Les dérives alimentaires dangereusesLes manipulations génétiques, la culture et l'élevage à visée sélective
“La sélection artificielle des céréales a commencé voilà près de dix mille ans. Au néolithique, nos ancêtres choisissaient bien évidemment de replanter les plus belles graines de la récolte précédente. Le type de mutation qu’engendre cette méthode ne semble pas poser beaucoup de problèmes à notre organisme. Le mil de culture, par exemple, s’écarte de son frère sauvage, que d’une dizaine de mutations.
Aujourd’hui, toutes sortes de procédés sont utilisés pour obtenir de nouveaux produits, et chaque année apporte son lot de variétés jusqu'alors inconnues. Or, ces hybrides artificiels peuvent très bien synthétiser de nouvelles molécules en toute impunité si tant est qu’elles ne soient pas détectables par les appareils de mesure actuels. En 1997, les premiers aliments issus du génie génétique ont commencé à être commercialisés en Europe et l’hebdomadaire l’Express (N° 2332 de mars 1996) nous en parle en ces termes : “En France, la commission du génie biomoléculaire (CGB) est prête à délivrer les autorisations de mise sur le marché à une dizaine de produits manipulés :
La plupart de ces produits, plus faciles à cultiver, n’offrent de réels avantages qu’aux seuls producteurs. Les firment qui ont tant investi dans leur mise au point cherchent donc à nous persuader qu’il n’est pas plus dangereux de manger du "génétique" que de s’éclairer au nucléaire” Les aliments transgéniques se sont fait une place de plus en plus importante jusqu’à ce que leur consommation nous paraisse tout à fait naturelle. Quant aux éventuelles conséquences sur la santé de leurs consommateurs, seul l’avenir pourra nous en dire plus.” Le blé
Ah le blé ! représenté souvent par le pain, dont l’image s’est chargé de significations culturelles et religieuses qui se sont profondément ancrées en nous.
“Les éleveurs de volailles savent depuis longtemps qu’il ne faut pas leur donner de blé sous peine de les voir s’exciter au point de se picorer entre elles jusqu’à ce que mort s’ensuive. Ce n’est que pour augmenter leur excitabilité sexuelle lors de la reproduction qu'ils en introduisent une certaine dose dans leur alimentation.” “Depuis ses origines, qui remontent à environ -10 000 ans, le blé a subi de si nombreuses modifications qu’il serait fastidieux de les énumérer. Le blé passe par de multiples hybridations au point que les blés consommés aujourd’hui n’ont plus rien à voir avec leurs ancêtres. Leurs sept paires de chromosomes originels sont bien loin des 14 paires du blé dur utilisé actuellement pour les pâtes, semoules etc. Quant au blé tendre utilisé pour le pain, biscottes, brioches, pizzas etc. il n’en a pas moins de 21 paires ! Le blé avec sa teneur exagérée en gluten à cause des hybridations pour faciliter la fabrication du pain entre autres, est devenu un allergène puissant. Les spécialistes des allergies ont répertorié de nombreuses manifestations d’intolérance au gluten, jusqu’à la maladie coeliaque et des maladies neurologiques, sans parler des maladies psychiatriques. Ils reconnaissent même que cette substance est une des plus grandes causes d’allergie actuelle.” Ainsi, la suppression du blé dans l'alimentation conduira à une diminution des poussées d’adrénaline accompagnant les faux stress, de la timidité, des cauchemars etc. Dans certains pays la consommation du maïs est très importante et l’on peut dire qu’il y a pratiquement les mêmes inconvénients qu’avec le blé, sa consommation est devenue dangereuse. Je peux personnellement témoigner de l’effet immédiat des molécules anormales sur les enfants, qui par leur énergie nerveuse encore au top, ont des organisme qui réagissent immédiatement pour s’en débarrasser sous forme de nez qui coule, d’excitabilité à outrance etc. Mes deux derniers enfants qui ont eu une alimentation originelle, c’est-à-dire, crue, bio,non transformée ni mélangée (l’instinctothérapie) n’ont jamais crié ou pleuré sans raison, sauf les rares fois où, avec leurs amis, ils partaient discrètement dans l’un des commerces du village pour s’acheter des bonbons ou des gâteaux. Même si personne ne les avait vu partir, le seul fait de les voir le soir même s’énerver pour un rien, se disputer, crier, avec le nez qui coule, nous savions qu’ils avaient mangé quelque chose d’anormal. Les animaux d’élevage
La sélection artificielle des animaux d’élevage n’est pas plus exempte de risques que celle des végétaux, car il n’est pas démontré que ces manipulations n’entraînent pas l’apparition de nouvelles molécules dont nous ne pourrons détecter les effets nocifs que dans plusieurs générations.”
(Rappelons le scandale de la vache folle pour avoir nourri des bovidés comme des carnivores). Gardez en mémoire que les animaux d’élevage sont très mal nourris et leur alimentation n’est pas du tout conforme à leur génétique. Les produits laitiers
Les petits d’hommes doivent se nourrir du lait maternel et surtout pas d’un autre lait, même “maternisé” qui reste du lait de vache qui a subi des transformations.
Aucun mammifère à part l’homme n’a jamais bu le lait d’un autre mammifère et pourtant les animaux sauvages ne souffrent pas d’ostéoporose. Ce fait a été démontré en comparant l’état de l’ossature des peuples friands de lait de vache comme ceux de l’Europe du nord avec celui des peuples qui n’ont pas cette consommation dans leur culture comme au Japon (même si cela a bien changé ces dernières décennies). Le calcium bio disponible et parfait pour nous vient des oléagineux, des algues, des fruits et des légumes. Sources : Dominique Guyaux, Le régime du plaisir, guide de l’alimentation originelle à l’orée du troisième millénaire.
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