Le brossage de la peau, une routine indispensable pour notre santéNotre santéPour être en bonne santé, il faut commencer par un nettoyage approfondi. Un organisme chargé de toxine ne peut fonctionner correctement. Une alimentation hypotoxique et le jeûne régulier sont des objectifs sérieux pour prendre sa santé en main. La peau est un baromètre tout comme les cheveux, les ongles, de notre santé intérieure. La peau est le plus grand organe de notre corps et il fonctionne dans les deux sens, c’est-à-dire qu’il absorbe ce qui vient de l’extérieur et il élimine vers l’extérieur. Les japonais, les Suédois et beaucoup d’autres peuples pratiquent le brossage corporel depuis des siècles. Accompagné d’une alimentation équilibrée et la pratique du jeûne, il constitue l’un des procédés de médecine préventive, de beauté et de rajeunissement les plus efficaces. C’est un soin gratuit que chacun peut appliquer où qu’il soit. Faites l’expérience et vous ne pourrez plus vous en passer tellement la sensation de propreté et de réveil corporel est agréable le matin avant de commencer sa journée d’activité. Mais vous pouvez aussi vous brosser le soir avant d’aller au lit. C’est un rituel rapide et facile d’exfoliation. Se brosser à sec aide à nettoyer les coudes et les phalanges grisâtres, les genoux et talons rugueux, les cuticules desséchées, les jambes calleuses et la peau qui pèle. Il élimine les cellules mortes et fait la peau douce. Quelques jours de brossage à sec régulier suffisent à donner des résultats spectaculaires. Les effets du brossage à sec de la peauSe brosser le corps est revigorant et énergétique. Le brossage renforce les défenses immunitaires. Les pores de la peau s’ouvrent et respirent, les ongles deviennent plus durs. Avec l’âge, les cellules cutanées se dégradent à cause de la baisse du métabolisme, le brossage stimule les cellules et nettoie le système lymphatique car ce système de drainage permet l'évacuation des déchets tissulaires. Le brossage à sec stimule l’expulsion des toxines logées à la surface de la peau et leur évacuation. Un tiers de tous les déchets de l’organisme est éliminé par l’épiderme via les glandes sudoripares, (environ 400 g par jour en moyenne). De plus, toucher son corps stimule la production de substances cérébrales qui nourrissent notre sang, nos tissus musculaires, nos cellules nerveuses, nos glandes, nos hormones et nos organes vitaux. Sans ce contact physique stimulant la sécrétion desdites substances, nous pouvons ressentir un manque aussi grave que celui de nourriture. Répercussion du brossage de la peau sur le plan émotionnelBeaucoup de personnes, hommes ou femmes, vivent en mode de “survie” et pensent : Si je perdais du poids, si j’étais moins stressé, si je dormais mieux etc. Elles se contentent de vivre, jour après jour, et non de manière créative comme elles l'avaient rêvé. Commencez par prendre soin de votre corps, et beaucoup de choses changeront. Un brossage aide à créer un nouveau type de soin, prendre de nouvelles habitudes, à avoir plus de tonus, à devenir conscient de son corps. Plus encore, il s’agit d’un traitement thérapeutique. La peau est un organe émotionnel qui garde, dans chacune de ses cellules, la mémoire des traumatismes. Chaque cellule retient les faits, ressent des joies et des peines et réagit selon nos humeurs. Le docteur américain Christiane Northup, devenue très célèbre par ses recherches sur le sujet, explique que grâce aux massages, par exemple, les cellules peuvent se débarrasser de certaines blessures. Les bains et le brossage, eux aussi, aident donc à guérir. Commencez votre journée par une séance de brossage et retirez-en un bénéfice pour votre coeur et votre esprit. Emportez votre brosse où que vous alliez. Comment procéder au brossageChaque jour, brossez-vous entièrement le corps avec une brosse à long manche pour faire le dos pourvu de poils naturels, pendant 5 minutes avant votre douche. Le matin, le brossage aura l’effet d’un réveil corporel, le soir avant de vous coucher, vous sentirez une merveilleuse sensation de petits picotements et vous vous endormirez immédiatement. Vous aurez brossé toute la fatigue et les problèmes de votre journée. Commencez par les orteils en insistant sur les ongles, puis les pieds, les talons, les chevilles, les mollets, les genoux, les cuisses, les fessiers, l’estomac, la poitrine, les côtes, les aisselles, l’arrière des bras, les épaules, les doigts, (surtout les cuticules) et les mains. Puis le cuir chevelu, et pour le cou, les oreilles et le visage prenez une petite brosse plus douce. Terminer en descendant vers le cœur par mouvement circulaires en passant sur les bras et le dos avec la brosse à long manche. Nous verrons dans un prochain article les choses à mettre ou à éviter sur la peau. Source : L’art de la simplicité de Dominique Loreau
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Les 5 tibétainsD'où nous vient cette pratique ?“Le secret des 5 Tibétains nous vient tout droit des monastères de l’Himalaya, où les moines tibétains conservent cette pratique secrète durant de nombreuses décennies. C’est Peter Kelder qui découvre ce rite et qui en apporte sa connaissance au monde occidental au travers de son livre Les 5 tibétains : Secrets de jeunesse et de vitalité. En quoi consiste les 5 tibétains ?La pratique des cinq Tibétains consiste à enchaîner une série de 5 exercices de Yoga dans un ordre bien précis et de manière répétitive (entre 3 et 21 fois). Si l’auteur affirme que les postures concernées nous apportent jeunesse et énergie vitale, c’est pour de bonnes raisons.” Nous savons que notre corps possède 7 centres d’énergie, appelés Chakra, reliés directement aux glandes endocrines. Ce sont les hormones sécrétées par ces glandes qui régulent nos fonctions corporelles et qui maintiennent également le bon équilibre de notre organisme. Un déséquilibre de ces glandes hormonales entraînerait un dérèglement inévitable de notre santé. Parallèlement et de manière tout à fait naturelle, avec l’âge, le niveau d’énergie de nos chakras est moins important. Il en va de même pour nos cellules et nos organes qui perdent peu à peu leur vitalité, c’est tout simplement le cours naturel des choses.” Les 5 tibétains et le séjour vitalité à Cure NatureVoilà donc les raisons qui nous amènent, à CureNature, à proposer la gymnastique sensorielle, le yoga et les 5 tibétains lors du séjour vitalité de 2 ou 3 semaines chaque année. Il est important de remettre en mouvement notre corps, rééquilibrer nos chakras, assouplir nos articulations, étirer nos muscles et travailler sur les fascias. C’est ainsi le moyen de lutter contre le processus de vieillissement. Les 5 tibétains en particulier, sont considérés comme une véritable fontaine de jouvence, c’est une excellente pratique à intégrer dans votre quotidien, pour conserver votre vitalité et mieux faire circuler l’énergie dans votre corps. “Les bienfaits des 5 Tibétains sont nombreux. Ce rite permet entre autres :
Pratiquez les 5 tibétains 10 à 20 minutes chaque jourSur le net, vous trouvez des tutos pour pratiquer les 5 exercices. Toutefois il est préférable, au début, de commencer avec un professionnel. C’est ce que nous vous proposons durant le séjour vitalité en alternance avec le yoga et la gymnastique sensorielle. Si vous avez envie de vous essayer aux cinq Tibétains, alors je vous conseille de les pratiquer au moins 30 jours consécutifs, pour en ressentir pleinement les effets. Votre pratique quotidienne peut avoir lieu le matin, ou à n’importe quel moment de la journée où vous êtes disponible. L’important est de bien respecter l’ordre des différents exercices qui se complètent. Chaque enchaînement doit être répété entre 3 et 21 fois. Commencez par 3 fois, puis augmentez petit à petit le nombre d’enchaînements. N’oubliez pas de porter une attention particulière à votre respiration, qui est essentielle durant votre pratique comme vous le faites pendant une séance de yoga. Les 5 tibétains conviennent bien aux personnes qui trouvent que le yoga n’est pas assez dynamique pour eux. Le premier exercice est appelé le Derviche, le second, le levé de jambe, le troisième l’Arc ou le chameau, le quatrième, le Pont ou la Table et le cinquième le Chien Les avantages des 5 tibétains, c’est que l’on a pas besoin d’y consacrer 1 heure par jour, 10 à 20 minutes quotidiennes suffisent pour rayonner de santé, de pleine forme. Pour booster son énergie et avoir un corps souple et fort. Les 5 tibétains sont une pratique de santé et de longévité. Source : https://yoga-line.fr/rituel-5-tibetains/ L’hyperactivité et l’hyperstimulation chez l’adulte, le syndrôme d’épuisement et les risques de burnout6 jours actifs et 1 jour de repos...L'hyperactivité : "C'est un besoin de bouger sans cesse, de parler beaucoup ou de faire des bruits". L’hyperstimulation : C’est le fait de faire plusieurs choses à la fois ou d’être sollicité par plusieurs sources en même temps, comme les réseaux sociaux, les médias, la publicité etc. L’hyperactivité chez l’adulte est un trouble aujourd’hui encore sous-diagnostiqué. Moins visible que chez les enfants, il est pourtant bien présent et les symptômes d’inattention, d’hyperactivité et d’impulsivité retentissent sur le quotidien de ceux qui en souffrent. C’est un trouble trop souvent laissé de côté, et maîtrisé par des comportements adaptatifs qui fatiguent à terme le corps et le cerveau. Je vais juste vous parler de la tendance à l’hyperactivité et l’hyperstimulation que je rencontre parfois chez certaines personnes qui viennent faire une cure de jeûne ou de jus à Cure Nature. Je constate que pour certaines ou certains, rester au repos le matin est juste impossible, ils ont besoin de sortir, de bouger, ne tiennent pas en place ou lorsqu’ils font un effort pour ne pas sortir , lisent, travaillent sur leur ordinateur, sont sur leur téléphone etc. C’est effectivement rare aujourd’hui de rester totalement au repos, même une matinée de temps en temps, dans le noir, allongé, en dormant ou pas, et sans rien faire ! Pourtant, lorsqu’on donne à notre organisme la possibilité de se nettoyer et de se régénérer par lui-même sans intervenir afin de laisser l’organisme faire son travail, il est important d’économiser son énergie pour que l’organisme, lui, puisse faire le maximum de ce qu’il a besoin de faire. Il n’y a pas à culpabiliser de s’offrir un temps de repos idéalement un jour par semaine, et faire une cure de jeûne 1 ou 2 fois par an. Bien au contraire. Nos cellules travaillent bien 6 jours par semaine et ont besoin d’un 7ème jour de repos que l’on consacre à la spiritualité et au bien-être. C’est ce qu’à mis en évidence Laurence Dejardin, amie de Thierry Casasnovas et médecin généraliste dans sa thèse sur la fatigue chronique intitulée : Actualité médicale de la loi de Moïse à travers l’étude du Syndrome d'Épuisement Quelques extraits très instructifs de cette thèse concernant la fatigue chronique“Il est communément admis qu’à notre époque, les stimulis sont trop nombreux et trop intenses, les demandes faites à l’organisme trop exigeantes. La vitesse, la compétition, l’environnement dénaturé et l’excès de stimulations psychiques (informations médiatiques et communications téléphoniques) sont des agents stressants. » A l’instar de la journaliste Martine Laronche qui observe dans un article du Monde de septembre 2010, que « les nouvelles technologies, censées libérer du temps, contribuent à cet emballement du rythme de vie ». Les recherches faites chez l’humain mettent justement en évidence des rythmes de sept jours pour le cortisol, l’hormone d’adaptation au stress par excellence. 7 jours représente un cycle biologique complet. Il est intéressant de noter que les signes cliniques de l’intolérance au travail posté sont ceux du fameux Syndrome d'Épuisement : Fatigue permanente non améliorée par le repos et allant en s’accentuant; Troubles du sommeil subjectifs : impression d’avoir mal dormi et pas assez, et objectifs : réveils fréquents, nécessitant plus de 15 mn pour se rendormir; Troubles du caractère : colères injustifiées, disputes pour des raisons mineures, mauvaise humeur, sentiment d’être inefficace; Troubles digestifs : douleurs épigastriques, ulcères gastroduodénaux. Utilisation continue de somnifères totalement inefficaces, et donc inutiles pour atténuer les symptômes (ils ne devront donc pas être prescrits !); Troubles des défenses immunitaires; Risques cardio-vasculaires; Obésité, troubles endocriniens; Sur-risque chez la femme. Chez les personnels navigants (avion) avec de nombreux jet-lag on observe parfois une disparition des règles chez les femmes et une impuissance chez les hommes. Le dyschronisme est presque toujours présent quand il y a dépression. Mais les antidépresseurs sont inefficaces sur le dyschronisme du travail posté et sur ces symptômes (ce qui ne signifie pas qu’ils sont sans effet sur les symptômes de la dépression elle-même).
Ce qui nous ramène à notre semaine biblique : Le repos du sabbat est ainsi lié à l’accomplissement entier de l’œuvre de l’homme : « Tu travailleras 6 jours et tu feras tout ton ouvrage. »
La confirmation de « l’existence de rythmes septénaires qui nous a conduits à reconsidérer la division du temps en semaines. L’idée nouvelle est que ces rythmes pourraient être la cause (et non pas le résultat) de cette périodicité sociale et religieuse. Dans cette hypothèse, la cyclicité de sept jours, d’origine biologique, est probablement renforcée par l’instigation du repos hebdomadaire…Sept est peut-être un chiffre magique. Cela ne m’empêche pas de penser que la division du temps en semaines apparaît comme un besoin biologique humain ». (1998)
Le reposLe repos est clairement le domaine d’application le plus évident, sa nécessité est attestée sans aucun conteste, et des mesures ont été adoptées en conséquence : Sous la pression des rythmes biologiques, semble-t-il, quasiment toutes les sociétés ont adopté un rythme de repos de sept jours, avec un jour chômé tous les vendredis dans les pays de culture musulmane, tous les samedis dans les communautés juives et en Israël, et tous les dimanches dans les régions de culture chrétienne. Là où nous devons probablement revoir notre copie concernant ce repos hebdomadaire, c’est sur ce que nous faisons de cette journée. Dormir plus longtemps peut nous rassurer si nous avons beaucoup d’heures de sommeil « en retard », mais nous avons vu que le bénéfice n’est pas certain, il est préférable d’essayer de trouver notre besoin individuel de sommeil et s’y tenir régulièrement. Le maximum de bénéfice est retiré de ce jour de pause lorsqu’on ralentit concrètement son rythme de vie : éviter de prendre la voiture sur de longues distances, de faire ses courses, de répondre aux courriels, de s’occuper de ses affaires professionnelles, certains décident même de ne pas répondre au téléphone, éviter de recevoir trop de monde et de préparer des repas « monstres », de faire le ménage en grand et le repassage de la semaine…etc. Le sport intensif devrait être réservé aux jours de la semaine pour les adeptes, tout comme les sorties en boîte de nuit et autres activités très stimulantes. L’idée que nous avons largement débattue est qu’il est indispensable de mettre ses surrénales au repos un jour sur sept. Un moment entre bons amis (qui n’habitent pas à trois heures de voiture !), une promenade en famille dans un parc, une forêt, un bois, au bord d’un lac ou de la mer, éventuellement en vélo si l’on ne cherche pas à dépasser son dernier record, la lecture de ce bon livre que l’on n’a jamais le temps de lire, etc., sont des activités restauratrices. A chacun de trouver ce qui lui convient. Pour ce qui est des spectacles, tout ce qui nous apaise est bienvenu, mais cela nécessite un petit effort de sélection, un certain nombre de films et de jeux vidéo ayant pour premier objectif de « faire monter l’adrénaline ». A titre d’exemple, Bruno Lacroix rapporte que lors de test de résistance au stress, on a observé que dix minutes de « TV reality show » suffisent à submerger l’organisme de molécules de stress, au-delà de ce temps, de l’acétylcarnitine doit être apporté pour protéger les neurones. Notons que certaines images du journal télévisé sont tout à fait de l’ordre du « reality show ». Il est donc préférable d’éviter le dernier « Massacre à la tronçonneuse n°X » et la soirée « Hard Metal Rock », et même les informations télévisées, si l’on veut retirer un réel bénéfice de ce jour de repos ! Beaucoup ont la chance de bénéficier d’un week-end de deux jours, il leur est donc possible d’en choisir un pour la détente, et de consacrer l’autre aux joies du shopping et des bains de foule, ou à l'entraînement pour le tour de France ! Des congés annuels sont aussi offerts. La sagesse voudrait que, lorsqu’on a le choix, on les prenne aux deux périodes de grands creux observés en chronobiologie : fin octobre-début novembre, et fin février début mars, sur une durée d’un minimum de 7 jours (14 serait idéale), 9 si l’on doit voyager, les jours de déplacement n’étant pas du repos, et en évitant les décalages horaires de plus de 5 heures. En France, les périodes de vacances scolaires correspondent généralement à ces moments. Encore une fois, nos rythmes biologiques demandent que, dans ces périodes, nous abaissions autant que faire se peut notre seuil de stress, les activités de détente devraient donc être favorisées, il n’est peut-être pas indispensable de visiter tous les monuments historiques, les musées, les parcs d’attraction, les lieux remarquables durant ces quelques jours ! La chronobiologie nous a aussi appris que les vacances d’été devraient être mises à profit pour un repos intellectuel et une plus grande activité physique, c’est plutôt là que l’on visitera toutes les merveilles naturelles, architecturales et de loisir si le cœur nous en dit. Tandis que les vacances d’hiver devraient profiter au repos physique avant tout, à la création artistique et à la vie intérieure.” Le printemps et l’automne sont de bonnes périodes pour faire une cure de jeûne de 7, 14, ou 21 jours, même si bien entendu, il est possible de jeûner à n’importe quel moment de l’année ! Un bon équilibre de vieGarder un bon équilibre de vie est essentiel pour se préserver des symptômes liés à et l’hyperstimulation et garder un confort au quotidien, notamment à travers trois grands piliers : le sommeil, l’alimentation et l’activité physique. Les troubles du sommeil sont fréquemment associés à l'hyperactivité chez l’adulte puisque ces personnes ont du mal à s’endormir, subissent des insomnies et ne profitent pas d’un sommeil réparateur à cause de l’hyperactivité que provoque leur cerveau. Optimiser son sommeil est donc important pour qu’il soit réellement réparateur. Couchez-vous à des horaires fixes, gardez un environnement de nuit paisible et confortable et adoptez une routine bien-être juste avant l’heure du coucher. Gérer son alimentation :Garder une bonne alimentation peut être un défi au quotidien pour l’adulte hyperactif. Les troubles alimentaires et la malbouffe rendent difficile le fait d’adopter des habitudes alimentaires saines. Pourtant, manger sainement permet de réguler les niveaux d’énergie et d’humeur, qui font souvent défaut lorsque l’on souffre de troubles. Mon livre sur l'alimentation saine est disponible sur commande sur ce site : Pratiquer une activité physique :Bouger quotidiennement favorise un meilleur fonctionnement du cerveau, que l’on soit hyperactif ou non ! Pratiquer une activité physique au quotidien permet naturellement de se dépenser, mais aussi de se recentrer et d’apprendre à rester focalisé, particulièrement lors de la pratique de sports de combat et d’activités douces comme le yoga. En outre, elle permet d'atténuer l’anxiété et aide particulièrement à diminuer le stress. Bon à savoirPlusieurs additifs alimentaires, comme le benzoate de sodium, sont suspectés de pouvoir causer ou aggraver l’hyperactivité chez l’adulte. Ils seraient en cause de l'exacerbation des comportements impulsifs. Certaines habitudes de vie, qui nous paraissent parfois insignifiantes, peuvent s’avérer nocives pour la santé. Suivre une thérapie psychologiqueLa thérapie est une solution privilégiée pour soigner l’hyperactivité chez l’adulte. Avoir l’appui d’un professionnel de la santé mentale est précieux, puisqu’il permet de donner les bons outils et les bonnes méthodes pour combattre les effets négatifs de ces pathologies. La relaxation, la respiration et la méditationApprendre à relaxer son cerveauIl existe de nombreuses techniques de relaxation qui peuvent aider à réduire le stress, améliorer la concentration et prendre le contrôle de ses émotions. La cohérence cardiaqueC’est une technique respiratoire utilisée pour calmer les crises d’angoisse ou de panique, la cohérence cardiaque fait appel à notre respiration profonde. Au rythme du battement de notre cœur, expirer et inspirer profondément pendant les moments trop agités permet de calmer rapidement les tensions. La méditationLa méditation en pleine conscience est une piste intéressante à explorer pour les personnes qui souffrent d’hyperactivité. Elle aide à se discipliner, petit à petit, en se concentrant sur un objet, un son ou une image et améliore instantanément la concentration. La relaxation physiqueLa relaxation physique est une technique utilisée en sophrologie et en yoga, elle force à se concentrer sur chaque groupe musculaire un à un en les contractant puis en les relâchant complètement pour atténuer la tension du corps pendant les moments de pression ou de tension. La mise en place de routines quotidiennes de relaxation de méditation et ou de respiration aide à économiser de l’énergie, à reposer le cerveau et permet de vivre plus sereinement. Connexion à la terre et à la natureCette connexion s’appelle également l’enracinement. Nous allons voir dans cet article les bienfaits pour la santé mentale et physique, les pratiques de pleine conscience en plein air et les études scientifiques sur les interactions entre les humains et la nature. Les bienfaits de l’enracinement pour la santéSe connecter à la terre et à la nature permet un bon ancrage de la personne et :
Les pratiques de pleine conscience en plein airToutes les activités qui encouragent la conscience et la présence dans le moment présent tout en étant en contact avec la nature sont bénéfiques pour notre psychisme. S’asseoir ou se tenir debout en pleine nature en observant les sensations corporelles, les sons, les odeurs, le soleil (sunyoga ou sungazing), être dans le moment présent comme en méditation, développe le champs des possibles.
Le yoga en plein air prend une dimension encore plus grande qu’en salle. Il permet de combiner les bienfaits physiques et mentaux du yoga avec la relaxation et la connexion à la nature.
“Faire du yoga en pleine nature, c’est mettre l’énergie le prana au cœur de sa pratique et de son mode de vie.”
La marche consciente, toute en lenteur et portant attention aux sensations des pieds touchant le sol, à la respiration et aux sensations corporelles. Elle peut être pratiquée seule ou en groupe.
“La marche consciente (en anglais mindful walking), est une pratique méditative qui permet à ceux qui l’expérimentent de faire une évolution mentale et d’atteindre un profond état de bien-être.” Marcher pieds nus dans la rosé est très bénéfique sur tous les plans. Créer de l’art éphémère avec des pierres, des branches, des feuilles et des fleurs… Écouter les sons de la nature, comme le chant des oiseaux, le ruissellement de l’eau, le bruissement des feuilles dans les arbres et développer une écoute profonde. Toutes ces interactions entre humains et la nature sont complexes et variées et ont un impact significatif sur notre bien-être global. Notre sensibilité à la conservation de la nature, les parcs, les habitats naturels, la restauration des écosystèmes contribuent à maintenir l’équilibre écologique et à préserver la biodiversité. Les pratiques telles que l’agriculture biologique, la permaculture, les énergies renouvelables, la gestion des déchets nous concernent de plus près. Enfin, pour de nombreuses personnes, la nature représente un lieu de connexion spirituelle et de transcendance. La méditation en plein air, les cérémonies de gratitude et les rituels de guérison tirent parti de cette connexion profonde à la nature pour favoriser le bien-être spirituel et ont existé de tout temps et sur toute la planète. L'hydrothérapie du côlon ou irrigation colonique
Contrairement au lavement, l’hydrothérapie du côlon effectuée chez un(e) professionnel(le) est beaucoup plus efficace du fait qu’on est en parasympathique, c'est-à-dire au repos et détendu.
