Le jeûne intermittent à secLe jeûne intermittent est très en vogue actuellement et pour cause. Dans les pays occidentaux, nous mangeons trop, trop sophistiqué et trop riche. Pour un adulte en bonne santé relative, faire 1 ou 2 repas par jour est bien suffisant, sauf si l’on pratique la mono-diète. Le jeûne intermittent à sec est beaucoup moins connu, il consiste à rester en jeûne sec, c'est-à-dire sans boire ni manger pendant un certain nombre d’heures. Habituellement, c’est la nuit, lorsque notre organisme est au repos, que nous ne mangeons pas et qu’en général nous ne buvons pas non plus, que notre organisme se met en mode nettoyage et régénération. Le tube digestif est au repos si notre dernier repas de la journée est consommé plusieurs heures avant notre coucher. Le foie peut ainsi éliminer et se régénérer car il a énormément de fonctions dans notre organisme. (plus de 2000 d’après Anthony William). En prolongeant ce jeûne naturellement programmé biologiquement en ne prenant pas de petit déjeuner le matin sans boire, même de l’eau, le travail interne est encore plus puissant. Si en plus, notre hygiène alimentaire et de vie en générale est plutôt saine, c’est tout bénéf ! L’idéal est donc de rester sans manger et sans boire pendant 16 heures (2 ou 3 heures le soir après le dernier repas jusqu’au coucher + les 8 heures de la nuit et prendre le premier repas de la journée vers 13, 14 heures selon votre organisation. Ne soyez pas effrayé, c’est juste une question d’habitude. Pour certaines personnes qui dorment mieux en ne mangeant pas le soir, on inverse le processus, leur dernier repas sera alors peut-être vers 14-15 heures et elles ne mangeront rien et ne boiront rien jusqu’au lendemain matin à leur réveil pour leur premier repas de la journée. La majorité des adultes se sentent mieux en pratiquant ainsi ce jeûne sec intermittent. Il me semble indispensable, dans ce cas, de s’alimenter en grande partie avec des fruits et des légumes crus pour bien s’hydrater. Vous savez sûrement que ce n’est pas l’eau seule qui nous hydrate, mais l’eau contenant des minéraux. Les jus de légumes frais, l’alimentation vivante, nous apportent l’eau riche en minéraux indispensables à notre organisme. Mais personnellement je déconseille le jeûne intermittent à sec sur une longue durée, si vous ne souhaitez pas faire évoluer votre alimentation vers plus de vivant. Essayez, c’est le seul moyen pour savoir si ce jeûne régulier vous convient. Vous n’êtes pas non plus obligés de le pratiquer tous les jours. Vous pouvez vous organiser pour garder cette hygiène de vie toute la semaine et, le week-end, vous lâcher un peu et prendre un petit déjeuner en famille par exemple. Il ne s’agit pas d’en faire une religion, juste de gagner en vitalité et de se sentir bien. Lorsque l’on ne consomme qu’un ou deux repas par jour, notre système digestif est plus performant et nous digérons beaucoup plus facilement. Personnellement je l’ai pratiqué longtemps, et je m'en sentais très bien. Toutefois, comme je suis une “guerrière”, (c’est le nom que me donnaient mes collègues lorsque je travaillais à Régénère avec Thierry Casasnovas), j’ai aussi testé la mono diète et finalement, j’ai trouvé que cette façon de s’alimenter avait plus d’impacts positifs sur moi. En quoi consiste la monodiète ?Il s’agit de ne consommer qu’un seul type d’aliment cru par repas. L’idéal et de le faire à l’instinct sans décider mentalement de ce que nous allons manger, mais plutôt de choisir parmis une sélection de fruits (dans le sens large : fruits sucrés, gras, en coque etc.), de légumes, ou encore des graines trempées ou germées, un aliment qui sent bon et nous fait saliver. De ne manger que celui qui a été choisi par notre odorat, en manger autant qu’on le souhaite et ne rien manger d’autre pendant 2 ou 3 heures. Dominique Guyaux pratique ainsi l’alimentation sensorielle en 5 ou 6 repas en mono-diète chaque jour. Personnellement, ayant pratiqué le jeûne intermittent depuis plus de 30 ans, je n’arrive pas à adhérer à ce nombre de repas. En revanche, faire 2 ou 3 repas par jour en mono diète m’est extrêmement bénéfique. Il semblerait que les mélanges d’aliments soient plus néfastes à la santé que la quantité. Le jeûne intermittent à sec peut se faire sans problème mais sur une durée peut-être un peu plus courte chaque jour. Il faut s’organiser et aménager son emploi du temps pour faciliter cette hygiène de vie. Bien entendu, cela ne peut fonctionner qu’avec des aliments natifs (tel qu’on les trouve dans la nature), sans artifice comme la cuisson, l'assaisonnement etc. Dans ces conditions, une cure de jeûne une fois par an, un peu plus prolongée suffira grandement à garder notre organisme en parfait état de fonctionnement. Mon seul conseil : Essayez sur vous-même avant de juger. Vous pouvez commencer par le jeûne intermittent, puis intermittent à sec et comparer votre ressenti. Quoi qu’il en soit, c’est une excellente préparation pour une cure de jeûne sec longue (entre 4 et 9 jours sec) pour celles et ceux qui pratiquent ce jeûne sec long, et j’ai régulièrement des personnes qui le font à CureNature. Et pourquoi pas, un jour, essayer les repas en mono-diète ? D’ailleurs c’est l’expérience que je propose pendant 3 jours environ après ce jeûne pour reprendre en douceur les aliments et remettre le tube digestif en route progressivement.
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4ème article : Le DMSO c'est quoi ?Le DMSO (diméthylsulfoxyde) est un produit que l’on achète facilement sur le net, vendu comme solvant. Son utilisation renforce l’efficacité de CDS dans certains cas comme pour faire pénétrer le CDS dans les articulations afin de capter les acides qui rendent douloureuses les articulations. Placez du CDS mis dans un flacon brun en verre avec un vaporisateur que vous conserverez toujours au réfrigérateur. Dans un autre flacon le DMSO (qui gèle à 18° et qu’il faut donc garder dans la maison pour pouvoir le pulvériser sur la peau), le diluer à 70% et le verser dans un flacon en verre ambré muni d’un vaporisateur. Lorsque l’on achète le DMSO il est pur à 99,9 %. Diluer le DMSO dans de l’eau déminéralisée à raison de 30 ml d’eau déminéralisée avec 70 ml de DMSO. Précaution : mettre une goutte de DMSO sur la peau puis attendre plusieurs heures pour voir s’il n’y a pas de réaction ( les réactions sont rares) On conseille de faire 2 pulvérisations; le CDS en premier puis le DMSO aussitôt après, jusqu’à 10 fois par jour, (toutes les heures) sur les articulations douloureuses mais aussi pour les problèmes de peau tenaces Voir la vidéo suivante : vidéo : S’il y a des rougeurs, mettre entre les applications de l’aloé vera ou espacer les pulvérisations. Avant d’utiliser les produits, se laver les mains et ne rien avoir sur la peau, ni savon, ni parfum, ni crème etc. RésuméAppliquez du CDS en spray sur une peau propre exempte de parfum ou tout autre produit. Puis pulvériser le DMSO. Répétez l’opération jusqu’à 10 fois par jour, 3 jours par semaine, en laissant la peau se régénérer les 4 autres jours. Préparation orale :Avec le CDS, mélangez le même nombre de gouttes de DMSO que de gouttes de CDS. Vous pouvez augmenter la quantité de DMSO jusqu’à une cuillère à café pour 250 ml d’eau, si nécessaire. Cette technique renforce l’efficacité du CDS comme dans le protocole J ou O. Les différents protocoles avec le dioxyde de chlore d'après Dr Andréas Ludwig Kalcker (3ème article, résumé du livre)
Dans son livre : La santé interdite, incurable, c’était hier.
AVERTISSEMENT LÉGAL"Ce document ne représente pas une recommandation d’un quelconque traitement médical. Il s’agit d’une collection de données recueillies auprès de volontaires et doit servir de base à de futures recherches professionnelles cliniques de niveau universitaire.” Ne pas oublier :
Parlons maintenant spécifiquement du protocole C : comme CDSLe protocole C ou CDS est un protocole universel, facile à suivre et pratiquement sans effets secondaires, ce qui le rend valable pour la plupart des traitements. Le protocole C consiste à boire 1 ml de CDS dilué dans de l’eau, toutes les heures, 10 fois par jour. Pour préparer votre boisson pour la journée, ajoutez 10 ml de CDS à 1 litre d’eau froide. (voir la vidéo)
Prenez une dose (un verre de 100 ml) toutes les heures jusqu’à ce que vous ayez fini le contenu de la bouteille (entre 8 et 10 prises) dans la journée.
N’oubliez pas d’espacer de 30 minutes à 1 heure avant et après les repas et 1 à 2 heures avant et après la prise d’un médicament sur ordonnance. Il n’est pas recommandé de consommer de l’alcool et du café. En cas de maladies graves ou potentiellement mortelles, vous devez augmenter la dose petit à petit, en buvant de petites quantités tout au long de la journée, en fonction de votre état, jusqu’à un maximum de 30 ml de CDS par litre d’eau. Si une grande quantité est nécessaire, préparez une autre bouteille. Réduisez le dosage en cas de malaise ou de nausée. Ne pas boire plus de 80 ml de CDS sur 12 prises quotidiennes. Le traitement peut être poursuivi aussi longtemps que nécessaire jusqu’à ce que le patient se sente rétabli. Ce protocole est utilisé pour traiter la plupart des maladies et comme une “détox” générale pour nettoyer le corps des toxines. Il s’agit probablement de la procédure de désintoxication la plus utile que nous connaissons. En cas de déminéralisation, vous pouvez ajouter 1/3 d’eau de mer. résumé :Nettoyage général : 10 ml de CDS par jour en 10 prises Maladie grave : 30 ml de CDS par jour en 10 prises Cas critiques : 80 ml de CDS par jour en 12 prises Parlons maintenant du protocole E : comme dans Enemas (lavements)Le protocole E ou protocole du lavement (Enemas en anglais) est l’un des plus efficaces, en dehors de l’ingestion, car il permet l'absorption du dioxyde de chlore à travers les parois intestinales pour qu’il puisse voyager via la veine porte, directement vers le foie. Le protocole est donc très indiqué pour tous les problèmes hépatiques, les maladies chroniques, l’empoisonnement du foie, les diverticules, l’élimination des parasites et des mucosités intestinales nuisibles. Les gouttes sont toujours activées dans un rapport de 1:1 Pour cela, il faut activer dans un verre 10 gouttes de chlorite de sodium avec 10 gouttes d’acide chlorhydrique, attendre 30 secondes à 1 minute puis verser le contenu de votre verre dans l’eau tiède de votre poche à lavement et procéder normalement à votre lavement en plusieurs petits passages ou en une fois. Essayez de garder 3 minutes le liquide dans votre intestin, avant de l’évacuer. Il est inutile de le garder plus de 5 minutes. Ainsi il aura le temps de passer de l’intestin au dans le sang et sera transporté vers le foie directement par la veine porte. Ce protocole est essentiel pour les affections chroniques du foie, les parasitoses, l’autisme et les maladies gastro-intestinales. Selon l’état de la personne, il est possible de faire ce lavament 1 fois par jour de préférence le soir avant le coucher. Ou tous les 2 ou 3 jours pendant 2 semaines et dans certains cas plus longtemps. Il est possible d’ajouter de l’eau de mer à raison de ⅓ d’eau de mer pour ⅔ d’eau filtrée tiède. La plupart des maladies ont pour origine le système gastro-intestinal. Le CD élimine la toxicité et désintègre les adhérences. L’élimination de la toxicité réduit la fatigue. Le CD élimine le biofilm, les bactéries, le candida, les champignons, les matières fécales encapsulées et les parasites. La veine porte permet un accès rapide au foie à partir du côlon. Le sang circule dans le foie toutes les 3 minutes. Le protocole est un moyen facile et rapide de désintoxiquer le foie et le sang. Il est efficace contre les maladies chroniques et auto-immunes. Cette méthode était déjà connue dans l’Antiquité et pratiquée jusque dans les années 60. C’est une méthode hindoue essentielle pour la guérison. Elle est indispensable pour les thérapies de désintoxication. Ce protocole est une substitution aux traitements oraux dans la plupart des cas. Protocole A pour les amateursCe protocole est destiné aux débutants qui commencent le traitement et qui peuvent être hésitants ou incertains. Il est indiqué également pour traiter les problèmes mineurs et pour l’entretien général. Premier jour : avant de se coucher, 3 gouttes de chaque produit activées dans un verre pendant 30 secondes puis ajouter 200 ml d’eau filtrée et d’eau minérale et boire. Second jour : Une heure après le petit-déjeuner, 3 gouttes activées de chaque produit dans un verre pendant 30 secondes, puis ajouter 200 ml d’eau et boire. Faire la même chose avant de se coucher. Troisième jour : faire la même chose que le jour 2 et ajouter une 3ème dose 1 heure après le petit-déjeuner. Puis continuer comme le jour 3 autant que nécessaire. Ce traitement peut être administré à long terme et comme routine d’entretien/prévention. Protocole B, comme basicIl consiste à prendre 3 gouttes de chaque produit activées 30 secondes avec un ajout de 100 à 200 ml d’eau à prendre toutes les heures, pendant au moins 8 heures par jour ou plus si besoin. Et cela pendant 3 semaines consécutives. Vous pouvez prendre les 6 gouttes activées / jour dans 1 à 1.5 litres d’eau pendant 3 jours Puis prendre 12 gouttes activées / jour dans 1 à 1.5 litres d’eau pendant 4 jours Puis 18 gouttes activées / jour dans 1 à 1.5 litres d’eau pendant 7 jours Enfin 24 gouttes activées / jour dans 1 à 1.5 litres d’eau pendant le 7 jours restant pour la cure. Protocole D comme dans DermatologiePour les infections cutanées. On utilise le CDS en application topique car il ne laisse aucun résidu acide grâce à son pH neutre et peut être appliqué non dilué directement sur la peau et pendant longtemps sans irritation en spray (flacon verre vaporisateur gardé au frais). Appliquez le CDS pure en spray sur les plaies, les brûlures et les autres problèmes de peau. Vous pouvez répéter l’application plusieurs fois par jour, jusqu’à une fois toutes les heures. Pour les zones délicates comme les muqueuses, il peut être nécessaire de diluer la concentration avec un peu d’eau. En cas de sensation de chaleur ou brûlure, rincer avec de l’eau. Pour une pénétration plus profonde de la peau, vous pouvez combiner le traitement avec du DMSO à 70 %. (Voir les détails dans le prochain article) Protocole F : comme FréquentCe protocole est particulièrement indiqué en cas d’infections virales soudaines. Il consiste à prendre 1 ml de CDS 0.3% dans 150 ml d’eau toutes les 15 minutes, pendant 1 heure et 45 minutes (8 prises). Ce traitement est limité à 2 heures par jour. Vous pouvez ensuite le faire suivre du protocole C pendant toute la durée nécessaire à la récupération. Pensez à attendre au moins une heure après les repas ou après une prise de médicament pour prendre le CDS. Puis une heure après la prise de CDS avant de manger ou prendre un traitement. Le protocole G (gaz) est plus approprié pour traiter les affections de l’oreille externePlacez un verre sur l’ouverture de l’oreille, ce qui permet au gaz de pénétrer plus profondément. Protocole H : comme dans home (maison)Ce protocole est basé sur les recherches du Dr. Norio Ogata et Takashi Shibata, qui ont prouvé que de petites quantités de CD dans l’air empêchent la propagation des infections. Protocole I : comme dans Insectes et piqûresPour toutes sortes de piqûres d’insectes ou d'araignées, ainsi que les piqûres de méduses. Pour les morsures de serpent et les piqûres de scorpions ou de raies, le protocole Y (injection hypodermique) peut également être nécessaire. Ce protocole est également efficace pour les brûlures. Imbibez un mouchoir ou une gaze de CDS, appliquez-le directement sur la morsure ou la piqûre et laissez sécher. Vérifiez qu’il n’y a pas de dard ou de barbes qui doivent être retirés. Répétez l’opération aussi souvent que nécessaire. Protocole J : comme dans Joyful mouthwash (bain de bouche)Ce protocole est bénéfique pour les problèmes dentaires, la mauvaise haleine, les aphtes et les champignons, l’inflammation, la décoloration des dents, comme bain de bouche ou pour le brossage des dents. Ajoutez 10 ml de CDS dans un verre avec 200 ml d’eau et utilisez-le comme bain de bouche et gargarisme, 3 ou 4 fois par jour pendant 3 minutes (ne pas avaler). Vous pouvez aussi utiliser le mélange pour vous brosser les dents et masser les gencives. Pour les inflammations sévères, ajoutez 1 ml de DMSO au mélange. Nous parlerons du DMSO dans un prochain article. Ce protocole a donné d'excellents résultats avant et après tout travail dentaire, en particulier comme précaution pour les implants, rendant les antibiotiques inutiles, grâce à ses fortes propriétés désinfectantes. Protocole K : comme dans Kit (combiné avec du DMSO 70%)Pour traiter la plupart des maladies de la peau, comme l’acné, le psoriasis, l’eczéma, le pied d’athlète, les plaies etc. On applique généralement sur la peau du CDS, suivi de DMSO, en spray toutes les heures, jusqu’à 10 fois par jour. Le DMSO ne doit jamais être conservé dans des flacons avec un compte-gouttes en caoutchouc, car il se dilue et contamine la solution. Application topique : Vérifiez toujours votre compatibilité au produit en l’appliquant 1 fois et attendre une heure (rare sont les personnes qui ont une réaction). Appliquez du CDS en spray sur une peau propre exempte de parfum ou tout autre produit. Puis pulvériser le DMSO. Répétez l’opération jusqu’à 10 fois par jour, 3 jours par semaine, en laissant la peau se régénérer les 4 autres jours. Préparation orale : Avec le CDS, mélangez le même nombre de gouttes de DMSO que de gouttes de CDS. Vous pouvez augmenter la quantité de DMSO jusqu’à une cuillère à café pour 250 ml d’eau, si nécessaire. Le DMSO fait l’objet d’un prochain article. Voir aussi la vidéo suivante : Protocole L : comme dans Lavatory (protocole de bain)Il consiste à un bain de désintoxication. C’est une alternative d’hydrothérapie pour éliminer les effets néfastes des toxines accumulées dans notre organisme et pour renforcer et guérir notre corps. Toute la surface de la peau est en contact avec le gaz du CDS pendant 20 à 30 minutes. Cette méthode permet d’obtenir des résultats assez rapides surtout s’ils sont combinés avec d’autres protocoles. Pour certaines personnes, cette technique a constitué une expérience définitive. Utilisez toujours une baignoire propre, ne mettez pas de savon ni d’autres produits dans l’eau. Activez 30 à 60 gouttes de CD avec l’acide chlorhydrique dans un verre (cela dépend de la grandeur de la baignoire). Remplissez la baignoire d’eau chaude à environ 37°. Veillez à ce que la salle de bain soit bien ventilée. Ajoutez le CD activé à l’eau du bain et remuez pour mélanger. Trempez tout le corps dans l’eau y compris la tête et le cuir chevelu. Ne vous inquiétez pas si l’eau entre dans vos yeux, le CD ainsi dilué est inoffensif. Vous pourrez ajouter de l’eau chaude plus tard si nécessaire. La chaleur dilate les pores de la peau et facilite la pénétration du CD dans l’organisme. Chaque bain doit durer au moins 20 minutes, de préférence le soir, avant le coucher. Ces bains en complément de tout traitement sont un moyen efficace d’éliminer les résidus accumulés dans l’organisme. Les plaies ouvertes ont tendance à guérir plus rapidement grâce à l’action désinfectante du dioxyde de chlore. Il est possible de rajouter 2 à 4 kg de sel marin non traité. Protocole M : comme Malaria (dosage élevé)Malaria ou paludisme. Ce traitement pour adulte consiste en une dose de 15 gouttes de CD activé, suivie d’une seconde dose de 15 gouttes de CD activé une ou deux heures plus tard. La plupart des symptômes devraient disparaître environ 3 heures après la deuxième dose. Si les symptômes persistent, les patients prennent 3 gouttes par heure par la suite. En cas de nausée, réduire la dose. Poursuivre le traitement sans dépasser les 3 gouttes par heure. Pour les enfants, le dosage est différent, voir avec le Dr Kalcker ou votre médecin. Protocole N : pour Nippers (enfants) et les adolescentsUtilisez 1 goutte de CDS dans 100 ml d’eau ou plus pour 12 kg de poids. Protocole 0 : comme dans Opthalmologie, ou yeux, oreilles et nezCe protocole consiste à préparer et à administrer des gouttes pour les yeux, les oreilles et le nez selon la procédure suivante : Mélangez les éléments suivants dans un petit flacon en verre avec un compte-gouttes en polyéthylène 50 ml de solution saline physiologique 5 ml de CDS 3 ml de DMSO dilué à 70% Conservez les gouttes ophtalmiques dans un endroit frais et à l’abri de la lumière afin de conserver leur efficacité à 100% pendant environ 3 jours. Passé ce délai, elles se dégradent rapidement. Comme le liquide est un désinfectant, il n’y a pas de risque d’infection, mais son efficacité diminue après quelques jours. Yeux : appliquez 5 gouttes de la solution toutes les 2 heures sur l'œil infecté. Oreilles : CDS : Ajoutez 2 à 4 ml de CDS à 30 ml d’eau chaude. Remplissez le compte-gouttes et placez-le dans l’oreille en étant couché sur le côté. Laissez-le pendant 1 ou 2 minutes et essuyez l’excès de liquide avec un mouchoir en papier lorsque vous vous levez. CD : activez 2 à 4 gouttes de CD (rapport 1:1) puis ajoutez 30 ml d’eau chaude. Demandez au patient de s’allonger sur le côté, l’oreille affectée tournée vers le haut. Remplissez le compte-gouttes et mettez la solution dans l’oreille et laissez-la 1 à 2 minutes, puis essuyez l’excès. Protocole P : comme dans Parasites (protocole intense)Il consiste à un protocole de vermifugation de trois mois. Il faut commencer le traitement dans les 3 premiers jours de la pleine lune et le poursuivre pendant la lune descendante. Tout au long du traitement, mais surtout au début, il est indispensable de pratiquer des lavements au dioxyde de chlore quotidiennement et de purger avec l’huile de ricin, sel d'Epsom ou un mélange de feuille de séné. Ce traitement est efficace surtout pour les parasites du gros intestin, principalement les nématodes de type ver rond comme Ascaris. Mais il est moins efficace contre les ténias. D’après le Dr Kalcker, de nombreux enfants autistes ont vaincu leur maladie avec ce protocole et tous ont expulsé de grandes quantités de “plasma parasitaire” (biofilm), ainsi que d’autres parasites. Après chaque élimination, ils ont montré une amélioration significative. Pour le traitement se référer au livre du Dr Kalcker page 130 et suivantes. Protocole Q : Pour éteindre les brûluresPour les brûlures graves, il est préférable d’appliquer directement le CDS en le vaporisant sur la brûlure. En principe cela apaise rapidement la douleur. Vous pouvez aussi tremper un chiffon propre dans le CDS et le laisser sur la zone affectée. Protocole R : comme dans Rectal avec un irrigateur de type seringue de gavageIl est spécialement conçu pour une application rectale d’une capacité de 100 et 150 ml (2 à 3 seringues de gavage).
