs en rajoutent dans leur café sous forme de sucrettes. Espérer maigrir en prenant de l’aspartame est un leurre, il trompe le cerveau qui en retour, stocke les sucres. De plus, l'aspartame est toxique. Il est responsable de tumeurs cérébrales, a un effet direct sur la chimie du cerveau, tels que la sérotonine, il modifie le comportement, incite les utilisateurs à consommer davantage d’hydrate de carbone… Il serait responsable de migraines, de dépressions, d’apoplexies, de nausées, de spasmes musculaires, d’irritations cutanées, de fatigues, de tachycardies, de prises de poids anormales, d’insomnies, de problèmes de vision et d’audition, de difficultés respiratoires, de douleurs articulaires etc. Attention aux femmes enceintes, car il est aussi abortif. Il peut aussi provoquer des troubles endocriniens et altérer les cycles des menstruations, induisant des maladies congénitales et l’infertilité. Les huiles et graisses Depuis la deuxième guerre mondiale, la fabrication des huiles n’est plus faite à froid mais à chaud pour des raisons de rendement. En chauffant les graines entre 160 et 200°C, on obtient le double de production d’huile. La qualité a disparu : les acides gras poly-insaturés, acide linoléique et linolénique, ou vitamine F, perdent leur structure chimique et deviennent dangereux pour la santé. Ces acides gras TRANS sont particulièrement dangereux pour le cœur, ils sont impliqués dans la survenue de l’infarctus, les accidents vasculaires cérébraux, le cancer, l’épidémie d’obésité et dans l’augmentation de troubles nerveux et maladies mentales. Ces graisses hydrogénées sont utilisées dans la margarine que l’on retrouve dans la restauration rapide, les pâtisseries industrielles, les plats cuisinés tout prêts, les fritures etc. Laits, fromages, yaourts dénaturés, pasteurisés, allégés : danger L’emploi d’hormones de croissance et d’antibiotiques pour des raisons de profit permet à une pauvre vache prisonnière de donner 40 litres de lait au lieu de 12 auparavant. Ce lait est de mauvaise qualité. La vache a une espérance de vie de 5 à 8 ans au lieu de 25, elle est malade avec tous les produits nocifs qu’elle ingurgite ; vaccins, antibiotiques, hormones de croissance, ensilage malsain, engrais dans les prairies, si elle peut aller aux prairies ! Bref son foie est malade comme tout son organisme. Ce lait entraîne des risques de cancer du sein, des ovaires et de la prostate multipliés par 10 ! Ensuite les produits fabriqués à partir de ce lait sont la plupart du temps pasteurisés, c’est à dire chauffés à haute température et donc sans vitalité. La pasteurisation et les autres procédés de longue conservation représentent une liste sans fin de dommages pour le consommateur : Tous les produits pasteurisés et chauffés à haute température rendent leur calcium inorganique qui, s'il est ingéré, va se fixer de manière anarchique dans l’organisme et provoque des calcifications, des calculs etc. La pasteurisation détruit la protéine qui permet de fixer le fer. Elle détruit aussi les enzymes contenus dans le lait cru. Les molécules du lait sont réduites en taille et vont traverser la barrière intestinale ce qui n’est pas normal. Elles vont alors migrer dans le sang et vont coloniser des organes hormonaux dépendants comme la prostate chez l’homme ou les seins, l’utérus et les ovaires chez la femme. Les produits allégés Les produits allégés sont largement vantés comme moyens pour maigrir. Pour garder le caractère onctueux donné par les graisses, les industriels utilisent des carraghénanes (E407), qui ont effet de colle dans l’intestin et qui, de par leurs effets mécaniques, sont soupçonnés de favoriser le déclenchement de cancer du côlon. Les aliments irradiés Depuis plusieurs années, nous observons chez les marchands des fruits et légumes éternellement frais, les fraises, les tomates notamment. Un aliment qui se conserve indéfiniment, ne peut être que mort et un aliment mort au mieux ne nous est pas utile et au pire nous empoisonne. L’irradiation est à la fois utile pour l’industrie nucléaire qui recycle ainsi ses déchets