Il est courant de dire qu’une hydrothérapie du côlon ou irrigation colonique équivaut à 13 lavements ! Qu’est-ce que l’hydrothérapie du côlon ou irrigation colonique ?L’hydrothérapie du côlon consiste à faire entrer de l’eau à plus ou moins 37° par le rectum, d’accompagner l’eau qui entre lentement par de légers massages ou tapotements sur le ventre. Lorsque la machine indique que la pression monte, le ou la thérapeute bascule un bouton pour mettre la machine en évacuation et va accompagner cette évacuation par des massages du ventre plus marqués. Les matière sortent par un tuyau relié à la machine et passent dans un tube en verre transparent pour pouvoir observer leur nature; poches de gaz, matières anciennes ou plutôt récentes, observer aussi la couleur et voir si ce sont essentiellement des éliminations du foie et de la vésicule biliaire etc. Comment reconnaître un bon thérapeute pour l’hydratation du côlon ?Lorsque vous prenez rendez-vous, n’hésitez pas à poser toutes les questions utiles pour savoir à qui vous avez à faire. Cette profession n’est toujours pas reconnue par l'État malgré toutes les tentatives et démarches faites avec des avocats spécialisés. Du coup n’importe quelle personne qui achète la machine peut ouvrir un cabinet et s’installer. Le professionnel doit vous donner quelques conseils de descente alimentaire légère les 2 ou 3 jours qui précèdent le rendez-vous et vous dire quels sont les aliments à éviter ou au contraire ceux à favoriser. Demander combien de temps dure une séance. Si elle dure moins d’1 heure, laissez tomber. Une séance moyenne doit durer au total entre 1h15 et 2 heures et commence par un entretien. Il est inutile de vous déshabiller entièrement. Juste le bas suffira et votre ventre sera découvert. La pièce doit être bien chauffée l’hiver afin de pouvoir se détendre. La canule et les tuyaux qui vous relient à la machine sont stériles et à usage unique, le thérapeute doit vous les présenter sous vide. Vous vous installerez couché sur le dos sur une table de massage avec dossier réglable, de préférence. Vos jambes peuvent être couvertes. Le thérapeute va toucher votre ventre pour sentir à travers votre peau l’état de votre côlon. S’il est distendu et volumineux, il réglera la température de l’eau en peu en dessous de 37° pour l’aider à se resserrer. Si au contraire votre gros intestin est tendu, il réglera la température sur 37, 2° ou 37,3° pour favoriser sa détente. Il va également évaluer sa position et peut-être aussi sa forme. En effet les images de côlons que l’on voit sur les planches d’anatomie n’ont rien à voir avec un vrai côlon “vivant” et perpétuellement en mouvement sous l’effet de la digestion et de l’état émotionnel et psychique de la personne. Lorsque vous êtes prêt, vous vous mettrez sur le côté afin de placer la canule dans votre rectum, ensuite vous serez sur le dos, confortablement installé. Il est indispensable d’être bien détendu pour que la séance se passe bien et soit efficace. Pourquoi l’hydrothérapie du côlon est beaucoup plus efficace qu’un lavement ?Majoritairement parce qu’on a rien à faire mise à part se détendre et faire confiance à son thérapeute. D’autre part parce que l’on a pas besoin de se lever pour évacuer, comme pour un lavement que l’on fait chez soi, tout se fait par l’intermédiaire de la machine et enfin, parce qu’allongé sur le dos, le ou la thérapeute a accès à votre ventre à la fois pour accompagner l’eau qui entre par le rectum par des petits massages ou tapotements légers, et également pour effectuer les massages plus marqués nécessaires à l'accompagnement de l’évacuation afin d’aider le côlon à se débarrasser des matières anciennes ou accrochées à la parois intestinales afin de libérer les vieilles croûtes et presser sur les méandres intestinales. Ne retenez rien et laissez vous guider par le professionnel. Parfois certains utilisent un peu d’huile essentielle en plus de l’huile végétale pour aider l’élimination. Lorsque l’évacuation prend fin, le thérapeute fait basculer à nouveau le bouton de la machine afin de recommencer un second bain dans le côlon, puis évacuation et ainsi de suite pendant au moins 45 minutes si tout va bien. Lorsque la séance est terminée, vous vous sentez plus léger, libéré. Votre teint est plus lumineux et vous êtes bien. Combien d’hydrothérapie du côlon faut-il faire ?Il n’y a pas de règle, chaque personne est différente. Tout dépend aussi de votre hygiène alimentaire. Cette technique est efficace mais elle a un coût. Le prix moyen se situe vers les 100 euros. Si vous pouvez, faites en 2 par an. Dans certains cas, le thérapeute peut être amené à vous conseiller 3 séances rapprochées puis ensuite espacées de 6 mois à un an. Il doit pouvoir vous conseiller et vous dire ce qui lui semble le mieux approprié pour votre santé. Rien ne vous empêche de faire vous même des lavements à votre domicile selon vos besoins. Une poche à lavement est bon marché, il faut juste en prendre soin pour qu’elle dure plusieurs années et prendre le temps de le faire. Comptez au moins 45 minutes pour un bon lavement. Des tutos sont proposés sur le net pour expliquer comment s’y prendre. Ne vous découragez pas au premier lavement qui peut parfois être un peu folklorique, avec l’habitude tout se passe bien, et l’on se sent tellement bien qu’on a du mal à s’en passer ! Si vous avez mal à la tête, un rhume, une otite etc. n’hésitez pas à faire un lavement dès les premiers symptômes, pour évacuer les toxines. Retour au vert, montagne, eau pure, pour une régénération parfaite !
“Des études ont montré une diminution de la mortalité par cancers et maladies cardio-vasculaires des personnes âgées de 45 ans en moyenne, vivant en montagne. Les Suisses ont aussi remarqué que plus l’altitude est élevée, plus le risque cardio-vasculaire se montre faible.
D’autres équipes ont indiqué des taux de mortalité par cancer du côlon chez l’homme ou cancer du sein chez la femme en nette diminution si l’on vit en altitude.. Des chercheurs ont mis au jour que l’eau et l’air autour des cascades présentaient des taux d’ionisation élevés. Et que respirer cet air différent, plus pur, améliorait l’activité des lymphocytes NK (Natural Killer) au niveau de l’immunité innée. Plusieurs pistes expliqueraient ce phénomène de diminution de ces maladies : la diminution du taux d’oxygène, l’ionisation de l’air, la rareté de la pollution atmosphérique. Auxquelles il faut ajouter une plus grande facilité de pratiquer une activité physique. La qualité du silence joue également grâce à son effet anti-stress puissant. De fait, il suffit de se promener en montagne, et ce aux quatre coins de notre planète, pour savourer la pureté originelle qu’elle conserve, les paysages merveilleux que les montagnes offrent pour se ressourcer. Loin des pollutions sonores et lumineuses, pouvoir admirer la nuit, les étoiles, l’air purifié qui s’engouffre dans nos poumons et qui fournit à notre organisme une sorte de cure détox aidant à mieux se régénérer, on renaît. Les effets bénéfiques en cascade ne manquent pas”. Source : On n’est jamais mieux soigné que par soi-même du Dr Frédéric Saldmann. Ou la santé sans tabou. Se régénérer véritablementCureNature s’est installé à Accons en Ardèche, pour ces raisons qui prennent tous leurs sens lorsque l’on accueille des personnes qui viennent pour se régénérer, se reposer, s'oxygéner et prendre en main leur santé. Le silence quasi permanent est source de calme intérieur et favorise le repos. Le paysage avec une vue dégagée et la nature tout autour permet de se ressourcer et retrouver l’union avec cette nature, que bien souvent, nous avons perdu. Les promenades sur les chemins de randonnées nous permettent de respirer un air pur et de sentir les effluves des plantes. La source qui arrive de notre terrain à l’arrière de la maison qui est en zone verte, non constructible avec juste des prairies et des bois jusqu’en haut de la colline est agréable à boire. L’espace voûté à côté, prévu à l’origine pour le trop plein de la fontaine, sert de réserve d’eau pour le potager et le verger en contrebas, pourra être aménagée proprement et ainsi devenir un bassin dans lequel les bains glacés l’hiver et les bains frais l’été pourront se faire facilement dans l’eau de la source. Filtrer l’eau avec du charbon actif de bambou assurera la pureté totale de l’eau à boire et déposer les bouteilles remplies au soleil nous donnera de l’eau solarisée, excellente pour notre santé. L’eau solarisée est pratiquée depuis des siècles et a été utilisée par des civilisations antiques pour traiter et purifier l’eau. La lumière du soleil permet aux rayons UV de désactiver les micro-organismes indésirables. L'eau solarisée“Cette technique ancestrale consistait à exposer de l’eau dans des récipients transparents aux rayons du soleil pendant plusieurs heures. Les anciens croyaient que cette eau ainsi chargée en énergie solaire pouvait être utilisée pour guérir divers maux et maladies. Ce rituel était également pratiqué dans le cadre de cérémonies religieuses afin d’obtenir la protection divine. Voici les différentes qualités que l’on attribue généralement à l’eau solarisée :
“Il est important de souligner que les recherches sur l’eau solaire sont encore limitées et souvent controversées. De plus, les effets bénéfiques attribués à cette pratique pourraient également s’expliquer par d’autres facteurs, tels que le simple fait de boire suffisamment d’eau ou de profiter du soleil pour synthétiser la vitamine D”. Source : https://www.eau-solaire.fr/les-avantages-de-leau-solarisee/ La plupart du temps, il est recommandé de placer l’eau dans une bouteille en verre transparent sans coloration. Toutefois, l’eau solarisée dans des bouteilles en verre coloré peut apporter un plus dans un but particulier. Voici quelques exemples. “L’eau bleue solariséeLe bleu est parfait pour la détente, la régénération et le sommeil. Cette couleur peut aider à rétablir la paix, c’est une couleur très efficace pour la croissance spirituelle, la communication et la méditation. L’eau bleue solarisée peut dissoudre la nervosité et le stress, diminuer la pression artérielle et la fréquence cardiaque. Elle est utile dans le traitement de la tension et de l’anxiété.
L’eau rouge solariséeLe rouge est le meilleur pour gagner de l’énergie et élever l’humeur. Cette couleur stimule la circulation lente. L’eau rouge solarisée peut vous aider à vous débarrasser de la fatigue et de la léthargie. Si vous avez une pression artérielle basse, vous devez absolument boire cette eau.
L’eau orange solariséeL’eau orange solarisée est bénéfique pour la glycémie, la digestion, les déséquilibres hormonaux ainsi que pour les déséquilibres diabétiques. Cette couleur aide à renforcer la confiance dans les relations et peut vous rendre plus joyeux. Elle peut soulager les crampes menstruelles et les spasmes musculaires. Conseils : buvez toute la journée si vous avez l’un des problèmes mentionnés ci-dessus. L’eau jaune solariséeL’eau jaune solarisée est idéale pour perdre du poids. La couleur jaune est considérée comme la couleur pour corriger le poids. Cette couleur convient également aux problèmes de mémoire, de sagesse et d’illumination. Cela fonctionne comme un laxatif. L’eau jaune solarisée peut également prévenir les infections urinaires et vous aider à nettoyer votre peau.
Pour terminer sur les effets bénéfiques du soleil, les 3 chambres de l’étage reçoivent le soleil l’après-midi jusqu’à son coucher pour un maximum de luminosité, la chambre du rez-de-chaussé avec sa salle de bain et toilettes privées reçoit le soleil le matin et en fin de journée. Il ne vous reste plus qu’à réserver votre chambre et venir faire un séjour, une cure ou un stage à CureNature. Prochainement vous trouverez le calendrier de 2023 et 2024 avec les différents stages qui vont seront proposés lors du premier semestre 2024. Les différents protocoles avec le dioxyde de chlore d'après Dr Andréas Ludwig Kalcker (3ème article, résumé du livre)
Dans son livre : La santé interdite, incurable, c’était hier.
AVERTISSEMENT LÉGAL"Ce document ne représente pas une recommandation d’un quelconque traitement médical. Il s’agit d’une collection de données recueillies auprès de volontaires et doit servir de base à de futures recherches professionnelles cliniques de niveau universitaire.” Ne pas oublier :
Parlons maintenant spécifiquement du protocole C : comme CDSLe protocole C ou CDS est un protocole universel, facile à suivre et pratiquement sans effets secondaires, ce qui le rend valable pour la plupart des traitements. Le protocole C consiste à boire 1 ml de CDS dilué dans de l’eau, toutes les heures, 10 fois par jour. Pour préparer votre boisson pour la journée, ajoutez 10 ml de CDS à 1 litre d’eau froide. (voir la vidéo)
Prenez une dose (un verre de 100 ml) toutes les heures jusqu’à ce que vous ayez fini le contenu de la bouteille (entre 8 et 10 prises) dans la journée.
N’oubliez pas d’espacer de 30 minutes à 1 heure avant et après les repas et 1 à 2 heures avant et après la prise d’un médicament sur ordonnance. Il n’est pas recommandé de consommer de l’alcool et du café. En cas de maladies graves ou potentiellement mortelles, vous devez augmenter la dose petit à petit, en buvant de petites quantités tout au long de la journée, en fonction de votre état, jusqu’à un maximum de 30 ml de CDS par litre d’eau. Si une grande quantité est nécessaire, préparez une autre bouteille. Réduisez le dosage en cas de malaise ou de nausée. Ne pas boire plus de 80 ml de CDS sur 12 prises quotidiennes. Le traitement peut être poursuivi aussi longtemps que nécessaire jusqu’à ce que le patient se sente rétabli. Ce protocole est utilisé pour traiter la plupart des maladies et comme une “détox” générale pour nettoyer le corps des toxines. Il s’agit probablement de la procédure de désintoxication la plus utile que nous connaissons. En cas de déminéralisation, vous pouvez ajouter 1/3 d’eau de mer. résumé :Nettoyage général : 10 ml de CDS par jour en 10 prises Maladie grave : 30 ml de CDS par jour en 10 prises Cas critiques : 80 ml de CDS par jour en 12 prises Parlons maintenant du protocole E : comme dans Enemas (lavements)Le protocole E ou protocole du lavement (Enemas en anglais) est l’un des plus efficaces, en dehors de l’ingestion, car il permet l'absorption du dioxyde de chlore à travers les parois intestinales pour qu’il puisse voyager via la veine porte, directement vers le foie. Le protocole est donc très indiqué pour tous les problèmes hépatiques, les maladies chroniques, l’empoisonnement du foie, les diverticules, l’élimination des parasites et des mucosités intestinales nuisibles. Les gouttes sont toujours activées dans un rapport de 1:1 Pour cela, il faut activer dans un verre 10 gouttes de chlorite de sodium avec 10 gouttes d’acide chlorhydrique, attendre 30 secondes à 1 minute puis verser le contenu de votre verre dans l’eau tiède de votre poche à lavement et procéder normalement à votre lavement en plusieurs petits passages ou en une fois. Essayez de garder 3 minutes le liquide dans votre intestin, avant de l’évacuer. Il est inutile de le garder plus de 5 minutes. Ainsi il aura le temps de passer de l’intestin au dans le sang et sera transporté vers le foie directement par la veine porte. Ce protocole est essentiel pour les affections chroniques du foie, les parasitoses, l’autisme et les maladies gastro-intestinales. Selon l’état de la personne, il est possible de faire ce lavament 1 fois par jour de préférence le soir avant le coucher. Ou tous les 2 ou 3 jours pendant 2 semaines et dans certains cas plus longtemps. Il est possible d’ajouter de l’eau de mer à raison de ⅓ d’eau de mer pour ⅔ d’eau filtrée tiède. La plupart des maladies ont pour origine le système gastro-intestinal. Le CD élimine la toxicité et désintègre les adhérences. L’élimination de la toxicité réduit la fatigue. Le CD élimine le biofilm, les bactéries, le candida, les champignons, les matières fécales encapsulées et les parasites. La veine porte permet un accès rapide au foie à partir du côlon. Le sang circule dans le foie toutes les 3 minutes. Le protocole est un moyen facile et rapide de désintoxiquer le foie et le sang. Il est efficace contre les maladies chroniques et auto-immunes. Cette méthode était déjà connue dans l’Antiquité et pratiquée jusque dans les années 60. C’est une méthode hindoue essentielle pour la guérison. Elle est indispensable pour les thérapies de désintoxication. Ce protocole est une substitution aux traitements oraux dans la plupart des cas. Protocole A pour les amateursCe protocole est destiné aux débutants qui commencent le traitement et qui peuvent être hésitants ou incertains. Il est indiqué également pour traiter les problèmes mineurs et pour l’entretien général. Premier jour : avant de se coucher, 3 gouttes de chaque produit activées dans un verre pendant 30 secondes puis ajouter 200 ml d’eau filtrée et d’eau minérale et boire. Second jour : Une heure après le petit-déjeuner, 3 gouttes activées de chaque produit dans un verre pendant 30 secondes, puis ajouter 200 ml d’eau et boire. Faire la même chose avant de se coucher. Troisième jour : faire la même chose que le jour 2 et ajouter une 3ème dose 1 heure après le petit-déjeuner. Puis continuer comme le jour 3 autant que nécessaire. Ce traitement peut être administré à long terme et comme routine d’entretien/prévention. Protocole B, comme basicIl consiste à prendre 3 gouttes de chaque produit activées 30 secondes avec un ajout de 100 à 200 ml d’eau à prendre toutes les heures, pendant au moins 8 heures par jour ou plus si besoin. Et cela pendant 3 semaines consécutives. Vous pouvez prendre les 6 gouttes activées / jour dans 1 à 1.5 litres d’eau pendant 3 jours Puis prendre 12 gouttes activées / jour dans 1 à 1.5 litres d’eau pendant 4 jours Puis 18 gouttes activées / jour dans 1 à 1.5 litres d’eau pendant 7 jours Enfin 24 gouttes activées / jour dans 1 à 1.5 litres d’eau pendant le 7 jours restant pour la cure. Protocole D comme dans DermatologiePour les infections cutanées. On utilise le CDS en application topique car il ne laisse aucun résidu acide grâce à son pH neutre et peut être appliqué non dilué directement sur la peau et pendant longtemps sans irritation en spray (flacon verre vaporisateur gardé au frais). Appliquez le CDS pure en spray sur les plaies, les brûlures et les autres problèmes de peau. Vous pouvez répéter l’application plusieurs fois par jour, jusqu’à une fois toutes les heures. Pour les zones délicates comme les muqueuses, il peut être nécessaire de diluer la concentration avec un peu d’eau. En cas de sensation de chaleur ou brûlure, rincer avec de l’eau. Pour une pénétration plus profonde de la peau, vous pouvez combiner le traitement avec du DMSO à 70 %. (Voir les détails dans le prochain article) Protocole F : comme FréquentCe protocole est particulièrement indiqué en cas d’infections virales soudaines. Il consiste à prendre 1 ml de CDS 0.3% dans 150 ml d’eau toutes les 15 minutes, pendant 1 heure et 45 minutes (8 prises). Ce traitement est limité à 2 heures par jour. Vous pouvez ensuite le faire suivre du protocole C pendant toute la durée nécessaire à la récupération. Pensez à attendre au moins une heure après les repas ou après une prise de médicament pour prendre le CDS. Puis une heure après la prise de CDS avant de manger ou prendre un traitement. Le protocole G (gaz) est plus approprié pour traiter les affections de l’oreille externePlacez un verre sur l’ouverture de l’oreille, ce qui permet au gaz de pénétrer plus profondément. Protocole H : comme dans home (maison)Ce protocole est basé sur les recherches du Dr. Norio Ogata et Takashi Shibata, qui ont prouvé que de petites quantités de CD dans l’air empêchent la propagation des infections. Protocole I : comme dans Insectes et piqûresPour toutes sortes de piqûres d’insectes ou d'araignées, ainsi que les piqûres de méduses. Pour les morsures de serpent et les piqûres de scorpions ou de raies, le protocole Y (injection hypodermique) peut également être nécessaire. Ce protocole est également efficace pour les brûlures. Imbibez un mouchoir ou une gaze de CDS, appliquez-le directement sur la morsure ou la piqûre et laissez sécher. Vérifiez qu’il n’y a pas de dard ou de barbes qui doivent être retirés. Répétez l’opération aussi souvent que nécessaire. Protocole J : comme dans Joyful mouthwash (bain de bouche)Ce protocole est bénéfique pour les problèmes dentaires, la mauvaise haleine, les aphtes et les champignons, l’inflammation, la décoloration des dents, comme bain de bouche ou pour le brossage des dents. Ajoutez 10 ml de CDS dans un verre avec 200 ml d’eau et utilisez-le comme bain de bouche et gargarisme, 3 ou 4 fois par jour pendant 3 minutes (ne pas avaler). Vous pouvez aussi utiliser le mélange pour vous brosser les dents et masser les gencives. Pour les inflammations sévères, ajoutez 1 ml de DMSO au mélange. Nous parlerons du DMSO dans un prochain article. Ce protocole a donné d'excellents résultats avant et après tout travail dentaire, en particulier comme précaution pour les implants, rendant les antibiotiques inutiles, grâce à ses fortes propriétés désinfectantes. Protocole K : comme dans Kit (combiné avec du DMSO 70%)Pour traiter la plupart des maladies de la peau, comme l’acné, le psoriasis, l’eczéma, le pied d’athlète, les plaies etc. On applique généralement sur la peau du CDS, suivi de DMSO, en spray toutes les heures, jusqu’à 10 fois par jour. Le DMSO ne doit jamais être conservé dans des flacons avec un compte-gouttes en caoutchouc, car il se dilue et contamine la solution. Application topique : Vérifiez toujours votre compatibilité au produit en l’appliquant 1 fois et attendre une heure (rare sont les personnes qui ont une réaction). Appliquez du CDS en spray sur une peau propre exempte de parfum ou tout autre produit. Puis pulvériser le DMSO. Répétez l’opération jusqu’à 10 fois par jour, 3 jours par semaine, en laissant la peau se régénérer les 4 autres jours. Préparation orale : Avec le CDS, mélangez le même nombre de gouttes de DMSO que de gouttes de CDS. Vous pouvez augmenter la quantité de DMSO jusqu’à une cuillère à café pour 250 ml d’eau, si nécessaire. Le DMSO fait l’objet d’un prochain article. Voir aussi la vidéo suivante : Protocole L : comme dans Lavatory (protocole de bain)Il consiste à un bain de désintoxication. C’est une alternative d’hydrothérapie pour éliminer les effets néfastes des toxines accumulées dans notre organisme et pour renforcer et guérir notre corps. Toute la surface de la peau est en contact avec le gaz du CDS pendant 20 à 30 minutes. Cette méthode permet d’obtenir des résultats assez rapides surtout s’ils sont combinés avec d’autres protocoles. Pour certaines personnes, cette technique a constitué une expérience définitive. Utilisez toujours une baignoire propre, ne mettez pas de savon ni d’autres produits dans l’eau. Activez 30 à 60 gouttes de CD avec l’acide chlorhydrique dans un verre (cela dépend de la grandeur de la baignoire). Remplissez la baignoire d’eau chaude à environ 37°. Veillez à ce que la salle de bain soit bien ventilée. Ajoutez le CD activé à l’eau du bain et remuez pour mélanger. Trempez tout le corps dans l’eau y compris la tête et le cuir chevelu. Ne vous inquiétez pas si l’eau entre dans vos yeux, le CD ainsi dilué est inoffensif. Vous pourrez ajouter de l’eau chaude plus tard si nécessaire. La chaleur dilate les pores de la peau et facilite la pénétration du CD dans l’organisme. Chaque bain doit durer au moins 20 minutes, de préférence le soir, avant le coucher. Ces bains en complément de tout traitement sont un moyen efficace d’éliminer les résidus accumulés dans l’organisme. Les plaies ouvertes ont tendance à guérir plus rapidement grâce à l’action désinfectante du dioxyde de chlore. Il est possible de rajouter 2 à 4 kg de sel marin non traité. Protocole M : comme Malaria (dosage élevé)Malaria ou paludisme. Ce traitement pour adulte consiste en une dose de 15 gouttes de CD activé, suivie d’une seconde dose de 15 gouttes de CD activé une ou deux heures plus tard. La plupart des symptômes devraient disparaître environ 3 heures après la deuxième dose. Si les symptômes persistent, les patients prennent 3 gouttes par heure par la suite. En cas de nausée, réduire la dose. Poursuivre le traitement sans dépasser les 3 gouttes par heure. Pour les enfants, le dosage est différent, voir avec le Dr Kalcker ou votre médecin. Protocole N : pour Nippers (enfants) et les adolescentsUtilisez 1 goutte de CDS dans 100 ml d’eau ou plus pour 12 kg de poids. Protocole 0 : comme dans Opthalmologie, ou yeux, oreilles et nezCe protocole consiste à préparer et à administrer des gouttes pour les yeux, les oreilles et le nez selon la procédure suivante : Mélangez les éléments suivants dans un petit flacon en verre avec un compte-gouttes en polyéthylène 50 ml de solution saline physiologique 5 ml de CDS 3 ml de DMSO dilué à 70% Conservez les gouttes ophtalmiques dans un endroit frais et à l’abri de la lumière afin de conserver leur efficacité à 100% pendant environ 3 jours. Passé ce délai, elles se dégradent rapidement. Comme le liquide est un désinfectant, il n’y a pas de risque d’infection, mais son efficacité diminue après quelques jours. Yeux : appliquez 5 gouttes de la solution toutes les 2 heures sur l'œil infecté. Oreilles : CDS : Ajoutez 2 à 4 ml de CDS à 30 ml d’eau chaude. Remplissez le compte-gouttes et placez-le dans l’oreille en étant couché sur le côté. Laissez-le pendant 1 ou 2 minutes et essuyez l’excès de liquide avec un mouchoir en papier lorsque vous vous levez. CD : activez 2 à 4 gouttes de CD (rapport 1:1) puis ajoutez 30 ml d’eau chaude. Demandez au patient de s’allonger sur le côté, l’oreille affectée tournée vers le haut. Remplissez le compte-gouttes et mettez la solution dans l’oreille et laissez-la 1 à 2 minutes, puis essuyez l’excès. Protocole P : comme dans Parasites (protocole intense)Il consiste à un protocole de vermifugation de trois mois. Il faut commencer le traitement dans les 3 premiers jours de la pleine lune et le poursuivre pendant la lune descendante. Tout au long du traitement, mais surtout au début, il est indispensable de pratiquer des lavements au dioxyde de chlore quotidiennement et de purger avec l’huile de ricin, sel d'Epsom ou un mélange de feuille de séné. Ce traitement est efficace surtout pour les parasites du gros intestin, principalement les nématodes de type ver rond comme Ascaris. Mais il est moins efficace contre les ténias. D’après le Dr Kalcker, de nombreux enfants autistes ont vaincu leur maladie avec ce protocole et tous ont expulsé de grandes quantités de “plasma parasitaire” (biofilm), ainsi que d’autres parasites. Après chaque élimination, ils ont montré une amélioration significative. Pour le traitement se référer au livre du Dr Kalcker page 130 et suivantes. Protocole Q : Pour éteindre les brûluresPour les brûlures graves, il est préférable d’appliquer directement le CDS en le vaporisant sur la brûlure. En principe cela apaise rapidement la douleur. Vous pouvez aussi tremper un chiffon propre dans le CDS et le laisser sur la zone affectée. Protocole R : comme dans Rectal avec un irrigateur de type seringue de gavageIl est spécialement conçu pour une application rectale d’une capacité de 100 et 150 ml (2 à 3 seringues de gavage).