Protocole S : comme dans Sensible (doses faibles et lentes)Ce protocole est destiné aux personnes qui ont une faible tolérance à l’ingestion de dioxyde de chlore. Protocole T comme Terminale pour les maladies gravesPour les maladies en phase terminale, en échec avec la médecine conventionnelle. Voir le protocole du Dr Kalcker page 144 de son livre ou encore mieux avec un spécialiste du dioxyde de chlore. Protocole U : comme dans UrgentIl est utilisé pour le traitement d’affection urgentes mais sans gravité ainsi que pour traiter certaines pathologies telles que les infections urinaires (cystites), les infections rénales, les otites, les gastro-entérites, les fièvres, les intoxications alimentaires, les vomissements ou les diarrhées soudaines ou tout malaise grave sans cause apparente. Buvez 6 gouttes de CD activé dans 200 ml d’eau. Répétez la même dose 2 heures plus tard. Vous devriez constater une nette amélioration à la fin de la journée. Si ce n’est pas le cas, consultez un médecin urgentiste. Protocole V : comme dans Vaginal, via irrigationIl est conçu pour traiter les affections génitales féminines telles que les candidoses, les mycoses, les polypes, le cancer du col de l’utérus ou les myomes. Il peut être utilisé également pour les cystites, les problèmes rénaux et les maladies sexuellement transmissibles puisqu’il empêche la contagion. Il peut même servir de contraceptif pendant la première heure qui suit le rapport sexuel, car il immobilise les spermatozoïdes. Fais 12 à 24 heures avant un rapport sexuel, il y aurait une augmentation de la fertilité due à l’élimination des agents pathogènes vaginaux. Avec un irrigateur vaginal ou une seringue de gavage ou encore d’une bouteille en plastique avec un goulot long : mettre 10 ml de CDS pour 1 litre d’eau tiède osmosée ou stérilisée. Ou 6 ml de CDS pour 500 ml d’eau tiède. Insérer le liquide dans le vagin avec un va et vient si possible puis gardez le liquide pendant 3 à 5 minutes. Répétez l’opération quelques heures plus tard, si nécessaire. Attendre au moins 40 jours pour ce protocole après un accouchement ou une opération chirurgicale. Protocole W : comme dans Wow ! Il peut être utilisé pour …
Protocole X : comme dans DetoX (pour éliminer les métaux lourds)Ce protocole est utilisé pour traiter l’empoisonnement aux métaux, actuellement très répandu en raison de tous les métaux présents dans les alliages, les pesticides, les fongicides, les peintures, les dissolvants, les teintures, les vernis, les textiles, les appareils ménagers, les cosmétiques et de nombreux autres produits. Les métaux sont également présents dans l’air que nous respirons, du fait de l’incinération des résidus industriels, de la fumée des usines, des gaz d’échappement des voitures etc. Notre organisme ne peut pas métaboliser ces métaux et a également des difficultés à les éliminer. Ils s’accumulent dans les reins, les nerfs, les graisses, les os, la peau, les poumons, les glandes thyroïdes ou le cerveau, avec de graves conséquences. Commencez par le protocole B de base pendant 3 semaines, puis reposez-vous pendant 1 semaine. En fonction du degré d’intoxication, répétez le traitement pendant 3 mois entiers. Après cette période, les niveaux de métaux devraient être plus faibles. Avec des analyses de sang, il est possible de vérifier les résultats. Protocoles Y : comme dans les injections hypodermique - CDSSeuls les professionnels de la recherche dans le secteur de la santé devraient effectuer ce type de traitement. Protocole Z : comme dans Zappeur - générateur de fréquencesCe protocole utilise un appareil appelé Zappeur de fréquences d’impulsions rectangulaires à usage thérapeutique. Le principe est que l’appareil peut émettre la même fréquence que les agents pathogènes ciblés de manière sélective. Les agents pathogènes sont agités et meurent, sans que l’organisme ne soit affecté. RésuméRappelez-vous que le dioxyde de chlore doit toujours être utilisé en combinaison avec l’activateur dans un rapport de 1-1. Conservez toujours l’activateur dans un flacon séparé. Le CDS a une couleur jaune et le gaz CD est capturé dans l’eau. Il a un pH neutre. Le dosage correct est celui qui ne provoque pas de malaise, de nausée ou de diarrhée. Si cela se produit, réduisez la dose mais poursuivez le traitement. Suivez un régime alimentaire sain et approprié pour protéger votre système immunitaire. Ne pas oublier : Les éléments qui neutralisent l'effet du dioxyde de chlore :
Des personnes ont pris du dioxyde de chlore pendant des mois sans que leur santé ne s'améliore parce qu'ils n'avaient pas suivi ces règles. Donc, si vous avez besoin de prendre des produits de la liste ci-dessus dans votre journée, prenez-les en dehors des dosages. Cela signifie soit quelques heures avant de commencer votre dose quotidienne, soit attendre 2 heures après votre dernière dose. L’ingestion de CD ou CDS tous les jours ou au moins 2 fois par semaine aide à garder notre système lymphatique propre, à augmenter notre oxygène cellulaire, ce qui permet l’alcalinisation du corps. Comme pour tout, il ne faut pas en faire trop, mais de nombreuses petites doses font une grande différence. N’oubliez pas que ces 50 dernières années, nous avons assisté à l’apparition de nombreuses nouvelles maladies. des millions de personnes souffrent et meurent à cause de maladies qui sont, dans de nombreux cas, d’origine humaine ou induites par l’alimentation industrielle. Soyons clair, le dioxyde de chlore est très efficace, mais ne guérit pas tout. Le CD et le CDS éliminent la plupart des toxines, ils ne peuvent pas tuer les gros vers intestinaux. C’est pourquoi un traitement vermifuge d’accompagnement est vital, surtout chez les personnes qui manipulent des animaux ou vivent avec des animaux de compagnie qui n’ont pas été vermifugés depuis plus d’un an. N’oubliez pas que lorsque les parasites meurent, ils peuvent générer encore plus de toxines pour l’organisme, ce qui peut provoquer des crises de guérison qui présentent des réactions indésirables (vertiges, vomissements, diarrhées et malaise général), toutes indiquant la présence de parasites. Par conséquent toute personne dont l’état s’est amélioré avec le dioxyde de chlore au cours des premiers mois, mais qui a ensuite rechutée, doit d’abord effectuer un traitement vermifuge, suivi d’un autre traitement au dioxyde de chlore, qui facilitera la désintoxication finale des déchets parasitaires dans l’organisme. Le dioxyde de chlore tue les agents pathogènes, oxyde les métaux lourds et détruit la plupart des poisons. Le protocole d’entretien est le A, il est simple et facile et fonctionne avec une efficacité maximale pour maintenir le fonctionnement de notre système immunitaire. Il aide à prévenir la grippe et le rhume, le cancer et de nombreuses autres maladies mortelles causées par une acidité excessive dans le corps, associée à un manque d’oxygène cellulaire. Certains patients n’ont pas la discipline nécessaire pour suivre les protocoles de dioxyde de chlore, ce qui est souvent la véritable cause de leur échec. L’expérience a prouvé que ceux qui adhérent étroitement aux traitements ont eu un succès démontrable dans la lutte contre les maladies chroniques, graves et même terminales, donnant ainsi raison à la phrase : “ Incurable, c’était hier”. “AVERTISSEMENT LÉGAL Ce document ne représente pas une recommandation d’un quelconque traitement médical. Il s’agit d’une collection de données recueillies auprès de volontaires et doit servir de base à de futures recherches professionnelles cliniques de niveau universitaire.” Il existe de nombreux brevets pour l’utilisation du dioxyde de chlore (liste page 51 et 52 du livre du Dr Kalcker). “L’allemand têtu que je suis n’a pas pu me convaincre du contraire. J’ai consacré de nombreuses années à la recherche sur le fonctionnement du dioxyde de chlore et ses possibilités thérapeutiques.” De quoi s’agit-il ?Il s’agit d’un oxydant, une substance qui facilite la combustion parce qu’elle ajoute de l’oxygène à tous les processus, contrairement aux autres médicaments qui agissent généralement en empoisonnant les agents pathogènes. Le dioxyde de chlore est un gaz qui s’évapore rapidement dans l’air à des températures supérieures à 11°C. En tant que gaz (non dissous dans l’eau), il est très réactif et peut provoquer une déflagration à des concentrations élevées et à une pression de gaz de plus de 10%, mais nous n’avons rien à voir avec ce procédé. En raison de sa capacité à éliminer les virus, les champignons et même les spores, le dioxyde de chlore est une excellente substance pour le lavage des légumes. Il est sûr à utiliser et conforme à toutes les réglementations alimentaires. L’une des principales caractéristiques du dioxyde de chlore est qu’il est extrêmement soluble dans l’eau, sans créer d’autres liaisons chimiques. C’est-à-dire que le gaz se dissout complètement dans l’eau, entre autres parce que sa structure cellulaire est très similaire à celle de l’eau. Une fois dissout dans l’eau, il peut également réagir rapidement à d’autres composés, surtout s’ils ont un pH acide. lorsque le dioxyde de chlore réagit avec l’eau, il libère de l’oxygène et forme également l’ion chlorite (CIO2-) L’ion est une molécule chargée électriquement, comme une pile. Dans ce cas, l’ion chlorite porte une charge électrique négative et est également très réactif. L’ion chlorite avec une charge négative recherche une charge positive pour la compensation et la stabilité. Dans notre cas, il s'agit de sodium, qui devient du chlorite de sodium. Si nous dissolvons à nouveau ce composé dans l’eau, nous obtenons des ions chlorite et des ions sodium. Un autre aspect intéressant du dioxyde de chlore est qu’il réagit aux ultraviolets et à la lumière solaire, se transformant en chlore, gaz et oxygène, c’est pourquoi il doit être conservé à l’abri des ultraviolets et de la lumière solaire. Les bouteilles de pharmacie en verre de couleur brune sont les meilleures. Les bouteilles en verre translucide et de couleur bleue laissent passer les rayons ultraviolets et peuvent faire réagir le dioxyde de chlore. S’il est ingéré, le dioxyde de chlore réagit rapidement aux agents pathogènes acides, libérant de l’oxygène et formant des ions chlorite qui se transforment ensuite en ions chlorure, ou sel commun. Notre corps n’a aucun problème à métaboliser cette quantité minimale de sel puisque tous nos fluides sont salins. En fait, notre corps perd continuellement du sel pour la sueur et l’urine. Dans une large mesure, les résultats positifs du dioxyde de chlore proviennent de sa capacité à renforcer le système immunitaire de notre corps par l’oxydation des agents pathogènes et par d’autres effets plus complexes. Sa capacité à fournir de l’oxygène aux cellules est également cruciale. Parmi ses possibles effets “négatifs”, il y a l’inconfort dérivé du processus d’élimination dans l’organisme des résidus pathogènes et autres agents nuisibles qu’il détruit. Il est recommandé de commencer par de faibles doses et de les augmenter petit à petit, en éliminant progressivement les déchets, sans provoquer d’inconfort. En règle générale, plus le patient est malade, plus la présence de résidus toxiques est importante, donc plus il faut augmenter la dose lentement, surtout en cas de maladie grave. En d’autres termes, le dosage dépend davantage du degré de maladie du patient que de son poids.” Pour les personnes qui ont une bonne hygiène de vie et notamment une bonne hygiène alimentaire, et qui pratiquent le jeûne de façon régulière, il n’y aura pas d’inconfort. “Le dioxyde de chlore ne guérit pas tout. Seul le corps peut se guérir lui-même de la maladie. Certains outils peuvent l’aider lorsqu’il n’est pas en mesure d’accomplir la tâche seul. Pour produire du dioxyde de chlore, nous avons besoin de deux substances : du chlorite de sodium (NaCIO2) et d’un acide. Presque tous les acides conviennent; l’acide citrique, l’acide lactique, l'acide phosphorique, le bisulfite, le vinaigre etc. L’acide chlorhydrique (HCI) est de loin le meilleur choix car il ne laisse aucun résidu après la réaction. L’acide chlorhydrique doit avoir une valeur de concentration de 4% pour garantir un pH correct et neutre (autour de pH 7) dans le liquide obtenu. Cela correspond à l’acidité naturelle de l’estomac et produit une réaction secondaire plus lente, ce qui permet un effet plus doux qui facilite l’absorption sans les effets secondaires néfastes. Le CD est constitué de deux composants très abondants et peu coûteux : le chlorite de sodium (NaCIO2) et l’acide chlorhydrique qui, mis ensemble, produisent un gaz appelé dioxyde de chlore (CIO2) que l’on stabilise dans de l’eau et à une température inférieure à 11°. Dans le corps, comme il est très soluble, les muqueuses l’absorbent facilement et le dioxyde de chlore gazeux peut pénétrer dans tous les tissus interstitiels. Le gaz, une fois dissout dans l’eau, génère un puissant effet désinfectant sélectif qui élimine, par oxydation, tous les agents pathogènes au pH acide, en particulier les anaérobies, tout en laissant les cellules symbiotiques et les bactéries de l’organisme au pH plus élevé. Il y parvient grâce à la différence de pH dans le sang corporel, qui est de -7,3 à -7,4, car plus l'agent pathogène est acide, plus son potentiel d’oxydation est fort. Le dioxyde de chlore a un pH neutre, l’acide chlorhydrique à 4% a la même acidité naturelle que dans l’estomac. Précaution 1Bien qu’il contienne du chlore dans sa dénomination, il est très différent de l’hypochlorite (eau de javel). Si nous combinons de l’hypochlorite avec de l’acide, nous créons des gaz puissants et hautement toxiques. Le réaction crée également des bulles effervescentes, ce qui ne se produit pas avec le chlorite de sodium. Précaution 2Ne jamais inhaler de grandes quantités de dioxyde de chlore gazeux pendant une période prolongée, car cela peut provoquer une irritation de la gorge et des difficultés respiratoires. Il est inoffensif en petites quantités et sur une courte période. Précaution 3Nous ajoutons toujours de l’eau au mélange que nous obtenons en activant le chlorite de sodium avec un acide, et cela donne du dioxyde de chlore. Ne l’utilisez jamais sous sa forme concentrée. Lavez toujours avec de l’eau abondante tout liquide qui tombe sur la peau ou les vêtements. Précaution 4N’utilisez jamais de récipients ou d’ustensiles métalliques. Ils réagissent au dioxyde de chlore et rouillent, y compris l’acier inoxydable. Précaution 5N’utilisez pas de compte-gouttes en caoutchouc, ils n’ont pas assez de résistance au pH alcalin du dioxyde de sodium et avec le temps, le caoutchouc peut se dissoudre dans le liquide. Précaution 6N’utilisez que des compte-gouttes ophtalmologiques en PP/HDPE/PE. Tous ces matériaux sont résistants et peuvent supporter aussi bien l’alcalinité que l’acidité (pH 13/pH 1), conservant leurs propriétés pendant de nombreuses années. Nous ne recommandons pas les plastiques translucides de type PET. Précaution 7L’utilisation d’acide citrique comme activateur peut provoquer une acidose intestinale chez les personnes sensibles, entraînant des diarrhées, des malaises et la présence de Citro-bactéries (bactéries qui se nourrissent de citrates). Précaution 8Pour neutraliser le dioxyde de chlore, en cas d’urgence s’il y a eu une mauvaise manipulation, utilisez uniquement du bicarbonate de soude et jamais de la vitamine C (acide ascorbique), comme on le recommandait autrefois. Noter que la combinaison de ces deux composants : chlorite de sodium et acide chlorhydrique, n’est jamais ingérée directement ou seule. Le patient doit activer les deux composants dans un verre propre et sec, puis attendre que la réaction leur donne une couleur ambrée. En fonction de la température ambiante, cela peut prendre entre 30 secondes et 1 minute. La couleur ambrée indique que le mélange est prêt, et on peut maintenant ajouter de l’eau. N’utilisez jamais le mélange à l’état concentré. Chaque composant doit être conservé dans une bouteille séparée, et ils doivent être mélangés à part égales. Le rapport entre l’activateur et le mélange est de 1:1 ou en d’autres termes, une goutte d’acide chlorhydrique à 4%, avec une goutte de chlorite de sodium à 25%. Le traitement tend à être plus efficace lorsqu’il est utilisé à petites doses, plutôt que des prises de doses plus élevées le matin et le soir. Les patients qui éprouvent des étourdissements, des nausées ou des diarrhées doivent simplement réduire la dose. Évitez toujours d’ingérer de la vitamine C ou d’autres antioxydants, car ils annulent l’efficacité. N'utilisez jamais de récipient en métal. Matériels1 - Chlorite de sodium à 25 % 2 - Acide chlorhydrique à 4 % 3 - Eau minérale ou distillée 4 - Bouteilles en PP/HDPE/PE avec compte-gouttes. 5 - Utilisez des récipients en verre pour le mélange. N’utilisez pas de compte-gouttes en caoutchouc. Je vous propose un kit de flacons en verre ambrée pour les utilisations les plus courantes, vendue sur la boutique du site www.curenature.fr Types d’agents pathogènesChaque agent pathogène doit être traité en fonction de sa nature particulière. En général, nous pouvons utiliser le guide suivant. 1 - Virus : De multiples petites doses, en raison de leur capacité à se reproduire rapidement. 2 - Bactéries : Des doses plus élevées, à des intervalles plus longs. 3 - Champignons : Protocoles persistants, vérifier les parasites 4 - Elimination des métaux : Nécessité de fortes doses dans le temps 5 - Empoisonnement : De petites gorgées toutes les quelques minutes 6 - Parasites : doses élevées pendant une période minimale d’une semaine. Avertissements et contre-indicationsA titre préventif, n’oubliez pas que les anticoagulants peuvent interagir avec le traitement. Le dioxyde de Chlore ne fluidifie pas directement le sang ; il fait en sorte que les globules rouges se repoussent les uns les autres, ce qui modifie la numération. De nombreux patients qui prenaient des médicaments sur ordonnance pour leurs maladies “chroniques” ont constaté une amélioration suffisante pour pouvoir réduire progressivement leurs médicaments tout en effectuant des contrôles réguliers (hypertension, diabète etc.). Rappelez-vous que le dioxyde de chlore fonctionne comme l’oxygène avec le feu : trop peu n’a aucun effet, et trop, peut provoquer une réaction extrême. Expérimentez et décidez par vous même, en écoutant votre corps. Ne forcez rien. Si vous commencez un protocole et remarquez que quelque chose ne va pas, vous devez réduire la dose jusqu’à ce que les effets indésirables disparaissent, puis reprendre le traitement. Mais ne confondez pas cela avec les crises de guérison appelées aussi crises d’élimination, qui peuvent ressembler à des effets indésirables (comme en jeûne), mais qui signalent que le corps a entamé son chemin vers la guérison. De nombreuses personnes demandent combien de temps elles peuvent utiliser le dioxyde de chlore. Cela dépend de la maladie et de la dose. De petites quantités ne devraient pas poser de problèmes, même à très long terme. En fait, le résidu laissé par le dioxyde de chlore est de l’oxygène et quelques milligrammes de sel que tout le monde peut absorber. Il est inoffensif, même pour les personnes qui suivent un régime sans sel. Chaque personne peut suivre le traitement aussi longtemps qu’elle le juge nécessaire. Théoriquement, cela peut être pour la vie, bien que je ne vois aucune raison pour cela. Nous devons écouter notre corps ; lorsque nous ne nous sentons pas bien, nous pouvons utiliser le dioxyde de chlore pour nous aider à récupérer, en apportant de l’oxygène à toutes les zones acides et malades. Tenir compte de l’état, du poids et de l’âge de la personne traitée. Avant de commencer tout protocole, vérifiez d’abord la compatibilité pour éviter tout effet indésirable. Pour ce faire, mélangez une goutte de chlorite de sodium à 25% avec une goutte d’acide chlorhydrique à 4%, attendez une minute qu’il devienne ambré puis ajoutez 100 ml d’eau avant de le boire. Si aucun effet indésirable n'apparaît au cours des deux heures suivantes, vous pouvez commencer à suivre le protocole. En cas de surdosage :Prenez de la vitamine C, du jus de pomme fraîchement pressé ou quelques verres d’eau avec du bicarbonate de soude. Poursuivez le protocole établi. L’inconfort peut être causé par : De nombreux agents pathogènes qui sont éliminés en même temps. La toxicité des agents pathogènes mourants déversés dans le système. Ce qu’il ne faut pas manger ou boire : Laissez des intervalles de 30 minutes avant et après les repas et 1 ou 2 heures avant et après la prise de tout médicament sur ordonnance. Attendez au moins 4 heures avant de boire des jus antioxydants ou, mieux encore, évitez-les complètement. De préférence ne mélangez pas le dioxyde de chlore avec du café, de l’alcool, du bicarbonate, de la vitamine C, de l’acide ascorbique, du jus d’orange, des conservateurs ou des suppléments (antioxydants). Bien que ces substances n'interagissent généralement pas, elles peuvent neutraliser l'efficacité du dioxyde de chlore. Le CD n’a pratiquement aucune saveur et est facile à boire. Pour masquer sa saveur et surtout son odeur : Le boire froid, le dioxyde de chlore ne s’évapore pas en dessous de 11° C. Essayez de le mélanger à du lait de riz (dans un biberon ou un verre). Utilisez ¼ d’eau de mer et de l’eau minérale pour le reste. Liste rapide des protocoles pour vous montrer les immenses possibilités d'utilisation du dioxyde de chloreProtocole A : comme dans Amateur pour les débutants Protocole B : comme dans Basic Protocole C : comme dans CDS Protocole D : comme dans Dermatologie, pour les affections de la peau Protocole E : comme dans Enemas (lavements) Protocole F : comme Fréquent Protocole G : comme gaz, dans lequel seul le gaz de dioxyde de chlore est utilisé Protocole H : comme dans Home (maison) pour éviter la propagation des infections Protocole I : comme dans Insectes et morsures Protocole J : comme dans Joyful mouthwash (bain de bouche) Protocole K : comme dans Kit, combiné à du DMSO à 70% Protocole L : comme dans Lavatory, ou protocole du bain Protocole M : comme dans Malaria, avec des doses élevées Protocole N : comme dans Nippers ou Enfants Protocole O : comme dans Ophtalmologie, pour les yeux, les oreilles et le nez Protocole P : comme dans Parasites, protocole intense Protocole Q : comme dans Quenching burns / éteindre les brûlures Protocole R : comme dans Rectal Protocole S : comme dans Sensible, à très petites doses progressives Protocole T : comme dans Terminal, pour les maladies très graves Protocole U : comme dans Urgent Protocole V : comme dans Vaginal, avec irrigation Protocole W : comme dans Wow ! Vous pouvez aussi l’utiliser pour … Protocole X : comme dans détoX, pour éliminer les métaux lourds Protocole Y : comme dans hYpodermic CDI injection / intraveineuse Protocole Z : comme dans Zapper (générateur de fréquences) Méthodes d’administration du dioxyde de chlore (DC)Boisson : L’ingestion est la méthode la plus courante. On mélange du chlorite de sodium (NaCIO2) avec l’activateur, l’acide chlorhydrique (HCI), puis on attend environ 30 secondes à une minute jusqu’à ce que le mélange devienne jaune ambré. On ajoute alors 100 à 200 ml (selon le goût) d’eau pour le diluer avant de la boire. Le lavement : La deuxième méthode d’application la plus efficace est le lavement. Les parois du gros intestin absorbent rapidement le gaz liquide et le dioxyde de chlore est transporté vers le foie par la veine porte. Cette méthode est bénéfique pour toutes les maladies affectant le système hépatique et elle aide à éliminer les toxines acides puisque l’oxydation entraîne une alcalinisation.” Dans mon prochain article je ferai un résumé des protocoles faciles à utiliser. (Première partie) Le dioxyde de chloreAVERTISSEMENT LÉGAL“Ce document ne représente pas une recommandation d’un quelconque traitement médical. Il s’agit d’une expérience faite d’après les recommandations du Docteur Kalcker, dans son livre : La santé interdite, incurable, c’était hier. Et d’après les différentes vidéos trouvées sur le net à ce sujet. Tout cela m’a été recommandé par une personne qui vient jeûner régulièrement à CureNature et qui a vu sa récidive de cancer des deux seins avec métastases aux os se réduire de 40% d’après un pet scan réalisé 8 mois après le début du traitement au dioxyde de chlore. Qu’est-ce que le dioxyde de chlore ?Le dioxyde de chlore est juste le gaz de réaction du chlorite de sodium activé avec un acide qui est très soluble dans l’eau et s’évapore à 11°. Ce gaz se produit en mélangeant du chlorite de sodium à 25% et de l’acide chlorhydrique à 4%. Le dioxyde de chlore produit va alors saturer de l’eau en deux saturations et ainsi former le CDS. (Voir la vidéo explicative plus bas). Le dioxyde de chlore s’évapore dès 11°, il faut donc le conserver au réfrigérateur, et donc une fois déposé sur la peau, bu, pris en lavement ou d’une autre façon, celui-ci se réchauffe dans le corps et son action commence. Dès qu’il rencontre des éléments acides dans le corps ( métaux lourds, les virus, bactéries, microbes, petits parasites, champignons, toxines etc.) il dégage une forte quantité d’oxygène qui va oxyder ces acides et les rendre à l’état de cendres alcalines. Ces cendres sont inoffensives et facilement évacuées par le corps (urine, selles, transpirations etc.). Par ailleurs, l’oxygène agit aussi au niveau des cellules où il va métaboliser le glucose dans les mitochondries pour fabriquer l’ATP (l’énergie). L’ion de chlore, quant à lui, va se combiner avec un ion de sodium (toujours présent dans le corps), pour former la molécule NaCI qui n’est autre que du sel de table (chlorure de sodium), qui sera évacué par l’urine ou la transpiration. Pour obtenir du CDS, il est nécessaire de se procurer 2 produits;
