Quelle durée prévoir pour une cure de jeûneLe jeûne hygiénisteA CureNature, nous pratiquons le jeûne hygiéniste. C’est bien sûr du jeûne hydrique (la seule boisson est l’eau), mais nous pratiquons également le jeûne sec. On appelle jeûne hygiéniste le fait de ne rien prendre à part de l’eau pure, puisque les hygiénistes ont étudié uniquement le jeûne hydrique. Et nous mettons le corps au repos pour le laisser faire son travail de nettoyage et de régénération dont il a besoin et dans l’ordre qui lui convient, sans intervenir sauf cas particulier. Au repos, cela consiste à rester allongé le plus longtemps possible le matin. L’après-midi, je conseille toujours de suivre son ressenti. Parfois nous nous sentons fatigués et préférons rester au chaud sous la couette. D’autres fois, le besoin d’aller marcher un peu se fait sentir. Se promener tranquillement dans la nature et respirer les essences des plantes sauvages et des arbres, prendre un bain dans la mer ou dans une rivière peuvent nous redonner de l’énergie. Dans un jeûne de ce type, il y a 4 phases à respecter. Nous parlerons plus loin du jeûne sec. Les 4 phases sont
Mais pour les personnes qui consomment encore du gluten, des produits laitiers, du sel, du sucre, de l’alcool ou des substances chimiques, des excitants etc. mais sans pathologie déclarée, je recommande une préparation d’un mois. En revanche, pour les personnes qui ont une pathologie importante et/ou chronique, il faut se préparer 3 mois à l’avance. Le jeûne peut se faire chez soi (c’est plus difficile de rester au repos et il y a des tentations…) entre amis ou accompagné par une personne compétente. Il est possible de jeûner n’importe quand dans l’année, même si les changements de saisons de l’automne et du printemps sont prisés. Le demi-jeûne se met en place aussitôt que l’on a décidé de rompre le jeûne. Il est d’une durée équivalente au jeûne hydrique et consiste à rester au repos. L’après-midi, nous proposons une collation toutes les 2 heures. La collation peut être un jus de légumes, un légume à la croque ou un fruit juteux. La reprise est la dernière étape de la cure qui se fait souvent à la maison, nous reprenons instinctivement l’alimentation que l’on avait avant de jeûner, d’où l’importance du demi-jeûne, s’il a été bien mené. Il faut garder en mémoire qu’après un jeûne, nous métabolisons tout mieux, le bon comme le mauvais. Il faut donc se nourrir qu’avec de bonnes choses. Je recommande d’être vigilant sur ce que nous mangeons au moins tout le mois qui suit le jeûne afin d’optimiser ses effets. Dans cette perspective, si vous faites 3 jours de jeûne, il faut prévoir 1 semaine de cure. Si vous prévoyez de faire 7 jours de jeûne, il faut prévoir 14 jours de cure, afin d'inclure le temps du demi-jeûne dans la période de repos. Le séjour en cure est toujours réparti entre jeûne et demi-jeûne, sachant que la détoxination est plus forte en demi-jeûne, et nécessite un repos total. Comment choisir la durée du jeûne à l’eau ?Des repères permettent de prévoir de quelle durée nous avons besoin : - notre état de santé actuel. - notre avancement dans les changements alimentaires. - notre vitalité. Si l'on a encore des problèmes de santé non résolus :Si l'on a encore des problèmes de santé non résolus :- si l'alimentation n'est pas stabilisée, ou si une pathologie est en cours, ne pas dépasser 3 ou 4 jours de jeûne : il s'agit d'un jeûne de sevrage, ou de soulagement selon les cas, pour vous permettre d'évaluer où vous en êtes sur tous les plans : toxémie, vitalité, mode de vie et vous permettre de progresser pas à pas vers un équilibre alimentaire satisfaisant, alliant sobriété et régularité. - si l'alimentation est stabilisée, et qu'aucune pathologie n'est en cours, alors on peut passer à un jeûne de 7 jours, pour travailler sur les symptômes chroniques, nettoyer en profondeur tous les organes, rééquilibrer le terrain, augmenter son énergie disponible. Si l'on n'a plus aucun problème de santé :- si l'alimentation n'est pas stabilisée, ne pas dépasser 7 jours de jeûne. - si l'alimentation est stabilisée, qu'aucune pathologie n'est en cours, et qu'aucun symptôme ne se manifeste pendant la première semaine de jeûne, si l'on a un équilibre