Protocole S : comme dans Sensible (doses faibles et lentes)Ce protocole est destiné aux personnes qui ont une faible tolérance à l’ingestion de dioxyde de chlore. Protocole T comme Terminale pour les maladies gravesPour les maladies en phase terminale, en échec avec la médecine conventionnelle. Voir le protocole du Dr Kalcker page 144 de son livre ou encore mieux avec un spécialiste du dioxyde de chlore. Protocole U : comme dans UrgentIl est utilisé pour le traitement d’affection urgentes mais sans gravité ainsi que pour traiter certaines pathologies telles que les infections urinaires (cystites), les infections rénales, les otites, les gastro-entérites, les fièvres, les intoxications alimentaires, les vomissements ou les diarrhées soudaines ou tout malaise grave sans cause apparente. Buvez 6 gouttes de CD activé dans 200 ml d’eau. Répétez la même dose 2 heures plus tard. Vous devriez constater une nette amélioration à la fin de la journée. Si ce n’est pas le cas, consultez un médecin urgentiste. Protocole V : comme dans Vaginal, via irrigationIl est conçu pour traiter les affections génitales féminines telles que les candidoses, les mycoses, les polypes, le cancer du col de l’utérus ou les myomes. Il peut être utilisé également pour les cystites, les problèmes rénaux et les maladies sexuellement transmissibles puisqu’il empêche la contagion. Il peut même servir de contraceptif pendant la première heure qui suit le rapport sexuel, car il immobilise les spermatozoïdes. Fais 12 à 24 heures avant un rapport sexuel, il y aurait une augmentation de la fertilité due à l’élimination des agents pathogènes vaginaux. Avec un irrigateur vaginal ou une seringue de gavage ou encore d’une bouteille en plastique avec un goulot long : mettre 10 ml de CDS pour 1 litre d’eau tiède osmosée ou stérilisée. Ou 6 ml de CDS pour 500 ml d’eau tiède. Insérer le liquide dans le vagin avec un va et vient si possible puis gardez le liquide pendant 3 à 5 minutes. Répétez l’opération quelques heures plus tard, si nécessaire. Attendre au moins 40 jours pour ce protocole après un accouchement ou une opération chirurgicale. Protocole W : comme dans Wow ! Il peut être utilisé pour …
Protocole X : comme dans DetoX (pour éliminer les métaux lourds)Ce protocole est utilisé pour traiter l’empoisonnement aux métaux, actuellement très répandu en raison de tous les métaux présents dans les alliages, les pesticides, les fongicides, les peintures, les dissolvants, les teintures, les vernis, les textiles, les appareils ménagers, les cosmétiques et de nombreux autres produits. Les métaux sont également présents dans l’air que nous respirons, du fait de l’incinération des résidus industriels, de la fumée des usines, des gaz d’échappement des voitures etc. Notre organisme ne peut pas métaboliser ces métaux et a également des difficultés à les éliminer. Ils s’accumulent dans les reins, les nerfs, les graisses, les os, la peau, les poumons, les glandes thyroïdes ou le cerveau, avec de graves conséquences. Commencez par le protocole B de base pendant 3 semaines, puis reposez-vous pendant 1 semaine. En fonction du degré d’intoxication, répétez le traitement pendant 3 mois entiers. Après cette période, les niveaux de métaux devraient être plus faibles. Avec des analyses de sang, il est possible de vérifier les résultats. Protocoles Y : comme dans les injections hypodermique - CDSSeuls les professionnels de la recherche dans le secteur de la santé devraient effectuer ce type de traitement. Protocole Z : comme dans Zappeur - générateur de fréquencesCe protocole utilise un appareil appelé Zappeur de fréquences d’impulsions rectangulaires à usage thérapeutique. Le principe est que l’appareil peut émettre la même fréquence que les agents pathogènes ciblés de manière sélective. Les agents pathogènes sont agités et meurent, sans que l’organisme ne soit affecté. RésuméRappelez-vous que le dioxyde de chlore doit toujours être utilisé en combinaison avec l’activateur dans un rapport de 1-1. Conservez toujours l’activateur dans un flacon séparé. Le CDS a une couleur jaune et le gaz CD est capturé dans l’eau. Il a un pH neutre. Le dosage correct est celui qui ne provoque pas de malaise, de nausée ou de diarrhée. Si cela se produit, réduisez la dose mais poursuivez le traitement. Suivez un régime alimentaire sain et approprié pour protéger votre système immunitaire. Ne pas oublier : Les éléments qui neutralisent l'effet du dioxyde de chlore :
Des personnes ont pris du dioxyde de chlore pendant des mois sans que leur santé ne s'améliore parce qu'ils n'avaient pas suivi ces règles. Donc, si vous avez besoin de prendre des produits de la liste ci-dessus dans votre journée, prenez-les en dehors des dosages. Cela signifie soit quelques heures avant de commencer votre dose quotidienne, soit attendre 2 heures après votre dernière dose. L’ingestion de CD ou CDS tous les jours ou au moins 2 fois par semaine aide à garder notre système lymphatique propre, à augmenter notre oxygène cellulaire, ce qui permet l’alcalinisation du corps. Comme pour tout, il ne faut pas en faire trop, mais de nombreuses petites doses font une grande différence. N’oubliez pas que ces 50 dernières années, nous avons assisté à l’apparition de nombreuses nouvelles maladies. des millions de personnes souffrent et meurent à cause de maladies qui sont, dans de nombreux cas, d’origine humaine ou induites par l’alimentation industrielle. Soyons clair, le dioxyde de chlore est très efficace, mais ne guérit pas tout. Le CD et le CDS éliminent la plupart des toxines, ils ne peuvent pas tuer les gros vers intestinaux. C’est pourquoi un traitement vermifuge d’accompagnement est vital, surtout chez les personnes qui manipulent des animaux ou vivent avec des animaux de compagnie qui n’ont pas été vermifugés depuis plus d’un an. N’oubliez pas que lorsque les parasites meurent, ils peuvent générer encore plus de toxines pour l’organisme, ce qui peut provoquer des crises de guérison qui présentent des réactions indésirables (vertiges, vomissements, diarrhées et malaise général), toutes indiquant la présence de parasites. Par conséquent toute personne dont l’état s’est amélioré avec le dioxyde de chlore au cours des premiers mois, mais qui a ensuite rechutée, doit d’abord effectuer un traitement vermifuge, suivi d’un autre traitement au dioxyde de chlore, qui facilitera la désintoxication finale des déchets parasitaires dans l’organisme. Le dioxyde de chlore tue les agents pathogènes, oxyde les métaux lourds et détruit la plupart des poisons. Le protocole d’entretien est le A, il est simple et facile et fonctionne avec une efficacité maximale pour maintenir le fonctionnement de notre système immunitaire. Il aide à prévenir la grippe et le rhume, le cancer et de nombreuses autres maladies mortelles causées par une acidité excessive dans le corps, associée à un manque d’oxygène cellulaire. Certains patients n’ont pas la discipline nécessaire pour suivre les protocoles de dioxyde de chlore, ce qui est souvent la véritable cause de leur échec. L’expérience a prouvé que ceux qui adhérent étroitement aux traitements ont eu un succès démontrable dans la lutte contre les maladies chroniques, graves et même terminales, donnant ainsi raison à la phrase : “ Incurable, c’était hier”. “AVERTISSEMENT LÉGAL Ce document ne représente pas une recommandation d’un quelconque traitement médical. Il s’agit d’une collection de données recueillies auprès de volontaires et doit servir de base à de futures recherches professionnelles cliniques de niveau universitaire.” Il existe de nombreux brevets pour l’utilisation du dioxyde de chlore (liste page 51 et 52 du livre du Dr Kalcker). “L’allemand têtu que je suis n’a pas pu me convaincre du contraire. J’ai consacré de nombreuses années à la recherche sur le fonctionnement du dioxyde de chlore et ses possibilités thérapeutiques.” De quoi s’agit-il ?Il s’agit d’un oxydant, une substance qui facilite la combustion parce qu’elle ajoute de l’oxygène à tous les processus, contrairement aux autres médicaments qui agissent généralement en empoisonnant les agents pathogènes. Le dioxyde de chlore est un gaz qui s’évapore rapidement dans l’air à des températures supérieures à 11°C. En tant que gaz (non dissous dans l’eau), il est très réactif et peut provoquer une déflagration à des concentrations élevées et à une pression de gaz de plus de 10%, mais nous n’avons rien à voir avec ce procédé. En raison de sa capacité à éliminer les virus, les champignons et même les spores, le dioxyde de chlore est une excellente substance pour le lavage des légumes. Il est sûr à utiliser et conforme à toutes les réglementations alimentaires. L’une des principales caractéristiques du dioxyde de chlore est qu’il est extrêmement soluble dans l’eau, sans créer d’autres liaisons chimiques. C’est-à-dire que le gaz se dissout complètement dans l’eau, entre autres parce que sa structure cellulaire est très similaire à celle de l’eau. Une fois dissout dans l’eau, il peut également réagir rapidement à d’autres composés, surtout s’ils ont un pH acide. lorsque le dioxyde de chlore réagit avec l’eau, il libère de l’oxygène et forme également l’ion chlorite (CIO2-) L’ion est une molécule chargée électriquement, comme une pile. Dans ce cas, l’ion chlorite porte une charge électrique négative et est également très réactif. L’ion chlorite avec une charge négative recherche une charge positive pour la compensation et la stabilité. Dans notre cas, il s'agit de sodium, qui devient du chlorite de sodium. Si nous dissolvons à nouveau ce composé dans l’eau, nous obtenons des ions chlorite et des ions sodium. Un autre aspect intéressant du dioxyde de chlore est qu’il réagit aux ultraviolets et à la lumière solaire, se transformant en chlore, gaz et oxygène, c’est pourquoi il doit être conservé à l’abri des ultraviolets et de la lumière solaire. Les bouteilles de pharmacie en verre de couleur brune sont les meilleures. Les bouteilles en verre translucide et de couleur bleue laissent passer les rayons ultraviolets et peuvent faire réagir le dioxyde de chlore. S’il est ingéré, le dioxyde de chlore réagit rapidement aux agents pathogènes acides, libérant de l’oxygène et formant des ions chlorite qui se transforment ensuite en ions chlorure, ou sel commun. Notre corps n’a aucun problème à métaboliser cette quantité minimale de sel puisque tous nos fluides sont salins. En fait, notre corps perd continuellement du sel pour la sueur et l’urine. Dans une large mesure, les résultats positifs du dioxyde de chlore proviennent de sa capacité à renforcer le système immunitaire de notre corps par l’oxydation des agents pathogènes et par d’autres effets plus complexes. Sa capacité à fournir de l’oxygène aux cellules est également cruciale. Parmi ses possibles effets “négatifs”, il y a l’inconfort dérivé du processus d’élimination dans l’organisme des résidus pathogènes et autres agents nuisibles qu’il détruit. Il est recommandé de commencer par de faibles doses et de les augmenter petit à petit, en éliminant progressivement les déchets, sans provoquer d’inconfort. En règle générale, plus le patient est malade, plus la présence de résidus toxiques est importante, donc plus il faut augmenter la dose lentement, surtout en cas de maladie grave. En d’autres termes, le dosage dépend davantage du degré de maladie du patient que de son poids.” Pour les personnes qui ont une bonne hygiène de vie et notamment une bonne hygiène alimentaire, et qui pratiquent le jeûne de façon régulière, il n’y aura pas d’inconfort. “Le dioxyde de chlore ne guérit pas tout. Seul le corps peut se guérir lui-même de la maladie. Certains outils peuvent l’aider lorsqu’il n’est pas en mesure d’accomplir la tâche seul. Pour produire du dioxyde de chlore, nous avons besoin de deux substances : du chlorite de sodium (NaCIO2) et d’un acide. Presque tous les acides conviennent; l’acide citrique, l’acide lactique, l'acide phosphorique, le bisulfite, le vinaigre etc. L’acide chlorhydrique (HCI) est de loin le meilleur choix car il ne laisse aucun résidu après la réaction. L’acide chlorhydrique doit avoir une valeur de concentration de 4% pour garantir un pH correct et neutre (autour de pH 7) dans le liquide obtenu. Cela correspond à l’acidité naturelle de l’estomac et produit une réaction secondaire plus lente, ce qui permet un effet plus doux qui facilite l’absorption sans les effets secondaires néfastes. Le CD est constitué de deux composants très abondants et peu coûteux : le chlorite de sodium (NaCIO2) et l’acide chlorhydrique qui, mis ensemble, produisent un gaz appelé dioxyde de chlore (CIO2) que l’on stabilise dans de l’eau et à une température inférieure à 11°. Dans le corps, comme il est très soluble, les muqueuses l’absorbent facilement et le dioxyde de chlore gazeux peut pénétrer dans tous les tissus interstitiels. Le gaz, une fois dissout dans l’eau, génère un puissant effet désinfectant sélectif qui élimine, par oxydation, tous les agents pathogènes au pH acide, en particulier les anaérobies, tout en laissant les cellules symbiotiques et les bactéries de l’organisme au pH plus élevé. Il y parvient grâce à la différence de pH dans le sang corporel, qui est de -7,3 à -7,4, car plus l'agent pathogène est acide, plus son potentiel d’oxydation est fort. Le dioxyde de chlore a un pH neutre, l’acide chlorhydrique à 4% a la même acidité naturelle que dans l’estomac. Précaution 1Bien qu’il contienne du chlore dans sa dénomination, il est très différent de l’hypochlorite (eau de javel). Si nous combinons de l’hypochlorite avec de l’acide, nous créons des gaz puissants et hautement toxiques. Le réaction crée également des bulles effervescentes, ce qui ne se produit pas avec le chlorite de sodium. Précaution 2Ne jamais inhaler de grandes quantités de dioxyde de chlore gazeux pendant une période prolongée, car cela peut provoquer une irritation de la gorge et des difficultés respiratoires. Il est inoffensif en petites quantités et sur une courte période. Précaution 3Nous ajoutons toujours de l’eau au mélange que nous obtenons en activant le chlorite de sodium avec un acide, et cela donne du dioxyde de chlore. Ne l’utilisez jamais sous sa forme concentrée. Lavez toujours avec de l’eau abondante tout liquide qui tombe sur la peau ou les vêtements. Précaution 4N’utilisez jamais de récipients ou d’ustensiles métalliques. Ils réagissent au dioxyde de chlore et rouillent, y compris l’acier inoxydable. Précaution 5N’utilisez pas de compte-gouttes en caoutchouc, ils n’ont pas assez de résistance au pH alcalin du dioxyde de sodium et avec le temps, le caoutchouc peut se dissoudre dans le liquide. Précaution 6N’utilisez que des compte-gouttes ophtalmologiques en PP/HDPE/PE. Tous ces matériaux sont résistants et peuvent supporter aussi bien l’alcalinité que l’acidité (pH 13/pH 1), conservant leurs propriétés pendant de nombreuses années. Nous ne recommandons pas les plastiques translucides de type PET. Précaution 7L’utilisation d’acide citrique comme activateur peut provoquer une acidose intestinale chez les personnes sensibles, entraînant des diarrhées, des malaises et la présence de Citro-bactéries (bactéries qui se nourrissent de citrates). Précaution 8Pour neutraliser le dioxyde de chlore, en cas d’urgence s’il y a eu une mauvaise manipulation, utilisez uniquement du bicarbonate de soude et jamais de la vitamine C (acide ascorbique), comme on le recommandait autrefois. Noter que la combinaison de ces deux composants : chlorite de sodium et acide chlorhydrique, n’est jamais ingérée directement ou seule. Le patient doit activer les deux composants dans un verre propre et sec, puis attendre que la réaction leur donne une couleur ambrée. En fonction de la température ambiante, cela peut prendre entre 30 secondes et 1 minute. La couleur ambrée indique que le mélange est prêt, et on peut maintenant ajouter de l’eau. N’utilisez jamais le mélange à l’état concentré. Chaque composant doit être conservé dans une bouteille séparée, et ils doivent être mélangés à part égales. Le rapport entre l’activateur et le mélange est de 1:1 ou en d’autres termes, une goutte d’acide chlorhydrique à 4%, avec une goutte de chlorite de sodium à 25%. Le traitement tend à être plus efficace lorsqu’il est utilisé à petites doses, plutôt que des prises de doses plus élevées le matin et le soir. Les patients qui éprouvent des étourdissements, des nausées ou des diarrhées doivent simplement réduire la dose. Évitez toujours d’ingérer de la vitamine C ou d’autres antioxydants, car ils annulent l’efficacité. N'utilisez jamais de récipient en métal. Matériels1 - Chlorite de sodium à 25 % 2 - Acide chlorhydrique à 4 % 3 - Eau minérale ou distillée 4 - Bouteilles en PP/HDPE/PE avec compte-gouttes. 5 - Utilisez des récipients en verre pour le mélange. N’utilisez pas de compte-gouttes en caoutchouc. Je vous propose un kit de flacons en verre ambrée pour les utilisations les plus courantes, vendue sur la boutique du site www.curenature.fr Types d’agents pathogènesChaque agent pathogène doit être traité en fonction de sa nature particulière. En général, nous pouvons utiliser le guide suivant. 1 - Virus : De multiples petites doses, en raison de leur capacité à se reproduire rapidement. 2 - Bactéries : Des doses plus élevées, à des intervalles plus longs. 3 - Champignons : Protocoles persistants, vérifier les parasites 4 - Elimination des métaux : Nécessité de fortes doses dans le temps 5 - Empoisonnement : De petites gorgées toutes les quelques minutes 6 - Parasites : doses élevées pendant une période minimale d’une semaine. Avertissements et contre-indicationsA titre préventif, n’oubliez pas que les anticoagulants peuvent interagir avec le traitement. Le dioxyde de Chlore ne fluidifie pas directement le sang ; il fait en sorte que les globules rouges se repoussent les uns les autres, ce qui modifie la numération. De nombreux patients qui prenaient des médicaments sur ordonnance pour leurs maladies “chroniques” ont constaté une amélioration suffisante pour pouvoir réduire progressivement leurs médicaments tout en effectuant des contrôles réguliers (hypertension, diabète etc.). Rappelez-vous que le dioxyde de chlore fonctionne comme l’oxygène avec le feu : trop peu n’a aucun effet, et trop, peut provoquer une réaction extrême. Expérimentez et décidez par vous même, en écoutant votre corps. Ne forcez rien. Si vous commencez un protocole et remarquez que quelque chose ne va pas, vous devez réduire la dose jusqu’à ce que les effets indésirables disparaissent, puis reprendre le traitement. Mais ne confondez pas cela avec les crises de guérison appelées aussi crises d’élimination, qui peuvent ressembler à des effets indésirables (comme en jeûne), mais qui signalent que le corps a entamé son chemin vers la guérison. De nombreuses personnes demandent combien de temps elles peuvent utiliser le dioxyde de chlore. Cela dépend de la maladie et de la dose. De petites quantités ne devraient pas poser de problèmes, même à très long terme. En fait, le résidu laissé par le dioxyde de chlore est de l’oxygène et quelques milligrammes de sel que tout le monde peut absorber. Il est inoffensif, même pour les personnes qui suivent un régime sans sel. Chaque personne peut suivre le traitement aussi longtemps qu’elle le juge nécessaire. Théoriquement, cela peut être pour la vie, bien que je ne vois aucune raison pour cela. Nous devons écouter notre corps ; lorsque nous ne nous sentons pas bien, nous pouvons utiliser le dioxyde de chlore pour nous aider à récupérer, en apportant de l’oxygène à toutes les zones acides et malades. Tenir compte de l’état, du poids et de l’âge de la personne traitée. Avant de commencer tout protocole, vérifiez d’abord la compatibilité pour éviter tout effet indésirable. Pour ce faire, mélangez une goutte de chlorite de sodium à 25% avec une goutte d’acide chlorhydrique à 4%, attendez une minute qu’il devienne ambré puis ajoutez 100 ml d’eau avant de le boire. Si aucun effet indésirable n'apparaît au cours des deux heures suivantes, vous pouvez commencer à suivre le protocole. En cas de surdosage :Prenez de la vitamine C, du jus de pomme fraîchement pressé ou quelques verres d’eau avec du bicarbonate de soude. Poursuivez le protocole établi. L’inconfort peut être causé par : De nombreux agents pathogènes qui sont éliminés en même temps. La toxicité des agents pathogènes mourants déversés dans le système. Ce qu’il ne faut pas manger ou boire : Laissez des intervalles de 30 minutes avant et après les repas et 1 ou 2 heures avant et après la prise de tout médicament sur ordonnance. Attendez au moins 4 heures avant de boire des jus antioxydants ou, mieux encore, évitez-les complètement. De préférence ne mélangez pas le dioxyde de chlore avec du café, de l’alcool, du bicarbonate, de la vitamine C, de l’acide ascorbique, du jus d’orange, des conservateurs ou des suppléments (antioxydants). Bien que ces substances n'interagissent généralement pas, elles peuvent neutraliser l'efficacité du dioxyde de chlore. Le CD n’a pratiquement aucune saveur et est facile à boire. Pour masquer sa saveur et surtout son odeur : Le boire froid, le dioxyde de chlore ne s’évapore pas en dessous de 11° C. Essayez de le mélanger à du lait de riz (dans un biberon ou un verre). Utilisez ¼ d’eau de mer et de l’eau minérale pour le reste. Liste rapide des protocoles pour vous montrer les immenses possibilités d'utilisation du dioxyde de chloreProtocole A : comme dans Amateur pour les débutants Protocole B : comme dans Basic Protocole C : comme dans CDS Protocole D : comme dans Dermatologie, pour les affections de la peau Protocole E : comme dans Enemas (lavements) Protocole F : comme Fréquent Protocole G : comme gaz, dans lequel seul le gaz de dioxyde de chlore est utilisé Protocole H : comme dans Home (maison) pour éviter la propagation des infections Protocole I : comme dans Insectes et morsures Protocole J : comme dans Joyful mouthwash (bain de bouche) Protocole K : comme dans Kit, combiné à du DMSO à 70% Protocole L : comme dans Lavatory, ou protocole du bain Protocole M : comme dans Malaria, avec des doses élevées Protocole N : comme dans Nippers ou Enfants Protocole O : comme dans Ophtalmologie, pour les yeux, les oreilles et le nez Protocole P : comme dans Parasites, protocole intense Protocole Q : comme dans Quenching burns / éteindre les brûlures Protocole R : comme dans Rectal Protocole S : comme dans Sensible, à très petites doses progressives Protocole T : comme dans Terminal, pour les maladies très graves Protocole U : comme dans Urgent Protocole V : comme dans Vaginal, avec irrigation Protocole W : comme dans Wow ! Vous pouvez aussi l’utiliser pour … Protocole X : comme dans détoX, pour éliminer les métaux lourds Protocole Y : comme dans hYpodermic CDI injection / intraveineuse Protocole Z : comme dans Zapper (générateur de fréquences) Méthodes d’administration du dioxyde de chlore (DC)Boisson : L’ingestion est la méthode la plus courante. On mélange du chlorite de sodium (NaCIO2) avec l’activateur, l’acide chlorhydrique (HCI), puis on attend environ 30 secondes à une minute jusqu’à ce que le mélange devienne jaune ambré. On ajoute alors 100 à 200 ml (selon le goût) d’eau pour le diluer avant de la boire. Le lavement : La deuxième méthode d’application la plus efficace est le lavement. Les parois du gros intestin absorbent rapidement le gaz liquide et le dioxyde de chlore est transporté vers le foie par la veine porte. Cette méthode est bénéfique pour toutes les maladies affectant le système hépatique et elle aide à éliminer les toxines acides puisque l’oxydation entraîne une alcalinisation.” Dans mon prochain article je ferai un résumé des protocoles faciles à utiliser. (Première partie) Le dioxyde de chloreAVERTISSEMENT LÉGAL“Ce document ne représente pas une recommandation d’un quelconque traitement médical. Il s’agit d’une expérience faite d’après les recommandations du Docteur Kalcker, dans son livre : La santé interdite, incurable, c’était hier. Et d’après les différentes vidéos trouvées sur le net à ce sujet. Tout cela m’a été recommandé par une personne qui vient jeûner régulièrement à CureNature et qui a vu sa récidive de cancer des deux seins avec métastases aux os se réduire de 40% d’après un pet scan réalisé 8 mois après le début du traitement au dioxyde de chlore. Qu’est-ce que le dioxyde de chlore ?Le dioxyde de chlore est juste le gaz de réaction du chlorite de sodium activé avec un acide qui est très soluble dans l’eau et s’évapore à 11°. Ce gaz se produit en mélangeant du chlorite de sodium à 25% et de l’acide chlorhydrique à 4%. Le dioxyde de chlore produit va alors saturer de l’eau en deux saturations et ainsi former le CDS. (Voir la vidéo explicative plus bas). Le dioxyde de chlore s’évapore dès 11°, il faut donc le conserver au réfrigérateur, et donc une fois déposé sur la peau, bu, pris en lavement ou d’une autre façon, celui-ci se réchauffe dans le corps et son action commence. Dès qu’il rencontre des éléments acides dans le corps ( métaux lourds, les virus, bactéries, microbes, petits parasites, champignons, toxines etc.) il dégage une forte quantité d’oxygène qui va oxyder ces acides et les rendre à l’état de cendres alcalines. Ces cendres sont inoffensives et facilement évacuées par le corps (urine, selles, transpirations etc.). Par ailleurs, l’oxygène agit aussi au niveau des cellules où il va métaboliser le glucose dans les mitochondries pour fabriquer l’ATP (l’énergie). L’ion de chlore, quant à lui, va se combiner avec un ion de sodium (toujours présent dans le corps), pour former la molécule NaCI qui n’est autre que du sel de table (chlorure de sodium), qui sera évacué par l’urine ou la transpiration. Pour obtenir du CDS, il est nécessaire de se procurer 2 produits;