Le CDS est une solution aqueuse concentrée de 0,3% (3000ppm) de dioxyde de chlore gazeux, sans teneur en chlorite de sodium (NaClO2) dans la solution et qui a un pH neutre. Le dioxyde de chlore n’est pas vendu en France, je vous laisse deviner pourquoi… Les 2 produits de base sont relativement bon marché et le kit de flacons et pipettes aussi. Ce qui ne nourrit pas BigPharma, d’autant plus si les gens guérissent tout seul ! C’est pour cette raison qu’il faut faire sa préparation soi-même, à moins que vous trouviez une pharmacie qui accepte de le faire. Une fois votre préparation terminée et que vous avez votre flacon de CDS, il faut prendre 10 ml (à mesurer avec la seringue) à diluer avec 1 litre d’eau pour obtenir 0,003% (30 ppm) en 10 doses de 100 ml (à boire toutes les heures en doses quotidiennes). Pensez bien à garder votre CDS pur et votre litre d’eau avec les 10 ml de CDS au frais à une température inférieure à 11°. D’autres protocoles proposent d’utiliser le CDS ou le CD de bien d’autres façons. Je vous en parlerai dans un prochain article. Qu’est-ce que le CD ?Le CD est un mélange de chlorite de sodium activé avec de l’acide chlorhydrique qui contient un pH acide. Il est meilleur en goût et peut être utile pour son transport facile mais il a une réaction gastrique secondaire. C’est la base de la fabrication du CDS. Que sait-on du dioxyde de chlore ?C’est un oxydant, c’est-à-dire une substance qui facilite la combustion car elle ajoute de l’oxygène à tous les processus, contrairement à d’autres médicaments. L’oxygène ne s’accumule pas dans le corps et c’est donc un processus pharmacodynamique très différent. De plus l’oxydation est utilisée de manière similaire et naturelle par nos cellules de défense, comme les neutrophiles en cours de phagocytose, qui n’est rien de plus que d’engloutir et de brûler l’ennemi, de manière très simple. L’un des aspects les plus importants est que le dioxyde de chlore est extrêmement soluble dans l’eau sans créer de liaisons chimiques, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un gaz qui se dissout vraiment complètement dans l’eau. Cela est dû au fait qu’il a une structure moléculaire qui est extrêmement similaire à la molécule d’eau, de sorte que pour cette raison entre autres, il se dissout complètement. Il est connu pour être capable d’éliminer les bactéries, les champignons, les virus et les petits parasites dans une large gamme de pH. Où trouver les produits ?Le Chlorite de sodium à 25 %, se commande sur le net. L’acide chlorhydrique se trouve dans le commerce mais pas à la bonne dilution, sur youtube, il y a des vidéos expliquant comment le ramener à 4%, sinon on le trouve sur le net déjà à 4%, mais un peu plus cher. Le kit flacons, pipettes, spray, compte-gouttes, sur la boutique du site www.curenature.fr Pourquoi le CDS est efficace dans notre corps ? d’après Le Dr Kalcker qui étudie le CD et le CDS depuis plus de 14 ansL’équilibre acido-basique de notre organisme“Le corps est une machine à combustion qui respire l’oxygène, indispensable à la vie. En respirant, nous remplissons nos poumons d’oxygène et nous expulsons le dioxyde de carbone (CO2), alcalinisant ainsi le corps. Lorsque le sang de nos veines traverse les poumons, il a un pH légèrement plus élevé d’environ 7.45. Cela signifie que nous alcalinisons le corps lorsque nous respirons, ce que nous faisons, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, même en dormant. Nous respirons entre 15000 et 25000 litres d’air par jour. L’apport d’une quantité suffisante d’oxygène est le facteur le plus critique pour maintenir l’équilibre acido-basique de l’organisme. Nous mangeons plus ou moins 700 gr à 1 kg d’aliments chaque jour, qui ont tous un pH inférieur à 7. Tout est plus ou moins acide. Ce qui se produit, c’est que, selon ce que nous mangeons, notre métabolisme devient plus facilement acide. Le sucre que nous n’oxydons pas ou ne brûlons pas provoque une fermentation qui elle est acide. Le processus de fermentation libère également de l’énergie sous forme de chaleur, mais seulement en petite quantité par rapport à l’oxydation. La fermentation produit environ 4 unités d’énergie, alors que l’oxydation en produit 36. La différence est évidente. Nous sommes littéralement du feu, la flamme de la vie, mais n’oubliez pas qu’il ne peut y avoir de feu sans oxygène. Lorsque nous faisons de l’exercice et du sport, 3 choses principales se produisent dans notre corps 1 - Nous brûlons des graisses 2 - Nous brûlons du sucre 3 - Nous brûlons les toxines Une fois que les globules rouges sont chargés d’oxygène dans les poumons, ils le transportent dans tout le corps à travers la circulation sanguine. Un fait intéressant et significatif est que le sang libère de l’oxygène dans les parties acides du corps, ce que l’on appelle l’effet Bohr. Le corps, à son tour, utilise l’oxygène dans les mitochondries pour créer une réaction. Cette réaction de combustion transforme de nombreuses substances acides toxiques en oxydes plus alcalins, que le corps peut ensuite éliminer ou utiliser à d’autres fins. L’oxydation est ce qui transforme les substances acides et toxiques en substances moins toxiques et alcalines. Pour combattre les toxines (comme un poison ou une autre contamination), le corps va d’abord augmenter la fréquence et l’intensité du pompage cardiaque, ce qui a pour effet d’augmenter la combustion et la température. Si le poison persiste, le corps va essayer de générer plus de chaleur, ce que nous ressentons comme de la fièvre, pour éliminer les toxines par oxydation. Ces toxines peuvent être le produit de bactéries, de virus, de champignons, de parasites ou de la consommation d’aliments.” Je me permets de rajouter que c’est ce que l’on observe en jeûne surtout à sec, les pulsations cardiaques parfois s’accélèrent, et le corps monte en température au point que l’on peut se baigner l’hiver dans une eau très fraîche et en ressentir un bienfait extraordinaire, ou se jeter des baquets d’eau très froide sur la tête, comme font les Russes. “Rappelez-vous que ce ne sont pas les bactéries elles-mêmes qui nous nuisent, mais leurs “selles” acides qui contaminent notre système. Il en va de même pour les parasites, dont l’acidité augmente en fonction de leur taille. Depuis ces dernières décennies, un nouvel ennemi est apparu : les aliments industriels qui contiennent pléthores d’additifs tels que les conservateurs artificiels et des antioxydants pour une plus longue durée de conservation. L’acidification provoque de nombreux problèmes, notamment coronariens, en raison de l’inflammation des artères. Les parois artérielles sont lisses par nature. Cependant, si l’organisme devient trop acide, cela provoque une inflammation. En conséquence, le corps doit contrer l’inflammation en diluant sa toxicité avec plus d’eau. L’eau supplémentaire créait un gonflement et un amincissement de la circulation sanguine. Comme le cerveau ne reçoit pas assez d’oxygène pour fonctionner correctement, le cœur doit compenser en pompant plus vite et plus fort. C’est l’hypertension. En même temps, le corps veut compenser l’acidité en éteignant ce feu acide avec du calcium. Nous savons que le calcium et l’acide sont antagonistes. S’il n’y a pas assez de calcium disponible, il va l’extraire d’un autre endroit, généralement des os, et avec le temps, il peut provoquer l’ostéoporose. Une fois que l’organisme a compensé l’acidité par le calcium, il reste un résidu, l’oxalate de calcium (calculs calcaires). Les plus connus sont les calculs rénaux ou de la vésicule biliaire, mais ce résidu peut aussi être responsable de problèmes artériels au niveau des valves coronaires, de problèmes de micro-circulation, de varices et d’une longue liste d’autres affections. De nombreuses sources affirment que pratiquement toutes les maladies impliquent un niveau d’acidose métabolique, ce qui signifie que petit à petit, le corps est devenu plus acide. Cette acidité permet aux agents pathogènes de pénétrer et de prendre le contrôle d’un système déséquilibré. La clé ici est la capacité d’oxydation sélective du dioxyde de chlore dans notre organisme. Personnellement, je pense qu’il s’agit de l’une des découvertes les plus importantes de l’histoire de l’humanité, permettant d'éliminer tant de souffrances inutiles dans notre monde, et ce de manière très efficace et économique. Si la révélation n’est pas conforme aux intérêts de l’industrie pharmaceutique, c’est une autre histoire. Ce qui est fascinant, c’est que non seulement le dioxyde de chlore est sélectif, mais qu’il réagit aussi différemment à chaque agent pathogène. Plus les bactéries sont acides, plus la réaction d’oxydation chimique est forte. Moins elles sont acides, plus l’oxydation est faible. C’est pourquoi elle n’affecte pas autant les bactéries symbiotiques, car leur pH est généralement plus proche de celui de l’organisme (elles sont donc symbiotiques). Pour qu’une bactérie puisse attaquer notre corps, elle doit avoir un pH plus acide que nos cellules. Mais l’acidité n’est pas la même chose que l’acidose. La médecine fait une distinction claire entre les deux, et les différences sont considérables. Alors que l’acidité est généralement temporaire, une véritable acidose peut mettre la vie en danger. Le sang ne doit pas être ni trop acide ni trop basique (alcalin). Pour être équilibré, le pH du sang doit se situer entre 7.35 et 7.45 environ. Une valeur inférieure à 7.35 est considérée comme une acidose. Notre corps utilise un système de compensation fascinant et intelligent pour maintenir un pH équilibré, principalement par la respiration. En expirant continuellement du dioxyde de carbone, nous alcalinisons régulièrement notre corps. La respiration agit comme le principal mécanisme de compensation, avec l’urine expulsée par le système rénal. On connaît deux formes d’acidose 1 - Respiratoire 2 - Métabolique L’acidose respiratoire est beaucoup plus courante, et les symptômes typiques sont l’essoufflement, l’augmentation de la pression artérielle et les palpitations. Les personnes atteintes d’acidose métabolique ont tendance à avoir une respiration laborieuse et profonde. Environ 80% de nos organes sont légèrement alcalins, notre estomac ne l’ai pas, pas plus que les aliments que nous ingérons. De mauvaises habitudes alimentaires peuvent entraîner une augmentation de l’acidité dans notre corps. Les sucres et les glucides provoquent une fermentation s’ils ne sont pas brûlés, ce qui crée à son tour de l’acidité dans les tissus de l’organisme. Il s’agit d’une acidité différente de celle de l’estomac, qui nous protège des agents pathogènes. Le concept de régime alcalin n’est pas lié à l’acidose ou à l’alcalose aiguë du sang, mais plutôt à l’acidification chronique des liquides et des tissus de l’organisme. D'après les tests effectués auprès d’une population à risque pour le paludisme, le dioxyde de chlore est très efficace pour enrayer les crises de la maladie. Pour plus de renseignements sur cette pathologie je vous conseille de lire le chapitre du livre de Andréas Ludwig Kalcker. Si l’utilisation du dioxyde de chlore n’est pas légale, le fait que nous ne puissions l’utiliser est un crime ! Il existe de nombreux brevets pour l’utilisation du dioxyde de chlore (liste page 51 et 52 du livre de Kalcker): “L’allemand têtu que je suis n’a pas pu me convaincre du contraire. J’ai consacré de nombreuses années à la recherche sur le fonctionnement du dioxyde de chlore et ses possibilités thérapeutiques” Le composé de dioxyde de chlore (CIO2) n’est pas une découverte récente. Humphrey Davy a fabriqué ce gaz en 1814 en faisant réagir de l’acide chlorhydrique avec du chlorate de potassium. La clé de nombreuses guérisons de diverses maladies par l’administration d’une seule substance (le dioxyde de chlore), et confirmée par des centaines de témoignages." Suite dans le prochain article. Comment soigner ses intestins, la suiteLe bilan en iridologieL’iridologie, étymologiquement «étude de l’iris», est un outil de naturopathie. Elle n’a pas de preuve au niveau scientifique mais a mainte fois montré ses preuves dans la pratique. Le but de l’iridologie est de définir un panorama du “terrain” et des tendances pathologiques. Elle permet de repérer à travers l’étude des iris (à partir d’une loupe ou d’un microscope spécialisé) les éléments toxiques de l’organisme, ses carences, ainsi que les perturbations nerveuses, les perturbations endocriniennes, les perturbations neuro végétatives, les séquelles de lésions ou maladies anciennes, les fragilités organiques et les atteintes organiques ou anatomiques. La couleur de l’œil peut donner de premières indications. En effet, la couleur bleue ou verte, correspondant à la constitution lymphatique, est souvent associée à des troubles de l’estomac et à une tendance des pathologies dues à l’acidification (acide urique, avec inflammations, rhumatismes, tendance à la déminéralisation). La couleur marron foncé, correspondant à la constitution hématogène, est souvent associée à des troubles hépatiques et des tendances aux pathologies circulatoires. La couleur marron clair, ainsi que deux couleurs différentes, correspondant à la constitution mixte, sont souvent associées à des troubles bilio-pancréatiques et une tendance à s’acidifier (acide oxalique) et présenter des pathologies articulaires. Or, toutes ces tendances auront des conséquences sur les intestins, qui sont en lien avec l’estomac, le foie et le pancréas, et donnent donc les premières indications sur les conseils qui pourront être donnés. L’iridologie divise l’iris en plusieurs cercles. Le premier, le plus proche de la pupille et fin (il faut un microscope pour bien l’étudier), est le cercle de malabsorption. L’iridologue observe s’il y a la présence d’un anneau gastrique ou cercle de l’estomac (cercle souvent blanchâtre autour de la pupille). Les autres signes sont un anneau sodique (cercle blanc près de la périphérie), une trame relâchée, une absence de collerette et une pupille en myosis (de petite taille). Le cercle formé par la collerette nous intéresse particulièrement car il reflète notre intestin grêle et notre côlon, et la qualité de la digestion et de la flore bactérienne. L’iridologue analyse la largeur entre la pupille et la collerette. Un cercle dilaté reflétant un côlon trop large, sa couleur, le marron clair signalant la présence de fermentation et la couleur foncée la présence de putréfaction (si le reste de l’iris est de couleur différente bien sûr). Des pertes de substance, appelées ogives ou cryptes, correspondent à une inflammation du côlon. Une trame relâchée uniquement dans ce secteur signale une muqueuse de mauvaise qualité, des intestins poreux, la présence d’une inflammation. Des radiis solaris ou rayons de soleil ne dépassant pas la collerette, signalent la présence d’un syndrome de l’intestin irritable, avec des somatisations nerveuses au niveau des intestins (douleurs abdominales dues au stress). Des radiis solaris dépassant la collerette indiquent la présence de parasites intestinaux. L’alimentationAvant de voir quels aliments peuvent nous aider à prendre soin de nos intestins, il faut savoir que le plus important reste la mastication. En effet, celle-ci fait intégralement partie du processus de digestion. Elle permet notamment la découpe des protéines, la pré digestion de l’amidon par l’amylase salivaire (représentant 40% de la digestion de l’amidon), et le Dr. Kousmine nous apprend qu’elle déclenche les autres sécrétions dans le reste de l’appareil digestif par voie réflexe. Il est également important de manger dans le calme. En effet, le système neuro végétatif (appelé également autonome), influence la digestion. Les émotions négatives telles que l’anxiété et la colère, qui mettent en jeu le système orthosympathique, vont diminuer la motricité gastrique et inhiber partiellement les sécrétions gastriques (à l’exception de l’acide chlorhydrique). Au contraire, les émotions positives et la relaxation, qui mettent en jeu le système parasympathique, vont dynamiser la motricité gastrique et augmenter les sécrétions. Dr. Kousmine explique également qu’il faut veiller à la cuisson de nos aliments. Car, si elle détruit des bactéries et parasites et augmente la gamme des substances utilisables (elle rend notamment plus facilement digeste les protéines), la cuisson détruit certaines vitamines et minéraux (nourrissant notamment les cellules de nos intestins) et certaines enzymes (ce qui nuira donc à la digestion). De plus, la cuisson, surtout à haute température, engendre d’après Dr. Seignalet un grand nombre de molécules complexes n’existant pas à l’état naturel, pouvant devenir toxiques pour l’organisme. Il faut également souligner l’importance de consommer des aliments issus de l’agriculture biologique et le moins transformés possibles. Elle sera ainsi plus riche en micronutriments et contiendra moins d’éléments que le corps ne connaît pas. Dans une revue de la littérature, Lerner et Matthias mettent en évidence que le glucose, le sel, les émulsifiants, les solvants organiques, le gluten, la transglutaminase microbienne et les nanoparticules, de plus en plus utilisés par l’industrie alimentaire, augmentent la perméabilité intestinale. Les auteurs font aussi le lien avec les maladies auto-immunes. Pour le Dr. Seignalet, il est important de revenir à une alimentation plus ancestrale. Il explique que l’alimentation moderne (issue de l’industrie agroalimentaire du XXe siècle) se différencie par la consommation de céréales domestiques qui ont muté, la consommation de laits animaux et leur dérivés, la cuisson de nombreuses substances, la préparation des huiles, la pollution alimentaire (pesticides,…), et le risque de carence en vitamines et minéraux (due notamment à l’appauvrissement des sols causé par l’agriculture intensive). Or, cette alimentation moderne est selon lui une des causes majeures de l’hyperméabilité intestinale non adaptée à notre muqueuse intestinale, elle attaque celle-ci. De plus, elle est également inadaptée à nos enzymes, qui, ne pouvant digérer certaines molécules, entraînent leur passage (via l’hyperméabilité intestinale) dans le sang, entraînant tout un tas de dysfonctionnement, comme nous l’avons vu. Le Dr. Seignalet explique qu’il a pu proposer son régime («alimentation originelle», notamment sans céréales mutées, sans produits laitiers, avec cuisson à basse température, et avec utilisation d’huiles vierges) à dix sportifs pratiquant généralement des activités d’endurance (dont la course à pied), avec une nette amélioration de leurs performances. Enfin, il faut aussi tenir compte des associations. C’est le Dr. Shelton, qui, au début du XXe siècle, reprend les travaux du Dr. Hay sur les incompatibilités digestives. Leur théorie est que la digestion est différente selon les aliments (enzymes différents) et selon le milieu (digestion des glucides en milieu basique et des protéines en milieu acide). Ainsi, trop mélanger les aliments (et surtout les glucides et protéines) rend la digestion difficile. Cependant, associer permet aussi de mieux assimiler (mieux utiliser les nutriments). Mais quelques règles restent à respecter pour éviter de mal digérer et d’abîmer nos intestins, comme éviter d’associer des amidons forts (céréales : blé, épeautre, maïs, riz, avoine, sarrasin) avec des protéines fortes (viandes des mammifères), dissocier aliments acides et amidons (par exemple le pain et la confiture), et de manger les fruits en dehors des repas. En ce qui concerne ce qu’il «faut» manger, dans son livre sur les intestins, le Dr. Médart donne des conseils généraux pour prendre soin de ses intestins : diminuer les glucides, en particulier les sucres simples (et supprimer totalement en cas de candidose) et amidons raffinés (sources de fermentation), diminuer la viande, assurer un bon équilibre en vitamines, sels minéraux, antioxydants, acides gras essentiels et acides aminés essentiels pour nourrir les cellules des intestins, consommer suffisamment de fibres, stopper les aliments allergènes (si IgE élevés dans les tests), diminuer ou exclure temporairement les aliments pour lesquels il y a intolérance (si IgG élevés dans les tests), notamment le gluten, et enfin éviter les agresseurs de l’écosystème et de la paroi intestinale que sont l’alcool et les laxatifs irritants ou les purges fortes et répétées. Sources Dr MEDART , Soignez le côlon irritable naturellement Comment soigner ses intestins
La naturopathie offre de multiples pistes pour prendre soin de nos intestins. Mais avant toute chose, il est utile de savoir où ils en sont en réalisant quelques analyses (bilans sanguins, analyse des selles, mais aussi bilan iridologique et bilan à résonance magnétique, etc.).