nucléaires et l’industrie agroalimentaire pour éviter les pertes, les problèmes de stockage et de germinations intempestives pour les oignons, les pommes de terre, l’ail etc. Plus de risques tels que salmonelloses, bactéries, parasites, attaques de rongeurs et d’insectes, pas si bêtes, les bêtes ! Dans les tunnels d’irradiation, la technologie employée utilise des isotopes radioactifs, ou déchets nucléaires pour créer une radiation équivalente à une dose de 10 à 70 millions de rayons X. Lorsque l’aliment est bombardé, la radiation amorce une succession complexe de réactions qui fait littéralement exploser la structure moléculaire de l’aliment. On observe alors la formation de radicaux libres qui peuvent réagir avec les aliments pour créer de nouvelles substances chimiques appelées produits radiolytiques. Certains sont connus pour être cancérigènes, tels que le benzène présent dans le bœuf irradié. Peu d’études sont prises en compte sur les dangers de cette nouvelle technologie, mais il faut savoir que sur des échantillons sanguins prélevés après consommation du blé irradié, on a trouvé des cellules anormales. On a d’ailleurs discrètement fait disparaître le mot irradiation par le mot ionisation, terme qui fait moins peur. L’aliment est donc devenu toxique, il a perdu toutes ses vitamines, ses oligoéléments et ses enzymes, son ADN est altéré plus ou moins profondément. On assiste aussi à une oxydation des lipides et surtout des acides poly-insaturés protecteurs du système cardiovasculaire. Les produits génétiquement modifiés Les arguments développés pour nous faire accepter les OGM, Monsanto et autres, voulaient nous convaincre que notre planète et notre alimentation seraient moins polluées, car les OGM nécessitent moins de produits chimiques pour lutter contre les parasites divers. Nous savons que ce qui se passe est exactement le contraire. Les résidus de traitements sont bien supérieurs et plus dangereux qu’en culture conventionnelle. Nous connaissons maintenant les dégâts sur notre santé des hybridations que nous pensions sans conséquence. Nous savons qu’une céréale hybridée contient des molécules que notre métabolisme ne peut reconnaître et donc accepter. C’est le problème avec le blé moderne hybridé qui n’est plus assimilable, qui entraîne une baisse de notre résistance immunitaire avec production de déchets qui encombrent et fatiguent notre organisme au quotidien. Les OGM nous en consommons tous les jours sans le savoir. Si vous mangez de la viande savez-vous que plus de 60% des animaux de boucherie sont élevés aux tourteaux de soja transgénique ? Si vous mangez du poisson, 40% des poissons consommés sont élevés en pisciculture avec des céréales transgéniques. Nous avons connu la crise de la vache folle avec les farines animales, mais cette nouvelle catastrophe annoncée du transgénique ne va-t-elle pas se révéler d’une ampleur à nulle autre pareille ? Nous sommes en droit de nous poser la question mais personne ne nous répond, on nous promet d’attendre d'hypothétiques recherches sur la dangerosité des OGM consommés actuellement. L’oxyde de graphène
Celui-ci ne se trouve pas dans notre alimentation, mais il fait beaucoup parler de lui actuellement. Avec la pandémie du covid 19, l’oxyde de graphène est de plus en plus mis sur la sellette, il se trouve paraît-il dans les masques que l’on nous oblige à porter, dans l’écouvillon du test PCR, dans les vaccins etc. Cet oxyde de graphène nous transformerait en antenne ambulante… à vérifier peut-être car actuellement, nous lisons et entendons tout et n’importe quoi ! Toutefois, un principe de précaution devrait être de mise pour nous consommateurs. Source: La diététique et Beljanski de Dany Toussaint et Monique Beljanski Les personnes qui avaient connu la guerre et ses restrictions alimentaires radicales dans certaines régions, se sont progressivement tournées vers les protéines et notamment les protéines d’origine animale. La politique agricole des années 60 et 70 allait dans ce sens, et les gens se sont mis à consommer de plus en plus de protéines animales.