Le CDS est une solution aqueuse concentrée de 0,3% (3000ppm) de dioxyde de chlore gazeux, sans teneur en chlorite de sodium (NaClO2) dans la solution et qui a un pH neutre. Le dioxyde de chlore n’est pas vendu en France, je vous laisse deviner pourquoi… Les 2 produits de base sont relativement bon marché et le kit de flacons et pipettes aussi. Ce qui ne nourrit pas BigPharma, d’autant plus si les gens guérissent tout seul ! C’est pour cette raison qu’il faut faire sa préparation soi-même, à moins que vous trouviez une pharmacie qui accepte de le faire. Une fois votre préparation terminée et que vous avez votre flacon de CDS, il faut prendre 10 ml (à mesurer avec la seringue) à diluer avec 1 litre d’eau pour obtenir 0,003% (30 ppm) en 10 doses de 100 ml (à boire toutes les heures en doses quotidiennes). Pensez bien à garder votre CDS pur et votre litre d’eau avec les 10 ml de CDS au frais à une température inférieure à 11°. D’autres protocoles proposent d’utiliser le CDS ou le CD de bien d’autres façons. Je vous en parlerai dans un prochain article. Qu’est-ce que le CD ?Le CD est un mélange de chlorite de sodium activé avec de l’acide chlorhydrique qui contient un pH acide. Il est meilleur en goût et peut être utile pour son transport facile mais il a une réaction gastrique secondaire. C’est la base de la fabrication du CDS. Que sait-on du dioxyde de chlore ?C’est un oxydant, c’est-à-dire une substance qui facilite la combustion car elle ajoute de l’oxygène à tous les processus, contrairement à d’autres médicaments. L’oxygène ne s’accumule pas dans le corps et c’est donc un processus pharmacodynamique très différent. De plus l’oxydation est utilisée de manière similaire et naturelle par nos cellules de défense, comme les neutrophiles en cours de phagocytose, qui n’est rien de plus que d’engloutir et de brûler l’ennemi, de manière très simple. L’un des aspects les plus importants est que le dioxyde de chlore est extrêmement soluble dans l’eau sans créer de liaisons chimiques, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un gaz qui se dissout vraiment complètement dans l’eau. Cela est dû au fait qu’il a une structure moléculaire qui est extrêmement similaire à la molécule d’eau, de sorte que pour cette raison entre autres, il se dissout complètement. Il est connu pour être capable d’éliminer les bactéries, les champignons, les virus et les petits parasites dans une large gamme de pH. Où trouver les produits ?Le Chlorite de sodium à 25 %, se commande sur le net. L’acide chlorhydrique se trouve dans le commerce mais pas à la bonne dilution, sur youtube, il y a des vidéos expliquant comment le ramener à 4%, sinon on le trouve sur le net déjà à 4%, mais un peu plus cher. Le kit flacons, pipettes, spray, compte-gouttes, sur la boutique du site www.curenature.fr Pourquoi le CDS est efficace dans notre corps ? d’après Le Dr Kalcker qui étudie le CD et le CDS depuis plus de 14 ansL’équilibre acido-basique de notre organisme“Le corps est une machine à combustion qui respire l’oxygène, indispensable à la vie. En respirant, nous remplissons nos poumons d’oxygène et nous expulsons le dioxyde de carbone (CO2), alcalinisant ainsi le corps. Lorsque le sang de nos veines traverse les poumons, il a un pH légèrement plus élevé d’environ 7.45. Cela signifie que nous alcalinisons le corps lorsque nous respirons, ce que nous faisons, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, même en dormant. Nous respirons entre 15000 et 25000 litres d’air par jour. L’apport d’une quantité suffisante d’oxygène est le facteur le plus critique pour maintenir l’équilibre acido-basique de l’organisme. Nous mangeons plus ou moins 700 gr à 1 kg d’aliments chaque jour, qui ont tous un pH inférieur à 7. Tout est plus ou moins acide. Ce qui se produit, c’est que, selon ce que nous mangeons, notre métabolisme devient plus facilement acide. Le sucre que nous n’oxydons pas ou ne brûlons pas provoque une fermentation qui elle est acide. Le processus de fermentation libère également de l’énergie sous forme de chaleur, mais seulement en petite quantité par rapport à l’oxydation. La fermentation produit environ 4 unités d’énergie, alors que l’oxydation en produit 36. La différence est évidente. Nous sommes littéralement du feu, la flamme de la vie, mais n’oubliez pas qu’il ne peut y avoir de feu sans oxygène. Lorsque nous faisons de l’exercice et du sport, 3 choses principales se produisent dans notre corps 1 - Nous brûlons des graisses 2 - Nous brûlons du sucre 3 - Nous brûlons les toxines Une fois que les globules rouges sont chargés d’oxygène dans les poumons, ils le transportent dans tout le corps à travers la circulation sanguine. Un fait intéressant et significatif est que le sang libère de l’oxygène dans les parties acides du corps, ce que l’on appelle l’effet Bohr. Le corps, à son tour, utilise l’oxygène dans les mitochondries pour créer une réaction. Cette réaction de combustion transforme de nombreuses substances acides toxiques en oxydes plus alcalins, que le corps peut ensuite éliminer ou utiliser à d’autres fins. L’oxydation est ce qui transforme les substances acides et toxiques en substances moins toxiques et alcalines. Pour combattre les toxines (comme un poison ou une autre contamination), le corps va d’abord augmenter la fréquence et l’intensité du pompage cardiaque, ce qui a pour effet d’augmenter la combustion et la température. Si le poison persiste, le corps va essayer de générer plus de chaleur, ce que nous ressentons comme de la fièvre, pour éliminer les toxines par oxydation. Ces toxines peuvent être le produit de bactéries, de virus, de champignons, de parasites ou de la consommation d’aliments.” Je me permets de rajouter que c’est ce que l’on observe en jeûne surtout à sec, les pulsations cardiaques parfois s’accélèrent, et le corps monte en température au point que l’on peut se baigner l’hiver dans une eau très fraîche et en ressentir un bienfait extraordinaire, ou se jeter des baquets d’eau très froide sur la tête, comme font les Russes. “Rappelez-vous que ce ne sont pas les bactéries elles-mêmes qui nous nuisent, mais leurs “selles” acides qui contaminent notre système. Il en va de même pour les parasites, dont l’acidité augmente en fonction de leur taille. Depuis ces dernières décennies, un nouvel ennemi est apparu : les aliments industriels qui contiennent pléthores d’additifs tels que les conservateurs artificiels et des antioxydants pour une plus longue durée de conservation. L’acidification provoque de nombreux problèmes, notamment coronariens, en raison de l’inflammation des artères. Les parois artérielles sont lisses par nature. Cependant, si l’organisme devient trop acide, cela provoque une inflammation. En conséquence, le corps doit contrer l’inflammation en diluant sa toxicité avec plus d’eau. L’eau supplémentaire créait un gonflement et un amincissement de la circulation sanguine. Comme le cerveau ne reçoit pas assez d’oxygène pour fonctionner correctement, le cœur doit compenser en pompant plus vite et plus fort. C’est l’hypertension. En même temps, le corps veut compenser l’acidité en éteignant ce feu acide avec du calcium. Nous savons que le calcium et l’acide sont antagonistes. S’il n’y a pas assez de calcium disponible, il va l’extraire d’un autre endroit, généralement des os, et avec le temps, il peut provoquer l’ostéoporose. Une fois que l’organisme a compensé l’acidité par le calcium, il reste un résidu, l’oxalate de calcium (calculs calcaires). Les plus connus sont les calculs rénaux ou de la vésicule biliaire, mais ce résidu peut aussi être responsable de problèmes artériels au niveau des valves coronaires, de problèmes de micro-circulation, de varices et d’une longue liste d’autres affections. De nombreuses sources affirment que pratiquement toutes les maladies impliquent un niveau d’acidose métabolique, ce qui signifie que petit à petit, le corps est devenu plus acide. Cette acidité permet aux agents pathogènes de pénétrer et de prendre le contrôle d’un système déséquilibré. La clé ici est la capacité d’oxydation sélective du dioxyde de chlore dans notre organisme. Personnellement, je pense qu’il s’agit de l’une des découvertes les plus importantes de l’histoire de l’humanité, permettant d'éliminer tant de souffrances inutiles dans notre monde, et ce de manière très efficace et économique. Si la révélation n’est pas conforme aux intérêts de l’industrie pharmaceutique, c’est une autre histoire. Ce qui est fascinant, c’est que non seulement le dioxyde de chlore est sélectif, mais qu’il réagit aussi différemment à chaque agent pathogène. Plus les bactéries sont acides, plus la réaction d’oxydation chimique est forte. Moins elles sont acides, plus l’oxydation est faible. C’est pourquoi elle n’affecte pas autant les bactéries symbiotiques, car leur pH est généralement plus proche de celui de l’organisme (elles sont donc symbiotiques). Pour qu’une bactérie puisse attaquer notre corps, elle doit avoir un pH plus acide que nos cellules. Mais l’acidité n’est pas la même chose que l’acidose. La médecine fait une distinction claire entre les deux, et les différences sont considérables. Alors que l’acidité est généralement temporaire, une véritable acidose peut mettre la vie en danger. Le sang ne doit pas être ni trop acide ni trop basique (alcalin). Pour être équilibré, le pH du sang doit se situer entre 7.35 et 7.45 environ. Une valeur inférieure à 7.35 est considérée comme une acidose. Notre corps utilise un système de compensation fascinant et intelligent pour maintenir un pH équilibré, principalement par la respiration. En expirant continuellement du dioxyde de carbone, nous alcalinisons régulièrement notre corps. La respiration agit comme le principal mécanisme de compensation, avec l’urine expulsée par le système rénal. On connaît deux formes d’acidose 1 - Respiratoire 2 - Métabolique L’acidose respiratoire est beaucoup plus courante, et les symptômes typiques sont l’essoufflement, l’augmentation de la pression artérielle et les palpitations. Les personnes atteintes d’acidose métabolique ont tendance à avoir une respiration laborieuse et profonde. Environ 80% de nos organes sont légèrement alcalins, notre estomac ne l’ai pas, pas plus que les aliments que nous ingérons. De mauvaises habitudes alimentaires peuvent entraîner une augmentation de l’acidité dans notre corps. Les sucres et les glucides provoquent une fermentation s’ils ne sont pas brûlés, ce qui crée à son tour de l’acidité dans les tissus de l’organisme. Il s’agit d’une acidité différente de celle de l’estomac, qui nous protège des agents pathogènes. Le concept de régime alcalin n’est pas lié à l’acidose ou à l’alcalose aiguë du sang, mais plutôt à l’acidification chronique des liquides et des tissus de l’organisme. D'après les tests effectués auprès d’une population à risque pour le paludisme, le dioxyde de chlore est très efficace pour enrayer les crises de la maladie. Pour plus de renseignements sur cette pathologie je vous conseille de lire le chapitre du livre de Andréas Ludwig Kalcker. Si l’utilisation du dioxyde de chlore n’est pas légale, le fait que nous ne puissions l’utiliser est un crime ! Il existe de nombreux brevets pour l’utilisation du dioxyde de chlore (liste page 51 et 52 du livre de Kalcker): “L’allemand têtu que je suis n’a pas pu me convaincre du contraire. J’ai consacré de nombreuses années à la recherche sur le fonctionnement du dioxyde de chlore et ses possibilités thérapeutiques” Le composé de dioxyde de chlore (CIO2) n’est pas une découverte récente. Humphrey Davy a fabriqué ce gaz en 1814 en faisant réagir de l’acide chlorhydrique avec du chlorate de potassium. La clé de nombreuses guérisons de diverses maladies par l’administration d’une seule substance (le dioxyde de chlore), et confirmée par des centaines de témoignages." Suite dans le prochain article. Comment soigner ses intestins, la suiteLe bilan en iridologieL’iridologie, étymologiquement «étude de l’iris», est un outil de naturopathie. Elle n’a pas de preuve au niveau scientifique mais a mainte fois montré ses preuves dans la pratique. Le but de l’iridologie est de définir un panorama du “terrain” et des tendances pathologiques. Elle permet de repérer à travers l’étude des iris (à partir d’une loupe ou d’un microscope spécialisé) les éléments toxiques de l’organisme, ses carences, ainsi que les perturbations nerveuses, les perturbations endocriniennes, les perturbations neuro végétatives, les séquelles de lésions ou maladies anciennes, les fragilités organiques et les atteintes organiques ou anatomiques. La couleur de l’œil peut donner de premières indications. En effet, la couleur bleue ou verte, correspondant à la constitution lymphatique, est souvent associée à des troubles de l’estomac et à une tendance des pathologies dues à l’acidification (acide urique, avec inflammations, rhumatismes, tendance à la déminéralisation). La couleur marron foncé, correspondant à la constitution hématogène, est souvent associée à des troubles hépatiques et des tendances aux pathologies circulatoires. La couleur marron clair, ainsi que deux couleurs différentes, correspondant à la constitution mixte, sont souvent associées à des troubles bilio-pancréatiques et une tendance à s’acidifier (acide oxalique) et présenter des pathologies articulaires. Or, toutes ces tendances auront des conséquences sur les intestins, qui sont en lien avec l’estomac, le foie et le pancréas, et donnent donc les premières indications sur les conseils qui pourront être donnés. L’iridologie divise l’iris en plusieurs cercles. Le premier, le plus proche de la pupille et fin (il faut un microscope pour bien l’étudier), est le cercle de malabsorption. L’iridologue observe s’il y a la présence d’un anneau gastrique ou cercle de l’estomac (cercle souvent blanchâtre autour de la pupille). Les autres signes sont un anneau sodique (cercle blanc près de la périphérie), une trame relâchée, une absence de collerette et une pupille en myosis (de petite taille). Le cercle formé par la collerette nous intéresse particulièrement car il reflète notre intestin grêle et notre côlon, et la qualité de la digestion et de la flore bactérienne. L’iridologue analyse la largeur entre la pupille et la collerette. Un cercle dilaté reflétant un côlon trop large, sa couleur, le marron clair signalant la présence de fermentation et la couleur foncée la présence de putréfaction (si le reste de l’iris est de couleur différente bien sûr). Des pertes de substance, appelées ogives ou cryptes, correspondent à une inflammation du côlon. Une trame relâchée uniquement dans ce secteur signale une muqueuse de mauvaise qualité, des intestins poreux, la présence d’une inflammation. Des radiis solaris ou rayons de soleil ne dépassant pas la collerette, signalent la présence d’un syndrome de l’intestin irritable, avec des somatisations nerveuses au niveau des intestins (douleurs abdominales dues au stress). Des radiis solaris dépassant la collerette indiquent la présence de parasites intestinaux. L’alimentationAvant de voir quels aliments peuvent nous aider à prendre soin de nos intestins, il faut savoir que le plus important reste la mastication. En effet, celle-ci fait intégralement partie du processus de digestion. Elle permet notamment la découpe des protéines, la pré digestion de l’amidon par l’amylase salivaire (représentant 40% de la digestion de l’amidon), et le Dr. Kousmine nous apprend qu’elle déclenche les autres sécrétions dans le reste de l’appareil digestif par voie réflexe. Il est également important de manger dans le calme. En effet, le système neuro végétatif (appelé également autonome), influence la digestion. Les émotions négatives telles que l’anxiété et la colère, qui mettent en jeu le système orthosympathique, vont diminuer la motricité gastrique et inhiber partiellement les sécrétions gastriques (à l’exception de l’acide chlorhydrique). Au contraire, les émotions positives et la relaxation, qui mettent en jeu le système parasympathique, vont dynamiser la motricité gastrique et augmenter les sécrétions. Dr. Kousmine explique également qu’il faut veiller à la cuisson de nos aliments. Car, si elle détruit des bactéries et parasites et augmente la gamme des substances utilisables (elle rend notamment plus facilement digeste les protéines), la cuisson détruit certaines vitamines et minéraux (nourrissant notamment les cellules de nos intestins) et certaines enzymes (ce qui nuira donc à la digestion). De plus, la cuisson, surtout à haute température, engendre d’après Dr. Seignalet un grand nombre de molécules complexes n’existant pas à l’état naturel, pouvant devenir toxiques pour l’organisme. Il faut également souligner l’importance de consommer des aliments issus de l’agriculture biologique et le moins transformés possibles. Elle sera ainsi plus riche en micronutriments et contiendra moins d’éléments que le corps ne connaît pas. Dans une revue de la littérature, Lerner et Matthias mettent en évidence que le glucose, le sel, les émulsifiants, les solvants organiques, le gluten, la transglutaminase microbienne et les nanoparticules, de plus en plus utilisés par l’industrie alimentaire, augmentent la perméabilité intestinale. Les auteurs font aussi le lien avec les maladies auto-immunes. Pour le Dr. Seignalet, il est important de revenir à une alimentation plus ancestrale. Il explique que l’alimentation moderne (issue de l’industrie agroalimentaire du XXe siècle) se différencie par la consommation de céréales domestiques qui ont muté, la consommation de laits animaux et leur dérivés, la cuisson de nombreuses substances, la préparation des huiles, la pollution alimentaire (pesticides,…), et le risque de carence en vitamines et minéraux (due notamment à l’appauvrissement des sols causé par l’agriculture intensive). Or, cette alimentation moderne est selon lui une des causes majeures de l’hyperméabilité intestinale non adaptée à notre muqueuse intestinale, elle attaque celle-ci. De plus, elle est également inadaptée à nos enzymes, qui, ne pouvant digérer certaines molécules, entraînent leur passage (via l’hyperméabilité intestinale) dans le sang, entraînant tout un tas de dysfonctionnement, comme nous l’avons vu. Le Dr. Seignalet explique qu’il a pu proposer son régime («alimentation originelle», notamment sans céréales mutées, sans produits laitiers, avec cuisson à basse température, et avec utilisation d’huiles vierges) à dix sportifs pratiquant généralement des activités d’endurance (dont la course à pied), avec une nette amélioration de leurs performances. Enfin, il faut aussi tenir compte des associations. C’est le Dr. Shelton, qui, au début du XXe siècle, reprend les travaux du Dr. Hay sur les incompatibilités digestives. Leur théorie est que la digestion est différente selon les aliments (enzymes différents) et selon le milieu (digestion des glucides en milieu basique et des protéines en milieu acide). Ainsi, trop mélanger les aliments (et surtout les glucides et protéines) rend la digestion difficile. Cependant, associer permet aussi de mieux assimiler (mieux utiliser les nutriments). Mais quelques règles restent à respecter pour éviter de mal digérer et d’abîmer nos intestins, comme éviter d’associer des amidons forts (céréales : blé, épeautre, maïs, riz, avoine, sarrasin) avec des protéines fortes (viandes des mammifères), dissocier aliments acides et amidons (par exemple le pain et la confiture), et de manger les fruits en dehors des repas. En ce qui concerne ce qu’il «faut» manger, dans son livre sur les intestins, le Dr. Médart donne des conseils généraux pour prendre soin de ses intestins : diminuer les glucides, en particulier les sucres simples (et supprimer totalement en cas de candidose) et amidons raffinés (sources de fermentation), diminuer la viande, assurer un bon équilibre en vitamines, sels minéraux, antioxydants, acides gras essentiels et acides aminés essentiels pour nourrir les cellules des intestins, consommer suffisamment de fibres, stopper les aliments allergènes (si IgE élevés dans les tests), diminuer ou exclure temporairement les aliments pour lesquels il y a intolérance (si IgG élevés dans les tests), notamment le gluten, et enfin éviter les agresseurs de l’écosystème et de la paroi intestinale que sont l’alcool et les laxatifs irritants ou les purges fortes et répétées. Sources Dr MEDART , Soignez le côlon irritable naturellement Comment soigner ses intestins
La naturopathie offre de multiples pistes pour prendre soin de nos intestins. Mais avant toute chose, il est utile de savoir où ils en sont en réalisant quelques analyses (bilans sanguins, analyse des selles, mais aussi bilan iridologique et bilan à résonance magnétique, etc.).