Bilan sanguin généralDans son livre sur les intestins, le Dr. Médart conseille de faire réaliser un bilan sanguin pour donner les premières indications sur l’état des intestins. (demandez conseil à votre médecin) Dans ce bilan, il est bien de mesurer la protéine C réactive (CRP), protéine qui est synthétisée par le foie après une inflammation aiguë dans l’organisme. On peut ajouter (ou la remplacer par) la CRP ultra-sensible (CRPus) qui mesure l’inflammation de bas grade, qui est plus utile puisque nous avons vu qu’une perméabilité intestinale déclenche une inflammation chronique de bas grade. On peut ajouter une mesure des globules blancs, IgE et IgG, pour évaluer la présence d’allergie et d’intolérance, puisqu’elles sont dues à des dysfonctionnements de l’intestin. Il est intéressant d’évaluer son statut en fer et en autres nutriments (vitamines, minéraux), qui, s’ils sont nombreux à être en carence, peuvent refléter un défaut d’absorption dû à une perméabilité intestinale. Le zinc est particulièrement intéressant car, comme nous allons le voir, il est en plus très important pour les intestins. Analyse des sellesPlus utile encore qu’une analyse de sang, l’analyse des selles peut donner de nombreuses indications sur le fonctionnement de nos intestins. Le Dr. Médart conseille de commencer par étudier l’aspect de nos selles. Si elles sont liquides ou en bouses, le transit est accéléré, avec une baisse de la résorption d’eau par irritation de l’intestin ou par augmentation de sécrétion de mucus. Si elles sont spongieuses, il y a augmentation de la fermentation et accélération du transit au niveau de l’intestin grêle. Des selles en pâte à modeler sont signe d’un excès de graisses non digérées ou de gluten mal digéré. Si elles sont colorées, le transit est souvent trop rapide (pas le temps pour les sécrétions) et/ou le foie rencontre des problèmes. La couleur rouge ou noire signale la présence de saignements. Enfin, si elles présentent des débris issus de l’alimentation, c’est qu’il y a eu un déficit de mastication ou un déficit de digestion (problème dans l’estomac). Le Dr. Kousmine ajoute que l’aspect idéal d’une selle devrait être une forme de saucisse de 4 cm et longue de 15 à 20cm, d’un poids de 100 à 250g (jusqu’à 370g pour les végétariens), de couleur brun clair (plutôt chez les végétariens) à brun foncé (plutôt dans les régimes carnés), avec une odeur d’ammoniac (signe de putréfaction), une première partie bosselée et le reste lisse, d’odeur faible, et qui ne devrait pas salir l’anus (ne nécessitant pas plusieurs feuilles de papier hygiénique). Nous avons vu qu’une bonne fréquence est de une à trois fois par jour, même si on parle de constipation seulement lorsqu’elle est inférieur à 3 fois par semaine. Le Dr. Médart ajoute qu’il faut voir s’il y a présence de gaz. S’ils sont très odorants, ils sont signes de phénomènes de putréfaction ou sont dus à des levures. S’ils sont très abondants mais peu odorants, ils sont signes de phénomène de fermentation. Le plus intéressant reste de faire analyser les selles par un laboratoire. On appelle ce test fécalogramme. Celui-ci pourra analyser le pH (normal entre 6,5 et 7,5 ; représentant des fermentations ou manques de sécrétions alcalines (issues du pancréas et de l’intestin grêle si inférieur, représentant des putréfactions si supérieur), la présence de pigments biliaires, la présence de mucus (signe d’irritation), la présence d’histamine (reflétant une inflammation de la muqueuse ou provenant des aliments), la présence d’IgA (en hausse en cas d’inflammation, en baisse en cas de souffrance des cellules), la présence d’une maladie cœliaque (intolérance au gluten), la présence d’aliments non digérés, la présence de fibres et enfin la présence de germes de la flore. Le Laboratoire Barbier, qui axe son activité sur les bilans biologiques spécialisés, vérifie également l’équilibre de la flore, dose une molécule en augmentation lorsqu’il y a perméabilité intestinale, et dose la calprotectine fécale représentative d’une inflammation intestinale. Autres analyses spécifiquesLe Dr. Médart nous explique le principe d’un test utilisé pour voir s’il y a perméabilité intestinale. Il s’agit d’un test urinaire après la prise d’une boisson riche en mannitol et lactulose, deux molécules qui ne sont pas ou peu métabolisées dans l’organisme, ce qui permet de les retrouver inchangées dans les urines. Le mannitol, petite molécule, pénètre normalement les entérocytes. La lactulose, plus grosse molécule, passe entre les entérocytes. Le dosage de ces deux molécules est réalisé 6h après la prise de la boisson. Si leur dosage est faible, c’est qu’il y a malabsorption. S’il est haut, c’est qu’il y a hyperméabilité intestinale. Si la lactulose est élevée mais que le mannitol est bas, c’est qu’il y a à la fois malabsorption et hyperméabilité. Dans les analyses urinaires, mais pour étudier la flore intestinale cette fois, le Laboratoire Barbier propose de mesurer la présence d’éléments bactériens ou fongiques dans le microbiote – ou les deux à la fois – en partant du principe que ces éléments entraînent la synthèse de métabolites qui se retrouveront dans les urines, représentatives de la présence des bactéries et/ou champignons, et donc d’une éventuelle dysbiose. Leur test Indican permet quant à lui d’évaluer la dysbiose bactérienne résultant de la prolifération de Clostridium, responsables de putréfaction et de la perméabilité intestinale, et qui vont produire l’indoxyl sulfate retrouvé (et donc mesuré) dans les urines. Le même laboratoire propose des analyses de sang en rapport avec le microbiote, comme une sérologie anti-candida, permettant de mettre en évidence une anomalie de la perméabilité intestinale et une mobilisation immunitaire vis-à-vis d’antigènes de Candida se retrouvant sous une forme mycélienne. Les résultats sont donnés sous forme d’échelle allant de «absence de réactivité» à «++++ : positif très fort». Il peut également être intéressant d’évaluer les sécrétions gastriques, plus particulièrement de l’acide chlorhydrique. En effet, un manque peut résulter en une mauvaise pré digestion des protéines (mal ramollies), qui, mal digérées dans l’intestin, pourront se retrouver dans le côlon et putréfier. Pour évaluer l’acide chlorhydrique, il est possible de réaliser le «test du bicarbonate» (à diluer dans un verre d’eau, à boire, avant de chronométrer le temps avant éructation ; si celle-ci n’arrive qu’après 2 minutes, une hypochlorhydrie est probable) ou le «test du vinaigre de cidre» (pris à jeun, qui améliore l’hypochlorhydrie et exacerbe l’hyperchlorhydrie). Enfin, notons le «test de l’haleine», à faire dans des hôpitaux, cliniques ou certains cabinets médicaux, qui mesure la quantité d’hydrogène et de méthane, anormalement élevée en cas de malabsorption du fructose ou du lactose, ou en cas d’effet SIBO (prolifération bactérienne pathogène dans les intestins). De nombreux tests et analyses peuvent donc aider le naturopathe à accompagner une personne présentant des troubles du tube digestif. Ceux-ci sont à associer à l’anamnèse, c’est-à-dire aux questions directes au patient sur ses antécédents (personnels et familiaux), ses symptômes actuels et son mode de vie (comprenant son alimentation). Suite dans mon prochain article Sources : KOUSMINE Catherine, Sauvez votre corps !, Paris : Editions Robert Laffont LABORATOIRE BARBIER. Disponible sur : https://www.laboratoirebarbier.bio/ Dr MEDART , Soignez le côlon irritable naturellement Jeûne sec ou jeûne hydrique, lequel choisir ?Ça y est, vous êtes décidé à faire l’expérience du jeûne, ou bien vous connaissez le jeûne à l’eau mais n’avez jamais essayé le jeûne sec et vous vous demandez bien à quoi cela sert de se priver également d’eau ? Le fonctionnement du corps en jeûne hydrique au reposDurant un jeûne hygiéniste à l’eau, les toxines sont évacuées des cellules et passent par la circulation sanguine et lymphatique pour être traitées et évacuées du corps par les émonctoires (intestins, urines, peau, poumons). Lorsque ces organes sont encombrés, fatigués, les éliminations sont longues et difficiles, c’est pourquoi Albert Mosseri a proposé le demi-jeûne pour redonner un peu d’énergie à l’organisme afin d’accentuer les éliminations qui peuvent aussi perturber le sommeil, les rêves etc. Les cristaux qui se déposent dans l’organisme ont besoin d’eau pour être dissous et être évacués par les urines et la peau. Lorsque nous sommes encombrés de cristaux, nous avons des symptômes douloureux notamment au niveau des articulations, comme l’arthrite, l’arthrose, les rhumatismes etc. Les personnes qui souhaitent faire une purge en début de jeûne hydrique choisiront de préférence une purge saline, sels d'Epsom, Chlorumagène, eau de mer etc. Le fonctionnement du corps en jeûne secEn règle générale, tout est plus facile lorsque l’on commence son jeûne par le jeûne sec. La faim disparaît rapidement, on a moins froid ou pas du tout froid contrairement au jeûne hydrique. Les symptômes sont très atténués lorsqu’il y en a, parfois un peu de maux de tête, un peu plus fatigué, plus vite essoufflé, rarement la nausée ou des vomissements. En effet, en jeûne sec les toxines sont brûlées à l’intérieur même des cellules car le corps monte en température comme pour une fièvre qui peut être généralisée ou localisée juste aux endroits qui travaillent comme la tête, les jambes, le ventre etc. Les toxines n’ont plus besoin de se remettre en circulation, c’est pourquoi la personne se sent plutôt bien. En revanche, le sommeil est quasiment toujours perturbé même si on ne se sent pas plus fatigué pour autant. Non seulement on a pas froid, mais on peut même avoir l’impression d’être une vraie chaudière, d’où l'intérêt d’aller marcher pieds nus dans la neige, la rosé, la terre, la mer et même prendre des bain de mer ou de rivière en plein hiver. Les russes, grands spécialistes du jeûne sec, préconisent des ablutions d’eau à maximum 11° sur la tête 2 ou 3 fois de suite pour calmer cette chaleur interne. Du fait qu’on ne prend pas d’eau pendant un certain nombre de jours, le corps fabrique sa propre eau endogène à partir des graisses. Tant que l’on a de la salive et que l’on urine, il est possible de rester en jeûne sec. Bien sûr les urines sont réduites et plus foncées voir presque marron chez certaines personnes. Elles sont également pleines de sédiments, des dépôts minéraux et autres car les reins en profitent pour se nettoyer. On va uriner en moyenne 3 ou 4 fois par 24 heures en petites quantités. Ce qui nous fait reprendre l’eau c’est la plupart du temps la soif qui devient obsédante. Il est très important de boire son premier verre d’eau tout doucement petites gorgées par petites gorgées sur 1 ou 2 heures de temps. Puis de continuer l’eau tranquillement jusqu’à étancher sa soif. Ensuite on boit normalement uniquement de l’eau au moins pendant 24 heures avant de passer aux jus de légumes, légumes à la croque ou fruits juteux. Ne jamais commencer par les fruits très riches en sucre pour éviter un pic de glycémie un peu violent en sortant du jeûne. Le jeûne sec épaissit un peu le sang, il est donc important de se préparer spécifiquement au jeûne sec en s’entraînant régulièrement et progressivement et boire des jus de légumes frais en préparation. Le jeûne sec permet essentiellement d’éliminer tout ce qui est colloïdale, mucus, glaires, colles etc. Ce sont des symptômes souvent gênants mais rarement douloureux. Les personnes qui souhaitent faire une purge avant de commencer leur jeûne sec, choisiront la purge à l’huile de ricin qui aidera à éliminer les colles. Votre jeûne sec peut durer de quelques heures à 9 jours et 10 nuits. C’est le cycle complet pour faire un reset complet de l’organisme comme dit Sergei Filonov, le plus grand spécialiste du jeûne sec en Russie. Jeûne sec + jeûne hydriqueIl est possible aussi de faire les deux. Après le jeûne sec, on continue le jeûne en prenant de l’eau. Un minimum de 24 heures à l’eau est fortement conseillé mais il est possible de faire le même nombre de jours en jeûne sec qu’en jeûne hydrique. Ainsi on élimine toutes les catégories de déchets stockés dans l’organisme. Chacun peut aménager sa cure de jeûne comme il le ressent, et je vous recommande de vous faire accompagner par une personne compétente si vous n’avez pas l’habitude de ce type de cure. A CureNature, chacun choisit ce qu’il préfère et nombreuses sont les personnes qui ne pensaient pas faire du jeûne sec qui leur paraissait trop extrémiste, mais qui, en voyant les autres personnes du groupe faire l’expérience du jeûne sec du moins au début de la cure, finalement, essayaient elles aussi. Nous avons peur de ce que nous ne connaissons pas. Mais après avoir expérimenté sous le regard bienveillant d’un(e) accompagnateur(rice), tout semble facile et léger. N’hésitez plus, faite l’expérience vous aussi… Le fonctionnement des intestinsLe tube digestifLorsque l’on parle d’intestins, cela comprend l’intestin grêle, le côlon et le rectum qui font partie du système digestif. Le tube digestif va de la bouche à l’anus, et les glandes annexes (glandes salivaires, foie, vésicule biliaire, pancréas), sont les alliées fonctionnelles indispensables. Le rôle du tube digestif est de transformer l’énergie alimentaire en éléments capables de nourrir les cellules du corps. Pour cela, le tube digestif reçoit et fait circuler les aliments de l’entrée (la bouche) à la sortie (l’anus), les rend solubles et les transforme en aliments assimilables (sucres simples, acides gras, peptides et acides aminés), leur permettant de passer de l’intestin au foie via le sang s’ils ont été jugés bons pour le corps. Il brasse également cet ensemble pour qu’il chemine à l’allure adéquate pour optimiser le temps de contact avec les transformateurs biochimiques, enzymatiques, acidifiants ou neutralisants, pour favoriser une bonne absorption, mais aussi pour contrecarrer tout développement microbien. La fonction des intestinsC’est donc dans l’intestin grêle que se déroule une grande partie de l’absorption, passage des nutriments dans la circulation sanguine et lymphatique. Celle-ci nécessite un tri et une reconnaissance des nutriments par le système immunitaire intestinal, qui reconnaît les aliments étrangers pour les laisser passer (c’est la tolérance intestinale) ou ne les reconnaît pas et les rejette. Le rôle du côlon (appelé aussi gros intestin) est de finir la digestion essentiellement grâce à de nombreuses bactéries, de réabsorber de l’eau et d’éliminer les éléments non assimilables via la formation des selles qui seront éjectées par l’anus. Ainsi la fonction de l’appareil digestif est de permettre l’entrée des aliments, leur digestion jusqu’à obtention de molécules simples, l’absorption de ces molécules vers le milieu interne de l’organisme et l’élimination des déchets de ces processus. Les intestins prennent le relais de l’estomac pour continuer la digestion des aliments. Les sucs digestifs en provenance du foie (la bile) et du pancréas, pleins d’enzymes terminant la découpe des aliments en plus petites molécules. Nos enzymes digestives agissent en effet comme de minuscules ciseaux qui découpent la nourriture jusqu’à trouver le plus petit dénominateur commun avec les cellules de notre corps (molécules de sucre, acides aminés et lipides). La digestion permet la transformation de certaines molécules avant qu’elles soient absorbées. Cela ne concerne pas les vitamines ni les minéraux, directement assimilables, mais les macro nutriments plus complexes qui nécessitent des transformations : les glucides, les lipides et les protéines. Notons le rôle des sécrétions biliaires et pancréatiques au pH alcalin et du mucus secrété par des glandes situées dans une partie de l’intestin nommée duodénum, qui vont neutraliser l’acidité du chyme. En effet, l’estomac est un milieu très acide permettant la pré-digestion des aliments et leur stérilisation, mais une fois dans l’intestin grêle, les enzymes ne sont efficaces qu’en milieu alcalin (pH entre 7,5 et 8). Ces molécules continuent leur cheminement dans l’intestin grêle où se trouvent les villosités et l’absorption des nutriments. Dans chaque villosité, les molécules résorbées alimentent un minuscule vaisseau sanguin qui les amène au foie (qui les filtrera, les modifiera, et les enverra au reste du corps ou les stockera). Les villosités s’appliquent aussi à faire avancer le chyme, nom du bol alimentaire à sa sortie de l’estomac. Les parois de l’intestin répondent à l’identique, constituant le réflexe péristaltique. Le chyme arrive dans le côlon, celui-ci assimile les substances restantes. Il lui faut 12h à 18h pour terminer la digestion. Il résorbe le calcium, et collabore avec la flore bactérienne pour offrir des acides gras et des vitamines K2, B12, B1 et B2. Ces derniers nutriments seront eux aussi envoyés au foie. Dans le côlon est absorbée l’eau pour maintenir l’équilibre hydrique et salin du corps. Rôle du côlonLe côlon peut se déformer, se détendre et former ailleurs des plis et des poches, puis se figer et recommencer. Trois à quatre fois par jour, il s’active un peu plus pour faire avancer le chyme. Si la masse est suffisante, les selles peuvent être alors évacuées à chaque fois. Mais la plupart du temps, on ne va à la selle qu’une fois par jour, alors que normalement, nous devrions aller à la selle autant de fois que de repas dans une journée. Alors que l’action involontaire de déféquer se fait via la moelle épinière qui va permettre l’ouverture du sphincter lisse interne, la décision finale de défécation va se faire par l’action volontaire via le système nerveux central : des récepteurs sensibles vont informer le cerveau pour permettre ou non le relâchement du sphincter commandant les muscles striés. Si tout va bien, nous devrions avoir des selles bien moulées, non odorantes, marron et non salissantes. Si ce n’est pas le cas, c’est qu’il y a des perturbateurs dans l’alimentation le plus souvent (produits laitiers, céréales, manque de fibres etc.) Les spécialistes pensent qu’entre la bouché que l’on avale et sa sortie au fond de la cuvette, il s’écoule en moyenne une journée. Mais cela varie beaucoup selon la personne et le type d’aliments et de mélanges d’aliments qu’elle a consommés, allant de 8h à 3 jours ½ ! Le microbiote ou flore intestinaleLa flore intestinale, appelée également microbiote, est l’ensemble des micro-organismes qui se trouvent dans nos intestins, principalement dans le côlon. Ces bactéries, virus, parasites et champignons seraient en effet 100 000 milliards à vivre dans notre côlon, soit 10 fois plus que le nombre de cellules qui constituent notre corps. Les Dr. Sonnenburg expliquent leurs différents rôles. L’un d’eux est de consommer et convertir les fibres alimentaires indigestes (essentiellement les polysaccharides complexes des végétaux) en composés essentiels à la santé, et que notre côlon peut absorber. En effet, cette conversion se fait par un phénomène de fermentation produisant des Acides Gras à Chaînes Courtes (AGCC), qui protègent l’organisme des inflammations. Le microbiote est aussi en communication constante avec la partie de notre système immunitaire située dans l’intestin. C’est le microbiote qui distingue les nutriments et les éléments pathogènes et qui en informe le système immunitaire. Plus de 60% de nos défenses dépendent de l’équilibre de notre microbiote. Celui-ci permet également de réguler le niveau d’inflammation dans nos intestins et dans tout notre organisme. L’inflammation, qui se signale par un œdème, une rougeur et une irritation, est la réponse de notre système immunitaire aux blessures ou aux menaces perçues. Or, certaines bactéries sont capables de recruter des cellules T régulatrices, cellules immunitaires qui régulent la réaction inflammatoire. Le microbiote exerce une influence sur le cerveau. Certaines substances chimiques qu’il produit communiquent directement avec notre système nerveux central à travers l’axe reliant le cerveau à l’intestin (nerf vague). Les bactéries peuvent affecter notre humeur, notre comportement, et altérer l’évolution de certaines pathologies neurologiques. La flore intestinale joue aussi un rôle dans la gestion du poids. Il est fort possible que le poids augmenterait lorsque les bactéries spécialistes des glucides prennent le dessus et fabriquent ainsi plus d’acides gras à partir des glucides non assimilables, lorsque les bactéries responsables de l’inflammation sont plus nombreuses, ce qui entraîne un stockage des graisses (dans la thyroïde, les médiateurs de l’inflammation viennent ralentir la production d’hormones, entraînant une baisse du brûlage des graisses) et/ou à cause de bactéries agissant sur l’envie (elles envoient des messagers lorsqu’elles ont eu ce dont elles raffolent, pour que, récompensée, la personne leur apporte une nouvelle ration plus tard). Le Dr. Médart ajoute que les bonnes bactéries occupent la place dans les intestins, empêchant les mauvaises bactéries de s’installer. Elles produisent des vitamines K et B et des enzymes, elles favorisent l’activité des entérocytes et neutralisent les substances nocives (ammoniac et certaines toxines). Les Dr. Sonnenburg expliquent que le microbiote intestinal nous est propre, et qu’il est aussi unique que nos empreintes digitales. Nous avons vu que les bactéries sont essentiellement présentes dans le côlon, mais on en trouve aussi dans l’intestin grêle (50 millions de bactéries par cuillère à café de matière alimentaire), et un peu dans notre estomac (peu en raison du milieu acide hostile). Au niveau du rectum, les bactéries représentent environ 50% du poids des selles. Il existe aussi chez chaque individu une flore buccale, cutanée et vaginale, qui ne sont pas indépendantes les unes des autres. La flore microbienne se développe essentiellement à la naissance, mais les dernières études montrent qu’elle débuterait déjà chez le fœtus. L’équilibre de la flore dépend de nombreux facteurs, comme le mode de naissance (vaginal ou césarienne), l’allaitement maternel ou non, la qualité de la diversification alimentaire, la vaccination précoce ou multiple, l’alimentation (respect des temps digestifs, respect des incompatibilités alimentaires etc.), les prises médicamenteuses (par exemple la prise d’antibiotique qui peut altérer la flore), le rythme de vie etc. L’activation de l’immunité commence en effet au contact de la flore vaginale et intestinale de la mère, puis avec le lait maternel qui fournit les nutriments et facteurs immuns. Par la suite, nous développons un microbiote qui fluctue selon notre alimentation principalement mais aussi de la région où nous vivons et de notre hygiène de vie en générale. Trop d’hygiène (désinfection) peut être défavorable. Le déséquilibre de la flore intestinale est nommé dysbiose. Des scientifiques ont montré qu’elle est observée chez les individus atteints de diverses pathologies telles que maladie de Crohn, syndrome métabolique, cancer du côlon, allergies et même autisme. Elle peut entraîner des désordres dans tous les systèmes de l’organisme. L’excès de sucreL’excès de sucre va nourrir un certain type de bactéries qui, en se développant, vont déséquilibrer la flore, entraînant une dysbiose. Parmi les bactéries qui aiment le sucre, nous retrouvons le Candida Albicans, levure qui se trouve naturellement dans notre microbiote à l’état de symbiose et qui est utile car il permet de métaboliser les derniers déchets de notre digestion. Il existe environ 70 souches différentes de Candida albicans dont une vingtaine est susceptible de devenir pathogène, passant dans la flore fluctuante. Pour devenir pathogène, il a besoin d’un milieu acide et riche en sucres et en amidon. D’après le diététicien Delage, les sportifs constituent une population à risque à cause des perturbations physiologiques et des conduites diététiques engendrées par l’exercice, qui offrent un terrain fertile à l’apparition, au développement puis à l’aggravation de la candidose. Or, il observe dans sa clinique que des problèmes de poids, des perturbations émotionnelles, des troubles digestifs, une fatigue chronique ou encore des tendinites à répétition sont liés à la présence d’une candidose chez le sportif. Pour cela, le Candida colonise la muqueuse en détruisant des bactéries de la flore dominante et sous dominante déjà présentes, entraînant au passage des troubles digestifs (diarrhée, constipation, ballonnements, gaz, douleurs, spasmes, démangeaisons anales), aggravés à l’effort. Il sécrète ensuite de nombreuses toxines dont certaines peuvent parasiter le fonctionnement cellulaire. De plus, la fixation de ces toxines sur des récepteurs sensoriels de la douleur pourrait accroître la souffrance (cause possible de la fibromyalgie). Conséquences du manque de masticationNous avons souvent l’habitude de manger trop vite, hors avec le manque de mastication, les protéines trop peu découpées par les dents et l’amidon trop peu pré-digéré par l’enzyme amylase présente dans la salive vont être mal digérées et se retrouvant dans le côlon, vont entraîner fermentation et putréfaction et donc encore une fois des gaz avec ballonnements. De plus, le manque de digestion, entraînant un manque d’absorption, pourra entraîner des carences en certains nutriments, avec de nombreuses conséquences sur tout l’organisme. L’excès de céréalesLes personnes qui mangent trop souvent des glucides, et parfois sous forme de céréales riches en gluten, peuvent entraîner des désagréments. Une autre conséquence de l’excès de céréales est le manque de zinc, dont l’absorption est freinée par la prise de céréales. Or, le zinc joue un rôle dans le maintien de l’intégrité de la muqueuse intestinale. Nous avons vu que les gaz étaient produits par nos bactéries, surtout en présence d’une alimentation très riche en glucides, entraînant un phénomène de fermentation. Une mauvaise digestion des protéines peut aussi entraîner des putréfactions. Conséquences d’une mauvaise santé intestinaleLa mauvaise santé des intestins a donc logiquement un impact sur le bon déroulé de la digestion, pouvant gêner par des troubles digestifs tels que nausées (voir vomissements), ballonnements (pouvant occasionner jusqu’à des douleurs de type cardiaques), diarrhées ou envie impérieuse de déféquer. Mais la mauvaise santé des intestins peut aussi avoir des répercussions indirectes sur de nombreux fonctionnements de l’organisme. Berthelot et Warnet expliquent que les molécules passant la barrière intestinale, en cas de perméabilité intestinale, peuvent migrer jusque dans les articulations. Celles-ci ne les reconnaissent pas et ne peuvent pas les éliminer. Elles encrassent donc les articulations et les agressent, entraînant un stress oxydatif et des réactions inflammatoires qui détruisent le cartilage. La première réaction sera donc des symptômes d’arthrite, soit une inflammation de l’articulation, douleurs, puis à long terme, par la destruction du cartilage, l’arthrose. Dans une étude, Huang et Kraus montrent que lors d’une perméabilité intestinale, des endotoxines peuvent migrer vers la circulation où ils contribuent à une inflammation de bas grade, ce qui entraîne des dommages structurels de l'articulation. Le Dr. Seignalet explique quant à lui, que cet encrassage empêche les chondrocytes, cellules de l’articulation, de fabriquer du cartilage. Il présente une figure sur cette théorie de l’arthrose, qui s’applique également en cas d’ostéoporose (perturbation par l’encrassage des ostéoblastes et ostéoclastes, cellules gérant la densité osseuse). Concernant l’arthrite, l’étude de Brebant montre un lien entre la présence d’une dysbiose (surabondance de la bactérie Ruminococcus gnavus) et la spondylarthrite, maladie inflammatoire chronique des articulations, laissant supposer un lien entre microbiote et inflammations articulaires. Le passage des endotoxines dû à la perméabilité intestinale n’agit pas seulement sur les articulations mais aussi les tendons. Elles peuvent se fixer sur elles, et l’inflammation va conduire à des tendinites, parfois chroniques. Nous pouvons également parler à nouveau de Candida albicans. Des études ont en effet montré qu’il pourrait être responsable de tendinites. Il produirait d’après une étude de Kaminishi une enzyme qui endommage le collagène (présent aussi dans les articulations). Les auteurs observent que cette enzyme détruit par exemple le collagène dans des tendons d’Achille sur des animaux. On peut citer le témoignage d’un rugbyman dans un article de La Nutrition, enchaînant les blessures au mollet (contracture, inflammation, douleurs au tendon d’Achille) pour finir par découvrir qu’il souffrait de candidose. Nous avons vu le rôle des intestins dans le bien-être psychologique, notamment via la synthèse des neurotransmetteurs. Berthelot et Warnet expliquent que pour produire de la sérotonine (hormone du bien-être) et de la dopamine (hormone de la motivation), il faut avoir un bon statut respectivement en tryptophane et tyrosine, acides aminés pouvant être produites par nos bactéries intestinales, et apportées par notre alimentation si la digestion et l’assimilation sont bonnes. Sources : LA NUTRITION, « Candidose chronique : “Ma vie était devenue un enfer” ». Octobre 2018. Disponible sur : https://www.lanutrition.fr/candidose-chronique-ma-vie-etait-devenue-un-enfer HUANG Z., KRAUS V.B., « Does lipopolysaccharide-mediated inflammation have a role in OA? », Nat Rev Rheumatol, 12(2), Février 2016, 123–129. SEIGNALET Jean, L’alimentation ou la troisième médecine, Monaco : Editions du Rocher, 2012. BREBAN M., TAP J., LEBOIME A. & al., « Faecal microbiota study reveals specific dysbiosis in spondyloar thritis», Annals of the Rheumatic Diseases, 76, 2017, 1614-1622. SONNENBURG Justin et SONNENBURG Erica, L’incroyable pouvoir de votre microbiote, Paris : Editions Eyrolles, 2015. MEDART Jacques, Quand l’intestin dit non, Vergèze : Thierry Souccar Editions, 2008. Quelle durée prévoir pour une cure de jeûneLe jeûne hygiénisteA CureNature, nous pratiquons le jeûne hygiéniste. C’est bien sûr du jeûne hydrique (la seule boisson est l’eau), mais nous pratiquons également le jeûne sec. On appelle jeûne hygiéniste le fait de ne rien prendre à part de l’eau pure, puisque les hygiénistes ont étudié uniquement le jeûne hydrique. Et nous mettons le corps au repos pour le laisser faire son travail de nettoyage et de régénération dont il a besoin et dans l’ordre qui lui convient, sans intervenir sauf cas particulier. Au repos, cela consiste à rester allongé le plus longtemps possible le matin. L’après-midi, je conseille toujours de suivre son ressenti. Parfois nous nous sentons fatigués et préférons rester au chaud sous la couette. D’autres fois, le besoin d’aller marcher un peu se fait sentir. Se promener tranquillement dans la nature et respirer les essences des plantes sauvages et des arbres, prendre un bain dans la mer ou dans une rivière peuvent nous redonner de l’énergie. Dans un jeûne de ce type, il y a 4 phases à respecter. Nous parlerons plus loin du jeûne sec. Les 4 phases sont