Dans les années 70 on a décrié les matières grasses qui étaient responsables, pensait-on, des maladies cardio-vasculaires. L’industrie alimentaire s’est emparée de l’affaire pour développer des nouveaux marchés de produits allégés ou 0% de matière grasse. Mais les protéines animales sont toujours accompagnées de matière grasse, même la viande maigre ! Les consommateurs achetaient des produits à faible teneur en matière grasse ou sans MG tout en consommant le double ou le triple de protéines animales, gorgées de graisses, doublant ou triplant ainsi leur consommation de graisses tout en écartant les graisses saines préconisées par les anciennes médecines alternatives telles que l’avocat, la noix de coco, les noix, les graines, les olives… Simultanément ils réduisaient leur taux de glucides et évitaient le sucre en le consommant différemment par le biais de l’alcool par exemple. Pour rappel : Le système médical ignore l’origine de l’inflammation et les raisons pour lesquelles certains régimes l'atténuent. Lorsque la quantité de glucides de piètre qualité augmente dans un régime, les médecins constatent une dégradation de la santé. Le problème réside dans la combinaison du sucre et des graisses qui, une fois réunis, s’affrontent. Mais supprimer les sucres sains n’est pas une solution. La combinaison des sucres et des graisses est omniprésente sur toute la planète ; dans les sauces, les pommes de terre rissolées, les frites, les pizzas, le riz avec de la viande, les sandwiches à la viande etc. parce qu’il y a une association des glucides du pain, des céréales, des pommes de terre etc. qui se décomposent en sucre et les graisses des protéines animales. Cette combinaison est responsable de la résistance à l’insuline, d’un foie stagnant, gras ou stéatosé… Aujourd’hui, les noix, noix de coco, avocats, graines etc. sont mieux acceptés, les gens mangent plus facilement de la volaille que de la viande rouge, et pourtant le poulet contient plus de matière grasse que les noix ! Alors plutôt que de réduire les sucres et manger des pizzas ou des crèmes glacées, il vaut mieux manger des fruits frais et des légumes. Un excellent moyen de séparer les graisses et les sucres est de manger les fruits hors des repas ou de les manger lors d’un repas constitué de légumes feuilles ou de concombre, céleri ou tomates et d’attendre 30 minutes avant de consommer des protéines / graisses. Cela donne au glucose le temps de se disperser. Évitez autant que possible d’associer les graisses à des glucides sains comme les pommes de terre, les céréales sans gluten ou les haricots ou à des glucides nocifs comme le sucre de table. Il est également utile d’éviter l’ajout de matières grasses aux protéines animales lors de la cuisson ou dans les sauces. Conclusion Ne craignez pas les aliments sains comme l’avocat qui contient naturellement du fructose et des matières grasses. Tous les légumes contiennent naturellement des sucres, ils ne posent pas de problème si dans le même repas vous consommez des matières grasses de qualité. Personnellement, le midi je mange volontiers des fruits et des légumes verts. Tandis que le soir, je mange plutôt des légumes et éventuellement une variété de protéines ou des noix ou alors des avocats. Je vous invite aujourd’hui à vous poser une question qui peut paraître anodine mais dont les réponses nous amènent à une introspection salutaire en ce qui concerne notre alimentation :
A quoi correspondent exactement mes repas ? - A une vraie faim de nourriture. - A des habitudes d’horaires. - A un bien-être temporaire dans des journées parfois difficiles. - A une douceur, forme de "récompense" que je m'octroie. - Au besoin d'échanges : invitations, réceptions. - A un changement de cadre et de routine : restaurant, parfois exotique. La réponse est certainement un mélange de tout cela mais tellement imbriqué qu'il nous faut prendre un peu de recul et de temps pour y répondre. Aussi je vous invite à venir faire un stage de jeûne qui en plus de ses bienfaits sur votre santé, vous permettra de vous repositioner face à la nourriture. En effet, lorsque nos repas au lieu d'être notre "carburant santé "deviennent une façon de combler des vides en nous ou autour de nous, ils peuvent rapidement devenir une drogue qui nous empoisonne. D’autant plus que les produits mis à notre disposition sont devenus au fil des années de plus en plus attractifs et addictifs. Lors des stages que j'accompagne, les jeûneurs, coupés de leur quotidien, peuvent prendre le temps de réfléchir et d'échanger les uns avec les autres sur la qualité et la place de nos repas dans la vie courante. Le calme et le repos dans un beau cadre naturel est l’idéal pour repenser notre façon d’alimenter notre corps afin d’être plus heureux et en meilleure santé. C’est cette gageure que je vous invite à gagner. L’alimentation idéale est personnelle pour chacun de nous, toutefois, si nous avons un choix suffisant d’aliments à chaque saison dans la région où nous vivons, notre alimentation variera constamment et sera d’excellente qualité pour peu qu’elle soit produite sur des sols sains sans produit chimique et de façon non intensive. En effet, Le mode de culture est important et déterminant pour la qualité nutritive et gustative des végétaux.