Bilan sanguin généralDans son livre sur les intestins, le Dr. Médart conseille de faire réaliser un bilan sanguin pour donner les premières indications sur l’état des intestins. (demandez conseil à votre médecin) Dans ce bilan, il est bien de mesurer la protéine C réactive (CRP), protéine qui est synthétisée par le foie après une inflammation aiguë dans l’organisme. On peut ajouter (ou la remplacer par) la CRP ultra-sensible (CRPus) qui mesure l’inflammation de bas grade, qui est plus utile puisque nous avons vu qu’une perméabilité intestinale déclenche une inflammation chronique de bas grade. On peut ajouter une mesure des globules blancs, IgE et IgG, pour évaluer la présence d’allergie et d’intolérance, puisqu’elles sont dues à des dysfonctionnements de l’intestin. Il est intéressant d’évaluer son statut en fer et en autres nutriments (vitamines, minéraux), qui, s’ils sont nombreux à être en carence, peuvent refléter un défaut d’absorption dû à une perméabilité intestinale. Le zinc est particulièrement intéressant car, comme nous allons le voir, il est en plus très important pour les intestins. Analyse des sellesPlus utile encore qu’une analyse de sang, l’analyse des selles peut donner de nombreuses indications sur le fonctionnement de nos intestins. Le Dr. Médart conseille de commencer par étudier l’aspect de nos selles. Si elles sont liquides ou en bouses, le transit est accéléré, avec une baisse de la résorption d’eau par irritation de l’intestin ou par augmentation de sécrétion de mucus. Si elles sont spongieuses, il y a augmentation de la fermentation et accélération du transit au niveau de l’intestin grêle. Des selles en pâte à modeler sont signe d’un excès de graisses non digérées ou de gluten mal digéré. Si elles sont colorées, le transit est souvent trop rapide (pas le temps pour les sécrétions) et/ou le foie rencontre des problèmes. La couleur rouge ou noire signale la présence de saignements. Enfin, si elles présentent des débris issus de l’alimentation, c’est qu’il y a eu un déficit de mastication ou un déficit de digestion (problème dans l’estomac). Le Dr. Kousmine ajoute que l’aspect idéal d’une selle devrait être une forme de saucisse de 4 cm et longue de 15 à 20cm, d’un poids de 100 à 250g (jusqu’à 370g pour les végétariens), de couleur brun clair (plutôt chez les végétariens) à brun foncé (plutôt dans les régimes carnés), avec une odeur d’ammoniac (signe de putréfaction), une première partie bosselée et le reste lisse, d’odeur faible, et qui ne devrait pas salir l’anus (ne nécessitant pas plusieurs feuilles de papier hygiénique). Nous avons vu qu’une bonne fréquence est de une à trois fois par jour, même si on parle de constipation seulement lorsqu’elle est inférieur à 3 fois par semaine. Le Dr. Médart ajoute qu’il faut voir s’il y a présence de gaz. S’ils sont très odorants, ils sont signes de phénomènes de putréfaction ou sont dus à des levures. S’ils sont très abondants mais peu odorants, ils sont signes de phénomène de fermentation. Le plus intéressant reste de faire analyser les selles par un laboratoire. On appelle ce test fécalogramme. Celui-ci pourra analyser le pH (normal entre 6,5 et 7,5 ; représentant des fermentations ou manques de sécrétions alcalines (issues du pancréas et de l’intestin grêle si inférieur, représentant des putréfactions si supérieur), la présence de pigments biliaires, la présence de mucus (signe d’irritation), la présence d’histamine (reflétant une inflammation de la muqueuse ou provenant des aliments), la présence d’IgA (en hausse en cas d’inflammation, en baisse en cas de souffrance des cellules), la présence d’une maladie cœliaque (intolérance au gluten), la présence d’aliments non digérés, la présence de fibres et enfin la présence de germes de la flore. Le Laboratoire Barbier, qui axe son activité sur les bilans biologiques spécialisés, vérifie également l’équilibre de la flore, dose une molécule en augmentation lorsqu’il y a perméabilité intestinale, et dose la calprotectine fécale représentative d’une inflammation intestinale. Autres analyses spécifiquesLe Dr. Médart nous explique le principe d’un test utilisé pour voir s’il y a perméabilité intestinale. Il s’agit d’un test urinaire après la prise d’une boisson riche en mannitol et lactulose, deux molécules qui ne sont pas ou peu métabolisées dans l’organisme, ce qui permet de les retrouver inchangées dans les urines. Le mannitol, petite molécule, pénètre normalement les entérocytes. La lactulose, plus grosse molécule, passe entre les entérocytes. Le dosage de ces deux molécules est réalisé 6h après la prise de la boisson. Si leur dosage est faible, c’est qu’il y a malabsorption. S’il est haut, c’est qu’il y a hyperméabilité intestinale. Si la lactulose est élevée mais que le mannitol est bas, c’est qu’il y a à la fois malabsorption et hyperméabilité. Dans les analyses urinaires, mais pour étudier la flore intestinale cette fois, le Laboratoire Barbier propose de mesurer la présence d’éléments bactériens ou fongiques dans le microbiote – ou les deux à la fois – en partant du principe que ces éléments entraînent la synthèse de métabolites qui se retrouveront dans les urines, représentatives de la présence des bactéries et/ou champignons, et donc d’une éventuelle dysbiose. Leur test Indican permet quant à lui d’évaluer la dysbiose bactérienne résultant de la prolifération de Clostridium, responsables de putréfaction et de la perméabilité intestinale, et qui vont produire l’indoxyl sulfate retrouvé (et donc mesuré) dans les urines. Le même laboratoire propose des analyses de sang en rapport avec le microbiote, comme une sérologie anti-candida, permettant de mettre en évidence une anomalie de la perméabilité intestinale et une mobilisation immunitaire vis-à-vis d’antigènes de Candida se retrouvant sous une forme mycélienne. Les résultats sont donnés sous forme d’échelle allant de «absence de réactivité» à «++++ : positif très fort». Il peut également être intéressant d’évaluer les sécrétions gastriques, plus particulièrement de l’acide chlorhydrique. En effet, un manque peut résulter en une mauvaise pré digestion des protéines (mal ramollies), qui, mal digérées dans l’intestin, pourront se retrouver dans le côlon et putréfier. Pour évaluer l’acide chlorhydrique, il est possible de réaliser le «test du bicarbonate» (à diluer dans un verre d’eau, à boire, avant de chronométrer le temps avant éructation ; si celle-ci n’arrive qu’après 2 minutes, une hypochlorhydrie est probable) ou le «test du vinaigre de cidre» (pris à jeun, qui améliore l’hypochlorhydrie et exacerbe l’hyperchlorhydrie). Enfin, notons le «test de l’haleine», à faire dans des hôpitaux, cliniques ou certains cabinets médicaux, qui mesure la quantité d’hydrogène et de méthane, anormalement élevée en cas de malabsorption du fructose ou du lactose, ou en cas d’effet SIBO (prolifération bactérienne pathogène dans les intestins). De nombreux tests et analyses peuvent donc aider le naturopathe à accompagner une personne présentant des troubles du tube digestif. Ceux-ci sont à associer à l’anamnèse, c’est-à-dire aux questions directes au patient sur ses antécédents (personnels et familiaux), ses symptômes actuels et son mode de vie (comprenant son alimentation). Suite dans mon prochain article Sources : KOUSMINE Catherine, Sauvez votre corps !, Paris : Editions Robert Laffont LABORATOIRE BARBIER. Disponible sur : https://www.laboratoirebarbier.bio/ Dr MEDART , Soignez le côlon irritable naturellement Le fonctionnement des intestinsLe tube digestifLorsque l’on parle d’intestins, cela comprend l’intestin grêle, le côlon et le rectum qui font partie du système digestif. Le tube digestif va de la bouche à l’anus, et les glandes annexes (glandes salivaires, foie, vésicule biliaire, pancréas), sont les alliées fonctionnelles indispensables. Le rôle du tube digestif est de transformer l’énergie alimentaire en éléments capables de nourrir les cellules du corps. Pour cela, le tube digestif reçoit et fait circuler les aliments de l’entrée (la bouche) à la sortie (l’anus), les rend solubles et les transforme en aliments assimilables (sucres simples, acides gras, peptides et acides aminés), leur permettant de passer de l’intestin au foie via le sang s’ils ont été jugés bons pour le corps. Il brasse également cet ensemble pour qu’il chemine à l’allure adéquate pour optimiser le temps de contact avec les transformateurs biochimiques, enzymatiques, acidifiants ou neutralisants, pour favoriser une bonne absorption, mais aussi pour contrecarrer tout développement microbien. La fonction des intestinsC’est donc dans l’intestin grêle que se déroule une grande partie de l’absorption, passage des nutriments dans la circulation sanguine et lymphatique. Celle-ci nécessite un tri et une reconnaissance des nutriments par le système immunitaire intestinal, qui reconnaît les aliments étrangers pour les laisser passer (c’est la tolérance intestinale) ou ne les reconnaît pas et les rejette. Le rôle du côlon (appelé aussi gros intestin) est de finir la digestion essentiellement grâce à de nombreuses bactéries, de réabsorber de l’eau et d’éliminer les éléments non assimilables via la formation des selles qui seront éjectées par l’anus. Ainsi la fonction de l’appareil digestif est de permettre l’entrée des aliments, leur digestion jusqu’à obtention de molécules simples, l’absorption de ces molécules vers le milieu interne de l’organisme et l’élimination des déchets de ces processus. Les intestins prennent le relais de l’estomac pour continuer la digestion des aliments. Les sucs digestifs en provenance du foie (la bile) et du pancréas, pleins d’enzymes terminant la découpe des aliments en plus petites molécules. Nos enzymes digestives agissent en effet comme de minuscules ciseaux qui découpent la nourriture jusqu’à trouver le plus petit dénominateur commun avec les cellules de notre corps (molécules de sucre, acides aminés et lipides). La digestion permet la transformation de certaines molécules avant qu’elles soient absorbées. Cela ne concerne pas les vitamines ni les minéraux, directement assimilables, mais les macro nutriments plus complexes qui nécessitent des transformations : les glucides, les lipides et les protéines. Notons le rôle des sécrétions biliaires et pancréatiques au pH alcalin et du mucus secrété par des glandes situées dans une partie de l’intestin nommée duodénum, qui vont neutraliser l’acidité du chyme. En effet, l’estomac est un milieu très acide permettant la pré-digestion des aliments et leur stérilisation, mais une fois dans l’intestin grêle, les enzymes ne sont efficaces qu’en milieu alcalin (pH entre 7,5 et 8). Ces molécules continuent leur cheminement dans l’intestin grêle où se trouvent les villosités et l’absorption des nutriments. Dans chaque villosité, les molécules résorbées alimentent un minuscule vaisseau sanguin qui les amène au foie (qui les filtrera, les modifiera, et les enverra au reste du corps ou les stockera). Les villosités s’appliquent aussi à faire avancer le chyme, nom du bol alimentaire à sa sortie de l’estomac. Les parois de l’intestin répondent à l’identique, constituant le réflexe péristaltique. Le chyme arrive dans le côlon, celui-ci assimile les substances restantes. Il lui faut 12h à 18h pour terminer la digestion. Il résorbe le calcium, et collabore avec la flore bactérienne pour offrir des acides gras et des vitamines K2, B12, B1 et B2. Ces derniers nutriments seront eux aussi envoyés au foie. Dans le côlon est absorbée l’eau pour maintenir l’équilibre hydrique et salin du corps. Rôle du côlonLe côlon peut se déformer, se détendre et former ailleurs des plis et des poches, puis se figer et recommencer. Trois à quatre fois par jour, il s’active un peu plus pour faire avancer le chyme. Si la masse est suffisante, les selles peuvent être alors évacuées à chaque fois. Mais la plupart du temps, on ne va à la selle qu’une fois par jour, alors que normalement, nous devrions aller à la selle autant de fois que de repas dans une journée. Alors que l’action involontaire de déféquer se fait via la moelle épinière qui va permettre l’ouverture du sphincter lisse interne, la décision finale de défécation va se faire par l’action volontaire via le système nerveux central : des récepteurs sensibles vont informer le cerveau pour permettre ou non le relâchement du sphincter commandant les muscles striés. Si tout va bien, nous devrions avoir des selles bien moulées, non odorantes, marron et non salissantes. Si ce n’est pas le cas, c’est qu’il y a des perturbateurs dans l’alimentation le plus souvent (produits laitiers, céréales, manque de fibres etc.) Les spécialistes pensent qu’entre la bouché que l’on avale et sa sortie au fond de la cuvette, il s’écoule en moyenne une journée. Mais cela varie beaucoup selon la personne et le type d’aliments et de mélanges d’aliments qu’elle a consommés, allant de 8h à 3 jours ½ ! Le microbiote ou flore intestinaleLa flore intestinale, appelée également microbiote, est l’ensemble des micro-organismes qui se trouvent dans nos intestins, principalement dans le côlon. Ces bactéries, virus, parasites et champignons seraient en effet 100 000 milliards à vivre dans notre côlon, soit 10 fois plus que le nombre de cellules qui constituent notre corps. Les Dr. Sonnenburg expliquent leurs différents rôles. L’un d’eux est de consommer et convertir les fibres alimentaires indigestes (essentiellement les polysaccharides complexes des végétaux) en composés essentiels à la santé, et que notre côlon peut absorber. En effet, cette conversion se fait par un phénomène de fermentation produisant des Acides Gras à Chaînes Courtes (AGCC), qui protègent l’organisme des inflammations. Le microbiote est aussi en communication constante avec la partie de notre système immunitaire située dans l’intestin. C’est le microbiote qui distingue les nutriments et les éléments pathogènes et qui en informe le système immunitaire. Plus de 60% de nos défenses dépendent de l’équilibre de notre microbiote. Celui-ci permet également de réguler le niveau d’inflammation dans nos intestins et dans tout notre organisme. L’inflammation, qui se signale par un œdème, une rougeur et une irritation, est la réponse de notre système immunitaire aux blessures ou aux menaces perçues. Or, certaines bactéries sont capables de recruter des cellules T régulatrices, cellules immunitaires qui régulent la réaction inflammatoire. Le microbiote exerce une influence sur le cerveau. Certaines substances chimiques qu’il produit communiquent directement avec notre système nerveux central à travers l’axe reliant le cerveau à l’intestin (nerf vague). Les bactéries peuvent affecter notre humeur, notre comportement, et altérer l’évolution de certaines pathologies neurologiques. La flore intestinale joue aussi un rôle dans la gestion du poids. Il est fort possible que le poids augmenterait lorsque les bactéries spécialistes des glucides prennent le dessus et fabriquent ainsi plus d’acides gras à partir des glucides non assimilables, lorsque les bactéries responsables de l’inflammation sont plus nombreuses, ce qui entraîne un stockage des graisses (dans la thyroïde, les médiateurs de l’inflammation viennent ralentir la production d’hormones, entraînant une baisse du brûlage des graisses) et/ou à cause de bactéries agissant sur l’envie (elles envoient des messagers lorsqu’elles ont eu ce dont elles raffolent, pour que, récompensée, la personne leur apporte une nouvelle ration plus tard). Le Dr. Médart ajoute que les bonnes bactéries occupent la place dans les intestins, empêchant les mauvaises bactéries de s’installer. Elles produisent des vitamines K et B et des enzymes, elles favorisent l’activité des entérocytes et neutralisent les substances nocives (ammoniac et certaines toxines). Les Dr. Sonnenburg expliquent que le microbiote intestinal nous est propre, et qu’il est aussi unique que nos empreintes digitales. Nous avons vu que les bactéries sont essentiellement présentes dans le côlon, mais on en trouve aussi dans l’intestin grêle (50 millions de bactéries par cuillère à café de matière alimentaire), et un peu dans notre estomac (peu en raison du milieu acide hostile). Au niveau du rectum, les bactéries représentent environ 50% du poids des selles. Il existe aussi chez chaque individu une flore buccale, cutanée et vaginale, qui ne sont pas indépendantes les unes des autres. La flore microbienne se développe essentiellement à la naissance, mais les dernières études montrent qu’elle débuterait déjà chez le fœtus. L’équilibre de la flore dépend de nombreux facteurs, comme le mode de naissance (vaginal ou césarienne), l’allaitement maternel ou non, la qualité de la diversification alimentaire, la vaccination précoce ou multiple, l’alimentation (respect des temps digestifs, respect des incompatibilités alimentaires etc.), les prises médicamenteuses (par exemple la prise d’antibiotique qui peut altérer la flore), le rythme de vie etc. L’activation de l’immunité commence en effet au contact de la flore vaginale et intestinale de la mère, puis avec le lait maternel qui fournit les nutriments et facteurs immuns. Par la suite, nous développons un microbiote qui fluctue selon notre alimentation principalement mais aussi de la région où nous vivons et de notre hygiène de vie en générale. Trop d’hygiène (désinfection) peut être défavorable. Le déséquilibre de la flore intestinale est nommé dysbiose. Des scientifiques ont montré qu’elle est observée chez les individus atteints de diverses pathologies telles que maladie de Crohn, syndrome métabolique, cancer du côlon, allergies et même autisme. Elle peut entraîner des désordres dans tous les systèmes de l’organisme. L’excès de sucreL’excès de sucre va nourrir un certain type de bactéries qui, en se développant, vont déséquilibrer la flore, entraînant une dysbiose. Parmi les bactéries qui aiment le sucre, nous retrouvons le Candida Albicans, levure qui se trouve naturellement dans notre microbiote à l’état de symbiose et qui est utile car il permet de métaboliser les derniers déchets de notre digestion. Il existe environ 70 souches différentes de Candida albicans dont une vingtaine est susceptible de devenir pathogène, passant dans la flore fluctuante. Pour devenir pathogène, il a besoin d’un milieu acide et riche en sucres et en amidon. D’après le diététicien Delage, les sportifs constituent une population à risque à cause des perturbations physiologiques et des conduites diététiques engendrées par l’exercice, qui offrent un terrain fertile à l’apparition, au développement puis à l’aggravation de la candidose. Or, il observe dans sa clinique que des problèmes de poids, des perturbations émotionnelles, des troubles digestifs, une fatigue chronique ou encore des tendinites à répétition sont liés à la présence d’une candidose chez le sportif. Pour cela, le Candida colonise la muqueuse en détruisant des bactéries de la flore dominante et sous dominante déjà présentes, entraînant au passage des troubles digestifs (diarrhée, constipation, ballonnements, gaz, douleurs, spasmes, démangeaisons anales), aggravés à l’effort. Il sécrète ensuite de nombreuses toxines dont certaines peuvent parasiter le fonctionnement cellulaire. De plus, la fixation de ces toxines sur des récepteurs sensoriels de la douleur pourrait accroître la souffrance (cause possible de la fibromyalgie). Conséquences du manque de masticationNous avons souvent l’habitude de manger trop vite, hors avec le manque de mastication, les protéines trop peu découpées par les dents et l’amidon trop peu pré-digéré par l’enzyme amylase présente dans la salive vont être mal digérées et se retrouvant dans le côlon, vont entraîner fermentation et putréfaction et donc encore une fois des gaz avec ballonnements. De plus, le manque de digestion, entraînant un manque d’absorption, pourra entraîner des carences en certains nutriments, avec de nombreuses conséquences sur tout l’organisme. L’excès de céréalesLes personnes qui mangent trop souvent des glucides, et parfois sous forme de céréales riches en gluten, peuvent entraîner des désagréments. Une autre conséquence de l’excès de céréales est le manque de zinc, dont l’absorption est freinée par la prise de céréales. Or, le zinc joue un rôle dans le maintien de l’intégrité de la muqueuse intestinale. Nous avons vu que les gaz étaient produits par nos bactéries, surtout en présence d’une alimentation très riche en glucides, entraînant un phénomène de fermentation. Une mauvaise digestion des protéines peut aussi entraîner des putréfactions. Conséquences d’une mauvaise santé intestinaleLa mauvaise santé des intestins a donc logiquement un impact sur le bon déroulé de la digestion, pouvant gêner par des troubles digestifs tels que nausées (voir vomissements), ballonnements (pouvant occasionner jusqu’à des douleurs de type cardiaques), diarrhées ou envie impérieuse de déféquer. Mais la mauvaise santé des intestins peut aussi avoir des répercussions indirectes sur de nombreux fonctionnements de l’organisme. Berthelot et Warnet expliquent que les molécules passant la barrière intestinale, en cas de perméabilité intestinale, peuvent migrer jusque dans les articulations. Celles-ci ne les reconnaissent pas et ne peuvent pas les éliminer. Elles encrassent donc les articulations et les agressent, entraînant un stress oxydatif et des réactions inflammatoires qui détruisent le cartilage. La première réaction sera donc des symptômes d’arthrite, soit une inflammation de l’articulation, douleurs, puis à long terme, par la destruction du cartilage, l’arthrose. Dans une étude, Huang et Kraus montrent que lors d’une perméabilité intestinale, des endotoxines peuvent migrer vers la circulation où ils contribuent à une inflammation de bas grade, ce qui entraîne des dommages structurels de l'articulation. Le Dr. Seignalet explique quant à lui, que cet encrassage empêche les chondrocytes, cellules de l’articulation, de fabriquer du cartilage. Il présente une figure sur cette théorie de l’arthrose, qui s’applique également en cas d’ostéoporose (perturbation par l’encrassage des ostéoblastes et ostéoclastes, cellules gérant la densité osseuse). Concernant l’arthrite, l’étude de Brebant montre un lien entre la présence d’une dysbiose (surabondance de la bactérie Ruminococcus gnavus) et la spondylarthrite, maladie inflammatoire chronique des articulations, laissant supposer un lien entre microbiote et inflammations articulaires. Le passage des endotoxines dû à la perméabilité intestinale n’agit pas seulement sur les articulations mais aussi les tendons. Elles peuvent se fixer sur elles, et l’inflammation va conduire à des tendinites, parfois chroniques. Nous pouvons également parler à nouveau de Candida albicans. Des études ont en effet montré qu’il pourrait être responsable de tendinites. Il produirait d’après une étude de Kaminishi une enzyme qui endommage le collagène (présent aussi dans les articulations). Les auteurs observent que cette enzyme détruit par exemple le collagène dans des tendons d’Achille sur des animaux. On peut citer le témoignage d’un rugbyman dans un article de La Nutrition, enchaînant les blessures au mollet (contracture, inflammation, douleurs au tendon d’Achille) pour finir par découvrir qu’il souffrait de candidose. Nous avons vu le rôle des intestins dans le bien-être psychologique, notamment via la synthèse des neurotransmetteurs. Berthelot et Warnet expliquent que pour produire de la sérotonine (hormone du bien-être) et de la dopamine (hormone de la motivation), il faut avoir un bon statut respectivement en tryptophane et tyrosine, acides aminés pouvant être produites par nos bactéries intestinales, et apportées par notre alimentation si la digestion et l’assimilation sont bonnes. Sources : LA NUTRITION, « Candidose chronique : “Ma vie était devenue un enfer” ». Octobre 2018. Disponible sur : https://www.lanutrition.fr/candidose-chronique-ma-vie-etait-devenue-un-enfer HUANG Z., KRAUS V.B., « Does lipopolysaccharide-mediated inflammation have a role in OA? », Nat Rev Rheumatol, 12(2), Février 2016, 123–129. SEIGNALET Jean, L’alimentation ou la troisième médecine, Monaco : Editions du Rocher, 2012. BREBAN M., TAP J., LEBOIME A. & al., « Faecal microbiota study reveals specific dysbiosis in spondyloar thritis», Annals of the Rheumatic Diseases, 76, 2017, 1614-1622. SONNENBURG Justin et SONNENBURG Erica, L’incroyable pouvoir de votre microbiote, Paris : Editions Eyrolles, 2015. MEDART Jacques, Quand l’intestin dit non, Vergèze : Thierry Souccar Editions, 2008. Les processus d'intoxication alimentaire
L’alimentation humaine (mais aussi animale pour l’élevage), s’est énormément modifiée depuis que nous étions cueilleurs-chasseurs dans les forêts tropicales. Plus grave encore l'évolution de nos repas depuis la dernière guerre mondiale, qui ne cessent de s’industrialiser et de s’éloigner de ce que la nature nous offre pour nous nourrir.