Mais pour les personnes qui consomment encore du gluten, des produits laitiers, du sel, du sucre, de l’alcool ou des substances chimiques, des excitants etc. mais sans pathologie déclarée, je recommande une préparation d’un mois. En revanche, pour les personnes qui ont une pathologie importante et/ou chronique, il faut se préparer 3 mois à l’avance. Le jeûne peut se faire chez soi (c’est plus difficile de rester au repos et il y a des tentations…) entre amis ou accompagné par une personne compétente. Il est possible de jeûner n’importe quand dans l’année, même si les changements de saisons de l’automne et du printemps sont prisés. Le demi-jeûne se met en place aussitôt que l’on a décidé de rompre le jeûne. Il est d’une durée équivalente au jeûne hydrique et consiste à rester au repos. L’après-midi, nous proposons une collation toutes les 2 heures. La collation peut être un jus de légumes, un légume à la croque ou un fruit juteux. La reprise est la dernière étape de la cure qui se fait souvent à la maison, nous reprenons instinctivement l’alimentation que l’on avait avant de jeûner, d’où l’importance du demi-jeûne, s’il a été bien mené. Il faut garder en mémoire qu’après un jeûne, nous métabolisons tout mieux, le bon comme le mauvais. Il faut donc se nourrir qu’avec de bonnes choses. Je recommande d’être vigilant sur ce que nous mangeons au moins tout le mois qui suit le jeûne afin d’optimiser ses effets. Dans cette perspective, si vous faites 3 jours de jeûne, il faut prévoir 1 semaine de cure. Si vous prévoyez de faire 7 jours de jeûne, il faut prévoir 14 jours de cure, afin d'inclure le temps du demi-jeûne dans la période de repos. Le séjour en cure est toujours réparti entre jeûne et demi-jeûne, sachant que la détoxination est plus forte en demi-jeûne, et nécessite un repos total. Comment choisir la durée du jeûne à l’eau ?Des repères permettent de prévoir de quelle durée nous avons besoin : - notre état de santé actuel. - notre avancement dans les changements alimentaires. - notre vitalité. Si l'on a encore des problèmes de santé non résolus :Si l'on a encore des problèmes de santé non résolus :- si l'alimentation n'est pas stabilisée, ou si une pathologie est en cours, ne pas dépasser 3 ou 4 jours de jeûne : il s'agit d'un jeûne de sevrage, ou de soulagement selon les cas, pour vous permettre d'évaluer où vous en êtes sur tous les plans : toxémie, vitalité, mode de vie et vous permettre de progresser pas à pas vers un équilibre alimentaire satisfaisant, alliant sobriété et régularité. - si l'alimentation est stabilisée, et qu'aucune pathologie n'est en cours, alors on peut passer à un jeûne de 7 jours, pour travailler sur les symptômes chroniques, nettoyer en profondeur tous les organes, rééquilibrer le terrain, augmenter son énergie disponible. Si l'on n'a plus aucun problème de santé :- si l'alimentation n'est pas stabilisée, ne pas dépasser 7 jours de jeûne. - si l'alimentation est stabilisée, qu'aucune pathologie n'est en cours, et qu'aucun symptôme ne se manifeste pendant la première semaine de jeûne, si l'on a un équilibre et une stabilité dans sa vie globalement satisfaisants, environnement affectif compris, alors on peut faire l'expérience de jeûner de 7 à 14 jours. Les personnes qui jeûnent régulièrement, reprennent le travail de nettoyage et régénération là où il s’est arrêté au dernier jeûne. Ainsi elle va de plus en plus en profondeur pour éliminer des déchets toxiques accumulés parfois depuis plusieurs décennies… Certaines personnes souhaitent pousser le jeûne au-delà de 2 semaines et tentent 21 jours voir plus. Mais ce n’est pas à la portée de tous. Il est toujours préférable de pratiquer progressivement et régulièrement. Cette progression doit absolument être respectée pour avoir des résultats satisfaisants. Si vous négligez de jeûner pendant plusieurs années : ATTENTION, il faut reprendre au point de départ : 3 jours de jeûne. Le jeûne secLorsque nous avons découvert le jeûne sec au sein de Régénère avec Thierry Casasnovas, toute l’équipe s’est mise à tester cette forme de jeûne qui consiste à ne rien manger et ne rien boire, nous nous sommes aperçus qu’il est plus facile de commencer par un jeûne sec quitte à continuer en jeûne hydrique à la suite, parce qu’en jeûne sec la faim disparaît presque de suite, que l’on a pas la sensation de “froid dans les os” typique de la détox, et qu'au contraire, nous avons plutôt chaud. Il y a moins de symptômes de détox qu’en jeûne hydrique. En jeûne hydrique les toxines sont libérées des cellules mais se remettent en circulation dans le sang et la lymphe. C’est pourquoi nous ressentons des inconforts, des symptômes atténués d’anciennes pathologies etc. Tandis qu’en jeûne sec, le corps monte en température, comme une fièvre, qui permet de brûler les toxines à l’intérieur des cellules. Ainsi les toxines ne se remettent pas dans la circulation ou très peu. Il est possible d’avoir chaud dans tout le corps ou seulement dans les zones où la détox est plus forte, comme par exemple la tête, ou les jambes etc. La chaleur se déplace ainsi au fil des jours. Il est possible de faire seulement 12 heures de jeûne sec, ou 24 heures, 2 ou 3 jours etc. Dès que l’on a trop soif, nous savons qu’à n’importe quel moment, il est possible de boire un premier verre d’eau pure tout doucement, petites gorgées par petites gorgées. Puis l’on continue de boire tranquillement autant qu’on le désire de l’eau à température ambiante ou de l’eau chaude. Pour un jeûne sec plus long que 3 ou 4 jours, je recommande un entraînement les mois précédents avec par exemple 24 heures de jeûne sec par semaine, une préparation plus stricte et au un minimum d’un mois pour épurer le sang, qui s'épaissit durant le jeûne sec. Le jeûne sec est extrêmement puissant. Il est courant de dire qu’un jour de jeûne sec équivaut à 3 jours de jeûne hydrique, mais si on dépasse 5 jours de jeûne sec, 1 jour équivaut après cela à 4 ou 5 jours de jeûne hydrique. De ce fait, la cure complète à sec ne doit pas dépasser 9 jours et 10 nuits pour faire un “reset" de tout l’organisme. Une telle cure ne doit pas se renouveler trop souvent. Une fois par an est en principe suffisant, sauf cas particulier. Dans mon accompagnement, je recommande un demi-jeûne de 3 jours minimum pour les personnes qui ont fait du jeûne sec même long. Avant cela, il faut un minimum de 24 heures de jeûne à l’eau. La combinaison des 2 types de jeûnes est très efficace pour nettoyer le corps. Par exemple 5 jours de jeûne sec suivis de 5 jours de jeûne hydrique ou 7 et 7 etc. Je connais des personnes qui ont ainsi vu disparaître une petite tumeur maligne après cette cure, surtout si la cure s’est faite dès l’apparition de la tumeur. Plus la tumeur est ancienne, plus il sera difficile et long de la voir disparaître naturellement. La préparation au jeûneSortir du jeûne avec des aliments dénaturés est très dangereux, voire mortel, car le corps assimile davantage après un jeûne. Par contre, commencer un jeûne sans préparation n'est pas dangereux, mais n'est pas conseillé non plus car une longue préparation facilite grandement la reprise après le jeûne en évitant de retomber trop rapidement dans les mêmes travers. Elle prépare l’organisme qui ainsi a des éliminations moins violentes en jeûne et plus facile à gérer. Donc, pour être cohérent et efficace, il vaut mieux respecter les étapes de la cure de jeûne : 1) la préparation, 2) le jeûne, 3) le demi-jeûne, 4) la reprise, en adaptant à chaque cas particulier. Lors de la préparation, il est nécessaire de ne pas consommer d'acides (alcools, citrons, etc.), ni de sel (sauf l'eau de mer), ni d'excitants (café, thé et autres). Boire de l'eau à jeun, et commencer à se détendre. La repriseNous parlons ici de la reprise alimentaire et physique, puisque l’on est resté au repos durant les 2 phases précédentes. Il n’est pas question d’aller courir un marathon dès que l’on rentre chez soi ! Il est nécessaire de reprendre ses activités physiques progressivement et rester à l’écoute de son ressenti. Idem avec la nourriture. Le demi-jeûne nous a permi de reprendre contact avec les aliments tout en douceur, la faim doit se faire plus intense maintenant, nous allons remanger un peu de tout et sans excès pour revenir aussi à 2 repas par jour tout en respectant les consignes de la préparation, c’est-à-dire sans sel, sucre ajouté, produits chimiques, excitants, alcool etc. et cela le plus longtemps possible, puisqu’en fait ce devrait être notre alimentation habituelle ! Pourquoi 2 repas par jour ?Pourquoi 2 repas par jour ?Parce qu’en tant qu’adulte sain, 2 repas par jour sont suffisants. La digestion demande à l’organisme beaucoup d’énergie, plus notre système digestif travaille, plus nous serons fatigués. Donc pour être en pleine forme, pratiquons le jeûne intermittent et laissons au moins 16 heures de jeûne quotidien à notre organisme entre le dernier repas d’une journée et le suivant le lendemain, ainsi le jeûne de la nuit se prolonge pour notre plus grand bien. N’ayez pas la crainte de l’hypoglycémie de 11 heures, c’est lorsque l’on prend un petit déjeuner traditionnel que l’on a ce “coup de mou” en fin de matinée. Si vous n’avez jamais essayé, profitez de l’expérimenter après votre jeûne pendant 3 semaines et observez comment vous vous sentez ! La reprise est sûrement la phase la plus délicate et la plus dangereuse car le corps assimile mieux. Il est donc important qu’une cure de jeûne entre dans une démarche d’amélioration de notre hygiène de vie en générale, en revisitant notre alimentation pour l’améliorer autant que c’est possible. Pour ce faire, je vous invite à commander mon livre : Manger sainement Ou comment amorcer une transition alimentaire à son rythme et parvenir à une alimentation bénéfique pour la santé. La cure oeuf-citron pour le calcium
Nous manquons souvent de calcium ou nous en perdons trop ou nous ne l'assimilons pas correctement...Force est de constater que nous manquons quasiment tous de calcium et souvent à des doses mêmes très inférieures à celles considérées comme normales pour une femme ou un homme adulte. Je vois cela chaque semaine en faisant passer un test avec mon appareil mini quantum à toutes les personnes qui viennent faire un séjour à CureNature. Ce test nous donne un bilan très détaillé de tout l’organisme y compris concernant les micronutriments et les vitamines. Si la perte du calcium peut s’expliquer par un état acidifié de l’organisme, ce n’est toutefois pas le cas de tout le monde. Pourquoi fixerions-nous mal le calcium ? Pourquoi n’en trouverions nous pas suffisamment dans notre alimentation ? Ce sont des questions que je cherche à élucider. En attendant, il est bon de consommer régulièrement des algues fraîches si nous avons la chance d’en trouver ou séchées à moins de 38° pour conserver toutes les qualités nutritives de ces légumes de mer. Les algues fraîches conservées dans le sel sont trop salées et le sel est un poison, je ne les recommande pas. Toutes les algues sont très riches en calcium, en plus de tous les autres nutriments qu'elles apportent. Où acheter des algues sèches non chauffées ?Les algues sèches se réhydratent facilement. Mettez une poignée d’algues dans un bol, couvrez d’eau de source pendant 1 minute en règle générale, 2 ou 3 minutes pour les algues plus fermes comme la kombu royal. Puis jetez l’eau et couvrez encore 1 minute. Vous pouvez les consommer dans un tartare d’algues, dans une salade, dans un potage etc. 10 % de réduction sur votre première commande Avec le code : CURENATURE (en majuscules) En quoi consiste la cure œuf-citron ?Tout le monde peut faire cette cure, elle est sans danger. On associe coquille d'œuf et jus de citron. Elle apporte un calcium très assimilable : le citrate de calcium. Elle a pour but de reminéraliser l’organisme et combler les déficits en calcium lors d’ostéoporose, fractures, acidoses etc. Le soir :
Combien de temps doit durer la cure œuf-citron ?Fatigue, anémie, dépression : 2 à 3 semaines, à renouveler si besoin. Le calcium participe à l’équilibre nerveux et à la formation du sang. Fractures : 10 jours consécutifs Ostéoporose : 2 à 3 semaines par mois Arthrose, arthrite : 1 à 2 semaines par mois Acidose : 2 à 3 semaines par mois Le calcium et les autres minéraux de la coquille sont basiques, permettant ainsi de rééquilibrer les excès d'acidité. Le citron a aussi cette propriété. En prévention : Cure de 2 semaines, 2 fois par an à partir de 50 ans Cure de 4 semaines, 2 fois par an à partir de 60 ans Source : https://www.phytonut.com/blog/la-cure-oeuf-citron/ Les autres minéraux qui favorise la fixation du calciumTous les minéraux sont interconnectés entre eux. Pour favoriser la minéralisation, certains éléments sont indispensables à la fixation du calcium :
On le retrouve sous forme naturelle dans le Nigari mais aussi celui du Zechstein . Ce dernier est un chlorure de magnésium naturel, non irradié, qui ne contient pas de métaux lourds. Son extraction se fait à environ 1,5 km sous terre, dans des dépôts marins vieux de plus de 250 millions d’années de l’ancienne mer de Zechstein, au nord de l’Europe. Le chlorure de magnésium classique par voie orale est utile pour les carences et pour les problèmes infectieux. Néanmoins, pour se recharger en magnésium, il vaut mieux ne pas consommer ce produit plus de 3 semaines par voie orale. En effet, il sollicite beaucoup les reins et fournit des ions chlorure acidifiants qui ne sont pas souhaitables en dehors d’une problématique infectieuse. Tous les oléagineux sont riches en magnésium, les fruits séchés à moins de 38°, les légumes verts foncés comme les blettes, épinards, choux verts etc., les légumineuses, les fruits de mer, les céréales complètes (mais elles ont des inconvénients pour les intestins si consommées régulièrement et en quantités importantes). Les graines de papayeLa papaye est un fruit tropical qui pousse aussi en Espagne. Il est donc possible de s’approvisionner assez facilement. La plupart des personnes qui consomment de la papaye en jettent les graines, sans savoir qu’elles peuvent aussi être mangées. En effet, ces dernières contiennent d’importants bienfaits pour notre santé. La prochaine fois que vous découperez une papaye, ne jetez pas les graines, elles ont un goût épicé et légèrement amer. Vous pouvez en manger quelques-unes avec la chaire du fruit. Des études ont montré qu’elles possèdent des propriétés médicinales. Essayez de les ajouter crues à des recettes que vous aimez déjà comme des smoothies, des sauces pour salades ou des marinades. Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi les faire sécher et les moudre pour vous en servir à la place du poivre noir. Bien que pendant de nombreuses années, elles aient été considérées comme un résidu, les graines de papaye ont des propriétés nutritionnelles qui valent la peine d’être exploitées. Selon les informations publiées dans la revue Molecules , elles contiennent notamment des polyphénols et des flavonoïdes, deux substances à action antioxydante qui favorisent la santé. Elles fournissent également des acides gras mono-insaturés, tels que l’acide oléique, comme le détaille une étude publiée dans le Journal of Food Lipids. Dans une moindre mesure, elles sont une source de vitamines, de minéraux et de fibres alimentaires, des nutriments qui contribuent à améliorer la qualité de l’alimentation. Les graines de papaye sont délicieuses. La papaye est ainsi devenue célèbre pour tous les bienfaits qu'elle apporte à notre santé, notamment grâce à sa teneur en fibres, en calcium, en phosphore, en fer, en papaïne, en thiamine, en niacine et en vitamines. Comment utiliser les graines de papaye ?
Faire sécher et moudre les graines de papayeDécoupez une papaye dans la longueur et récupérez les graines avec une cuillère. (Pour savoir si elle est mûre, regardez si la peau est devenue jaune et appuyez doucement dessus. Elle devrait être légèrement molle). Mettez les graines dans une passoire à mailles fines et passez-les sous l’eau froide. Vous pouvez les frotter un peu. Puis étalez les graines sur une plaque de votre déshydrateur ou votre four réglé à moins de 40°. Une fois bien sèches, moudre les graines et utiliser la poudre à la place du poivre. (Vous pouvez les conserver à température ambiante dans un récipient hermétique pendant plusieurs années. Jetez-les si elles commencent à se couvrir de moisissures). Mélangez les graines moulues à d’autres épices. Préparez une marinade sèche avec des mesures égales de graines de papaye séchées et moulues, du piment de Cayenne, du sel de mer et de l’ail en poudre. Vous pouvez aussi y ajouter vos herbes et épices préférées comme du cumin, du curry ou de la coriandre. Cela favorise surtout le bon fonctionnement de notre tractus intestinal et de notre système immunitaire. Les graines de papaye protègent les reinsLa consommation de graines de papaye aide à prévenir les problèmes d’insuffisance rénale et permet de les traiter lorsqu’ils sont déjà survenus. Les graines de papaye aident à dépurer le foieLe foie est l’un des organes les plus importants de notre corps. En effet, sa fonction est de filtrer les toxines et les substances toxiques, dans le but de prévenir de nombreuses maladies. Lorsque cet organe est touché par une affection, nous courons le risque de développer des problèmes chroniques. Pour cette raison, il est important de lui donner un petit coup de pouce. On peut ainsi l’aider à se dépurer des substances dont il n’a pas besoin. Pour cela, les graines de papaye peuvent nous aider, notamment en cas de cirrhose hépatique. Il suffit simplement de moudre 5 graines de papaye, de les mélanger avec une cuillerée de jus de citron. Vous boirez ensuite ce mélange deux fois par jour, pendant un mois. Les graines de papaye améliorent notre santé intestinaleGrâce à leur forte teneur en enzymes antiparasitaires, les graines de papaye améliorent notre santé intestinale. Elles contiennent un alcaloïde anti-helminthique, appelé calpaïne, qui a la capacité d’éliminer les parasites intestinaux. Pour cela, il suffit de faire sécher les graines, puis de les moudre. Ensuite, diluez une cuillerée de cette poudre dans de l’eau, et faites bouillir le tout. Vous pouvez ajouter une cuillerée de miel pour adoucir le mélange. Buvez-en 2 à 3 fois par jour. Elles aident à combattre les champignonsGrâce à ses propriétés antifongiques, la graine de papaye peut s’utiliser pour lutter contre certaines infections causées par des champignons. Dans une étude publiée dans l’ Indian Journal of Pharmaceutical Sciences, l’extrait de graines de papaye est efficace contre trois souches différentes de champignons. Elles aident à lutter contre les intoxications alimentairesBien que l’intoxication alimentaire doit être traitée par un médecin, les graines de papaye peuvent servir de complément à son traitement. Selon une revue du Journal of Pharmacognosy and Phytochemistry, l’extrait à base de graines de papaye peut être efficace contre des micro-organismes tels que E. coli, Salmonella, Staphylococcus, entre autres. Les graines de papaye protègent notre système digestifLes graines de papaye possèdent également de puissantes propriétés antibactériennes et anti-inflammatoires. Ainsi, ces graines combattent la salmonelle, les staphylocoques, et d’autres types d’agents infectieux. Les graines de papaye contre l’excès de gras et de sucreLes graines de papaye sont d’excellents brûle-graisses pour notre organisme. Elles ont la capacité d’empêcher que l’organisme n’absorbe trop de graisses et de sucre, ce qui accélère le processus de digestion et contribue à la perte de poids. Elles permettent de contrôler l’acnéIl n’y a aucune preuve de l’utilisation de graines de papaye comme traitement de l’acné. Il s’agit néanmoins, dans la culture populaire, d’un remède complémentaire à ce problème. Dans ce cas, en plus de consommer les graines de papaye, il convient de faire une sorte de cataplasme naturel. Pour ce faire, il convient de suivre les étapes suivantes :
Mangez modérément les graines de papayeLes graines de papaye et leurs extraits contiennent des nutriments qui aident à promouvoir la santé. En général, elles peuvent se consommer sous leur forme naturelle, mais sans excès car cela peut être contre-productif. Consommez entre 7 et 10 graines par jour et vous n’aurez aucun problème. Jeûne et instincto-nutritionQu'est-ce que l'instincto-nutrition ?Vous êtes quelques un(e)s a vous intéresser à l’instinctothérapie mais je préfère dire l’instincto-nutrition, qui s’adresse à plus de monde car cette méthode est plus souple, ,que celle de l'instinctothérapie qui est très stricte et s’adresse plutôt aux personnes qui ont choisi de tenter de se soigner naturellement, ou encore parce que la médecine allopathique les a abandonnées car elle ne pouvait plus rien faire. Dans ce cas, l’instinctothérapie peut les soulager, pas forcément les guérir, tout dépend des malades, de l’avancement de la maladie et du sérieux dans l’application de la méthode. Nous le savons tous, il vaut mieux prévenir que guérir ! Revenons donc à l’instincto-nutrition. C’est l’expérience que je vous propose en sortie de jeûne, lorsque vous passez en demi-jeûne. D’après Dominique Guyaux, c’est la meilleure façon de faire en sortie de jeûne afin de rallonger les télomères. https://www.curenature.fr/blog/le-jeune-et-les-telomeres En demi-jeûne, nous privilégions les fruits juteux et les légumes à la croque. Les aliments concentrés, gras ou riches en protéines seront introduits en douceur plus tard après le demi-jeûne, au moment de la reprise alimentaire et physique. En instincto-nutrition, il s’agit de ne consommer que des aliments “natifs”. On entend par là, des aliments totalement naturels tel qu’on peut les trouver dans la nature, sans cuisson, sans mélange, sans assaisonnement, sans congélation ou tout autres manipulations humaines.. La palette alimentaire se compose donc de fruits (au sens large) c’est-à-dire, les fruits sucrés, les fruits gras, (oléagineux, olives, safous etc.) de légumes (légumes feuilles, légumes fleurs, légumes racines etc.) et quelques graines ou céréales trempées ou germées. Également, si nous le souhaitons, de la viande crue maturée, semi sèche ou sèche, des poissons, des œufs etc. Nous classons les aliments en 3 catégories : Les fruits, les légumes et les protéines. Nous mettons dans la catégorie Protéines, tous les aliments concentrés, riches en lipides et/ou en protéines. Il y a toutes les protéines animales comme la viande, les abats, les poissons, les produits marins, les crustacés, les œufs. Ensuite il y a les avocats, les oléagineux, les graines et céréales trempées ou germées, les champignons. Bien entendu, ces produits sont tous consommés crus, non mélangés entre eux, non assaisonnés etc. comme nous l’avons déjà dit plus haut. Mais nous pouvons consommer; viande, abats, produits marins, poissons, œufs et végétaux séchés à moins de 38° ou consommés semi-secs, ce qui permet un mode de conservation longue durée sans trop dénaturer les aliments. La viande maturée est délicieuse également, mais il faut avoir un frigo qui lui est consacré. Associations alimentairesPour éviter de compliquer la digestion par des associations alimentaires peu harmonieuses, nous séparons la consommation des différentes catégories. Pour faire simple, les légumes vont avec tout. Les fruits se consomment plutôt seuls ou éventuellement avec des légumes, mais jamais avec des protéines ou des fruits gras. Les protéines et les aliments riches en lipides se consomment en mono-diète ou avec des légumes. Pourquoi ? Parce que dans la nature, du temps où nous étions cueilleurs-chasseurs en forêt tropicale, nous mangions ce que nous trouvions. Sauf que dans les forêts primaires, les graines se ressèment toutes seules, aussi, dans un endroit où nous allons trouver des manguiers, par exemple, il n’y aura pas à côté, des oranges, des poires, des avocats, une rivière avec des poissons, une carcasse avec un peu de viande séchée dessus etc. Les arbres sont très hauts dans les forêts primaires, une fois installé sur sa branche, notre ancêtre mangeait toutes les mangues mûres qu’il souhaitait, se reposait sûrement un peu avant de redescendre puis marchait beaucoup plus loin avant de trouver d’autres variétés à consommer. Il y avait des périodes d'abondance et des périodes de disette. Nous étions capables, à l’époque, de manger essentiellement des fruits lors de la saison et plutôt des feuilles et des racines lorsque la saison des fruits était terminée tout en ayant une activité physique importante. Lorsqu’un animal était tué pour être mangé, nos ancêtres consommaient toute la viande disponible, car il n’y avait pas encore de moyen pour conserver les aliments. Les mélanges entre fruits, protéines et légumes n'étaient sûrement pas envisageables dans les conditions originelles de l’homo sapien. Notre génétique ne peut évoluer que très lentement, nous supposons donc que nous ne sommes pas adaptés à manger de tout n’importe