Ces mêmes végétaux doivent constituer 80 % au moins de notre alimentation, d’après les recherches qui ont été faites dans ce domaine. Ils comprennent les fruits frais, à coque, gras, les légumes verts, racines et à feuilles, les graines germées de toutes les sortes, les produits lacto-fermentés, le quinoa, le sarrasin et les légumineuses. Les 20 % restants peuvent être des produits marins, des poissons, des viandes et des œufs. Lorsque nous ressentons des symptômes du système digestif, il est évident que notre alimentation comporte des produits qui ne nous conviennent pas. Les inconforts dans la digestion, la constipation, les ballonnements, les gaz, l’auto-intoxication etc. sont des signes de dysfonctionnement du système digestif. La nourriture idéale est celle de notre région en suivant les saisons. La sève de bouleau En ce printemps dans les Pyrénées Orientales ou je vis, nous avons la chance d’avoir dès le mois de mars de la sève de bouleau toute fraîche. C’est l’occasion idéale pour faire une cure. Elle est récoltée lors de la montée de la sève et avant l’éclosion des bourgeons sur des arbres dont le tronc fait plus de 40 cm de diamètre. Le prélèvement se fait une année sur deux pour ne pas épuiser l’arbre et on récolte environ 80 litres par arbre et par saison sur les 5000 litres que représente la montée de la sève. L’arbre ne subit aucun dommage, car le trou est refermé après récolte avec une cheville en bois de bouleau. La sève de bouleau est un puissant dépuratif naturel. Elle permet de désencrasser l’organisme notamment des toxines issues de l’alimentation. Elle accompagne le travail des organes comme le foie, les reins, les intestins. Elle est conseillée en cas de calculs rénaux. Elle est réputée pour redonner de l’éclat à la peau après l’hiver. Idéalement elle se fait en cure de 21 jours à raison d’un verre à jeun. Mais il est possible d’accentuer la cure en consommant plus de sève de bouleau si nous pratiquons le jeûne intermittent ou en faisant une diète à l’eau de bouleau pendant quelques jours. Les fruits et légumes du printemps Les premières asperges apparaissent chez nos producteurs bio, les petites vertes sont tendres, juteuses et délicieuses crues. Les jeunes feuilles d’épinard, le cresson, les orties, les chardons Marie, la mauve, la consoude, etc. Bientôt les premières fraises et les kumquats arriveront à maturité. Comme vous le remarquez chaque année, les fruits du printemps sont peu nombreux; Les oranges merveilleuses et les pamplemousses arrivent sur la fin, les kiwis se conservent assez longtemps, les clémentines sont finies. Ce n’est pas un hasard car notre organisme a besoin de se nettoyer et les fruits ne font pas partie du nettoyage. Les légumes verts en revanche seront parfaits en jus frais, à la croque ou en salade. C’est aussi le moment de faire une cure de jeûne de quelques jours. Belle régénération Manger est un acte souvent banalisé à tort. Il est important de s’abstenir de manger si nous sommes pressés, stressés, en colère ou sous l’effet d’un choc ou d’une contrariété. Il est recommandé de pratiquer la respiration appelée cohérence cardiaque en cas de stress, voir le site: La cohérence cardiaque se pratique pendant 5 minutes 3 fois par jour. Le matin avant de commencer sa journée, est la séance la plus importante, la seconde environ 4 heures plus tard puis la 3ème à nouveau 4 heures plus tard. Mais on peut la pratiquer avant chaque repas, si nous voyons que c’est bénéfique, avant de se coucher aussi pour un meilleur endormissement etc.
Nous devrions, si nous en avons la possibilité, consacrer 1 heure ou plus à chacun de nos repas afin de manger en conscience et de bien mastiquer. Il faut un minimum de 20 minutes à notre cerveau pour transmettre l’information que nous sommes rassasiés. Manger en conscience c’est être conscient de chaque bouchée qui entre dans notre bouche, être conscient que l’on mâche longtemps et que cette bouchée est devenue liquide quand elle descend dans l'œsophage. Mâcher correctement facilite la digestion par la prédigestion qui commence dans la bouche avec les enzymes salivaires. C’est aussi une façon de lutter contre des bactéries pathogènes. En réduisant chaque bouchée à l’état de bouillie, nous facilitons le travail de notre estomac. L’acide chlorhydrique de notre estomac est bactéricide et fongicide, il décontamine ainsi les aliments que nous ingérons et permet par son action l'absorption du calcium, du magnésium, du fer et du zinc. A travers l’iridologie, je constate chaque semaine qu’un grand nombre de personnes ont le cercle de malabsorption autour de l’iris et lorsque je leur demande s’ils mangent rapidement sans trop mâcher, à chaque fois les personnes acquiescent! N’oublions pas que nous mangeons pour nourrir nos cellules, si une partie de ce que nous mangeons ne les atteignent pas, nous fatiguons notre système digestif pour rien, hors il demande beaucoup d’énergie à notre organisme pour faire son travail. Inévitablement, nous manquons d’énergie pour autre chose. Les aliments non assimilés arrivent dans les intestins encore en morceaux et fermentent et putréfient. Ce n’est pas étonnant dans ces conditions d’avoir des gaz et ballonnements ainsi que des parasites intestinaux! Il en survient également un déséquilibre minéral et vitaminique puisque notre microbiote intestinal ne peut plus faire son travail correctement. Comment faire germer des graines très facilement Le plus simple et le plus rapide est de se procurer un germoir bocal avec un couvercle à trous muni d’une languette pour maintenir le bocal penché et éviter ainsi l’eau de stagner dans les graines. (Comme sur la photo) Il y a des dizaines