Nos organismes sont capables de s’adapter plutôt très bien en rapport avec ce qu’on leur fait subir, toutefois avec l'accumulation et les répétitions, notre génétique qui évolue que très peu dans le temps, s’embrouille et déraille. Au delà d'un certain seuil, que se passe t-il ?
“Au-delà d’un certain seuil d’intoxication, l’élimination fonctionnelle ne peut plus se faire, l'accumulation de toxines est à l’origine de la dégénérescence de diverses structures : les vacuoles* cellulaires envahissent toute la cellule et inhibent les processus vitaux, des calculs se forment par précipitation de matières excessivement concentrées dans les humeurs, les tissus présentent des infiltrations graisseuses ou calcaires, la dentine peut prendre une couleur foncée due aux matières amenées par le sang et diffusant à partir de la racine etc.
A ces troubles peuvent s’ajouter de beaucoup moins réversibles problèmes comme les dégénérescences dues aux maladies auto-immunes, cancers etc. Le rôle du système immunitaire étant d’assurer le maintien de l’intégrité de l’organisme, on peut supposer qu’il s’est génétiquement élaboré en fonction des problèmes qui pouvaient se poser à lui dans son milieu originel, dont bien sûr des éléments étrangers qui faisaient partie du milieu originel de l’homme lorsqu’il était cueilleur-chasseur. On peut donc raisonnablement envisager la possibilité que notre organisme ne soit pas forcément capable de réagir correctement face à certaines molécules qui ne faisaient pas partie de ce milieu. Certaines d'entre elles pourraient alors s’accumuler dans l’organisme sans être inquiétées. Il apparaît alors logique que le système immunitaire soit désemparé devant des cellules cancéreuses qui n’entrent pas dans son programme, comme par exemple, des cellules “cancérisées” par pénétration d’une molécule non originelle dans son noyau ? Lorsque le système immunitaire est trop fréquemment sollicité par une molécules étrangère, il se met dans un état de tolérance immunologique. L’organisme se laisse alors envahir par cette classe de molécules qui va pouvoir s’introduire dans les cellules et se fixer sur ses membranes. Si par hasard les molécules étrangères de sa membrane entrent dans la classe des molécules tolérées, la cellule incriminée risque de ne pas être reconnue par le système immunitaire et donc de ne pas être détruite par ce dernier. Elle pourra alors donner naissance à une tumeur en toute impunité. Pour inverser ce processus, il faudrait d’abord que le système immunitaire sorte de tolérance. Ce qui nécessite, notamment, la cessation d’apport de molécules étrangères par voie alimentaire.” D’après Dominique Guyaux Mais ce qui rend les choses très délicates, c’est qu’il n’y a pas que par l’alimentation que des molécules étrangères entrent dans notre organisme. Les produits d’hygiène et de maquillage pénètrent par la peau, les produits d’entretien entrent par la peau et les poumons ainsi que la pollution atmosphérique, les émanations de colle, peintures, produits de nettoyage des moquettes et tapis etc. Rôle des virus et bactéries
“En ce qui concerne les cellules particulièrement sujettes à renouvellement comme les gaines de myéline, les calottes articulaires, les reins etc. on peut supposer que certains virus sont programmés pour assurer leur démontage. “
On rejoint là, Anthony William dans Médical Medium qui incrimine toujours les virus et bactéries dans toutes sortes de pathologies et notamment le virus d'Epstein Barr extrêmement répandu dans la population. On estime que 95% des humains de la planète seraient infectés mais le virus reste en dormance la plupart du temps pour devenir parfois actif après un choc, un traumatisme, une maladie, un accident… Ce virus fait partie de la famille des herpès, il infecte les lymphocytes (globules blancs) et perturberait le fonctionnement de nos organes comme la thyroïde, le foie etc. C’est pourquoi, il est indispensable de réduire au maximum tout apport de molécules étrangères dans notre alimentation mais aussi dans notre environnement. Certes, nous subissons certaines pollutions et rayonnements, mais comme le colibri, faisons notre part sur ce que nous pouvons gérer :
Les utilisations de l’huile de ricin bio
Le ricin est un arbuste exotique qui pousse un peu partout en France, à la belle saison. Il est utilisé à des fins ornementales dans les jardins avec ses feuilles vertes ou rouges foncées et ses fruits rouges épineux.
En culture bio, la plante de ricin, intercalée entre les pieds de pommes de terre, repousse les Doryphores. Les graines contenues dans les fruits sont la source de l’huile de ricin, qui a diverses applications, et de la ricine, un poison. Les graines contiennent entre 40 et 60 % d'huile riche en triglycérides, principalement la ricinoléine. Seules les variétés à plus grosses graines sont utilisées pour la production d'huile, les formes spontanées ayant la plupart du temps de petites graines impropres à l'extraction d'huile. La totalité de la plante semble toxique en raison de la présence d'une lectine glycoprotéique : la ricine. La concentration en ricine est maximale dans les graines qui renferment par ailleurs des protéines, de l'eau et des lipides. Ces graines sont riches en une huile qui doit ses propriétés purgatives à la présence de l'acide ricinoléique. L'huile de ricin qui altère la muqueuse intestinale et provoque des pertes importantes en eau et en électrolytes (sels minéraux), d'où son action purgative intense et irritante. La ricine, protéine présente dans la plante et les graines, est une toxine redoutable. Les graines et les coques de ricin contiennent aussi d'autres produits toxiques, dont un allergène, plus difficile à rendre inactif que la ricine et pouvant provoquer une hypersensibilité chez les humains en contact avec ce produit. Cet allergène semble peu nocif pour les animaux. L'ingestion de graines, souvent accidentelle chez les jeunes enfants, peut provoquer des intoxications graves (en raison de la présence de ricine) nécessitant impérativement une prise en charge hospitalière. On considère que trois graines peuvent être fatales à un enfant, quatre graines peuvent déterminer une intoxication sérieuse chez l'adulte et six à huit graines peuvent lui être fatales. Ces chiffres sont cependant à nuancer, la gravité de l'intoxication dépend de la sensibilité individuelle à la ricine. De plus, selon que les graines sont mastiquées ou non, la gravité de l'intoxication ne sera pas la même. Lorsque les personnes intoxiquées sont prises en charge à temps en milieu hospitalier, l'issue de l'intoxication est presque toujours favorable. L'huile de ricin, obtenue par pression à froid des graines, est un purgatif puissant très prisé en médecine naturelle et en cosmétique. Toutefois, comme vous venez de le lire, en usage interne, cette huile n’est pas à utiliser régulièrement car elle peut provoquer de graves lésions aux intestins, qui sont déjà trop souvent malmenés par une alimentation délétère. Donc prudence si vous souhaitez faire des purges à l’huile de ricin, elles ne conviennent pas à tout le monde. Cette forme de purge permet l’élimination des colles, mucus et glaires principalement. Elle peut être suivie par un jeûne sec qui va aussi dans le sens des éliminations de type colloïdale. Pour obtenir un effet laxatif doux, prenez 6 à 8 gouttes ou maximum une cuillère à soupe pour nettoyer le sang, la lymphe et les intestins. Pour un effet plus puissant, selon ce que vous recherchez, vous pouvez aller jusqu’à 3 cuillères à soupe d’huile de ricin que vous pouvez mélanger à un peu de jus de citron ou d’orange pour faciliter l'absorption. Il ne faut plus boire ni manger tant que la purge n’ a pas fini de faire son effet. Pour les personnes souffrant d’allergies saisonnières, comme le rhume des foins, plusieurs gouttes d’huile de ricin chaque jour durant la période peuvent aider à contrôler l’allergie. Nombreuses sont les utilisations en usage externeEn cosmétique
L’huile de ricin est réputée comme “crème de nuit” antirides, comme démaquillant ou encore pour faire pousser plus rapidement les cils et les cheveux.
En hygiénisme
Pour les excroissances et kystes, masser doucement avec de l’huile de ricin mélangée avec du bicarbonate de soude.
Pour le vitiligo, masser doucement les régions affectées avec de l’huile de ricin tiède. Idem pour la corne sous les pieds, les douleurs articulaires, raideurs du cou etc. Si vous avez une irritation dans les yeux, 1 goutte d’huile de ricin dans les yeux favorise le drainage. Pour les infections aux oreilles comme les otites, mettez 2 à 3 gouttes tièdes dans le canal auditif et mettez un coton puis massez les régions arrière et inférieures de l’oreille. En cataplasme
Les cataplasmes se font avec une application de chaleur par dessus pendant 1 heure 30 ou plus.
Comment préparer un cataplasme d'huile de ricin ?
Imbibez une flanelle ou un tissu un peu épais, coupez en fonction de la grandeur de la partie du corps que vous souhaitez traiter avec l’huile de ricin. Laissez le tissu absorber l’huile (l’huile ne doit pas couler), puis appliquez votre tissu côté huile de ricin sur la peau directement. Couvrez avec un plastique ou un film étirable pour protéger vos vêtements et posez une bouillotte chaude par-dessus.
Contrairement au cataplasme d’argile, celui à l’huile de ricin n’a pas besoin de respirer et vous pourrez l’utiliser facilement 10 ou 15 fois juste en remettant un peu d’huile lorsque ce sera nécessaire. Le cataplasme d’huile de ricin n’absorbe rien, il permet simplement d'attirer les globules blancs dans la zone traitée, qui eux, feront leur job de nettoyage de la zone en question pour un meilleur fonctionnement de l’organe ou de la glande. Ce type de cataplasme est parfait pour relancer le fonctionnement de la glande thyroïde qui se trouve juste sous la peau au milieu du cou. Pour le foie, les intestins, les reins etc. Il faut garder le cataplasme au moins 1 heure ou plus et même une nuit entière si vous le pouvez et le faire tous les jours ou au moins 3 fois par semaine plusieurs semaines suivant vos symptômes. Lorsque vous enlevez le cataplasme, placez-le dans une boîte hermétique au frais pour une prochaine utilisation qui demandera peut-être d’ajouter un peu d’huile de ricin s’il vous paraît un peu sec. Après une quinzaine d’utilisations, jetez-le et recommencez avec un nouveau morceau de tissu. Il est possible par cette technique de traiter :
Pour les enfants
Pour les jeunes enfants, il est plus difficile de maintenir un cataplasme mais un simple massage avec de l’huile de ricin tiédie suffit en principe, pour calmer un mal de ventre par exemple.
Si l’enfant présente des symptômes d’appendicite, le masser tous les jours dans la zone de l’appendice peut éviter une opération si c’est pris à temps, mais ne négligez jamais l’avis de votre médecin en cas de doute. Ne laissez jamais votre bouteille d'huile de ricin à la portée des enfants. Où acheter votre huile de ricin bio ?
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Le microbiote buccale
Lorsque l’on parle de microbiote, il s’agit souvent du microbiote intestinal, appelé également flore intestinale.
Cette flore est tellement importante pour tout l’équilibre de notre organisme que l’on en parle comme d’un organe que les scientifiques étudient de plus en plus. Mais rappelons qu’un microbiote est un ensemble de bactéries vivantes dans une partie précise de notre corps mais aussi de la terre, jardin, potager, forêt etc. C’est un milieu vivant ; ces bactéries se forment, vivent puis meurent pour se renouveler en permanence sans que l’on ne s’en aperçoive la plupart du temps. Chaque type de bactéries a un rôle précis suivant où il se trouve. Aujourd’hui, je vais vous parler du microbiote buccal. La bouche est l’entrée du tube digestif. Comme tout au long du tube digestif, il y a un ensemble de bactéries qui nous protègent contre des bactéries pathogènes qui pourraient entraîner des maladies comme les caries, les infections, les gingivites etc. Toutes les maladies parodontales sont des infections causées par l’accumulation de bactéries pathogènes et des toxines qui s’accumulent sur le bord de la gencive, sur les dents, sur le palais, la langue et l’intérieur des joues. Ces dépôts que l’on remarque le matin au réveil proviennent de l’ensemble du tube digestif et donnent souvent mauvaise haleine. C’est le résultat du travail de détoxification naturel de la nuit lorsque l’on est au repos. En jeûne, le phénomène est accentué et peut durer plusieurs jours avec une impression de bouche pâteuse. C’est ce que l’on appelle aussi le biofilm qui, s’il n’est pas retiré avec une brosse à dent, provoque la plaque dentaire qui a des conséquences plus graves pouvant entraîner des problèmes cardiaques. Les risques s’accentuent avec l’âge. L’alimentation joue un grand rôle dans l’équilibre de notre microbiote buccale ainsi que l’hygiène comme le brossage adapté au minimum matin et soir. Un brossage adapté est un brossage vertical qui part du bord de la gencive pour aller au bout de la dent, sur l’avant de la dent comme à l’arrière, afin de retirer ce biofilm. Le matin il est préférable de se brosser les dents de cette façon avant même le petit déjeuner si vous en consommez un. Et peu de gens en ont conscience. Il est préférable de ne pas ravaler ce biofilm qui est constitué de bactéries mortes ou pathogènes… En plus des dents, le matin, brossez-vous les gencives (avec une brosse très douce), l’intérieur des joues, le palais et la langue. Il existe des râpes langues en cuivre justement contre les bactéries. Le brossage sert aussi à retirer des particules alimentaires qui peuvent rester coincées dans les dents. Ce brossage est donc adapté après les repas. Qu’est-ce qui provoque un déséquilibre du microbiote buccal ?Une forte consommation de sucre, particulièrement le soir, nourrit des bactéries pathogènes qui, si cette consommation est régulière, vont coloniser le tube digestif au détriment des bonnes bactéries. Une alimentation industrielle, riche en sucres, sels, graisses, produits chimiques etc. a des conséquences aussi sur l’ensemble des bactéries. Quels sont les aliments qui vont rééquilibrer notre microbiote ?Contre les bactéries qui provoquent les caries, nous savons que l’ail et le citron combinés ensemble ont un bon effet contre la bactérie Streptococcus mutans. L’ail seul a déjà un effet anti-microbien, mais associé au citron il est encore plus efficace pour inhiber la bactérie. Cette association rentre parfaitement dans un jus ou dans une sauce pour crudités. Le jus des “braves” de Robert Morse, repris par Thierry Casasnovas est intéressant puisque l’on passe dans l’extracteur de jus à part égale du citron, du gingembre, du curcuma. Et on ajoute facilement 1 ou 2 gousses d’ail. Le mélange de cannelle de Ceylan et de clous de girofle montre une activité antibactérienne très élevée. C’est un mélange que je fais lorsque je prépare du chai (du thé Indien aux épices) et si en plus des épices, vous ajoutez du thé vert qui possède lui aussi de bonnes propriétés antibactériennes pour la bouche, vous avez une boisson excellente et utile pour votre microbiote.
Les herbes méditerranéennes ont aussi un bon pouvoir sur les micro-organismes buccaux. Notamment le romarin et la sauge sclarée. Ce sont des plantes qui s’associent parfaitement dans les plats comme la sauce tomate crue ou cuite, avec des champignons etc.
Les polyphénols sont des antioxydants, ils aident à inhiber le développement et la progression des maladies parodontales et augmentent l’activité antioxydante des liquides buccaux. Ces polyphénols se trouvent dans les différents thés, (le fait de garder dans la bouche du thé vert ou noir 2 à 5 minutes accroît la capacité antioxydante de la salive), le jus de raisin et le vin rouge (sans sulfate si possible), le café etc. Le cacao (sans sucre) possède lui aussi des vertus pour prévenir les maladies parodontales. Vous pouvez consommer des fèves de cacao crues ou des éclats de cacao cru à croquer ou à utiliser dans une boisson ou un dessert. L’association de miel et de propolis est une bonne source de polyphénols. Ils ont des propriétés antibactériennes, antivirales, antiparasitaires, anti-inflammatoires et antioxydantes. Le miel et la propolis ensemble inhibent la croissance des agents pathogènes oraux tout en limitant la déminéralisation de l’émail. Le miel et la propolis protègent l’émail en inhibant la fixation des bactéries dégradantes et même en renforçant la surface de l’émail. Tous les miels de bonne qualité peuvent être utilisés, celui de Manuka est souvent cité car c’est celui qui est le plus étudié, mais n’importe quel miel joue ce rôle. Vous pouvez mâchouiller un peu de propolis avec une cuillère à café de miel en rayon par exemple ou y ajouter quelques gouttes de teinture mère de propolis pour renforcer le système immunitaire et pour la santé de votre bouche. Oil pulling ou bain de boucheUne pratique qui nous vient de la médecine ayurvédique consiste à faire un bain de bouche le matin au réveil avec de l’huile de sésame vierge de première pression à froid qui peut être remplacer par de l’huile de coco vierge. Il s’agit de prendre une bonne cuillère à soupe d’huile dans sa bouche et de la faire passer entre les dents et partout dans la bouche pendant environ 15 minutes puis, bien sûr, la recracher. L’huile est antifongique et permet de réduire la gingivite. Ses acides gras polyinsaturés atténuent également les dommages causés par les radicaux libres dans les cavités buccales. Elle apporte aussi quelques vitamines et minéraux aux muqueuses. L’alimentation physiologiqueSi vous optez définitivement pour une alimentation physiologique, composée essentiellement de fruits et de légumes, de graines germées, d’oléagineux etc. toutes ces choses comestibles que la nature nous donne, vous n’aurez pas d’inquiétude à avoir pour votre santé dans son ensemble. Et si parfois, pour une occasion spéciale, il vous arrive de manger autre chose de moins sain, ce n’est pas grave. Vous pouvez, après les repas de fêtes, prévoir un jeûne de quelques jours, pour rapidement éliminer ce que l’organisme ne peut gérer correctement. L'exposition croissante aux ondes électromagnétiques est un problème de santé publique majeur11/15/2022 L’exposition croissante aux ondes électromagnétiques est un problème de santé publique majeur
Tout le monde sait que les ondes électromagnétiques sont mauvaises pour nos organismes mais nous préférons faire les autruches, parce que c’est tellement bien d’être connecté !