comment. Et nous le sentons parfaitement au moment de la digestion. Les boissonsNous consommons uniquement de l’eau minérale ou eau de source, mais nous pouvons tester toutes sortes d’eaux minérales plates ou gazeuses et choisir celle que nous préférons. Le mieux est de les consommer à température ambiante, mais nous n’excluons pas l’eau fraîche ou l’eau chaude. Comment s'organisent les repas ?Le matin, en guise de petit-déjeuner, nous buvons de l’eau, puis nous suçons des rondelles de casse. Voir mes articles sur la casse : https://www.curenature.fr/blog/la-casse https://www.curenature.fr/la-casse.html La quantité de casse au départ doit être de 3 à 5 rondelles puis nous pouvons augmenter un peu la dose chaque jour pour finir en la consommant à l’instinct, c’est-à-dire autant que l’on veut dans la mesure où nous la trouvons bonne et agréablement sucrée. Le but n’est pas d’avoir les intestins qui se tordent dans tous les sens 5 ou 6 heures plus tard, mais juste d’évacuer par les selles, toutes les toxines qui se trouvaient dans la lymphe et le sang. Ce nettoyage régulier et progressif est très important les premières années ou nous avons besoin de nettoyer l’organisme en profondeur. Le déjeuner se compose de fruits. Nous en consommons autant que nous le souhaitons en respectant l’instinct, nous y reviendrons plus loin. Le mieux est de ne consommer qu’une seule variété de fruit aussi longtemps que c’est agréable et que notre organisme ne nous envoie pas de message montrant que c’est assez. Là aussi, je reviendrai plus loin sur l’arrêt instinctif ou alliesthésie. Éventuellement, si nous avons encore faim après l’arrêt du fruit que nous avons choisi en premier, il est possible d’en choisir un second ou de manger des légumes. Le dîner sera constitué d’une seule variété d’un aliment de la catégorie que l’on a appelé “protéine”. Il faut donc bien tous les sentir et choisir celui dont l’odeur est la meilleure dans cette catégorie. Après cet aliment, lorsque nous aurons eu l’arrêt instinctif, nous choisirons, toujours à l’instinct, dans la catégorie des légumes, un végétal que nous mangerons seul, à la croque, en mâchant bien. Puis après l’arrêt, nous pourrons en choisir un second, toujours en les sentant, etc. Il n’y a pas de restriction pour les légumes, car nous ne faisons jamais de surcharge, en principe, dans cette catégorie. Tandis qu’il est relativement facile de faire des surcharges avec les fruits, les avocats sélectionnés, les viandes d’élevage etc. Comment faire fonctionner son instinct ?L’idéal est de se placer dans les mêmes conditions que les animaux sauvages dans la nature, comme nous l’étions à notre origine, en marchant dans la nature, riche en fruits, feuilles, graines … et au fur et à mesure que les parfums nous titillaient les narines, nous nous arrêtions pour cueillir et manger les végétaux qui sentaient bons et nous faisaient saliver. Malheureusement, il est bien loin le temps où nous étions des cueilleurs dans les forêts tropicales… Nous sommes obligés de nous adapter à notre vie d’aujourd’hui et pour la plupart d’entre nous, d’aller acheter nos produits en magasins ou chez les producteurs bio. Au déjeuner nous mettrons sur notre table un beau panier contenant tous les fruits de la saison que nous pouvons trouver et si nous en avons la possibilité, ajouter aussi des fruits d'autres régions pour avoir au minimum 5 variétés de fruits à sentir. Nous pouvons également préparer un autre panier avec toutes les variétés de légumes que nous pouvons trouver, au cas où nous aurions envie de manger quelques légumes après les fruits. Sinon, il sera prêt pour le soir. Celui-ci contiendra aussi un minimum de 5 variétés. Lorsque nous aurons faim en milieu de journée, nous nous installerons devant notre panier de fruit et les yeux fermés pour ne pas laisser notre mental nous influencer, nous sentirons chaque variété de fruits les unes après les autres pour sélectionner d’un côté tous ceux qui sentent bons et nous font saliver et de l’autre côté nous laisserons ceux qui ne nous attirent pas. Nous sentirons toutes les variétés à notre disposition. S’il y a plusieurs variétés qui sentent bons, tranquillement, nous les sentirons à nouveau toujours les yeux fermés et nous éliminerons celles qui ne sentent plus, où ne nous attirent plus, jusqu’au moment où nous garderons une seule variété, celle qui sent le meilleure et nous fait saliver le plus. Le choix fait, il ne nous reste plus qu’à manger tranquillement et en conscience ce fruit délicieux et cela jusqu’à la satiété ou alors jusqu’au moment où il y aura un changement : L’arrêt instinctif ou alliesthésieCet arrêt peut se manifester lorsque l’aliment devient insipide ou qu’il devient pâteux, acide, astringent, amer, piquant, ou encore que l’on se mord la langue, ou la joue etc. En bref, notre organisme n’en a plus besoin et ne secrète plus les enzymes nécessaires pour digérer et assimiler correctement cet aliment. Les agrumes, par exemple, peuvent nous brûler aux commissures des lèvres, c’est le signe que ce sont les acides du fruit qui attaquent nos muqueuses. Il faut arrêter aussitôt que l’on ressent un inconfort. Le kaki va devenir astringent lorsque nous n’en avons plus besoin, les produits marins deviendront trop salés etc. Cet arrêt instinctif qui fonctionne essentiellement avec des aliments natifs donc naturels, crus comme je l’expliquais plus haut, sans assaisonnement ni mélange, a été observé par les scientifiques qui lui ont donné le nom d ’alliesthésie. L ’alliesthésie fonctionne parfaitement avec les fruits sauvages, la viande de chasse, les poissons de mer etc. Plus les fruits ont été sélectionnés par l’homme, plus l’arrêt se fait discret, au point que l’on peut ne pas s’en rendre compte et du coup, manger trop. Idem avec la viande d’élevage, les avocats sélectionnés comme les Hass etc. Il faut être conscient que l’homme a sélectionné les fruits au fil du temps pour qu’ils soient beaux, sucrés et attrayants afin que nous en consommions le plus possible. Certains producteurs de melons, pastèques etc. n’hésitent pas à piquer les fruits avec une seringue de glucose pour les rendre encore plus sucrés ! En revanche, les légumes ont été sélectionnés pour être le plus souvent cuits, du coup ils sont devenus plus forts en goût et donc plus difficiles à consommer crus à la croque. Toutefois, il faut garder en tête que pour bien s’équilibrer il est indispensable de manger des légumes tous les jours. On ne peut pas manger uniquement des fruits pour être en bonne santé. Apprenez au début avec une personne expérimentéeVoici donc les grandes lignes sur cette façon de s’alimenter pour avoir beaucoup d’énergie, un minimum de toxines et être en pleine forme longtemps. Il est indispensable de pratiquer au début avec une personne habituée à cette alimentation pour qu’elle fasse sentir les aliments au néophyte qui fermera les yeux pour apprendre à choisir sans faire intervenir le mental. Il faut bien avoir en tête les 3 catégories d’aliments, apprendre à présenter de jolis paniers de fruits et légumes etc. C’est à mon avis la meilleure façon de s’alimenter, toutefois, sur le plan social, c’est plus difficile à mettre en pratique. En famille : il faut comprendre que manger tous à la même heure et les mêmes plats n’a rien de physiologique puisque nous n’avons pas tous les mêmes besoins aux mêmes moments. Invitation : Il faut prévoir son propre panier avec les aliments qui nous conviennent lorsque nous sommes invités. Nous pouvons bien sûr les partager avec les autres. Mais l’inverse n’est souvent pas compatible ! Tout est question de motivation. J’ai un ami qui se sent bien dans ses baskets comme on dit, qui a toujours ses fruits et légumes avec lui partout où il va avec quelques oléagineux, et il mange où il veut, avec qui il veut, sans être dérangé par ce que les autres consomment, même au restaurant, il a son sac à provision à côté de sa chaise, par terre ! Il est préférable de prévenir le restaurant lorsqu’on réserve, qu’une des personnes ne prendra pas de menu et apportera ses aliments personnels parce qu’il a un régime particulier, et donc qu’ils n’ont rien à prévoir pour cette personne. Notez que lorsque vous réservez une table, les restaurants ne refusent pas, en principe, sinon ils risquent de perdre des clients. Le Quinton ou l’eau de mer ?Quelle est la différence entre l'eau de mer et le sérum de Quinton ?Le Quinton est bien sûr de l’eau de mer, mais pas de n’importe quelle mer, de plus, elle est pompée dans une zone très précise. Tandis que de nombreux distributeurs d’eau de mer pompent en Méditerranée ou dans l’Atlantique proche des côtes. Dans le protocole Quinton, l’eau est pompée dans l’Atlantique, au large de Bayonne dans un vortex et dans une zone riche en zooplancton et en phytoplancton. Non seulement cette eau de mer est particulièrement riche en minéraux du fait que le zooplancton qui se nourrit du phytoplancton rejette une petite goutte qui contient tous les minéraux du milieu marin, mais en plus, elle est dynamisée par le vortex. Elle est ensuite transportée en containers réfrigérés jusqu’au laboratoire aux normes européennes à Alicante en Espagne ou elle est analysée puis stérilisée à froid par filtrages successifs pour être commercialisée en ampoules, bouteilles, spray etc. René Quinton“René Quinton (1866 - 1925) était un naturaliste, physiologiste et biologiste français. Autodidacte, il a élaboré une théorie sur l'origine et la nature marine des organismes vivants. René Quinton découvrit par une série d’expériences que le milieu intérieur, c’est-à-dire l’ensemble des composants liquidiens extracellulaires (et notamment le liquide interstitiel dans lequel « baignent » les cellules) tend, dans sa composition chimique et biologique, à s’approcher de celui de l’eau de mer dans laquelle est apparue la vie. Il supposa que cette composition serait optimale pour une activité cellulaire maximale. René Quinton préféra le terme « milieu vital » à celui de « milieu intérieur ». À la fin du XIXe siècle, René Quinton commence à pratiquer sa méthode thérapeutique dans les hôpitaux parisiens, avant de créer des « dispensaires marins ». La thérapie par le « plasma marin de Quinton » est l’aboutissement pratique des théories et des expériences du biologiste. Le plasma de Quinton n’est pas considéré comme un médicament. Le plasma de Quinton n’est plus dans le dictionnaire médical Vidal depuis 1975. Il était délivré sous diverses formes (ampoule buvable, pulvérisable, injectable). La forme injectable a perdu en France son autorisation de mise sur le marché en 1982 et toutes les autres sont désormais classées en parapharmacie.” Il est donc difficile de trouver maintenant des médecins ou des infirmières qui pratiquent des injections de Quinton. Les thérapies par l’eau de mer aujourd’huiLa thérapie par l’eau de mer permet un apport minéral optimum car totalement biodisponible. C’est aussi un anti-oxydant. Nous savons aujourd'hui que nous avons tendance à être déminéralisés. Cela s’explique d’une part parce que les sols sont appauvris suite à la pratique de la monoculture et toutes ses conséquences sur la biodiversité, mais aussi par l’alimentation industrielle, la vie stressante, le manque de sommeil etc. L’eau de mer permet de se reminéraliser progressivement et d’éviter la déshydratation si nous en ajoutons régulièrement à notre eau de boisson ou à notre alimentation en remplacement du sel de cuisine. Pour des carences plus importantes, il est préférable de privilégier le sérum de Quinton. En hypertonique (eau de mer pure) pour se booster en cas de fatigue passagère, avant une compétition ou un examen. Prendre en ampoules buvables et garder 1 ou 2 minutes sous la langue 2 à 4 ampoules de 10 ml le matin à jeun pendant environ 1 mois. En isotonique (33% d’eau de mer coupée avec de l’eau de source) pour toutes les pathologies chroniques. Prendre 2 ampoules à jeun chaque jour pendant au minimum 6 mois. En sous-cutanée (sous réserve de trouver un professionnel consentant) pour reminéraliser une articulation douloureuse comme les genoux et les disques intervertébraux, afin d’éviter une hernie discale, un lumbago, une sciatique ou autre conséquence de la déminéralisation. “Le docteur François Epineuze, médecin phlébologue à Paris, utilise depuis 1998 une méthode dérivée de la mésothérapie pour traiter les hernies discales et les lumbagos. À l'aide d'injections sous-cutanées de plasma de Quinton isotonique, il aide au renforcement de la santé de ses patients concernés. Le protocole de traitement du Dr Epineuze repose sur un ensemble de perfusions sous-cutanées permettant notamment au disque intervertébral réhydraté par ce plasma de retrouver son volume normal et ainsi voir la douleur s'estomper. Les articulations des genoux ou des hanches peuvent également bénéficier de ce type d'injections afin d'éviter la pose de prothèse.” Voir une vidéo du Dr Epineuse Enfin, le sérum de Quinton peut être utilisé en bain de bouche ou en injection (pour les cas les plus graves), pour les maladies parodontales, les infections, les déchaussements de dents etc. L’eau de mer filtréeL’eau de mer filtrée et pompée dans un endroit le moins pollué possible sera plutôt utilisée en buvable tout au long de la journée, coupée avec de l’eau et dans l’alimentation pour les sauces salades par exemple à la place du sel. En “crusine” (la cuisine non chauffée), elle est utilisée dans la plupart des plats. Le sel marin est très peu assimilable car c’est de l’eau de mer qui a perdu sa charge électromagnétique, c’est pourquoi, il est préférable de le remplacer par de l’eau de mer. Plusieurs entreprises en ligne proposent de l’eau de mer hypertonique en 1, 3, 11, 20 litres. 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Alimentation et classification des alimentsNe pas confondre fruits et graines"Le fruit est un terme de botanique qui désigne la partie fécondée prête à se détacher pour permettre la reproduction. Le fruit est composé de la graine entourée parfois d'une pulpe, elle-même entourée d'une peau. La graine est la partie concentrée (contenant peu d'eau pour permettre sa conservation) qui contient le germe. La pulpe entoure la graine et la peau est destinée à protéger le tout des coups et de la déshydratation. En matière culinaire, quand nous parlons de fruit, c'est en général la pulpe qui est appréciée, c'est la partie juteuse et charnue qui s'altère rapidement, sauf si le fruit est séché. Dans une graine, nous mangeons la partie qui porte le germe, très concentrée en protéines, aliment de croissance, de reconstruction, qui se conserve facilement des années, dans l'attente des conditions de germination favorables. Par exemple, dans une pomme, nous mangeons la pulpe, et laissons les graines, les pépins. Dans une noix ou une noisette, au contraire, nous mangeons la graine capable de germer. Même dans les parties d'un même fruit, nous ne mangeons pas en même temps la pulpe et la graine de ce fruit. Cela est préférable pour un meilleur confort digestif, et pour une meilleure assimilation des nutriments. Mais comme la nature comporte toujours des exceptions, dans une fraise par exemple, nous sommes portés à manger pulpe et graines en même temps, mais il est fort probable que les graines ressortent entières par les selles. Donc nous la considérons bien comme un fruit. Raison de plus quand nous mangeons fruits et graines de deux plantes différentes, alors nous ne mangeons pas ensemble fruits et graines, grasses ou non grasses. Par exemple, nous ne mangeons pas la pulpe sucrée des raisins secs avec les noisettes et les graines de tournesol, qui sont des graines grasses. Idem si nous extrayons l'huile de la graine (ou même d'un fruit gras comme l'olive), nous ne consommons pas l'huile de la graine avec la pulpe d'un fruit sucré. Les fruits gras sont rares (avocats, olives, safou, noix de coco) et sont à caser dans la même catégorie que les graines grasses. Même chose pour les graines non grasses comme les lentilles, les châtaignes, et autres, nous ne consommons pas les fruits avec des graines non grasses. Dans l'avocat, nous mangeons le pulpe du fruit, et non la graine, mais comme la pulpe est grasse, pour l'assimilation, nous le classons avec les graines grasses, même s'il est plus juteux et moins protéiné qu'une graine grasse comme la noix. Donc, nous ne mangeons pas la pulpe de l'avocat qui est grasse avec la pulpe des fruits sucrés Les proportions peuvent varier selon les saisons. Par exemple, davantage de fruits en été, et davantage de graines en hiver. Cette proportion varie en fonction de nombreux autres facteurs. Manger simplement et se régalerL'Hygiénisme est l'école de la simplicité et de la nature Apprenez à croquer dans un légume cru, comme dans une pomme, comme je vous l'apprends après le jeûne. Si l'alimentation dénaturée a émoussé votre joie de vivre, alors vous avez besoin d'un jeûne. On doit bondir de son lit chaque jour, frais et dispo, sinon une pause s'impose ! Pas de privations, pas de frustrations Participez aux rencontres hygiénistes et vacances saines pour ne pas vous sentir isolé. Augmentez votre palette alimentaire en découvrant de nouveaux aliments. Laissez votre corps appeler la variété et l'alternance des aliments au fil des saisons et de sa transformation. Redécouvrez chaque jour l'abondance de la vie naturelle. Puisez à la source. Se sentir libre et se faire plaisir On peut tout concilier, santé et plaisir. Nous avons droit au meilleur de la vie, sans limites. Faire de nouvelles expériences, goûter de nouvelles sensations. Nectar et paradis sont tout proches, juste à saisir. Goûtez les plaisirs de la vie, avec tous les sens, et faites ce qui vous plaît. La vie en famille Les enfants savent mieux que nous revenir à la nature ; et un picnic en famille et en plein air, quoi de plus joyeux ? Si vous observez vos enfants, ils vous apprendront à manger. Chaque enfant est une occasion d'apprendre. Ne ratez pas l'occasion, formez-vous avant de les déformer. Les enfants connaissent la vérité. Besoin d'un coup de pouce Et si vous manquez de volonté, une grande inspiration et un bon cours de yoga par semaine vous aideront à diriger votre vie. Quoi de plus simple que de s'asseoir jambes croisées, le dos droit, les mains jointes devant la poitrine, avec une respiration profonde, en laissant circuler en vous le courant de vie ? Nous sommes tous élèves et enseignants à la grande école de la vie. Eh oui, parfois, il vaut mieux commencer par la fin : renoncer à jouer, prendre un peu de hauteur pour survoler sa vie, et revivre sa naissance. Eh oui, c'est d'un jeûne dont vous avez besoin... le jeûne est une renaissance... la boucle est bouclée ! Quoi de plus simple !" Evelyne Curt 1kg de boeuf cuit au grill = 600 cigarettesEtes-vous sûr de ne pas mettre un zéro de trop ?
Non ! Je peux vous donner beaucoup d'autres exemples comme celui d'un chercheur américain :
"J'ai mis au point une méthode destinée à mesurer les effets cancérigènes des substances alimentaires. J'ai pu évaluer qu'avec la nourriture ordinaire, on absorbe une quantité de substances cancérigènes correspondant à deux paquets de cigarettes par jour. Si cette nourriture est grillée, bien que cela paraisse plus "diététique", on y trouve jusqu'à l'équivalent de dix paquets de cigarettes !" A. Ames Cancérologue/USA La chrononutrition
D’après les études qui ont été faites, il est préférable de manger davantage le matin ou en milieu de journée plutôt que le soir.
Les personnes souffrant d’un dérèglement métabolique comme l’obésité, le surpoids, le diabète de type 2 etc. auraient de bons résultats en organisant leur repas de la sorte. Pour ces personnes ayant choisi de diminuer ou supprimer leur dîner, elles ont enregistré une perte de poids plus caractérisée, une réduction de leur tour de taille, leur glycémie à jeun, l’insuline et la résistance à l’insuline ont diminué dans une plus grande mesure que les personnes qui ont fait l’inverse. Les triglycérides ont diminué. Cela s’explique en partie parce que le corps brûle plus de calories dans la journée que la nuit. Le processus de thermogenèse suit aussi une chronobiologie plus intense le matin ou en milieu de journée. “La chronobiologie est importante pour booster les bons neurotransmetteurs au bon moment. Notamment d'agir sur la motivation, la concentration, mais aussi pour lutter contre la nervosité et la déprime. Un repas riche en protéines, avec peu ou pas de glucides permet la synthèse de la dopamine qui est le neurotransmetteur de l’entrain et de la motivation. Il inhibe aussi la sérotonine qui aurait tendance à nous ralentir.” (Secrets de nutrition N°20) Cela suggère donc de prendre un petit déjeuner de roi, un déjeuner de prince et un dîner de pauvre. La hausse de la glycémie est moins forte après le petit déjeuner qu’après le dîner. Également consommer des protéines accompagnées de quelques lipides (graisses), plutôt le matin et peu ou pas de sucre, que vous consommerez plus tard dans la journée. En France, c’est plutôt le contraire qui est pratiqué avec un petit-déjeuner classique constitué de glucides avec pain, confiture, miel, fruit ou jus de fruit… Le repas de midi comprendra lui aussi quelques protéines, viande, poisson, oeuf ou protéines végétales, accompagnées de légumes crus et/ou cuits. La sérotonine, l’hormone du bien-être et de la détente, sous l’action de l’insuline, est secrétée à la suite d’un repas riche en glucides (les sucres comme les céréales, les féculents, les fruits etc.) et pauvre en protéines. Ces aliments en petites quantités et un type ou deux maximum par jour, pourront constituer le repas du soir si vous en prenez un. Évitez les aliments riches en graisse et en protéines durant ce repas. Toutefois, certaines personnes n’ont pas d'appétit le matin et j’en fait partie. Personnellement, ce qui me va le mieux est de faire un seul repas complet en milieu de journée et le soir, de prendre juste une boisson; du bouillon, de la tisane ou du chai. Le jeûne intermittent, très à la mode et bénéfique pour la santé
Ce jeûne consiste à ne rien prendre de solide pendant plusieurs heures d'affilée, souvent 16 heures. et de concentrer les repas sur une période plus courte de 8 heures ou moins. Il permet ainsi de mettre au repos le tube digestif plus longtemps sur une période de 24 heures et ainsi gagner en énergie. Il a aussi des effets sur les métabolismes (diminution de la glycémie, de l’insuline, de la tension artérielle).
Limiter le temps de prise alimentaire semble réajuster l’horloge circadienne. Le moment des prises alimentaires et leur nature représentent les principes fondamentaux de la chrononutrition, qui est l’étude des relations entre les horloges circadiennes et les prises alimentaires. Alors faut-il sauter le petit-déjeuner ou le dîner ?A chacun de faire des essais et de voir ce qui lui convient le mieux sur tous les plans. Il y a la santé bien sûr, mais aussi la famille, le travail etc. Mais tout le monde s’accorde sur le fait que de ne pas faire du dîner son repas principal est positif, les études ont montré qu’un dîner trop copieux et riche, perturbe le sommeil, le biote intestinal et semble perturber la glycémie, l’insuline et le métabolisme des graisses avec une incidence sur la prise de poids. Les processus d'intoxication alimentaire
L’alimentation humaine (mais aussi animale pour l’élevage), s’est énormément modifiée depuis que nous étions cueilleurs-chasseurs dans les forêts tropicales. Plus grave encore l'évolution de nos repas depuis la dernière guerre mondiale, qui ne cessent de s’industrialiser et de s’éloigner de ce que la nature nous offre pour nous nourrir.
Nos organismes sont capables de s’adapter plutôt très bien en rapport avec ce qu’on leur fait subir, toutefois avec l'accumulation et les répétitions, notre génétique qui évolue que très peu dans le temps, s’embrouille et déraille. Au delà d'un certain seuil, que se passe t-il ?
“Au-delà d’un certain seuil d’intoxication, l’élimination fonctionnelle ne peut plus se faire, l'accumulation de toxines est à l’origine de la dégénérescence de diverses structures : les vacuoles* cellulaires envahissent toute la cellule et inhibent les processus vitaux, des calculs se forment par précipitation de matières excessivement concentrées dans les humeurs, les tissus présentent des infiltrations graisseuses ou calcaires, la dentine peut prendre une couleur foncée due aux matières amenées par le sang et diffusant à partir de la racine etc.
A ces troubles peuvent s’ajouter de beaucoup moins réversibles problèmes comme les dégénérescences dues aux maladies auto-immunes, cancers etc. Le rôle du système immunitaire étant d’assurer le maintien de l’intégrité de l’organisme, on peut supposer qu’il s’est génétiquement élaboré en fonction des problèmes qui pouvaient se poser à lui dans son milieu originel, dont bien sûr des éléments étrangers qui faisaient partie du milieu originel de l’homme lorsqu’il était cueilleur-chasseur. On peut donc raisonnablement envisager la possibilité que notre organisme ne soit pas forcément capable de réagir correctement face à certaines molécules qui ne faisaient pas partie de ce milieu. Certaines d'entre elles pourraient alors s’accumuler dans l’organisme sans être inquiétées. Il apparaît alors logique que le système immunitaire soit désemparé devant des cellules cancéreuses qui n’entrent pas dans son programme, comme par exemple, des cellules “cancérisées” par pénétration d’une molécule non originelle dans son noyau ? Lorsque le système immunitaire est trop fréquemment sollicité par une molécules étrangère, il se met dans un état de tolérance immunologique. L’organisme se laisse alors envahir par cette classe de molécules qui va pouvoir s’introduire dans les cellules et se fixer sur ses membranes. Si par hasard les molécules étrangères de sa membrane entrent dans la classe des molécules tolérées, la cellule incriminée risque de ne pas être reconnue par le système immunitaire et donc de ne pas être détruite par ce dernier. Elle pourra alors donner naissance à une tumeur en toute impunité. Pour inverser ce processus, il faudrait d’abord que le système immunitaire sorte de tolérance. Ce qui nécessite, notamment, la cessation d’apport de molécules étrangères par voie alimentaire.” D’après Dominique Guyaux Mais ce qui rend les choses très délicates, c’est qu’il n’y a pas que par l’alimentation que des molécules étrangères entrent dans notre organisme. Les produits d’hygiène et de maquillage pénètrent par la peau, les produits d’entretien entrent par la peau et les poumons ainsi que la pollution atmosphérique, les émanations de colle, peintures, produits de nettoyage des moquettes et tapis etc. Rôle des virus et bactéries
“En ce qui concerne les cellules particulièrement sujettes à renouvellement comme les gaines de myéline, les calottes articulaires, les reins etc. on peut supposer que certains virus sont programmés pour assurer leur démontage. “
On rejoint là, Anthony William dans Médical Medium qui incrimine toujours les virus et bactéries dans toutes sortes de pathologies et notamment le virus d'Epstein Barr extrêmement répandu dans la population. On estime que 95% des humains de la planète seraient infectés mais le virus reste en dormance la plupart du temps pour devenir parfois actif après un choc, un traumatisme, une maladie, un accident… Ce virus fait partie de la famille des herpès, il infecte les lymphocytes (globules blancs) et perturberait le fonctionnement de nos organes comme la thyroïde, le foie etc. C’est pourquoi, il est indispensable de réduire au maximum tout apport de molécules étrangères dans notre alimentation mais aussi dans notre environnement. Certes, nous subissons certaines pollutions et rayonnements, mais comme le colibri, faisons notre part sur ce que nous pouvons gérer :
Les symptômes qui peuvent apparaître pendant le jeûne
Il est courant qu’en jeûne, quelques symptômes fassent surface. On revit, sous forme très atténuée, les maladies que l’on a pu avoir auparavant.