de variétés de graines à germer en magasin bio ou sur la boutique en ligne Biovie (voir site et code promo sur le site). Évitez dans un premier temps les graines mucilagineuses. Les graines doivent être mises à tremper entre 4 et 8 heures en moyenne. Plus vos graines sont petites, plus le temps de trempage est court. Souvent ce temps de trempage est indiqué sur l’emballage. Pendant le trempage et jusqu’à ce que le germe soit sorti, laissez-les dans un endroit sombre de votre cuisine ou placez un torchon par-dessus. Une fois le germe sorti, vous pourrez placer le bocal dans un endroit plus lumineux mais jamais en contact direct avec les rayons solaires. Attention elles prennent rapidement du volume, commencez en plaçant juste 1 ou 2 cuillères à soupe de graines dans votre bocal pour le trempage. La phase de trempage terminée, videz l’eau par les trous du couvercle et remettez de l’eau pour les rincer. Recommencez le rinçage 2 ou 3 fois pour éliminer les enzymes qui protégeaient la graine afin qu’elle ne germe pas n’importe quand. Une fois la dernière eau de trempage éliminée, placez votre bocal incliné sur son pied proche d’une fenêtre. Chaque jour, rincez à nouveau vos graines et égouttez-les. Selon les variétés, vous pouvez commencer à les consommer entre 1 et 8 jours. Lorsque les germes sont assez grands, gardez votre bocal au réfrigérateur pour les stabiliser. Ainsi chaque jour vous pouvez en prélever pour les consommer avec vos crudités. Vous pouvez facilement consommer la valeur d’une tasse de graines germées par repas. Vous pouvez également faire un roulement en possédant comme moi, 3 bocaux à germer. Ainsi je peux faire 3 variétés différentes et les décaler dans le temps pour en avoir toujours de prêtes sous la main et ne pas me lasser. Il existe des paquets de graines à germer avec plusieurs variétés mélangées, c’est aussi très bien. Que l’on fasse germer des graines pour les manger ou pour faire des semis pour votre potager J’ai déjà écris des articles pour la germination des graines à consommer en crudités ou en jus que vous pouvez revisiter : Mais ici je vais vous parler plus en détails de la lumière ou au contraire de l’obscurité qu’il faut apporter à vos graines lorsque vous les faites germer ou au contraire de l’obscurité.
Il y a des graines très exigeantes en la matière : certaines ont impérativement besoin de lumière alors que d'autres ne commencent à se développer que dans le noir le plus complet. Entre ces deux extrêmes, il existe toutes sortes de variantes : la lumière peut accélérer la germination, la freiner ou ... n'avoir aucune influence sur cette étape de la vie d'une plante. Les petites graines préfèrent la lumière en règle générale Il y a à cela une explication : lors de la germination, les réserves des petites graines sont vite épuisées, elles doivent rapidement se débrouiller toutes seules en faisant de la photosynthèse et elles n'ont ni la force ni le temps de produire un long jet à travers plusieurs centimètres de terre. Seules les graines peu ou pas enterrées, qui reçoivent de la lumière, ont une chance de survivre. Cela dit, il y a des exceptions. Dans la production de graines germées à consommer, je vous conseille de les laisser dans un endroit sombre de votre cuisine au départ, puis lorsque les germes commencent à sortir de les approcher de la fenêtre pour leur donner plus de lumière. Pour les semis des graines dont la germination nécessite de la lumière, ou est favorisée par la lumière, il faut simplement les presser contre le substrat humide. On peut aussi vaporiser un peu d'eau dessus pour favoriser l'adhésion. Attention, même si elles ont besoin de lumière, la plupart des graines ne supportent pas les rayons solaires directs. Quant aux autres, tout le monde sait ça, on conseille généralement de les enterrer à une profondeur égale à 3 fois leur épaisseur. Dans les cas extrêmes, quand la lumière inhibe la germination, on peut déposer sur le semis une couverture opaque quelconque (et surveiller de temps en temps car bien sûr, une fois germées, toutes les jeunes pousses ont besoin de lumière !) Pour l’orge dont le grain est assez gros, je les laisse germer dans un coin obscur de ma cuisine, puis lorsque les germes sont bien sortis, je les dépose sur la terre humidifiée de mes bacs préparés à l’avance. Je pose à plat une planche de bois sur les graines et les presse pour que les racines adhèrent bien à la terre humide. Je place mes bacs ainsi réalisés sur des étagères dans les endroits les plus obscurs de ma cuisine enfin je pulvérise d’eau matin et soir. Lorsque les jeunes poussent atteignent environ 5 cm, soit au bout de 3 ou 4 jours selon la température, je les mets devant la fenêtre pour qu’elles verdissent et poussent plus vite. Besoins en lumière pour la germination des légumes et des herbes aromatiques Celles qui ont besoin de lumière pour germer: Aneth, arroche, carotte, céleri, laitue, physalis, sarriette. Celles qui préfèrent l’obscurité: Aubergine, basilic, concombre, toutes les sortes de choux, melon, persil, piment, potiron, tomate. Les graines indifférentes à la présence ou à l'absence de lumière: Chia, maïs doux, oignons et pois. Je n’ai pas trouvé d’indication pour les autres graines, le mieux est de faire des essais par soi-même et voir ce qui leur convient le mieux. N’hésitez pas à me faire part de vos expériences que je vous souhaite fructueuses. Source: https://www.quatremoineaux.be/2018/11/germination-semis-besoins-graines-lumiere-obscurite.html Nous entendons actuellement beaucoup parler des violences faites aux enfants et aux femmes, en effet, les violences conjugales ont augmenté d’environ 30 % avec le confinement.