et une stabilité dans sa vie globalement satisfaisants, environnement affectif compris, alors on peut faire l'expérience de jeûner de 7 à 14 jours. Les personnes qui jeûnent régulièrement, reprennent le travail de nettoyage et régénération là où il s’est arrêté au dernier jeûne. Ainsi elle va de plus en plus en profondeur pour éliminer des déchets toxiques accumulés parfois depuis plusieurs décennies… Certaines personnes souhaitent pousser le jeûne au-delà de 2 semaines et tentent 21 jours voir plus. Mais ce n’est pas à la portée de tous. Il est toujours préférable de pratiquer progressivement et régulièrement. Cette progression doit absolument être respectée pour avoir des résultats satisfaisants. Si vous négligez de jeûner pendant plusieurs années : ATTENTION, il faut reprendre au point de départ : 3 jours de jeûne. Le jeûne secLorsque nous avons découvert le jeûne sec au sein de Régénère avec Thierry Casasnovas, toute l’équipe s’est mise à tester cette forme de jeûne qui consiste à ne rien manger et ne rien boire, nous nous sommes aperçus qu’il est plus facile de commencer par un jeûne sec quitte à continuer en jeûne hydrique à la suite, parce qu’en jeûne sec la faim disparaît presque de suite, que l’on a pas la sensation de “froid dans les os” typique de la détox, et qu'au contraire, nous avons plutôt chaud. Il y a moins de symptômes de détox qu’en jeûne hydrique. En jeûne hydrique les toxines sont libérées des cellules mais se remettent en circulation dans le sang et la lymphe. C’est pourquoi nous ressentons des inconforts, des symptômes atténués d’anciennes pathologies etc. Tandis qu’en jeûne sec, le corps monte en température, comme une fièvre, qui permet de brûler les toxines à l’intérieur des cellules. Ainsi les toxines ne se remettent pas dans la circulation ou très peu. Il est possible d’avoir chaud dans tout le corps ou seulement dans les zones où la détox est plus forte, comme par exemple la tête, ou les jambes etc. La chaleur se déplace ainsi au fil des jours. Il est possible de faire seulement 12 heures de jeûne sec, ou 24 heures, 2 ou 3 jours etc. Dès que l’on a trop soif, nous savons qu’à n’importe quel moment, il est possible de boire un premier verre d’eau pure tout doucement, petites gorgées par petites gorgées. Puis l’on continue de boire tranquillement autant qu’on le désire de l’eau à température ambiante ou de l’eau chaude. Pour un jeûne sec plus long que 3 ou 4 jours, je recommande un entraînement les mois précédents avec par exemple 24 heures de jeûne sec par semaine, une préparation plus stricte et au un minimum d’un mois pour épurer le sang, qui s'épaissit durant le jeûne sec. Le jeûne sec est extrêmement puissant. Il est courant de dire qu’un jour de jeûne sec équivaut à 3 jours de jeûne hydrique, mais si on dépasse 5 jours de jeûne sec, 1 jour équivaut après cela à 4 ou 5 jours de jeûne hydrique. De ce fait, la cure complète à sec ne doit pas dépasser 9 jours et 10 nuits pour faire un “reset" de tout l’organisme. Une telle cure ne doit pas se renouveler trop souvent. Une fois par an est en principe suffisant, sauf cas particulier. Dans mon accompagnement, je recommande un demi-jeûne de 3 jours minimum pour les personnes qui ont fait du jeûne sec même long. Avant cela, il faut un minimum de 24 heures de jeûne à l’eau. La combinaison des 2 types de jeûnes est très efficace pour nettoyer le corps. Par exemple 5 jours de jeûne sec suivis de 5 jours de jeûne hydrique ou 7 et 7 etc. Je connais des personnes qui ont ainsi vu disparaître une petite tumeur maligne après cette cure, surtout si la cure s’est faite dès l’apparition de la tumeur. Plus la tumeur est ancienne, plus il sera difficile et long de la voir disparaître naturellement. La préparation au jeûneSortir du jeûne avec des aliments dénaturés est très dangereux, voire mortel, car le corps assimile davantage après un jeûne. Par contre, commencer un jeûne sans préparation n'est pas dangereux, mais n'est pas conseillé non plus car une longue préparation facilite grandement la reprise après le jeûne en évitant de retomber trop rapidement dans les mêmes travers. Elle prépare l’organisme qui ainsi a des éliminations moins violentes en jeûne et plus facile à