70 % des études scientifiques indépendantes ont démontré que l’exposition à de faibles doses de radiofréquences peut effectivement présenter des risques à long ou moyen terme pour la santé, notamment des cancers cérébraux. La box wi-fiLes personnes qui vivent dans des immeubles pensent qu’il ne sert à rien de couper son xi-fi la nuit, parce que les nombreux wifi des voisins sont branchés. Mais si tout le monde pense ainsi, alors l’immeuble est plongé dans un tourbillon électromagnétique 24/24 et cela est franchement mauvais autant pour les humains que pour les animaux et les plantes. Plus votre box wifi est proche, plus vous recevez d’ondes électromagnétiques. La première chose à faire est de l'éloigner au maximum des zones où vous vivez le plus et surtout des endroits ou vous vous reposez comme la chambre à coucher, peut-être le salon mais aussi votre bureau si vous êtes en télétravail et que vous y passez plusieurs heures. Pourtant, bon nombre de personnes ont la box dans leur table de nuit, c’est totalement aberrant et dangereux. Quoiqu’il en soit, éteignez la box au moins la nuit si ce n’est lorsque vous ne vous en servez pas. C’est lorsque l’on est au repos, pendant la nuit qu’on est le plus vulnérable à toutes ces perturbations. Il existe des moyens pour contrecarrer les nuisances électromagnétiques, je ne les ai pas tous essayés mais une pomme de terre coupée en 2 près de la box, absorberait une partie de cette pollution. Le gros sel marin aurait la même propriété. Personnellement, je pose des bâtons de charbon actif de bambou à côté de la box et dans la pièce principale de la maison. Le charbon actif absorbe et adsorbe (attire à lui) la pollution de l’air, l’humidité, les odeurs et l’électromagnétisme. Il est recommandé d’utiliser les connexions internet filaires au lieu du Wi-F Les téléphones cellulaires
Beaucoup de jeunes passent leur soirée sur leur téléphone portable, utilisent leur appareil pour voir l’heure la nuit et l’alarme. Du coup ils ont leur téléphone actif tout le temps ou presque. Là aussi, plus le téléphone est proche de la tête plus il y a de risque de tumeur au cerveau. Le risque est accru la nuit lorsque l’on est au repos, donc prudence, ne laissez jamais votre téléphone actif près de vous lorsque vous dormez, mettez-le systématiquement sur mode avion. Attention le pire est lorsque vous rechargez votre téléphone dans votre chambre, c’est là qu’il émet le plus de pollution électromagnétique. Rechargez votre téléphone dans une pièce où vous ne séjournez pas et le plus loin possible de là ou vous vous reposez. “Le risque à la santé dépend de la dose reçue, explique Santé Canada : « Contrairement au téléphone cellulaire où l'émetteur se trouve à proximité de la tête, de sorte qu'une grande partie de l'énergie RF absorbée se dépose dans une région très localisée, l'énergie RF des appareils Wi-Fi est habituellement transmise à une distance beaucoup plus grande du corps. Cela entraîne des niveaux moyens d'absorption d'énergie RF très faibles dans toutes les parties du corps, tout comme l'exposition aux signaux de radiodiffusion AM/FM. » https://maisonsaine.ca/actualites/champs-electromagnetiques-douze-facons-de-se-proteger Les autres appareilsOn n’y pense pas toujours, mais les câbles électriques et tous les appareils branchés sur le secteur émettent un champ électromagnétique, même lorsqu’ils sont éteints. Alors si vous ne pouvez pas changer de place les câbles électriques qui passent dans votre chambre à coucher, évitez de mettre votre tête de lit près de ces câbles qui passent dans les murs. Prenez soin d’avoir le moins de choses possible branchées sur le secteur dans votre chambre. N’utilisez pas de réveil électrique, pas de téléphone sans fil, pas de télévision même éteinte dans votre chambre et aucun autre appareil qui ne soit pas indispensable dans la chambre. Il est possible d’utiliser une lampe de chevet solaire et un réveil à pile pour remplacer. L'électrosensibilité“Le groupe de travail Biolnitiative est composé de 29 experts indépendants qui ont passé en revue 1800 études publiées depuis 2007 sur le rapport entre les CEM et la santé. Ils affirment que la prépondérance de la preuve indique que les expositions très en deçà des standards de sécurité publique peuvent augmenter le risque de nombreuses maladies et conditions, du cancer du cerveau et de la leucémie aux maladies cardiaques et neurologiques, en passant par l’infertilité, l’autisme et l’électrosensibilité, en particulier chez les utilisateurs fréquents d’appareils sans-fil. Par exemple, les standards sont de 1000 à 10 000 fois plus élevés que les niveaux maintenant communément rapportés comme déclencheurs d’effets biologiques. La médecine moderne en est encore à débattre des origines des symptômes d’électrosensibilité tels que les maux de tête, l’insomnie, les troubles cutanés et les acouphènes (bourdonnements d’oreilles). « L’électrosensibilité n’est pas une phobie », nous a affirmé en entrevue le gastroentérologue Roy Fox, professeur de gériatrie et expert en médecine environnementale à l’Université de Dalhousie à Halifax, Nouvelle-Écosse. « Quand le système nerveux est dans un état d’excitation élevée, en réaction à l’environnement, on interprète cela comme de l’anxiété, relate le Dr Fox, qui est directeur médical du Service de soins intégrés des maladies chroniques, un centre financé par des fonds publics qui se spécialise dans le traitement des patients souffrant des conditions chroniques complexes telles que le syndrome de fatigue chronique et les sensibilités environnementales. Mais lorsque vous tombez malades et que tout ce à quoi vous êtes exposés aggrave votre condition, vous devez réduire vos expositions environnementales de façon à ce que le corps puisse récupérer. Nous enseignons à nos patients comment réduire les expositions chimiques et électromagnétiques et alors leur état de santé s’améliore. » “Le rapport BioInitiative conclut sans équivoque : « Un usage vigoureux du principe de précaution et des avertissements clairs de santé publique sont nécessaires dans l’immédiat pour prévenir une épidémie mondiale de tumeurs du cerveau due à l’usage des appareils sans-fil». En fait, l’épidémie a peut-être déjà commencé, selon le London Daily Mail du 24 avril 2012 : le taux des tumeurs du lobe temporal et frontal a grimpé de 50 % (de 2 à 3 personnes par 100 000) entre 1999 et 2009, selon l’Office britannique des statistiques nationales. De plus, « les données de l’Université Segalen de Bordeaux démontrent une augmentation annuelle de 1 à 2 % du cancer du cerveau chez les enfants ». En plus de la leucémie, ces champs magnétiques sont aussi soupçonnés de causer des maladies neurologiques ainsi que les cancers du cerveau et du sein. Ceci notamment en stoppant la production par la glande pinéale de l’hormone du sommeil, la mélatonine, un antioxydant très puissant qui freine la croissance des tumeurs. https://maisonsaine.ca/actualites/champs-electromagnetiques-douze-facons-de-se-proteger Comment se décharger de l’électromagnétisme accumulé ?
Protégez les enfantsLes enfants sont encore plus vulnérables que les adultes, alors si vous ne le faites pas pour vous, faites-le au moins pour les enfants sans oublier les femmes enceintes. Séjour Vitalité : le témoignage de Marc
Séjour Vitalité chez Hélène de Cure Nature à Latour Bas Elne dans le département 66.
J’ai bientôt 63 ans et je suis un jeune retraité. Mes fonctions de Chef d’Entreprises durant 30 ans ont passablement dégradé ma santé à cause du stress et des mauvaises habitudes alimentaires, deux facteurs déterminants qu’il y a lieu de « revisiter » si l’on souhaite prendre en mains sa Santé et retrouver une belle Vitalité. Problèmes cardiologiques, sommeil imparfait, faible énergie, arthrite douloureuse de l’épaule, apnée du sommeil, hyperactivité vésicale (urine toutes les 2h ), maux de dos … Bref, mon corps me signalait qu’il fallait réagir et vite ! C’est chez Hélène que j’ai pu trouver les réponses à mes questions et surtout une philosophie de Vie et des méthodes qui déclenchent une réelle et profonde prise de conscience de nature à enclencher le changement souhaité dans mon mode de vie. J’ai commencé chez moi, début octobre 2022, par une semaine de descente alimentaire (légumes & fruits). Le stage chez Hélène s’est enchaîné durant 2 semaines sur la même base de légumes et fruits naturels bio et crus. En même temps, le matin, des jus quotidiens de légumes verts ainsi que des petites doses (50ml) de jus d’herbe d’orge (à boire et en implant rectal) qu’Helene avait cultivé et fraîchement cueilli. Ce breuvage amer au début ne me plaisait pas mais au fur et à mesure je m’y suis fait notamment en songeant aux bienfaits de cette herbe miraculeuse que constitue l’herbe d’orge. Il s’en est suivi un jeûne hydrique de 12 jours (1 semaine chez Hélène et 5 jours à la maison). À la suite, j’ai repris doucement une alimentation à base de fruits et de légumes crus et bio (2 jours) selon les recommandations d’Helene qui reste disponible en cas de besoin. Puis en intégrant au fur et à mesure, laits végétaux, oléagineux, protéines, etc … sur une durée que moi même je me suis fixé avec raison et responsabilité. Il est clair que désormais mon alimentation exclue quasiment les glucides (sauf le fructose des fruits) ainsi que certaines céréales avec du gluten (pâtes, pizzas, ….) et les laitages animaux (surtout le lait de vache), et ce durant au moins une année … ou vraiment occasionnellement pour me faire plaisir et quand mon corps sera rétabli complètement et me le réclamera. Pour conclure, au bout d’un mois, je me suis allégé de 15 kgs, je suis en pleine forme et mes soucis physiques ont disparu complètement hormis la cardiopathie que je dois faire contrôler par mon cardiologue prochainement. Mais je me sens extrêmement bien ! Durant les deux semaines de stages Vitalité ou Hélène nous cuisinait également des petits plats naturels et bio (talent de crusiniere ), des thérapeutes sont intervenus et contribuaient à notre évolution mentale en vue de nous apporter Bien Etre et Confiance (massages divers, réflexologie plantaire, méditation, activités aquatiques …). Voilà, ce témoignage est sincère. Il est établi sur la base de ma propre volonté et sur mon profond ressenti. Je remercie infiniment Hélène et les thérapeutes compétents qu’elle a choisi pour nous faire du Bien ! Je recommande vivement de vivre cette expérience pour celles et ceux qui cherchent une voie d’amélioration de leur Santé et ont la volonté de changement pour retrouver moral et vitalité. Aimez-vous et offrez-vous ce cadeau ! Bon courage à toutes et à tous, Marc Vialis (département 13). Le 11 Novembre 2022 Entretenir notre musculature, même et surtout après 50 ans !
Nous savons qu’il est indispensable d’avoir une musculature suffisante pour éviter d’avoir mal au dos et aux articulations, pour avoir un corps svelte et harmonieux, mais ce que nous savons moins, c’est qu’après 50 ans, nous perdons doucement et progressivement cette masse musculaire, il est donc indispensable de la fortifier pour la maintenir, car la perte de cette masse a des répercussions sur notre santé.
Quelles sont les causes de cette perte musculaire ?
Nos cellulaires se renouvellent sans cesse, il faut leur apporter l’oxygène et l’énergie dont elles ont besoin. Il faut donc produire en permanence de nouvelles cellules et entretenir celles existantes. C’est le rôle principal des protéines. Il est recommandé d’en consommer chaque jour à raison de 0.8 gr par kilo de poids. Mais après 50 ans,il en faut plutôt 1 gr à 1,2 gr par jour et par kilo de poids du corps. Attention, nous parlons de protéines, pas de viande ou de poisson … 100 gr de viande apporte en moyenne 30 à 40 gr de protéines Une partie des protéines sont recyclées par notre organisme, malgré tout il faut un apport journalier Stimuler nos musclesNos muscles ont besoin d’être stimulés pour croître c’est pour cela qu’il faut avoir une activité physique quotidienne de 30 à 60 minutes, sans excès. Inutile toutefois d'aller obligatoirement faire de la musculation en salle. On peut le faire, mais l’activité physique peut être aussi de la marche soutenue, du vélo (pas électrique), de la natation, du jardinage etc. En vieillissant, nous sommes moins dynamiques, plus fatigués et nous avons donc tendance à avoir moins d’activités physiques, alors même que nous sommes à une période de notre vie où nous perdons de la masse musculaire progressivement à raison de 1% de perte par an environ. Il faut donc impérativement vieillir en bonne santé, avec une bonne hygiène de vie pour pouvoir continuer d’entretenir correctement notre corps. En principe ce n’est pas le temps qui nous fait défaut mais plutôt le manque d’énergie. La perte musculaire d’une personne âgée proviendrait à la fois d’une atrophie des muscles et d’une perte de fibres musculaires appelée hypoplasie. Les scientifiques supposent également une résistance métabolique car la musculature ne se développe plus de la même façon que lorsqu’on est jeune, même à stimulation musculaire et apport protéiniques équivalents. Des glucides, des graisses et nos musclesC’est pour toutes ces raisons que l’alimentation suffisamment riche en protéines, saine et associée à de l’exercice physique quotidiennement sont importants pour éviter de perdre du muscle et entretenir sa musculature. Métaboliquement, les muscles sont de grands consommateurs de glucose, si l’ensemble de la musculature est faible, les risques de perturbation de la glycémie augmentent. Dans ces cas-là, on observe aussi une augmentation des lipides musculaires intracellulaires. Cette infiltration de graisses est liée au développement de l’inflammation. C’est ainsi que se dégrade petit à petit l’ensemble du corps. Les protéinesLors de la digestion, les protéines issues de l’alimentation (protéines animales et végétales) sont dégradées en unités plus petites: les peptides, puis en unités simples: les acides aminés. La synthèse des protéines dans le corps nécessite l’apport de 20 acides aminés. 11 de ces acides aminés peuvent être produits par le corps à partir d’autres acides aminés. 9 d’entre eux sont dits essentiels , ils doivent être impérativement apportés de l’extérieur par l’alimentation. Mais attention, une alimentation riche en protéines est acidifiante, il faut donc bien choisir et équilibrer son alimentation. Il est préférable de consommer essentiellement des protéines d'origine végétale. Ces protéines se trouvent principalement dans les graines germées, les céréales, les oléagineux, les légumineuses, les champignons, la mâche, mais aussi dans le pâté de soja. La viande, les poissons, les produits marins (coquillages, crabes etc.), les œufs contiennent tous les acides aminés essentiels. Pour les végétaux, seuls le soja et le quinoa les contiennent tous également, pour les autres végétaux riches en protéines, il faut donc en général, associer céréales et légumineuses dans une même journée pour les avoir tous (pas forcément lors du même repas). Équilibrer son alimentation en consommant largement des légumes et des fruits qui apportent du magnésium et du potassium. En Résumé
Le longe-côte ou marche aquatique, un sport d'endurance doux et bien plus encore…Régénérant, ludique, accessible, ce sport de pleine nature permet de recharger les batteries au contact de l'océan. Zoom sur les bienfaits de cette pratique en vogue. Cette marche aquatique a l'avantage de pouvoir se pratiquer à tout âge, seul, à deux ou en groupe.Le longe côte, une communion avec la naturePour s'évader, pour se ressourcer, le longe-côte est avant tout un moment pour soi. Le matin, avant de commencer la journée, quand les premiers rayons du soleil font leur apparition, le midi, pour une pause bien-être, originale et sportive, le soir, pour décompresser et s'offrir un moment de calme... Quel que soit le moment de la journée, le longe-côte offre une coupure totale pour se reconnecter à l'essentiel : à la nature et à nous-même. L'océan, la mer : une thérapie naturelleÇa n'est plus à prouver : l'océan a un impact positif sur notre mental. Les embruns, l'eau fraîche et salée, le contact avec la nature, la sensation de liberté... En plus de booster notre système immunitaire, pratiquer un sport au contact de la mer a un effet relaxant et apaisant. Après une séance, on se sent bien, on se sent léger, aussi bien au niveau du corps que de l'esprit. On a laissé tous nos soucis derrière nous pour ressortir de l'eau plus apaisé. Ce sport en pleine nature est un vrai anti-stress naturel ! Le contact avec l'océan couplé à l'activité physique douce favorise également un sommeil réparateur. Moins de stress pour plus de bonheur et de lâcher prise, voici ce qui vous attend avec le longe-côte que Valérie, maître nageur-sauveteur, va nous proposer pendant le séjour vitalité en octobre au sud de Perpignan. Faire du longe-côte pour tonifier l’ensemble du corpsCe sport présente un avantage de taille : il se pratique dans l'eau. Avec le longe-côte, vous avez donc les bienfaits en version double : ceux de la marche et ceux du milieu aquatique. Avec la marche ou la course à pied traditionnelle, vos articulations peuvent vite être mises à rude épreuve du fait des à-coups au sol. Ici, pas de risque de traumatismes puisque vous évoluez dans l'eau. Entre le terrain inégal, le sable, la houle, le courant... En longe-côte, à chaque pas, on travaille sa stabilité et ses appuis tout en améliorant sa proprioception et sa motricité. L'eau offre une résistance qui, à chaque effort, permet de travailler les muscles profonds. Marcher dans l'eau demande un effort particulier, c'est toute la chaîne musculaire qui est engagée : le bas du corps avec la marche (mollets, quadriceps, fessiers, ischios-jambiers), les abdominaux ainsi que le haut du corps si vous vous aidez des bras pour avancer. Le longe-côte, un exercice bénéfique pour le système respiratoireÀ chaque sortie, vous prenez un grand shot des bienfaits de la mer ! Les ions négatifs libérés par l'eau en mouvement ont des effets positifs sur le fonctionnement de notre système respiratoire. Vous avez sûrement déjà entendu ces récits de personnes se baignant toute l'année dans l'eau de mer, qui assurent ne plus tomber malade ? Il y a de quoi s'en inspirer ! Moins de sinusites, moins de rhumes, moins d'infections respiratoires... Les effets bénéfiques de l'océan sur notre santé sont nombreux, alors, pourquoi s'en priver ? Le longe-côte présente de nombreux bienfaits, tant physiques que psychiques. Cette marche dans l'eau permet incontestablement d'améliorer sa condition physique sans jamais avoir de courbatures, mais vous procure également une sensation de bien-être et de liberté, provoquée par l'environnement dans lequel vous évoluez : la mer, l'océan ou le lac.
Les pieds dans le sable, nous marchons, faisons des pas chassés, des montées de genoux, le tout dans l’eau de mer avec un paysage splendide à perte de vue. Personnellement je l’ai pratiqué entre amies, mais il y a des coachs et des clubs de Longe-Côte qui le pratiquent toute l’année avec des combinaisons plus ou moins épaisses selon la température de l’eau.