Le gouvernement met en place des numéros d'appel pour les personnes en détresse, il fait des campagnes d'information pour que les suspicions puissent être entendues et contrôlées. Les pharmaciens ont été mis à contribution également. Des associations d'aide aux personnes victimes de violences apportent une écoute, des conseils et parfois même un toit provisoirement. Toutes ces actions sont extraordinaires mais elles sont symptomatiques. Quelle est la base du problème? Tant que l'on ne recherchera pas à comprendre où ces problèmes prennent leur source, tant que l'on n'aura pas apporté des solutions concrètes à la base, nous arriverons malheureusement fréquemment à ces situations dramatiques qui marquent une vie et celle de la famille entière à tout jamais. On sait combien les 3 premières années d'un enfant sont déterminantes tant pour sa santé physique que pour sa santé morale et psychique. Le lien d'amour qui devrait toujours exister dans la fratrie, mais particulièrement entre le père, la mère et le jeune enfant me paraît être l'élément principal pour une bonne construction psychique de l'être en devenir, tout comme une alimentation physiologique est indispensable pour la construction d'une bonne santé physique. Un climat paisible, loin du bruit, de la pollution, un contact régulier avec la nature, des parents équilibrés et sains apportent le principal de ce dont un jeune enfant à besoin pour se développer harmonieusement. Il n'y a pas de diplôme pour pouvoir être parents et pourtant, c'est un rôle qu'il faut préparer à tous les niveaux, un rôle pleinement accepté. Le rôle de l'alimentation Une alimentation délétère perturbe le système nerveux des enfants et des adultes. Le gluten, le lait et tous les produits laitiers sont incriminés en premier lieu. C’est le Docteur Seignalet qui l’a mis en évidence en faisant des expériences sur des schizophrènes. Il avait supprimé de leur alimentation dès les années 1985 le lait et ses dérivés ainsi que le gluten. Pour le reste, rien n’avait changé, et les résultats ont été spectaculaires. C’est ainsi qu’il a mis en évidence le lien entre les intestins, le cerveau et le système nerveux. Depuis d’autres spécialistes ont repris les travaux du Dr Seignalet et préconise en premier lieu la suppression totale du gluten et des produits laitiers à tous les enfants allergiques, ceux souffrant d'intolérances alimentaires, les enfants hyperactifs, ceux présentant des troubles du spectre autistique etc. La méthode Seignalet“Le régime Seignalet est totalement équilibré et ne comporte aucun danger. Il prône une alimentation diversifiée et la plus proche possible de celle de nos ancêtres cueilleurs-chasseurs. C'est pourquoi on le nomme parfois régime ancestral. La méthode de Jean Seignalet tient aussi compte de la forme moléculaire des aliments, de leur qualité, et pas seulement de leur quantité comme dans la diététique classique. Les aliments que nous consommons ont subi de nombreuses transformations moléculaires. Certains de ces aliments, classiquement considérés comme "sains", sont devenus totalement indigestes pour certains d'entre nous, en particulier: De nombreuses céréales (dont le blé et le maïs)- Les laitages animaux (sous toutes leurs formes) - et les cuissons excessives (en particulier des graisses et des protéines animales). La méthode est donc "sans gluten et sans caséine" et préconise du frais, du cru, et des cuissons douces. Elle est totalement diversifiée et équilibrée. On la qualifie aussi de " hypotoxique", car elle exclut des aliments "toxiques" à long terme pour certains. Ce qui fait le succès de cette méthode , c'est son efficacité. Les résultats de la méthode se font sentir sur les petits maux mais aussi sur de nombreuses maladies chroniques. Le délai d'action varie de 1 mois à 1 an, mais la plupart des gens ressentent des effets rapidement. Par exemple, ils digèrent mieux, se réveillent reposés, et ont un meilleur moral. Pour ceux qui ont beaucoup de toxines accumulées, une période temporaire d'aggravation des symptômes correspond à une phase d'élimination de ces toxines. Quand cette élimination est terminée, les bénéfices de la méthode sont ressentis.” https://www.seignalet.fr/fr/le-regime-seignalet/comprendre-le-regime/la-methode-seignalet.html En conclusion Je dirai que