gérer. Donc, pour être cohérent et efficace, il vaut mieux respecter les étapes de la cure de jeûne : 1) la préparation, 2) le jeûne, 3) le demi-jeûne, 4) la reprise, en adaptant à chaque cas particulier. Lors de la préparation, il est nécessaire de ne pas consommer d'acides (alcools, citrons, etc.), ni de sel (sauf l'eau de mer), ni d'excitants (café, thé et autres). Boire de l'eau à jeun, et commencer à se détendre. La repriseNous parlons ici de la reprise alimentaire et physique, puisque l’on est resté au repos durant les 2 phases précédentes. Il n’est pas question d’aller courir un marathon dès que l’on rentre chez soi ! Il est nécessaire de reprendre ses activités physiques progressivement et rester à l’écoute de son ressenti. Idem avec la nourriture. Le demi-jeûne nous a permi de reprendre contact avec les aliments tout en douceur, la faim doit se faire plus intense maintenant, nous allons remanger un peu de tout et sans excès pour revenir aussi à 2 repas par jour tout en respectant les consignes de la préparation, c’est-à-dire sans sel, sucre ajouté, produits chimiques, excitants, alcool etc. et cela le plus longtemps possible, puisqu’en fait ce devrait être notre alimentation habituelle ! Pourquoi 2 repas par jour ?Pourquoi 2 repas par jour ?Parce qu’en tant qu’adulte sain, 2 repas par jour sont suffisants. La digestion demande à l’organisme beaucoup d’énergie, plus notre système digestif travaille, plus nous serons fatigués. Donc pour être en pleine forme, pratiquons le jeûne intermittent et laissons au moins 16 heures de jeûne quotidien à notre organisme entre le dernier repas d’une journée et le suivant le lendemain, ainsi le jeûne de la nuit se prolonge pour notre plus grand bien. N’ayez pas la crainte de l’hypoglycémie de 11 heures, c’est lorsque l’on prend un petit déjeuner traditionnel que l’on a ce “coup de mou” en fin de matinée. Si vous n’avez jamais essayé, profitez de l’expérimenter après votre jeûne pendant 3 semaines et observez comment vous vous sentez ! La reprise est sûrement la phase la plus délicate et la plus dangereuse car le corps assimile mieux. Il est donc important qu’une cure de jeûne entre dans une démarche d’amélioration de notre hygiène de vie en générale, en revisitant notre alimentation pour l’améliorer autant que c’est possible. Pour ce faire, je vous invite à commander mon livre : Manger sainement Ou comment amorcer une transition alimentaire à son rythme et parvenir à une alimentation bénéfique pour la santé.
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La cure oeuf-citron pour le calcium
Nous manquons souvent de calcium ou nous en perdons trop ou nous ne l'assimilons pas correctement...Force est de constater que nous manquons quasiment tous de calcium et souvent à des doses mêmes très inférieures à celles considérées comme normales pour une femme ou un homme adulte. Je vois cela chaque semaine en faisant passer un test avec mon appareil mini quantum à toutes les personnes qui viennent faire un séjour à CureNature. Ce test nous donne un bilan très détaillé de tout l’organisme y compris concernant les micronutriments et les vitamines. Si la perte du calcium peut s’expliquer par un état acidifié de l’organisme, ce n’est toutefois pas le cas de tout le monde. Pourquoi fixerions-nous mal le calcium ? Pourquoi n’en trouverions nous pas suffisamment dans notre alimentation ? Ce sont des questions que je cherche à élucider. En attendant, il est bon de consommer régulièrement des algues fraîches si nous avons la chance d’en trouver ou séchées à moins de 38° pour conserver toutes les qualités nutritives de ces légumes de mer. Les algues fraîches conservées dans le sel sont trop salées et le sel est un poison, je ne les recommande pas. Toutes les algues sont très riches en calcium, en plus de tous les autres nutriments qu'elles apportent. Où acheter des algues sèches non chauffées ?Les algues sèches se réhydratent facilement. Mettez une poignée d’algues dans un bol, couvrez d’eau de source pendant 1 minute en règle générale, 2 ou 3 minutes pour les algues plus fermes comme la kombu royal. Puis jetez l’eau et couvrez encore 1 minute. Vous pouvez les consommer dans un tartare d’algues, dans une salade, dans un potage etc. 10 % de réduction sur votre première commande Avec le code : CURENATURE (en majuscules) En quoi consiste la cure œuf-citron ?Tout le monde peut faire cette cure, elle est sans danger. On associe coquille d'œuf et jus de citron. Elle apporte un calcium très assimilable : le citrate de calcium. Elle a pour but de reminéraliser l’organisme et combler les déficits en calcium lors d’ostéoporose, fractures, acidoses etc. Le soir :