Toutefois, certaines personnes n’ont rien. Comment interpréter cette absence de symptômes ? L’absence de symptômes peut tout aussi bien s’expliquer par une absence d’intoxication que par une absence de détoxination. Pour une personne qui a toujours eu une alimentation physiologique et une bonne hygiène de vie, l’intoxication de son organisme est minime. A l’opposé, pour une personne sédentaire, dont l’alimentation a toujours été délétère, il y aura une surcharge de toxine +++. Ses émonctoires (organes d’élimination) fonctionnent au ralenti, la détoxination est primordiale mais reste difficile et lente à réaliser. La santé pourrait alors se définir comme la capacité de l’organisme à maintenir ou à rétablir son intégrité. L’expérience a montré que même en ayant une alimentation 100% physiologique à un moment T de notre vie, la durée de détoxination est à peu près la même que celle de l'intoxication, des années durant lesquelles nous avions une alimentation classique. C’est donc un processus lent et progressif. Une préparation au jeûne sérieuse
Il n’est pas conseillé de faire un jeûne long sans une préparation sérieuse au préalable ainsi qu’une remise en question de l’alimentation générale.
Il est préférable de commencer par des petits jeûnes et, si tout va bien, d’en augmenter progressivement la durée. Votre accompagnatrice en jeûne saura vous conseiller pour la durée et pour la préparation de votre prochain jeûne. Elle doit vous conseiller aussi de revisiter votre alimentation pour limiter au maximum l’arrivée de nouvelles toxines dans votre organisme. A savoir aussi, que lorsque l’on jeûne de façon régulière une ou deux fois par an par exemple, le travail de détoxination reprend là où il s’est arrêté au dernier jeûne. La détoxination se produit souvent par vagues successives lorsque l’on pratique un jeûne long. On peut expliquer ces vagues de détoxination par des sorties de tolérance. Il apparaît logique que les réactions soient plus intenses dans les premiers jeûnes. Toutes ces vagues de détoxination se traduisent par de légers malaises (transpiration, nausée, soif, froid intense etc.) et s’accompagnent parfois d’odeurs anormales dans les selles (pendant la préparation car elles sont rares ou absentes pendant le jeûne), les urines, l’haleine, la transpiration etc. Mais lors d’une bonne préparation, tous ces inconvénients liés à la détoxination et l’élimination ont commencé tout en douceur et se retrouvent bien atténués pendant le jeûne. Une bonne compréhension de ces phénomènes permet de prendre plus au sérieux la préparation au jeûne afin d’éviter les conséquences désagréables rencontrées par les débutants, particulièrement lorsqu’il y a une pathologie déclarée. L'intoxication de l’organisme
"L’amélioration de l’état général et la guérison des maladies peuvent commencer lorsque le taux d'intoxication passe en dessous des seuils critiques et se manifeste d’autant plus rapidement que la maladie est récente.
L'intoxication est certainement responsable d’un vieillissement pathologique qui se superpose au vieillissement programmé génétiquement. Le système immunitaire s’attaquerait aux cellules trop intoxiquées et déclencherait des micro-inflammations qui s'ajoutent à la tendance inflammatoire générale provoquée par des déséquilibres et les toxines de l’alimentation classique. Du coup, les cellules fonctionnelles voisines seraient encore plus sollicitées et se retrouveraient vite en état d’insuffisance fonctionnelle (insuffisance rénale, hépatique, cardio-vasculaire, cérébrale, etc) Dès l’arrêt de l'intoxication alimentaire, on constate en effet une baisse de la tendance inflammatoire générale. On peut donc penser que les cellules fonctionnelles remplacent progressivement les cellules cicatricielles et ceci explique le rajeunissement observé chez beaucoup de jeûneurs de longue durée. Nous observons aussi une perte de poids pendant la préparation et le jeûne, surtout au début. Cette perte de poids correspond à une perte de matières étrangères. "En premier on notera l’élimination des eaux dont le sel de cuisine aura entraîné la rétention, des réserves en tout genre et des cellules inutiles car abîmées, usées, dégénérées. Des substances indésirables, que l’organisme aurait accumulées par un phénomène de tolérance vis à vis des molécules inadaptées, se trouveraient, elles aussi éliminées. Il ne faut donc pas confondre un amaigrissement "voulu” par l’organisme, avec un amaigrissement pathologique provoqué par la malnutrition, un trouble métabolique, ou encore par un processus auto-immun échappant au contrôle génétique. Le ralentissement de la perte de poids peut s’expliquer de deux façons:
Lorsqu’on laisse l’organisme gérer tous ces phénomènes de détoxination, on s'aperçoit qu’il les gère très bien et qu’ ils se font en douceur. Cela d’autant plus que la préparation a été faite suffisamment longtemps et sérieusement. Il ne s’agit là que d’interprétations, certes corroborées par des faits observables, mais qui n’en offrent pas moins l’avantage de faire percevoir que ces faits, aussi incohérents qu’ils puissent paraître de prime abord, peuvent s’intégrer dans une logique globale. Voir les 4 phases du jeûne hygiéniste et la préparation au jeûne Comment choisir les meilleurs aliments qui se conservent ?Les oléagineux
Les oléagineux et les graines peuvent se conserver facilement dans un endroit sec et frais toute une année jusqu’à la prochaine récolte.
Mais attention, si les coques sont bien propres, c’est souvent parce qu’elles ont été lavées et séchées à chaud, opération qui perturbe les molécules de l’aliment et vous permet d’en manger beaucoup trop facilement même si les oléagineux sont bio. Les noix du commerce classique sont systématiquement trempées dans des bains antifongiques et séchées à l’air chaud. Les arachides (cacahuètes) sont quasiment toujours torréfiées, sauf si elles sont crues et dans ce cas c’est indiqué. Les noix déjà décortiquées sont à éviter car elles s’oxydent plus vite. La coque des pistaches est éclatée par passage dans un four à haute température. Les olives
Les olives déjà préparées sont aussi à éviter car elles subissent un traitement chimique destiné à supprimer leur amertume, et parfois aussi à enrichir leurs arômes.
Les olives fraîchement cueillies sont extrêmement amères. Pour pouvoir les consommer au naturel, il suffit de les laisser mûrir sur l’arbre le plus longtemps possible puis de les laisser vieillir et sécher quelques semaines à l’air libre et enfin de les mettre dans un bocal étanche sans rien ajouter pour avoir des olives naturelles. Elles se conservent parfaitement ainsi 1 ou 2 ans. Penser à ouvrir le bocal 2 heures avant de commencer à les consommer, vous devez entendre un "pschitt" à l’ouverture, signifiant que les fermentations ont bien fait leur travail. Sinon, méfiez-vous. Les fruits séchés
Les fruits qui ont séchés naturellement sur l’arbre sont un vrai régal de la nature. Mais on peut les mettre à sécher soi-même dans un déshydrateur en réglant la température sur 38° maximum. On peut les conserver dans un endroit sec et frais. Facile à consommer en randonnée, ils pèsent moins lourd que les fruits frais dans notre sac à dos. Lorsqu’en hiver il y a peu de choix en fruits, ils font un bon complément.
J’ai pu ainsi ramasser des raisins secs sur des vignes abandonnées donc non traitées, certaines variétés de figues à peau épaisse, demie-sèches sur l’arbre, un vrai délice ! Les fruits séchés des magasins bio subissent des dénaturations thermiques. Les figues sont stérilisées à l’eau bouillante et parfois farinées. Les abricots et les bananes sont souvent cuits avant séchage. Quant aux raisins, garantis séchés au soleil, ils sont immergés dans de l’eau bouillante en cours de séchage pour leur donner, d’après les fabricants, un moelleux traditionnel. Les dattes bio sont cueillies par régime entier à maturité moyenne. Un régime de dattes comprend donc des dattes à point, des trop mûres et d’autres pas assez mûres. Pour homogénéiser leur maturité, elles sont souvent réhydratées à la vapeur et trempées dans un sirop de sucre, les rendant plus brillantes. Évitez les dattes du commerce classique, elles sont confites à chaud après avoir été mises sous emballage plastique et sont souvent soumises à une double dénaturation, séchage à chaud plus immersion dans un bain antifongique à 70°. Ces traitements ne sont jamais mentionnés sur les emballages. Les miels
Les miels doivent être extraits à froid, en principe, les producteurs l’indiquent sur les pots lorsque c’est le cas.
L’apiculteur ne doit pas donner de sirop de sucre à ses abeilles mais doit leur laisser assez de miel pour passer l’hiver. Interrogez votre apiculteur, et le mieux est de lui commander du miel en rayon. Je rencontre assez régulièrement des personnes qui avouent ne plus pouvoir s’arrêter lorsqu’elles mangent un de ces produits et pour cause...Lorsqu’ils ont subi une dénaturation par la chaleur ou autre, l’instinct ne fonctionne plus car notre organisme n’a pas de signe indiquant qu’il en a plus besoin. Cette manifestation de l’organisme s’appelle l’alliestésie. Aussi, pour en manger raisonnablement, préférez la qualité et approvisionnez-vous dans des boutiques garantissant la non dénaturation d’aucune sorte. N’oubliez pas non plus que les molécules de Maillard que l’on sait être cancérogènes, sont les plus nombreuses dans les protéines et les graisses cuites. C’est pourquoi je vous conseille de bien choisir votre approvisionnement notamment si vous consommez régulièrement des oléagineux, pour qu’ils n’aient pas subi de dénaturation par la chaleur. Si vous les achetez directement au producteur, posez-lui la question. Il n’y en a pas beaucoup qui peuvent le garantir, en voici donc une qui offre toutes ces garanties : Jurassicfruit. Vous avez aussi une remise de 10% sur votre première commande avec le code : CURENATURE Source : Le régime du plaisir de Dominique Guyaux Les dérives alimentaires dangereusesLes manipulations génétiques, la culture et l'élevage à visée sélective
“La sélection artificielle des céréales a commencé voilà près de dix mille ans. Au néolithique, nos ancêtres choisissaient bien évidemment de replanter les plus belles graines de la récolte précédente. Le type de mutation qu’engendre cette méthode ne semble pas poser beaucoup de problèmes à notre organisme. Le mil de culture, par exemple, s’écarte de son frère sauvage, que d’une dizaine de mutations.
Aujourd’hui, toutes sortes de procédés sont utilisés pour obtenir de nouveaux produits, et chaque année apporte son lot de variétés jusqu'alors inconnues. Or, ces hybrides artificiels peuvent très bien synthétiser de nouvelles molécules en toute impunité si tant est qu’elles ne soient pas détectables par les appareils de mesure actuels. En 1997, les premiers aliments issus du génie génétique ont commencé à être commercialisés en Europe et l’hebdomadaire l’Express (N° 2332 de mars 1996) nous en parle en ces termes : “En France, la commission du génie biomoléculaire (CGB) est prête à délivrer les autorisations de mise sur le marché à une dizaine de produits manipulés :
La plupart de ces produits, plus faciles à cultiver, n’offrent de réels avantages qu’aux seuls producteurs. Les firment qui ont tant investi dans leur mise au point cherchent donc à nous persuader qu’il n’est pas plus dangereux de manger du "génétique" que de s’éclairer au nucléaire” Les aliments transgéniques se sont fait une place de plus en plus importante jusqu’à ce que leur consommation nous paraisse tout à fait naturelle. Quant aux éventuelles conséquences sur la santé de leurs consommateurs, seul l’avenir pourra nous en dire plus.” Le blé
Ah le blé ! représenté souvent par le pain, dont l’image s’est chargé de significations culturelles et religieuses qui se sont profondément ancrées en nous.
“Les éleveurs de volailles savent depuis longtemps qu’il ne faut pas leur donner de blé sous peine de les voir s’exciter au point de se picorer entre elles jusqu’à ce que mort s’ensuive. Ce n’est que pour augmenter leur excitabilité sexuelle lors de la reproduction qu'ils en introduisent une certaine dose dans leur alimentation.” “Depuis ses origines, qui remontent à environ -10 000 ans, le blé a subi de si nombreuses modifications qu’il serait fastidieux de les énumérer. Le blé passe par de multiples hybridations au point que les blés consommés aujourd’hui n’ont plus rien à voir avec leurs ancêtres. Leurs sept paires de chromosomes originels sont bien loin des 14 paires du blé dur utilisé actuellement pour les pâtes, semoules etc. Quant au blé tendre utilisé pour le pain, biscottes, brioches, pizzas etc. il n’en a pas moins de 21 paires ! Le blé avec sa teneur exagérée en gluten à cause des hybridations pour faciliter la fabrication du pain entre autres, est devenu un allergène puissant. Les spécialistes des allergies ont répertorié de nombreuses manifestations d’intolérance au gluten, jusqu’à la maladie coeliaque et des maladies neurologiques, sans parler des maladies psychiatriques. Ils reconnaissent même que cette substance est une des plus grandes causes d’allergie actuelle.” Ainsi, la suppression du blé dans l'alimentation conduira à une diminution des poussées d’adrénaline accompagnant les faux stress, de la timidité, des cauchemars etc. Dans certains pays la consommation du maïs est très importante et l’on peut dire qu’il y a pratiquement les mêmes inconvénients qu’avec le blé, sa consommation est devenue dangereuse. Je peux personnellement témoigner de l’effet immédiat des molécules anormales sur les enfants, qui par leur énergie nerveuse encore au top, ont des organisme qui réagissent immédiatement pour s’en débarrasser sous forme de nez qui coule, d’excitabilité à outrance etc. Mes deux derniers enfants qui ont eu une alimentation originelle, c’est-à-dire, crue, bio,non transformée ni mélangée (l’instinctothérapie) n’ont jamais crié ou pleuré sans raison, sauf les rares fois où, avec leurs amis, ils partaient discrètement dans l’un des commerces du village pour s’acheter des bonbons ou des gâteaux. Même si personne ne les avait vu partir, le seul fait de les voir le soir même s’énerver pour un rien, se disputer, crier, avec le nez qui coule, nous savions qu’ils avaient mangé quelque chose d’anormal. Les animaux d’élevage
La sélection artificielle des animaux d’élevage n’est pas plus exempte de risques que celle des végétaux, car il n’est pas démontré que ces manipulations n’entraînent pas l’apparition de nouvelles molécules dont nous ne pourrons détecter les effets nocifs que dans plusieurs générations.”
(Rappelons le scandale de la vache folle pour avoir nourri des bovidés comme des carnivores). Gardez en mémoire que les animaux d’élevage sont très mal nourris et leur alimentation n’est pas du tout conforme à leur génétique. Les produits laitiers
Les petits d’hommes doivent se nourrir du lait maternel et surtout pas d’un autre lait, même “maternisé” qui reste du lait de vache qui a subi des transformations.
Aucun mammifère à part l’homme n’a jamais bu le lait d’un autre mammifère et pourtant les animaux sauvages ne souffrent pas d’ostéoporose. Ce fait a été démontré en comparant l’état de l’ossature des peuples friands de lait de vache comme ceux de l’Europe du nord avec celui des peuples qui n’ont pas cette consommation dans leur culture comme au Japon (même si cela a bien changé ces dernières décennies). Le calcium bio disponible et parfait pour nous vient des oléagineux, des algues, des fruits et des légumes. Sources : Dominique Guyaux, Le régime du plaisir, guide de l’alimentation originelle à l’orée du troisième millénaire. Les utilisations de l’huile de ricin bio
Le ricin est un arbuste exotique qui pousse un peu partout en France, à la belle saison. Il est utilisé à des fins ornementales dans les jardins avec ses feuilles vertes ou rouges foncées et ses fruits rouges épineux.
En culture bio, la plante de ricin, intercalée entre les pieds de pommes de terre, repousse les Doryphores. Les graines contenues dans les fruits sont la source de l’huile de ricin, qui a diverses applications, et de la ricine, un poison. Les graines contiennent entre 40 et 60 % d'huile riche en triglycérides, principalement la ricinoléine. Seules les variétés à plus grosses graines sont utilisées pour la production d'huile, les formes spontanées ayant la plupart du temps de petites graines impropres à l'extraction d'huile. La totalité de la plante semble toxique en raison de la présence d'une lectine glycoprotéique : la ricine. La concentration en ricine est maximale dans les graines qui renferment par ailleurs des protéines, de l'eau et des lipides. Ces graines sont riches en une huile qui doit ses propriétés purgatives à la présence de l'acide ricinoléique. L'huile de ricin qui altère la muqueuse intestinale et provoque des pertes importantes en eau et en électrolytes (sels minéraux), d'où son action purgative intense et irritante. La ricine, protéine présente dans la plante et les graines, est une toxine redoutable. Les graines et les coques de ricin contiennent aussi d'autres produits toxiques, dont un allergène, plus difficile à rendre inactif que la ricine et pouvant provoquer une hypersensibilité chez les humains en contact avec ce produit. Cet allergène semble peu nocif pour les animaux. L'ingestion de graines, souvent accidentelle chez les jeunes enfants, peut provoquer des intoxications graves (en raison de la présence de ricine) nécessitant impérativement une prise en charge hospitalière. On considère que trois graines peuvent être fatales à un enfant, quatre graines peuvent déterminer une intoxication sérieuse chez l'adulte et six à huit graines peuvent lui être fatales. Ces chiffres sont cependant à nuancer, la gravité de l'intoxication dépend de la sensibilité individuelle à la ricine. De plus, selon que les graines sont mastiquées ou non, la gravité de l'intoxication ne sera pas la même. Lorsque les personnes intoxiquées sont prises en charge à temps en milieu hospitalier, l'issue de l'intoxication est presque toujours favorable. L'huile de ricin, obtenue par pression à froid des graines, est un purgatif puissant très prisé en médecine naturelle et en cosmétique. Toutefois, comme vous venez de le lire, en usage interne, cette huile n’est pas à utiliser régulièrement car elle peut provoquer de graves lésions aux intestins, qui sont déjà trop souvent malmenés par une alimentation délétère. Donc prudence si vous souhaitez faire des purges à l’huile de ricin, elles ne conviennent pas à tout le monde. Cette forme de purge permet l’élimination des colles, mucus et glaires principalement. Elle peut être suivie par un jeûne sec qui va aussi dans le sens des éliminations de type colloïdale. Pour obtenir un effet laxatif doux, prenez 6 à 8 gouttes ou maximum une cuillère à soupe pour nettoyer le sang, la lymphe et les intestins. Pour un effet plus puissant, selon ce que vous recherchez, vous pouvez aller jusqu’à 3 cuillères à soupe d’huile de ricin que vous pouvez mélanger à un peu de jus de citron ou d’orange pour faciliter l'absorption. Il ne faut plus boire ni manger tant que la purge n’ a pas fini de faire son effet. Pour les personnes souffrant d’allergies saisonnières, comme le rhume des foins, plusieurs gouttes d’huile de ricin chaque jour durant la période peuvent aider à contrôler l’allergie. Nombreuses sont les utilisations en usage externeEn cosmétique
L’huile de ricin est réputée comme “crème de nuit” antirides, comme démaquillant ou encore pour faire pousser plus rapidement les cils et les cheveux.
En hygiénisme
Pour les excroissances et kystes, masser doucement avec de l’huile de ricin mélangée avec du bicarbonate de soude.
Pour le vitiligo, masser doucement les régions affectées avec de l’huile de ricin tiède. Idem pour la corne sous les pieds, les douleurs articulaires, raideurs du cou etc. Si vous avez une irritation dans les yeux, 1 goutte d’huile de ricin dans les yeux favorise le drainage. Pour les infections aux oreilles comme les otites, mettez 2 à 3 gouttes tièdes dans le canal auditif et mettez un coton puis massez les régions arrière et inférieures de l’oreille. En cataplasme
Les cataplasmes se font avec une application de chaleur par dessus pendant 1 heure 30 ou plus.
Comment préparer un cataplasme d'huile de ricin ?
Imbibez une flanelle ou un tissu un peu épais, coupez en fonction de la grandeur de la partie du corps que vous souhaitez traiter avec l’huile de ricin. Laissez le tissu absorber l’huile (l’huile ne doit pas couler), puis appliquez votre tissu côté huile de ricin sur la peau directement. Couvrez avec un plastique ou un film étirable pour protéger vos vêtements et posez une bouillotte chaude par-dessus.
Contrairement au cataplasme d’argile, celui à l’huile de ricin n’a pas besoin de respirer et vous pourrez l’utiliser facilement 10 ou 15 fois juste en remettant un peu d’huile lorsque ce sera nécessaire. Le cataplasme d’huile de ricin n’absorbe rien, il permet simplement d'attirer les globules blancs dans la zone traitée, qui eux, feront leur job de nettoyage de la zone en question pour un meilleur fonctionnement de l’organe ou de la glande. Ce type de cataplasme est parfait pour relancer le fonctionnement de la glande thyroïde qui se trouve juste sous la peau au milieu du cou. Pour le foie, les intestins, les reins etc. Il faut garder le cataplasme au moins 1 heure ou plus et même une nuit entière si vous le pouvez et le faire tous les jours ou au moins 3 fois par semaine plusieurs semaines suivant vos symptômes. Lorsque vous enlevez le cataplasme, placez-le dans une boîte hermétique au frais pour une prochaine utilisation qui demandera peut-être d’ajouter un peu d’huile de ricin s’il vous paraît un peu sec. Après une quinzaine d’utilisations, jetez-le et recommencez avec un nouveau morceau de tissu. Il est possible par cette technique de traiter :
Pour les enfants
Pour les jeunes enfants, il est plus difficile de maintenir un cataplasme mais un simple massage avec de l’huile de ricin tiédie suffit en principe, pour calmer un mal de ventre par exemple.
Si l’enfant présente des symptômes d’appendicite, le masser tous les jours dans la zone de l’appendice peut éviter une opération si c’est pris à temps, mais ne négligez jamais l’avis de votre médecin en cas de doute. Ne laissez jamais votre bouteille d'huile de ricin à la portée des enfants. Où acheter votre huile de ricin bio ?
La boutique Biovie en ligne vous propose la bouteille d'un litre à 17.50 euros et avec le code promo : CURENATURE-BIOVIE, vous avez 10 % sur votre première commande.
L'iridologie, un outil pour voir le terrain physiologique d'une personneL’iridologie n’est pas science divinatoire
Nous ne voyons pas de symptômes mais plutôt le terrain physiologique de la personne dont on étudie les iris. C'est-à-dire les points faibles et les points forts. Le terrain c’est aussi les conditions génétiques.
Il y a environ 28000 fibres nerveuses qui arrivent dans l’iris, alors que pour le fonctionnement de l'œil il n’en faut même pas 8000. 1 fibre nerveuse dans l’iris contrôle 5 à 10 cellules musculaires. Dans l’organisme, 1 fibre nerveuse contrôle environ 300 cellules musculaires. Ce qui signifie qu’une fibre nerveuse dans l’iris correspond à une petite partie et donc qu’elle est facilement reconnaissable dans l’organisme. C’est un peu comme en réflexologie, palmo-thérapie ou auriculothérapie où l’on retrouve aussi toutes les parties du corps dans les pieds, les mains et dans les oreilles, qu’il est possible de stimuler par des pressions, des piqûres et des massages. Nous savons également que dans chaque partie du côlon il y a aussi une correspondance avec les différents organes du corps. Dans l'œil droit on retrouve les organes du côté droit. Dans l'œil gauche, ceux du côté gauche et on retrouve dans les 2 yeux les organes qui sont au centre. Lorsqu’il y a une zone sombre ou noire, cela signifie que pour cette zone, il n’y a plus de réponses nerveuses ce qui laisse entendre qu’il n’y a plus d’élimination de produits toxiques dans cette zone, pourtant, fatalement elle en reçoit toujours. Dans ce cas on peut penser qu’il pourrait y avoir un risque d’apparition de phénomènes de type tumoraux. Il y a le potentiel, manifesté ou pas. Il ne faut pas se laisser leurrer par les symptômes mais s’intéresser au terrain comme nous allons le voir plus loin. On ne voit pas tout dans les iris, seulement les parties qui sont innervées. Par exemple il est impossible d'après les yeux de voir s’il s’agit d’un homme ou d’une femme, ou de voir si une femme est enceinte. On ne peut pas voir les calculs car ils ne sont pas innervés, ni le cholestérol mais on peut voir l’anneau de cholestérol donc l’action du cholestérol sur les artères. Rappelons les 4 états de dégénérescence d’un individu
L’état aigu
Dans l’état aigu, voici ce que l’on peut remarquer. C’était, (car c’est de moins en moins le cas depuis les années 2000) le cas des enfants qui étaient souvent enrhumés, faisaient des maladies infantiles, mais se remettaient assez vite.