si nous avions tous dès notre naissance, une alimentation physiologique : lait maternel jusqu'à 2 ans au moins et une alimentation diversifiée constituée de fruits et de légumes essentiellement. Un environnement naturel et sain, proche de la nature, un soutien d’amour de nos parents et de toute la fratrie, les cas de troubles psys. seraient exceptionnels et accidentels. La violence n’existerait quasiment plus et les besoins de pouvoirs, de domination, de guerres, de terrorisme, de fanatisme etc. qui entraînent la violence et les frustrations seraient presque inexistants. Sur ce thème, en mars 2021 sortira une formation numérique sur L’alimentation physiologique du nourrisson et du jeune enfants. Vous aurez les indications d’achat sur le site Curenature.fr J'en parle au sujet des enfants dans la formation qui va être publiée en mars 2021 sur L"alimentation physiologique du nourrisson et du jeune enfants, mais pour nous adulte c'est la même chose. La différence c'est que les déchets qui n'ont pas pu sortir lorsqu'on faisait une maladie infantile ou un rhume, une otite ou une maladie ORL ou si l'on a arrêté les symptômes par des médicaments, se sont enfuis un peu plus profondément dans nos organismes, ralentissant leur fonctionnement, voir même bloquant des organes ou encore pire avec le temps et les accumulations, ont créé des maladies auto-immunes et de dégénération...
J'ai une question à vous poser : Consommez-vous de façon régulière ou avez-vous consommé par le passé de façon régulière un ou plusieurs des aliments suivants ? Liste 1 – pain – céréales avec ou sans gluten – lait – fromages ou sous-produits laitiers – pizzas – biscuits et gâteaux – féculents – légumineuses cuites Ou encore : Liste 2 – de la viande – du poisson ou des crustacés – du fromage – du sucre industriel – de l'alcool – des drogues – des médicaments – des excitants comme thé, café, chocolat etc. Si vous répondez OUI pour des choses qui sont dans la liste 1 alors vous avez des déchets qui se sont accumulés dans votre organisme pour former les glaires, du mucus, bref des viscosités qui l'encombrent. C'est ce que l'on appelle les déchets colloïdaux qui vient de COLLE. Si vous répondez OUI pour des choses qui sont dans la liste 2, vous avez des déchets de type acides ou cristalloïdaux qui se sont accumulés. Si vous avez dit OUI pour des choses des 2 listes alors vous avez des déchets des deux types dans votre organisme. Rassurez-vous c'est le cas de nous tous, mais certaines personnes se retrouvent davantage dans l'une ou l'autre catégorie. Nous reconnaissons les colloïdaux à : – ils ont besoin de beaucoup de temps pour prendre une décision – ils ont du mal à saisir les opportunités qui se présentent – ils disent plus facilement non que oui – ils sont plutôt stables, fidèles et perfectionnistes - ils sont plus refermés boudeurs et rancuniers – ils sont plus en retard qu'en avance Alors que les cristalloïdaux ont plutôt : – tendance à s'emballer et être colérique – tendance à être à l'affût d'idées nouvelles – à saisir rapidement les opportunités – tendance à entreprendre des réalisations sans les terminer – tendance à être en avance plus qu'en retard La devise des cristalloïdaux étant d'aller toujours plus vite et celle des colloïdaux d'avoir et de prendre le temps. Mais nous sommes souvent les deux à la fois avec une tendance plus marquée pour l'un ou pour l'autre. Les excès de cristaux font les douleurs : otites, rhumatismes et douleurs articulaires, hernie discale, calculs rénaux ou biliaires, névralgies, névrites ou sciatiques, tendinites, tennis Elbow, crampes de l'écrivain, arthrose, arthrite etc... Alors que pour les expulser, le corps les fera passer de l'état solide à l'état liquide pour les conduire vers l'urine ou la transpiration. C'est ce passage qui révèle leur nature acide, ils brûleront nos émergences nerveuses et créeront la douleur, toutes les douleurs que nous connaissons. S'ils s'infiltrent dans les tissus osseux, ils prépareront une ostéoporose, des becs de perroquet ou autres déformations. Ces cristaux peuvent aussi détruire les minéraux de nos dents et provoquer des caries dentaires. S'ils se déposent dans les yeux = uvéites, conjonctivites ou orgelets, s'ils saturent nos liquides oculaires ils affaiblissent la vue. Conduit