Combien de temps doit durer la cure œuf-citron ?Fatigue, anémie, dépression : 2 à 3 semaines, à renouveler si besoin. Le calcium participe à l’équilibre nerveux et à la formation du sang. Fractures : 10 jours consécutifs Ostéoporose : 2 à 3 semaines par mois Arthrose, arthrite : 1 à 2 semaines par mois Acidose : 2 à 3 semaines par mois Le calcium et les autres minéraux de la coquille sont basiques, permettant ainsi de rééquilibrer les excès d'acidité. Le citron a aussi cette propriété. En prévention : Cure de 2 semaines, 2 fois par an à partir de 50 ans Cure de 4 semaines, 2 fois par an à partir de 60 ans Source : https://www.phytonut.com/blog/la-cure-oeuf-citron/ Les autres minéraux qui favorise la fixation du calciumTous les minéraux sont interconnectés entre eux. Pour favoriser la minéralisation, certains éléments sont indispensables à la fixation du calcium :
On le retrouve sous forme naturelle dans le Nigari mais aussi celui du Zechstein . Ce dernier est un chlorure de magnésium naturel, non irradié, qui ne contient pas de métaux lourds. Son extraction se fait à environ 1,5 km sous terre, dans des dépôts marins vieux de plus de 250 millions d’années de l’ancienne mer de Zechstein, au nord de l’Europe. Le chlorure de magnésium classique par voie orale est utile pour les carences et pour les problèmes infectieux. Néanmoins, pour se recharger en magnésium, il vaut mieux ne pas consommer ce produit plus de 3 semaines par voie orale. En effet, il sollicite beaucoup les reins et fournit des ions chlorure acidifiants qui ne sont pas souhaitables en dehors d’une problématique infectieuse. Tous les oléagineux sont riches en magnésium, les fruits séchés à moins de 38°, les légumes verts foncés comme les blettes, épinards, choux verts etc., les légumineuses, les fruits de mer, les céréales complètes (mais elles ont des inconvénients pour les intestins si consommées régulièrement et en quantités importantes). Les graines de papayeLa papaye est un fruit tropical qui pousse aussi en Espagne. Il est donc possible de s’approvisionner assez facilement. La plupart des personnes qui consomment de la papaye en jettent les graines, sans savoir qu’elles peuvent aussi être mangées. En effet, ces dernières contiennent d’importants bienfaits pour notre santé. La prochaine fois que vous découperez une papaye, ne jetez pas les graines, elles ont un goût épicé et légèrement amer. Vous pouvez en manger quelques-unes avec la chaire du fruit. Des études ont montré qu’elles possèdent des propriétés médicinales. Essayez de les ajouter crues à des recettes que vous aimez déjà comme des smoothies, des sauces pour salades ou des marinades. Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi les faire sécher et les moudre pour vous en servir à la place du poivre noir. Bien que pendant de nombreuses années, elles aient été considérées comme un résidu, les graines de papaye ont des propriétés nutritionnelles qui valent la peine d’être exploitées. Selon les informations publiées dans la revue Molecules , elles contiennent notamment des polyphénols et des flavonoïdes, deux substances à action antioxydante qui favorisent la santé. Elles fournissent également des acides gras mono-insaturés, tels que l’acide oléique, comme le détaille une étude publiée dans le Journal of Food Lipids. Dans une moindre mesure, elles sont une source de vitamines, de minéraux et de fibres alimentaires, des nutriments qui contribuent à améliorer la qualité de l’alimentation. Les graines de papaye sont délicieuses. La papaye est ainsi devenue célèbre pour tous les bienfaits qu'elle apporte à notre santé, notamment grâce à sa teneur en fibres, en calcium, en phosphore, en fer, en papaïne, en thiamine, en niacine et en vitamines. Comment utiliser les graines de papaye ?