L’état suraigu Dans l’état suraigu, il y a moins de sorties de toxines, moins de symptômes. Le système nerveux commence à s'affaiblir, c’est le cas des adolescents avec écrans, nuits courtes et mauvaise alimentation. Découverte de la cigarette voir même drogue et alcool.
L’état chronique A l’âge adulte, si l’on n’y prend pas garde, on se laisse envahir par le stress des études, des premiers emplois, de la vie de couple et ses aléas etc.
Les 2 couleurs d’yeux génétiquement parlant
En génétique, il n’y a que 2 couleurs d’yeux, les yeux bleus et les vrais yeux marron (que l’on trouve plus couramment en Afrique et en Asie).
Les yeux marron avec des parties claires, sont en fait des yeux bleus avec un état chronique qui donne la couleur marron à l'œil. Alors que dans les vrais yeux marron, nous avons l’impression d’un velours régulier dans la couleur. LA couleur prédominante
Dans un iris, en dehors de la couleur génétique de l'œil, la couleur prédominante nous donnera une indication sur l’état nerveux de la personne, donc l’état de ses surrénales, que l’on peut vérifier aussi avec la pression sanguine de la personne.
Iris dominé par le blanc = état aigu Iris dominé par la couleur jaune = état suraigu Iris dominé par la couleur marron = état chronique Iris dominé par le noir = état dégénératif L’état de la pupille
Lorsque l’on remarque une forte contraction de la pupille, on peut dire que c’est le système nerveux parasympathique qui domine, la personne est plus ou moins en état d’épuisement
Lorsqu’au contraire on remarque une forte dilatation de la pupille, c’est le système nerveux sympathique (lutte ou fuite) qui domine. Le cercle de malabsorption
Il se trouve autour de la pupille sous forme d’anneau plus ou moins net d’une couleur souvent marron tirant sur le rouge. Il représente un défaut d’absorption au niveau intestinal.
Le cercle nerveux autonome ou collerette
La collerette se forme sous l’influence du système nerveux sympathique et parasympathique. Normalement on peut suivre cette collerette qui représente exactement la forme des intestins. Dans l'œil droit nous observons le côlon ascendant et la première partie de côlon transverse. Dans l’œil gauche nous voyons la représentation de l’autre moitié du côlon transverse, le côlon descendant, le sigmoïde et le rectum.
D’après la forme de la collerette, nous pouvons observer s’il y a des ballonnements, des prolapsus, des spasmes, de l’inflammation etc. et dans la zone des intestins, il est possible de voir s’il y a des diverticules, une parasitose etc. La couleur à l’intérieur de cette zone permet de dire si les intestins sont chargés ou pas. Lorsque les intestins sont chargés, le haut de l’iris, qui correspond à la zone des processus cognitifs de l’individu, sera très certainement foncé également car les intestins sont reliés à la tête par le nerf vague. Le cercle de l'estomac
On observe le cercle de l’estomac dans la zone intestinale comme un cercle parfaitement régulier autour de la pupille. Il n’apparaît que si le terrain de cet organe n’est pas bon, sinon il n’apparaît pas. S’il est plutôt blanc, on en conclu qu’il y a une hyperactivité et que l’estomac secrète beaucoup d’acide chlorhydrique.
S’il est blanc terne, jusqu’à gris foncé et marron, on en conclu qu’il y a une hypoactivité et donc pas assez d’acide chlorhydrique, les parois de l’estomac sont laisées, affaiblies avec un risque d’ulcère donc le corps ralentit la production d’acide chlorhydrique pour se protéger. Il ne faut donc pas en ajouter mais reminéraliser pour renforcer les parois de l’estomac. Qu’est-ce qui demande beaucoup d’acide chlorhydrique ? Toutes les protéines animales, les céréales complètes, la cellulose complexe. (attention aux végétariens qui consomment beaucoup de céréales complètes.) Les intestins
S’il y a des déchets qui stagnent dans la zone intestinale, il y a une prolifération bactérienne.
Lorsqu’il y a comme un brouillard dans la zone des intestins, nous pouvons en déduire qu’il y a une infection fongique massive. Les radiis solaris ou rayons de soleil montrent des parasites intestinaux qui passent des intestins dans le milieu interne et souvent dans la zone des processus cognitifs. Il s’agit en principe de bacilles. La zone intestinale a peu de nerf sensitif, ce qui fait que même si on a les intestins en vrac, on ne le sent pas forcément. S’il y a une “coupure” dans la collerette, c’est un risque de hernie et un relâchement nerveux dans cette zone de l’intestin. La collerette en forme d’étoile montre une hypersensibilité intestinale. Une double collerette par endroit montre une tendance schizoïde avec des troubles psy marqués. Une candidose (qui peut camoufler la collerette) montre la présence de champignons et de levures, une infection fongique. La présence de micro-organismes ”nettoyeurs” est justifiée parce qu’il y a des déchets, des fermentations et des putréfactions. L’infection fongique est caractérisée par la présence de la couleur orange du fait du rejet d’acide sulfurique par les champignons et levures. Ils ont une influence directe sur les processus cognitifs. Ce sont souvent des terrains à la dépression, la fatigue chronique etc. La candidose est une fragilité de la muqueuse intestinale, hyperméabilité etc. La zone des organes et glandes
A l’extérieur de la collerette, nous arrivons dans la zone des organes. On peut simplement y voir des zones d’ombres et plus particulièrement des lacunes qui se présentent comme des pétales de fleur.
Une lacune peut être ouverte ou fermée. Si les bords sont épais blanc ou marron, c’est une zone de l’organisme qui présente un défaut majeur de circulation sanguine et lymphatique si elle est ouverte. Si elle est fermée, la circulation sanguine et lymphatique ne se fait plus. Rien ne bouge dans cette zone (il faut se référer à la charte pour savoir de quelle zone il s'agit), il y a donc beaucoup de toxines qu’il faudra aider par des techniques hygiénistes. S’il y a des lignes dans la lacune, elles sont appelées lignes de guérison qui, lorsqu’elles se forment, indiquent que les fibres de la trame réapparaissent. C’est un nouveau réseau qui se crée, la zone se revivifie. Dans la zone des organes, il y a souvent des marques récurrentes, souvent sur les reins et les surrénales, mais aussi les poumons, la thyroïde … On voit des lacunes dans ces zones. Dans la zone des processus cognitifs, on peut distinguer :
La trame
Elle est constituée de fibres radiales qui donnent des indications sur l’hérédité, la génétique de l’individu. Plus les fibres sont denses, plus la génétique est forte. Ce sont ces fibres qui portent la couleur de l'œil comme le bleu par exemple.
Si on voit du noir entre les fibres, c’est qu’elles sont relâchées. Plus la trame est dense, plus la personne est en bonne santé avec une constitution forte. Les cercles nerveux, ou cercles de stress
Si la personne est soumise à un stress endogène ou exogène, il y a une dilatation de la pupille. Si la situation est chronique, les cercles de stress indiquent des phénomènes de compensation.
Si la situation de stress est intense et dure dans le temps, cela provoque une déformation de la pupille. S’il y a un aplatissement en haut de la pupille, c’est la zone des processus cognitifs qui est atteinte. S’il y a aplatissement vers le bas, ce sont les organes pelviens qui sont touchés par l’origine nerveuse (épuisement nerveux dans la zone). S’il y a un aplatissement vers la droite pour l'œil gauche, c’est le cœur et le plexus solaire qui sont touchés. La faiblesse nerveuse est à réparer au plus vite. La zone lymphatique
Après la zone des organes on peut observer la zone du système lymphatique. Lorsqu’elle est chargée, cette zone apparaît comme un chapelet de points blancs ou blanc crème en général. Ce sont les ganglions lymphatiques enflammés, chargés, et donc en hyper activité. C’est une réaction inflammatoire. Si c’est orangé, c’est une infection fongique qui peut être liée à la peau qui se trouve juste à côté dans la zone d’élimination, et dans ce cas ce sera une infection de type fongique de la peau comme le psoriasis par exemple.
Zone d’élimination par la peau mais pas uniquement
On l’appelle aussi le cercle éliminatif. S’il est épais, sombre, il y a une déficience de l’élimination dans les zones représentées. C’est souvent le cas au niveau de la peau mais aussi des poumons.
Cercle de sodium ou de cholestérol ou de sénescence
C’est l’action du sodium et du cholestérol sur notre système circulatoire, des dépôts inorganiques qui rigidifient nos artères et nos veines. Lorsque ce cercle est visible, il y a des risques de rupture d’anévrisme, d’embolie etc.
Il faut reminéraliser de toute urgence. Attention, les minéraux cuits des légumes et fruits, perdent leur charge électromagnétique et se déposent dans les veines et artères en les rigidifiant. Pour les personnes âgées, ce cercle indique aussi un risque d’anémie cérébrales en cours, avec donc un manque d'afflux sanguin dans la tête car avec la pesanteur la montée du sang et de la lymphe est plus difficile, ce qui entraîne un manque d’oxygène. Il faut reminéraliser et décongestionner. Si on voit la couleur bleutée, il y a un risque grave d’arrêt cardiaque car la congestion veineuse et artérielle est très importante. Points pigmentés associés à des tâches de produits chimiques et métaux lourds
Ce sont des tâches de produits chimiques et résidus de produits chimiques souvent dûes aux vaccins ou à des traitements médicamenteux importants. Ce sont des traces de fer, d’iode radioactif, d’aluminium, de plomb, de mercure, de phosphore, d’arsenic etc.
Voilà donc un petit aperçu de ce que l’on peut observer dans les iris. Cela nous donne des indications sur ce qu’il est intéressant de mettre en place pour améliorer le terrain.
Par exemple un changement d’alimentation, ou une minéralisation massive avec des jus frais, de l’eau de mer etc. Ou plutôt un bon nettoyage intestinal par des irrigations du côlon et/ou des lavements sur du long terme ou encore s’orienter vers le yoga, la relaxation, un meilleur sommeil etc. pour contrôler son stress… La personne peut ainsi, mieux connaître ses points faibles ou au contraire ses points forts sur lesquels elle peut s’appuyer. Chaque personne que j’accueille à CureNature bénéficie d’une étude de ses iris et reçoit du même coup des conseils et des pistes à explorer si nécessaire. Source: Formation d’iridologie de Thierry Casasnovas d’après Bernard Jensens. Le microbiote buccale
Lorsque l’on parle de microbiote, il s’agit souvent du microbiote intestinal, appelé également flore intestinale.
Cette flore est tellement importante pour tout l’équilibre de notre organisme que l’on en parle comme d’un organe que les scientifiques étudient de plus en plus. Mais rappelons qu’un microbiote est un ensemble de bactéries vivantes dans une partie précise de notre corps mais aussi de la terre, jardin, potager, forêt etc. C’est un milieu vivant ; ces bactéries se forment, vivent puis meurent pour se renouveler en permanence sans que l’on ne s’en aperçoive la plupart du temps. Chaque type de bactéries a un rôle précis suivant où il se trouve. Aujourd’hui, je vais vous parler du microbiote buccal. La bouche est l’entrée du tube digestif. Comme tout au long du tube digestif, il y a un ensemble de bactéries qui nous protègent contre des bactéries pathogènes qui pourraient entraîner des maladies comme les caries, les infections, les gingivites etc. Toutes les maladies parodontales sont des infections causées par l’accumulation de bactéries pathogènes et des toxines qui s’accumulent sur le bord de la gencive, sur les dents, sur le palais, la langue et l’intérieur des joues. Ces dépôts que l’on remarque le matin au réveil proviennent de l’ensemble du tube digestif et donnent souvent mauvaise haleine. C’est le résultat du travail de détoxification naturel de la nuit lorsque l’on est au repos. En jeûne, le phénomène est accentué et peut durer plusieurs jours avec une impression de bouche pâteuse. C’est ce que l’on appelle aussi le biofilm qui, s’il n’est pas retiré avec une brosse à dent, provoque la plaque dentaire qui a des conséquences plus graves pouvant entraîner des problèmes cardiaques. Les risques s’accentuent avec l’âge. L’alimentation joue un grand rôle dans l’équilibre de notre microbiote buccale ainsi que l’hygiène comme le brossage adapté au minimum matin et soir. Un brossage adapté est un brossage vertical qui part du bord de la gencive pour aller au bout de la dent, sur l’avant de la dent comme à l’arrière, afin de retirer ce biofilm. Le matin il est préférable de se brosser les dents de cette façon avant même le petit déjeuner si vous en consommez un. Et peu de gens en ont conscience. Il est préférable de ne pas ravaler ce biofilm qui est constitué de bactéries mortes ou pathogènes… En plus des dents, le matin, brossez-vous les gencives (avec une brosse très douce), l’intérieur des joues, le palais et la langue. Il existe des râpes langues en cuivre justement contre les bactéries. Le brossage sert aussi à retirer des particules alimentaires qui peuvent rester coincées dans les dents. Ce brossage est donc adapté après les repas. Qu’est-ce qui provoque un déséquilibre du microbiote buccal ?Une forte consommation de sucre, particulièrement le soir, nourrit des bactéries pathogènes qui, si cette consommation est régulière, vont coloniser le tube digestif au détriment des bonnes bactéries. Une alimentation industrielle, riche en sucres, sels, graisses, produits chimiques etc. a des conséquences aussi sur l’ensemble des bactéries. Quels sont les aliments qui vont rééquilibrer notre microbiote ?Contre les bactéries qui provoquent les caries, nous savons que l’ail et le citron combinés ensemble ont un bon effet contre la bactérie Streptococcus mutans. L’ail seul a déjà un effet anti-microbien, mais associé au citron il est encore plus efficace pour inhiber la bactérie. Cette association rentre parfaitement dans un jus ou dans une sauce pour crudités. Le jus des “braves” de Robert Morse, repris par Thierry Casasnovas est intéressant puisque l’on passe dans l’extracteur de jus à part égale du citron, du gingembre, du curcuma. Et on ajoute facilement 1 ou 2 gousses d’ail. Le mélange de cannelle de Ceylan et de clous de girofle montre une activité antibactérienne très élevée. C’est un mélange que je fais lorsque je prépare du chai (du thé Indien aux épices) et si en plus des épices, vous ajoutez du thé vert qui possède lui aussi de bonnes propriétés antibactériennes pour la bouche, vous avez une boisson excellente et utile pour votre microbiote.
Les herbes méditerranéennes ont aussi un bon pouvoir sur les micro-organismes buccaux. Notamment le romarin et la sauge sclarée. Ce sont des plantes qui s’associent parfaitement dans les plats comme la sauce tomate crue ou cuite, avec des champignons etc.
Les polyphénols sont des antioxydants, ils aident à inhiber le développement et la progression des maladies parodontales et augmentent l’activité antioxydante des liquides buccaux. Ces polyphénols se trouvent dans les différents thés, (le fait de garder dans la bouche du thé vert ou noir 2 à 5 minutes accroît la capacité antioxydante de la salive), le jus de raisin et le vin rouge (sans sulfate si possible), le café etc. Le cacao (sans sucre) possède lui aussi des vertus pour prévenir les maladies parodontales. Vous pouvez consommer des fèves de cacao crues ou des éclats de cacao cru à croquer ou à utiliser dans une boisson ou un dessert. L’association de miel et de propolis est une bonne source de polyphénols. Ils ont des propriétés antibactériennes, antivirales, antiparasitaires, anti-inflammatoires et antioxydantes. Le miel et la propolis ensemble inhibent la croissance des agents pathogènes oraux tout en limitant la déminéralisation de l’émail. Le miel et la propolis protègent l’émail en inhibant la fixation des bactéries dégradantes et même en renforçant la surface de l’émail. Tous les miels de bonne qualité peuvent être utilisés, celui de Manuka est souvent cité car c’est celui qui est le plus étudié, mais n’importe quel miel joue ce rôle. Vous pouvez mâchouiller un peu de propolis avec une cuillère à café de miel en rayon par exemple ou y ajouter quelques gouttes de teinture mère de propolis pour renforcer le système immunitaire et pour la santé de votre bouche. Oil pulling ou bain de boucheUne pratique qui nous vient de la médecine ayurvédique consiste à faire un bain de bouche le matin au réveil avec de l’huile de sésame vierge de première pression à froid qui peut être remplacer par de l’huile de coco vierge. Il s’agit de prendre une bonne cuillère à soupe d’huile dans sa bouche et de la faire passer entre les dents et partout dans la bouche pendant environ 15 minutes puis, bien sûr, la recracher. L’huile est antifongique et permet de réduire la gingivite. Ses acides gras polyinsaturés atténuent également les dommages causés par les radicaux libres dans les cavités buccales. Elle apporte aussi quelques vitamines et minéraux aux muqueuses. L’alimentation physiologiqueSi vous optez définitivement pour une alimentation physiologique, composée essentiellement de fruits et de légumes, de graines germées, d’oléagineux etc. toutes ces choses comestibles que la nature nous donne, vous n’aurez pas d’inquiétude à avoir pour votre santé dans son ensemble. Et si parfois, pour une occasion spéciale, il vous arrive de manger autre chose de moins sain, ce n’est pas grave. Vous pouvez, après les repas de fêtes, prévoir un jeûne de quelques jours, pour rapidement éliminer ce que l’organisme ne peut gérer correctement. L'exposition croissante aux ondes électromagnétiques est un problème de santé publique majeur11/15/2022 L’exposition croissante aux ondes électromagnétiques est un problème de santé publique majeur
Tout le monde sait que les ondes électromagnétiques sont mauvaises pour nos organismes mais nous préférons faire les autruches, parce que c’est tellement bien d’être connecté !
70 % des études scientifiques indépendantes ont démontré que l’exposition à de faibles doses de radiofréquences peut effectivement présenter des risques à long ou moyen terme pour la santé, notamment des cancers cérébraux. La box wi-fiLes personnes qui vivent dans des immeubles pensent qu’il ne sert à rien de couper son xi-fi la nuit, parce que les nombreux wifi des voisins sont branchés. Mais si tout le monde pense ainsi, alors l’immeuble est plongé dans un tourbillon électromagnétique 24/24 et cela est franchement mauvais autant pour les humains que pour les animaux et les plantes. Plus votre box wifi est proche, plus vous recevez d’ondes électromagnétiques. La première chose à faire est de l'éloigner au maximum des zones où vous vivez le plus et surtout des endroits ou vous vous reposez comme la chambre à coucher, peut-être le salon mais aussi votre bureau si vous êtes en télétravail et que vous y passez plusieurs heures. Pourtant, bon nombre de personnes ont la box dans leur table de nuit, c’est totalement aberrant et dangereux. Quoiqu’il en soit, éteignez la box au moins la nuit si ce n’est lorsque vous ne vous en servez pas. C’est lorsque l’on est au repos, pendant la nuit qu’on est le plus vulnérable à toutes ces perturbations. Il existe des moyens pour contrecarrer les nuisances électromagnétiques, je ne les ai pas tous essayés mais une pomme de terre coupée en 2 près de la box, absorberait une partie de cette pollution. Le gros sel marin aurait la même propriété. Personnellement, je pose des bâtons de charbon actif de bambou à côté de la box et dans la pièce principale de la maison. Le charbon actif absorbe et adsorbe (attire à lui) la pollution de l’air, l’humidité, les odeurs et l’électromagnétisme. Il est recommandé d’utiliser les connexions internet filaires au lieu du Wi-F Les téléphones cellulaires
Beaucoup de jeunes passent leur soirée sur leur téléphone portable, utilisent leur appareil pour voir l’heure la nuit et l’alarme. Du coup ils ont leur téléphone actif tout le temps ou presque. Là aussi, plus le téléphone est proche de la tête plus il y a de risque de tumeur au cerveau. Le risque est accru la nuit lorsque l’on est au repos, donc prudence, ne laissez jamais votre téléphone actif près de vous lorsque vous dormez, mettez-le systématiquement sur mode avion. Attention le pire est lorsque vous rechargez votre téléphone dans votre chambre, c’est là qu’il émet le plus de pollution électromagnétique. Rechargez votre téléphone dans une pièce où vous ne séjournez pas et le plus loin possible de là ou vous vous reposez. “Le risque à la santé dépend de la dose reçue, explique Santé Canada : « Contrairement au téléphone cellulaire où l'émetteur se trouve à proximité de la tête, de sorte qu'une grande partie de l'énergie RF absorbée se dépose dans une région très localisée, l'énergie RF des appareils Wi-Fi est habituellement transmise à une distance beaucoup plus grande du corps. Cela entraîne des niveaux moyens d'absorption d'énergie RF très faibles dans toutes les parties du corps, tout comme l'exposition aux signaux de radiodiffusion AM/FM. » https://maisonsaine.ca/actualites/champs-electromagnetiques-douze-facons-de-se-proteger Les autres appareilsOn n’y pense pas toujours, mais les câbles électriques et tous les appareils branchés sur le secteur émettent un champ électromagnétique, même lorsqu’ils sont éteints. Alors si vous ne pouvez pas changer de place les câbles électriques qui passent dans votre chambre à coucher, évitez de mettre votre tête de lit près de ces câbles qui passent dans les murs. Prenez soin d’avoir le moins de choses possible branchées sur le secteur dans votre chambre. N’utilisez pas de réveil électrique, pas de téléphone sans fil, pas de télévision même éteinte dans votre chambre et aucun autre appareil qui ne soit pas indispensable dans la chambre. Il est possible d’utiliser une lampe de chevet solaire et un réveil à pile pour remplacer. L'électrosensibilité“Le groupe de travail Biolnitiative est composé de 29 experts indépendants qui ont passé en revue 1800 études publiées depuis 2007 sur le rapport entre les CEM et la santé. Ils affirment que la prépondérance de la preuve indique que les expositions très en deçà des standards de sécurité publique peuvent augmenter le risque de nombreuses maladies et conditions, du cancer du cerveau et de la leucémie aux maladies cardiaques et neurologiques, en passant par l’infertilité, l’autisme et l’électrosensibilité, en particulier chez les utilisateurs fréquents d’appareils sans-fil. Par exemple, les standards sont de 1000 à 10 000 fois plus élevés que les niveaux maintenant communément rapportés comme déclencheurs d’effets biologiques. La médecine moderne en est encore à débattre des origines des symptômes d’électrosensibilité tels que les maux de tête, l’insomnie, les troubles cutanés et les acouphènes (bourdonnements d’oreilles). « L’électrosensibilité n’est pas une phobie », nous a affirmé en entrevue le gastroentérologue Roy Fox, professeur de gériatrie et expert en médecine environnementale à l’Université de Dalhousie à Halifax, Nouvelle-Écosse. « Quand le système nerveux est dans un état d’excitation élevée, en réaction à l’environnement, on interprète cela comme de l’anxiété, relate le Dr Fox, qui est directeur médical du Service de soins intégrés des maladies chroniques, un centre financé par des fonds publics qui se spécialise dans le traitement des patients souffrant des conditions chroniques complexes telles que le syndrome de fatigue chronique et les sensibilités environnementales. Mais lorsque vous tombez malades et que tout ce à quoi vous êtes exposés aggrave votre condition, vous devez réduire vos expositions environnementales de façon à ce que le corps puisse récupérer. Nous enseignons à nos patients comment réduire les expositions chimiques et électromagnétiques et alors leur état de santé s’améliore. » “Le rapport BioInitiative conclut sans équivoque : « Un usage vigoureux du principe de précaution et des avertissements clairs de santé publique sont nécessaires dans l’immédiat pour prévenir une épidémie mondiale de tumeurs du cerveau due à l’usage des appareils sans-fil». En fait, l’épidémie a peut-être déjà commencé, selon le London Daily Mail du 24 avril 2012 : le taux des tumeurs du lobe temporal et frontal a grimpé de 50 % (de 2 à 3 personnes par 100 000) entre 1999 et 2009, selon l’Office britannique des statistiques nationales. De plus, « les données de l’Université Segalen de Bordeaux démontrent une augmentation annuelle de 1 à 2 % du cancer du cerveau chez les enfants ». En plus de la leucémie, ces champs magnétiques sont aussi soupçonnés de causer des maladies neurologiques ainsi que les cancers du cerveau et du sein. Ceci notamment en stoppant la production par la glande pinéale de l’hormone du sommeil, la mélatonine, un antioxydant très puissant qui freine la croissance des tumeurs. https://maisonsaine.ca/actualites/champs-electromagnetiques-douze-facons-de-se-proteger Comment se décharger de l’électromagnétisme accumulé ?
Protégez les enfantsLes enfants sont encore plus vulnérables que les adultes, alors si vous ne le faites pas pour vous, faites-le au moins pour les enfants sans oublier les femmes enceintes. |
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