auditif = otites Chevaux cassants, pauvres et secs, jusqu'à brûler leurs racines = calvitie Ongles rongés, cassants ou triés Peau = démangeaisons, rougeurs, urticaire ou brûlures, de l'eczéma, herpes, psoriasis, zonas, crevasses ou vitiligo Muqueuses digestives = aigreurs et brûlures d'estomac, prémices d'ulcère, fistules anales... Pancréas = pancréatite Système cérébral et nerveux = maladies psychiques et mentales Rappelons que ces cristaux sont indolores à l'état solide où ils se contentent d'user, de détériorer et de pétrifier les tissus et organes avec lesquels ils sont en contact. Alors que l'excès de déchets colloïdaux, ces résidus visqueux peuvent entraîner une hypothyroïdie s'ils se déposent sur la thyroïde, ou alors forment des nodules ou tumeur, ou bien encore un goitre. Dans un corps féminin, ils peuvent aussi se déposer sur les voies génitales et provoquent des pertes visqueuses appelées pertes blanches. Mais peuvent aussi entraîner des problèmes de frigidité, d'impuissance et de stérilité, des fibromes. Sur la peau, les croûtes de lait des bébés, ou eczémas, acné, verrues, petites tumeurs ou lipomes. Ou encore dans nos alvéoles respiratoires provoquent les ronflements sonores. Sur nos cordes vocales, voilent, cassent ou éteint notre voix. Dans nos yeux provoquant la cataracte ou l'hémogliase. Dans l'oreille interne, provoquant la surdité de nos vieux jours, quand les résidus cristalloïdaux s'y sont mêlés. Les glaires encore qui ralentissent la circulation sanguine, dilatant les vaisseaux feront les jambes lourdes, les varices, les hémorroïdes, l'hypertension, l'insuffisance coronarienne ou une artérite ou encore des thromboses. Si elles envahissent notre foie, provoquant des crises de foie, des hépatites A. B. C. ou D. , ralentissent le débit de notre vésicule biliaire, provoquant de la constipation... Encore les glaires qui en se déposant sur le pancréas, ralentissent son travail et provoquent l'hyperglycémie qui évoluera en diabète de type 2... Ces collantes viscosités iront-elles jusqu'à bloquer certaines de nos connections ? Provoquant idées fixes ou obsessionnels. Passeront-elles dans la lymphe, entraînant timidité, tristesse et angoisses . Ce n'est qu'un tout petit aperçu des désastreuses conséquence que peuvent avoir ces colles sur notre santé. Ou pire si elles ne peuvent sortir par une de ces voies, elles pourront encore colmater les voies rénales, pas du tout prévues pour cela. Ainsi nos reins seront incapables d'éliminer les résidus acides dans nos urines qui deviendront alors pâles comme de l'eau, au lieu d'avoir une belle couleur jaune d'or qui faisait dire aux anciens : « pipi jaune, pipi en or » Si les urines sont pâles c'est qu'elles ne contiennent pas les résidus acides qu'elles avaient pour mission d'éliminer. Ces résidus arrivent par le sang veineux jusqu'aux reins chargés de les filtrer et de les éliminer à travers nos urines. Si les reins ne sont plus en capacité de le faire, car encombrés par les viscosités ils doivent les renvoyer dans la circulation artérielle où entre autre méfaits, ils oxyderont le sang et détruiront le fer, indispensable à la fabrication des globules rouges. Ce qui fera de l'anémie, de la leucémie ou cancer du sang. Etc... Bon j'arrête là ce tableau désespérant, car si vous me lisez c'est que vous avez conscience que vous pouvez faire quelque chose et même que vous êtes en train de prendre conscience que c'est à vous de prendre les choses en mains pour vous et votre famille. Que devez-vous faire pour commencer? 1 – Arrêtez d'en rajouter avec l'alimentation, la cigarette, les excitants etc. 2 - reposez-vous et respirez 3 – changez votre alimentation 4 – favorisez les éliminations 5 – changez votre hygiène de vie et rapprochez-vous de la nature Que doit-on manger ? Les meilleurs aliments sont ceux pour lesquels notre génétique est programmée, c'est à dire du temps ou l'homme était cueilleur et qu'il mangeait des fruits et des légumes tel que la nature nous les offre, sans la moindre transformation. Et boire de l'eau pure. Les jeunes pousses, les graines germées, les noix diverses. Et la meilleure nourriture pour le nourrisson est le lait de sa mère et quelques mois après sa naissance, des fruits, des légumes crus. |
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