Une séance de longe-côte dure entre 45 min et 1 h 30 en général. C'est donc un sport d’endurance qui va permettre de :
Améliore la circulation du sangComme tous les sports aquatiques, le longe-côte est bon pour les personnes qui souffrent de rétention d’eau. Ce sport va permettre un bon drainage des membres inférieurs en améliorant le retour veineux. La poussée du pied dans le sable demande une attaque franche du talon suivie d'un déroulement du pas souple jusqu'aux orteils. Après la séance, vous aurez une sensation de jambes légères. Non seulement ce sport est aquatique, mais en plus, il se pratique la plupart du temps en mer. Vous allez ainsi bénéficier de la qualité de l’eau de mer, et des sels marins, pour gommer la cellulite et lisser la peau. Améliore le système immunitaireGrâce à l’iode marin et l’effet d’eau fraîche qui ont un effet bénéfique sur l’immunité, vous tomberez moins malade. En effet, l’eau de mer permet de recharger nos batteries, et de purifier notre organisme. Efficace et douxEnfin, le longe-côte se pratique en profitant de la pesanteur de l’eau. Il est donc considéré comme un sport de décharge au même titre que le vélo ou la natation, car il est peu traumatisant pour les articulations. En faisant du longe-côte, vous vous entraînez tout en luttant contre la force de l’eau tout en sollicitant tous les groupes musculaires immergés. Avoir le dos dans l’eau permet d'éviter de forcer sur le bas de la colonne vertébrale. C’est un sport qui est fortement recommandé pour les lombalgies, car il améliore les douleurs. Si vous vous aidez des bras ou d’une pagaie pour avancer, vous faites également travailler le haut du corps. Vous allez pratiquer ce sport dans le meilleur endroit possible : la mer. En pratiquant le longe-côte à l’extérieur, dans un endroit non pollué, vous allez favoriser la bonne oxygénation de vos poumons et de vos muscles. Vous allez permettre à votre moral et à votre cerveau de s’apaiser le temps d’une séance. On parle aussi de sport anti-stress. C’est pour toutes ces raisons et pour l’avoir essayé, que je vous propose de découvrir et pratiquer ce sport lors du séjour vitalité du 16 au 29 octobre 2022. Prenons soins de nos intestins, notre santé globale en dépendConstipations, ballonnements, diarrhées, flatulences, fatigue, arthrose, diabète, hypertension, dysbiose etc. Tous ces symptômes peuvent être causés par un déséquilibre dans nos intestins.Lorsque nos intestins s’intoxiquent, cela porte un nom : la dysbiose, notre digestion ne se fait pas correctement et notre santé est menacée. On appelle parfois la dysbiose, la peste du 21ème siècle. C’est environ 30 millions de Français qui souffrent de ce trouble, vous en faites probablement partie, voyons donc ensemble comment prévenir et remédier à ces dysfonctionnements. 95% de nos maladies prendraient racine dans nos intestinsC’est probablement le savant Russe Elie Metchnikoff, qui le premier a commencé à s’intéresser à nos intestins à l’institut Pasteur en 1888 en étudiant la longévité des habitants des pays scandinaves qui depuis des siècles consomment leurs légumes lacto-fermentés majoritairement l’hiver car ils en ont peu à cette saison, les yaourts de kéfir riches en probiotiques etc. Les probiotiques sont des micros organismes qui enrichissent la flore intestinale. Il y a consacré toute sa vie et il a conclu que 95% des maladies sont provoquées par un déséquilibre de notre flore intestinale. Ceci est confirmé par les chercheurs aujourd’hui encore et même plus que jamais. Une bonne digestion permet d’extraire les nutriments de nos aliments et d’éliminer les déchets rapidement, régulièrement et complètement. Mais pour diverses raisons que nous allons voir plus loin, nos intestins n’arrivent plus à faire ce travail correctement. Les déchets contenant de plus en plus de toxines s’accumulent dans nos intestins, causant toutes sortes de problèmes digestifs et bien plus encore. Ces toxines passent dans le sang qui les distribue un peu partout dans le corps et provoquent des maladies parfois très graves (infections, tumeurs, Alzheimer, Parkinson, hypertension, diabète, surpoids, arthrose etc.) Flore intestinale ou microbiote désigne la même chose : l’ensemble des bactéries qui tapissent nos intestins. Ces bactéries sont extrêmement nombreuses, on parle de 100 000 milliards de micro-organismes probiotiques. Cet ensemble de bactéries représente un organe à lui seul qui effectue un travail considérable ; il nous protège des bactéries pathogènes indésirables (conservateurs, additifs alimentaires, sucre, eau chlorée, stress, métaux lourds, pollution, médicaments etc.) Il transforme et métabolise des vitamines, nous protège contre des virus et représente 80 % des cellules de notre système immunitaire. Il contient des bactéries qui nous protègent de certaines carences, contre certains cancers etc. Chaque partie de notre système digestif abrite une certaine catégorie de bactéries, de même que chaque partie de notre côlon abrite un type spécifique de bactéries, y compris notre appendice que l’on retirait un peu à tort et à travers autrefois, et que l’on enlève qu’exceptionnellement maintenant car les scientifiques savent aujourd’hui que l’appendice produit des bactéries qui nous protègent de certains cancers des intestins … Différents signes qui doivent vous alerter
Les problèmes de ce type ont tendance à empirer avec l’âge surtout après 50 ans. Les déséquilibres du microbiote peuvent être à l’origine d’un surpoids, d’un diabète, d’infarctus, d’hypertension, un état inflammatoire chronique etc. Nous avons pris l’habitude de nommer nos intestins notre deuxième cerveau, car il produit des neuromédiateurs tels que la sérotonine, l’hormone du bonheur, l’acétylcholine, la noradrénaline, le GABA. C’est pourquoi on associe souvent les maladies comme Alzheimer, Parkinson, la dépression, la fibromyalgie, la schizophrénie, les insomnies etc aux déséquilibres intestinaux. Nos intestins sont aussi le centre de nos émotions. Des selles normalesLes selles normalement constituées doivent être marron, inodores, ni trop dures, ni trop liquides. La déjection doit être rapide, non douloureuse, facile et votre papier pour vous essuyé ne doit pratiquement pas être sale. Si vos selles sont plutôt jaunes, vous êtes peut être intolérent au gluten ou vous digérez mal les graisses. Si elles sont vertes, vous digérez trop rapidement, ou votre foie détoxifie beaucoup. Si elles sont noires comme du goudron (ce qui peut arriver lorsque l’on commence à consommer de la casse), cela provoque l’évacuation de vieux déchets malodorants. Sinon cela peut provenir d’un saignement dans le tube digestif. Si elles sont plutôt claires presque blanches, c’est un problème au foie ou une inflammation des voies biliaires pouvant être provoquée par des calculs. Si elles sont rouges, vous avez des hémorroïdes qui saignent. Cancer du sein, des ovaires et de la prostateD’après Susan Erdman, microbiologiste de l’université du Massachusetts, l’appauvrissement de notre flore intestinale expliquerait la hausse du risque de cancer du sein, des ovaires et de la prostate. N’oublions pas que la zone intestinale est la zone la plus polluée de notre corps et que les organes qui se trouvent à proximité comme l’appareil reproducteur ou la prostate sont directement impactés par cette pollution. L’arthrose et les rhumatismesL’arthrose et les rhumatismes sont provoqués par l’inflammation chronique qui ronge les articulations progressivement. Elles deviennent douloureuses, rigides et gonflées. Le foyer de cette inflammation se trouve dans notre ventre. La perméabilité intestinale laisse passer dans le sang des molécules qui ne devraient pas se trouver là, mais plutôt dans nos selles. Ces bactéries toxiques entraînent une inflammation qui se généralise et elles se déposent sur les articulations, dans notre cerveau, dans notre système cardio-vasculaire et neurologique etc. Que faire pour éviter tous ces inconvénients ?La première chose est d’éviter autant que possible tout ce qui va fragiliser la muqueuse intestinale et l’accumulation de toxines. Le gluten et les produits laitiers sont toujours en cause, en les supprimant vous verrez une nette différence. C’est le Dr Seignalet qui le premier a mis en évidence leurs effets négatifs sur des personnes fragiles comme des schizophrènes, puis a étendu ses expériences à l’ensemble des pathologies qu’il a rencontrées. Éviter de boire de l’eau chlorée, de consommer des aliments industriels qui contiennent des produits chimiques, des végétaux traités aux pesticides et cie. Consommer en majorité des légumes et des fruits biologiques qui apportent des fibres naturelles. Vous pouvez aussi prendre un peu de psyllium chaque jour avec beaucoup d’eau. Boire suffisamment. Faire de l’exercice physique quotidiennement. Consommer des légumes, des fruits ou des jus lacto-fermentés régulièrement que vous pouvez faire facilement vous même.
Ou encore des boissons telles que le kombucha ou le kéfir. Mais aussi du pollen frais congelé qui contient naturellement des probiotiques.
Enfin vous pouvez faire des cures de compléments alimentaires probiotiques pour réensemencer la flore intestinale. La prise de probiotiques en complément d’une alimentation revisitée peut vraiment aider à vous débarrasser de vos problèmes digestifs et autres. Assurez-vous que les probiotiques que vous allez acheter sont vivants, ils doivent contenir plusieurs milliards de bactéries d’au moins 3 souches différentes et si possible fabriqués en France, car les contrôles sur la qualité sont stricts, par un laboratoire sérieux. Il faut en prendre tous les jours pendant une certaine durée puis renouveler la cure si nécessaire. Comment éviter la chute des cheveux ?
La nutrition est un des moyens les plus efficaces pour nourrir vos cheveux de l’intérieur et les aider à repousser. Certains disent même qu’elle peut contribuer à repigmenter les cheveux blancs, mais là, je demande à voir !
Les cheveux ont un cycle de vie en décalé pour nous permettre, en principe, d’avoir toujours une chevelure. Il y a 3 phases : La phase anagène, c’est la période de pousse qui dure de 3 à 5 ans. La phase catagène, qui est une étape de transition et dure environ 2 ou 3 semaines, le cheveux ne pousse plus. La phase télogène est une période de repos, le cheveu est “mort” mais reste attaché à son follicule pendant environ 3 mois et tombe. Puis le cheveu suivant commence déjà sa phase anagène. C’est environ 25 à 100 cheveux télogènes qui tombent normalement chaque jour. Les follicules pileux donnent naissance aux cheveux environ 25 à 30 cycles durant notre vie. Les causes de la perte de cheveuxIl existe plusieurs raisons à la perte des cheveux :
Les carences nutritionnelles ou certains excès peuvent aussi jouer un rôle mais on peut les corriger. L’hypothyroïdie est connue pour favoriser la perte des cheveux. Pour le savoir il faut faire un bilan thyroïdien. En plus de la TSH, il faut également doser la T4 et la T3 pour vérifier la conversion de T4 en T3, cette dernière étant la véritable forme active. La perte de cheveux peut être aussi liée à un microbiote trop pauvre ou déséquilibré. Dans ce cas, il est bon de faire des lavements ou des hydrothérapies du côlon, consommer des aliments riches en fibres comme les fruits et les légumes et éventuellement prendre des probiotiques. La kératine, une fibre capillaireLa kératine est responsable de l'épaisseur, de la forme et du volume des cheveux. C’est une protéine riche en acides aminés soufrés. Des études ont montré que 90% des patients atteints d’alopécie androgénétique étaient carencés en protéines. Il est donc important de consommer ni trop ni trop peu de protéines. Les recommandations à ce sujet est un apport de protéines minimum de 0,83 g/ kg/ jour. Pour une femme de 60 kg par exemple, il faudra un apport journalier de 50 à 90 g. de protéines chaque jour. A savoir qu’une part de viande ou de poisson apporte environ 30 g de protéines. 200 g. de légumineuses cuites apportent environ 15 g. de protéines. Un oeuf environ 6 g. Une carence en acide gras essentiels entraîne une diminution de l’hydratation des cheveux, voire leur perte, à cause d’un mauvais état des bulbes pileux. Les acides gras essentiels se trouvent dans les aliments naturellement gras comme les avocats, les oléagineux, la viande, le poisson, les œufs, les graines germées ou cuites comme le chanvre, le sésame, le lin, le tournesol etc. Les aliments ultra-transformés et riches en sucres simples favorisent indirectement la chute excessive des cheveux. De même qu’une surconsommation d’acides gras conduit à des troubles de la kératinisation. Source : Secrets de Nutrition (février 2022) Les 18 merveilles du jus d’herbe de blé ou d’orge
Le jus d’herbe d’orge est un aliment miracle de par ses qualités nutritives. C’est un excellent remède naturel. C’est une source de vitamines A, C et E. Il contient en abondance tous les minéraux connus comme le calcium, le phosphore, le fer, le soufre, le sodium, le cobalt et le zinc. Il est exceptionnellement riche en vitamines du groupe B et surtout la vitamine B17. Il contient environ 70% de chlorophylle qui est une substance considérée comme agent de guérison par excellence. La chlorophylle produit en environnement défavorable à la croissance des bactéries dans le corps et aide à l’élimination des poisons que l’organisme a emmagasinés au cours des ans. Elle permet aussi de purifier le foie et de reconstruire le système circulatoire. Elle favorise une bonne digestion et aide à stabiliser le taux de sucre dans le sang. Le jus d’herbe d’orge est un purificateur très puissant. Certaines personnes ressentent un peu de nausée en le consommant, cela vient d’une réaction à la présence de poisons relâchés dans l’organisme. Il faut commencer avec des petites quantités d'environ 30 ml et augmenter graduellement jusqu’à 125 ml par jour. Le jus d’herbe fait aussi partie d’un bon programme d’assainissement du côlon. On l’introduit directement dans l’intestin. Ce jus est très instable et se dégrade rapidement. Il est recommandé de le boire aussitôt extrait ou dans les 10 minutes. L’herbe coupée se conserve au réfrigérateur dans des contenants de plastique pendant environ une semaine. Si vous désirez congeler le jus, faites- le tout de suite après l’avoir extrait. Il se conservera environ 4 mois. Toutefois il est recommandé d’en consommer 2 fois plus, car la congélation altère une partie des nutriments. Du 16 au 29 octobre 2022, je propose un séjour vitalité avec des jus d’herbe d’orge frais chaque jour. Voyez le programme de ce séjour avec ce lien : 30 minutes d'exercice physique chaque jour, pourquoi ?Pour être en bonne santé et le rester longtemps, il est conseillé de pratiquer 30 minutes d’exercice physique chaque jour, mais pourquoi ?Si on prend l’exemple de la marche, au début, on brûle les sucres, au bout de 20 minutes de marche vive, on se met à brûler les graisses, puis débute la libération de 1004 molécules protectrices comme l’irisine. Qu’est-ce que l’irisine ?C’est l’hormone qui cause la transformation de l’exercice physique en chaleur et en énergie et qui transforme également la graisse en chaleur, lorsqu’il fait froid. Cette hormone, brûle la graisse lors de l’exercice physique, aide notre corps à éliminer les graisses et les empêche avant tout de se former. L’irisine semble booster l’activité de gènes et d’une protéine qui sont essentiels à la transformation des cellules graisseuses blanches en cellules brunes. Elle augmente aussi de façon significative la quantité d’énergie utilisée par ces cellules, ce qui indique qu’elle joue un rôle dans le brûlage des graisses. Les tests montrent que l’irisine est capable de freiner la formation de cellules graisseuses de 20 à 60%. En temps normal, notre corps ne produit que de petites quantités d’irisine. L’activité physique est la clé qui en accélère la production. Cette hormone améliore aussi, entre autres, la fonction cardiaque. L’irisine est également classée comme myokine, c'est-à-dire une cytokine, ou messager chimique, produit par les muscles. Elle présente de nombreux bienfaits pour la santé, notamment, elle : – réduit la formation de plaques d’athérome en empêchant l’accumulation de cellules inflammatoires, diminuant ainsi le risque d’athérosclérose – augmente le rythme métabolique et la dépense énergétique dans le myocarde (la couche la plus épaisse du muscle cardiaque), – favorise la biogénèse mitochondriale – provoque l’élongation des télomères dans les cellules. Chez les humains, la longueur des télomères et leur intégrité jouent un rôle dans les maladies, la prédisposition aux maladies et le vieillissement. Des télomères courts sont un facteur de risque de développer de nombreuses maladies, notamment un affaiblissement du système immunitaire, le diabète, des maladies neurodégénératives, des lésions athéroscléreuses et des dommages de l’ADN. Comme indiqué précédemment, l’irisine est un type de myokine, ou messager chimique d’origine musculaire, ou encore un type de protéine. Les myokines sont très anti-inflammtoires, et la recherche suggère que les myokines pourraient jouer un rôle important dans la lutte contre le syndrome métabolique et le cancer, mais aussi, elle augmente :
Ces molécules protectrices ont une durée de vie de 24 heures environ, l’exercice doit être quotidien pour façonner un bon bouclier de prévention. La vitesse de la marche en elle-même compte beaucoup. Afin que le système cardio-vasculaire circulatoire fonctionne au mieux, il convient d’accélérer le pas. Cette rapidité constitue un indicateur de l’espérance de vie en bonne santé, plus on marche vite, plus on met de son côté les chances de vivre longtemps. Qu’est-ce que l’on entend par exercice physique ?Il n’y a pas que la marche comme exercice physique, n’importe quel sport un peu soutenu fera l’affaire, comme la natation, le vélo, le tennis etc. Mais aussi faire le ménage, jardiner, peindre des murs etc. Ce que disent les scientifiquesGrâce aux dernières avancées scientifiques, nous connaissons aujourd’hui une formule d’exercice physique minimum à effectuer chaque jour pour maintenir le cap d’une bonne santé. Cela consiste à insérer, dans un temps physique modéré supérieur à 20 minutes, trois fois 1 minute d’effort plus soutenu. Des chercheurs ont en effet étudié les effets d’exercices physiques courts et intenses sur la physiologie et constaté que, dans chaque cellule, les centrales énergétiques que constituent les mitochondries devenaient plus performantes et plus efficaces en ces instants spécifiques. En s’accordant des pics de 4 à 5 minutes d’exercice plus intense sur fond d’exercice modéré de 30 minutes, les résultats sur la santé sont carrément excellents. Le seul fait d’intercaler 1 minute d’exercice très intense influe très positivement sur les capacités cardio-respiratoires et la sensibilité à l’insuline. Pour mémoire, une faible sensibilité à l’insuline conduit au diabète de type 2. Malgré qu’ils soient courts, ces instants intenses ont des effets métaboliques positifs sur l’organisme, la répétition de cette minute intense trois fois pendant un exercice modéré donnent un résultat optimal. Sources : https://www.pressesante.com/comment-booster-votre-irisine/ On est jamais mieux soigné que par soi-même du Dr F. Saldmann Comment rester jeune et en forme ?
“A 20 ans, on jouit de sa jeunesse, premier cadeau de la vie. A 50 ans, la jeunesse devient le cadeau que vous vous offrez par la qualité de votre mode de vie. A 65 ans, le taux de vieillissement est 125 fois plus élevé que chez un enfant de 12 ans mais des pistes ouvrent bien des espoirs.”
Dr Frédéric Saldmann Aussi, plus on avance en âge, plus il faut prendre sa santé en main, savoir se mettre à l’écoute de son organisme, afin de le connaître, le comprendre et l’aider. L’horloge ne tourne pas à la même vitesse pour nous tous et nous ne vieillissons pas tous de la même façon. Des chercheurs américains ont établi à quel âge commençait le vieillissement. Après avoir étudié tous les facteurs, leur réponse est formelle : 26 ans. La durée de vie maximale, selon l’institut Albert Einstein, est de 115 ans pour les femmes et 114 ans pour les hommes. Mais Jeanne Calment a prouvé que l’on pouvait atteindre 122 ans, donc ne perdons pas espoir et surtout comprenons bien ce qui se passe. L’âge immunitaireL’âge immunitaire est l’âge de notre système de défense et il n’a rien à voir avec notre âge chronologique. Bien-sûr, l’immunité baisse au fur et à mesure que les années passent. Actuellement il n’existe aucun médicament apte à accroître la qualité de notre système immunitaire. Mais en revanche, notre mode de vie, lui, agit directement lorsqu’on veut le rendre plus performant. L’activité physique régulière, le jeûne et la restriction calorique sont les plus performants pour préserver notre capital immunitaire. L’île d’Okinawa au Japon détient le record mondial du nombre de centenaires. Nombreux sont les chercheurs qui ont étudié les habitants de cette île et il en ressort que ce record de longévité en pleine forme venait très certainement de deux sources : Le maintien d’une activité physique quotidienne et une frugalité nutritionnelle. A plus de 100 ans, les doyens continuent d’entretenir leur potager, de consommer beaucoup de légumes et aucune sucrerie. Quant à leur moral, ils le maintiennent jour après jour en se levant le matin conscients d’avoir un but. L’inactivité fait vieillir… Comment vieillit-on ?La vitesse d’usure du corps dépend du mode de vie. Les organes vieillissants deviennent plus vulnérables à la maladie, certes, mais pas seulement. Nous savons qu’un organe fatigué génère des dégâts sur ceux restés fonctionnels. Le foie par exemple, s’il est gras (stéatose hépatique) à cause d’une alimentation délétère riche en gras et sucre, ne peut plus fonctionner normalement, il s’encrasse en accumulant les toxines et les cancérigènes, et dès lors, met en danger l’organisme tout entier. Quand un organe est défaillant, les autres paient les pots cassés. Tous les organes ne vieillissent pas au même rythme. Cela vient du code génétique que chacun possède à sa naissance, dont l’expression peut se modifier selon l’hygiène de vie. D’où l’importance de notre capacité à prendre notre santé en main. L’exercice physiqueUne équipe de chercheurs américains a découvert des hommes et des femmes de 70 ans dont les corps auraient pu appartenir à des personnes de 40 ans grâce à l’exercice physique quotidien. Après leur avoir fait faire du vélo d’intérieur et mesuré le taux d’oxygène que chaque individu produit, ils ont aussi pratiqué des biopsies musculaires pour apprécier la qualité des muscles. L’état cardiovasculaire de chacun a été analysé en détail, de même que la longueur des télomères, ces capsules situées au bout des chromosomes de chacune de nos cellules. Or on sait que plus les télomères sont longs, plus ils indiquent une vie en bonne santé durable, alors que réduits, ils traduisent des risques de cancers, maladies cardiovasculaires ou Alzheimer élevés. Ces capsules ne donnent pas l’âge chronologique, mais l’âge biologique. Voir mon article sur les télomères et le jeûne. Les chercheurs américains ont constaté que les cobayes habitués à faire entre 30 et 45 minutes d’exercice continu chaque jour depuis des dizaines d’années, avaient à 70 ans, l’organisme d’individus de 40 ans. Cela s’explique aisément : le sport quotidien agit comme un élixir de jeunesse, une sorte de potion magique aidant à défier les outrages du temps.
Les personnes âgées ayant une grande détermination intérieure, un mental d’acier, se sentent beaucoup plus jeunes, certes, mais surtout vivent bien plus longtemps. Faire de l’exercice physique tous les jours signe donc la force du mental, ce facteur clé de la longévité ! Les études signalent qu’au-delà de 60 ans même une activité physique modeste a de l’importance. Des chercheurs ont montré que des gestes quotidiens comme jardiner, étendre une lessive, faire le ménage, marcher etc. réduisaient de 22 % les risques cardiovasculaires. Plus l’activité est élevée, plus ce risque s’amenuise. Alors ne vous épargnez pas. Monter et descendre les escaliers, faire quelques pas, tout est bon à prendre. C’est la sédentarité qui tue à petit feu. Mesures d'hygiène au quotidien
Sans devenir parano comme certains ou certaines depuis le covid, en période de chaleur et avec l’humidité amenée par les orages fréquents, il est important de savoir où se trouve les plus grandes concentrations de microbes dans notre quotidien.
Les cartes bancaires et l'hygièneC’est de l’argent sale, au sens premier du terme. Ce sont des nids à microbes. Elles sont manipulées par toutes sortes de personnes, et chaque fois que nous nous en servons, elles ramassent un grand nombre de microbes. C’est la zone des chiffres en relief qui en contient une plus grande concentration. Lors d'analyses les scientifiques ont pu compter jusqu’à 300 colonies bactériennes par carte. Les cartes bancaires peuvent aussi être contaminées par des champignons. Le conseil est de nettoyer sa ou ses cartes bancaires avec un gel hydroalcoolique pour éviter qu’elles ne deviennent de véritables relais de contamination surtout en période de crise sanitaire de grippe, de gastro-entérite ou de covid. C’est un geste d’hygiène simple qui peut nous éviter de tomber malade bêtement ! Les menus de restaurants et l'hygiènePour les mêmes raisons, les menus dans les restaurants sont rarement lavés ou désinfectés. Les chercheurs ont noté que les menus faisaient office de supports à la contamination croisée microbes/aliments, provoquant gastro-entérites et/ou grippes. D’ailleurs depuis l’épidémie de covid 19, nombreux sont les restaurants qui ont opté pour le menu sur téléphone portable en scannant le QR code ou le menus “set de table” jetables. Comme pour les cartes bancaires, les chercheurs ont mis à jour une grande diversité de bactéries, dont des staphylocoques dorés connus pour avoir des durées de survie s’élevant jusqu’à plusieurs jours. Conseils : se laver les mains après avoir commandé votre repas et avant de commencer à manger. Attention : On retrouve le même problème avec les salières. Le mieux est de ne pas s’en servir puisque l’on sait que le sel augmente les risques d’hypertension artérielle et de cancer de l’estomac, stimule trop l’appétit et fait grossir inutilement. L’intérieur des voituresPour peu que vous mangiez dans votre voiture, qu’en plus vous utilisez la climatisation, autant d’habitudes qui créent les conditions idéales à la multiplication des microbes : du temps, de la chaleur, de l’humidité et des débris alimentaires. Conseils : nettoyez, lavez et séchez régulièrement le volant et les poignées intérieurs de votre véhicule. N’oubliez pas de vous laver les mains après avoir touché le pistolet à carburant. De nombreux objets douteux tout au long de l’étéSolutionAttention aux bracelets de camping, festivals, de montre, bijoux fantaisie etc. Proches des mains que l’on lave régulièrement, ils peuvent devenir de véritables nids à microbes qu’on ne lave que très rarement ou pas du tout ! Votre téléphone portable que vous avez parfois du mal à lâcher, qui vous suit partout y compris souvent dans les toilettes ! Attention aux aliments dans votre réfrigérateur, ne les gardez pas longtemps. Pire encore si vous les gardez à température ambiante. Cette liste n'est pas exhaustive... SolutionIl est important de se laver les mains régulièrement, cela permet également de se décharger de l’électro-magnétisme. Une solution simple lorsqu’il n’est pas toujours aisé de se laver les mains lorsque nous ne sommes pas chez nous, c’est d’avoir toujours un citron sur soi. Pressez un peu de jus de citron dans vos mains sans oublier les espaces interdigitaux et les ongles, puis séchez-les. Le citron est une arme anti bactérienne redoutable, naturelle et sans danger, à utiliser sans modération. Son pouvoir actif, en particulier contre les bactéries type staphylocoques dorés ou certaines souches d’Escherichia coli, est réputé. |
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