Faire sécher et moudre les graines de papayeDécoupez une papaye dans la longueur et récupérez les graines avec une cuillère. (Pour savoir si elle est mûre, regardez si la peau est devenue jaune et appuyez doucement dessus. Elle devrait être légèrement molle). Mettez les graines dans une passoire à mailles fines et passez-les sous l’eau froide. Vous pouvez les frotter un peu. Puis étalez les graines sur une plaque de votre déshydrateur ou votre four réglé à moins de 40°. Une fois bien sèches, moudre les graines et utiliser la poudre à la place du poivre. (Vous pouvez les conserver à température ambiante dans un récipient hermétique pendant plusieurs années. Jetez-les si elles commencent à se couvrir de moisissures). Mélangez les graines moulues à d’autres épices. Préparez une marinade sèche avec des mesures égales de graines de papaye séchées et moulues, du piment de Cayenne, du sel de mer et de l’ail en poudre. Vous pouvez aussi y ajouter vos herbes et épices préférées comme du cumin, du curry ou de la coriandre. Cela favorise surtout le bon fonctionnement de notre tractus intestinal et de notre système immunitaire. Les graines de papaye protègent les reinsLa consommation de graines de papaye aide à prévenir les problèmes d’insuffisance rénale et permet de les traiter lorsqu’ils sont déjà survenus. Les graines de papaye aident à dépurer le foieLe foie est l’un des organes les plus importants de notre corps. En effet, sa fonction est de filtrer les toxines et les substances toxiques, dans le but de prévenir de nombreuses maladies. Lorsque cet organe est touché par une affection, nous courons le risque de développer des problèmes chroniques. Pour cette raison, il est important de lui donner un petit coup de pouce. On peut ainsi l’aider à se dépurer des substances dont il n’a pas besoin. Pour cela, les graines de papaye peuvent nous aider, notamment en cas de cirrhose hépatique. Il suffit simplement de moudre 5 graines de papaye, de les mélanger avec une cuillerée de jus de citron. Vous boirez ensuite ce mélange deux fois par jour, pendant un mois. Les graines de papaye améliorent notre santé intestinaleGrâce à leur forte teneur en enzymes antiparasitaires, les graines de papaye améliorent notre santé intestinale. Elles contiennent un alcaloïde anti-helminthique, appelé calpaïne, qui a la capacité d’éliminer les parasites intestinaux. Pour cela, il suffit de faire sécher les graines, puis de les moudre. Ensuite, diluez une cuillerée de cette poudre dans de l’eau, et faites bouillir le tout. Vous pouvez ajouter une cuillerée de miel pour adoucir le mélange. Buvez-en 2 à 3 fois par jour. Elles aident à combattre les champignonsGrâce à ses propriétés antifongiques, la graine de papaye peut s’utiliser pour lutter contre certaines infections causées par des champignons. Dans une étude publiée dans l’ Indian Journal of Pharmaceutical Sciences, l’extrait de graines de papaye est efficace contre trois souches différentes de champignons. Elles aident à lutter contre les intoxications alimentairesBien que l’intoxication alimentaire doit être traitée par un médecin, les graines de papaye peuvent servir de complément à son traitement. Selon une revue du Journal of Pharmacognosy and Phytochemistry, l’extrait à base de graines de papaye peut être efficace contre des micro-organismes tels que E. coli, Salmonella, Staphylococcus, entre autres. Les graines de papaye protègent notre système digestifLes graines de papaye possèdent également de puissantes propriétés antibactériennes et anti-inflammatoires. Ainsi, ces graines combattent la salmonelle, les staphylocoques, et d’autres types d’agents infectieux. Les graines de papaye contre l’excès de gras et de sucreLes graines de papaye sont d’excellents brûle-graisses pour notre organisme. Elles ont la capacité d’empêcher que l’organisme n’absorbe trop de graisses et de sucre, ce qui accélère le processus de digestion et contribue à la perte de poids. Elles permettent de contrôler l’acnéIl n’y a aucune preuve de l’utilisation de graines de papaye comme traitement de l’acné. Il s’agit néanmoins, dans la culture populaire, d’un remède complémentaire à ce problème. Dans ce cas, en plus de consommer les graines de papaye, il convient de faire une sorte de cataplasme naturel. Pour ce faire, il convient de suivre les étapes suivantes :
Mangez modérément les graines de papayeLes graines de papaye et leurs extraits contiennent des nutriments qui aident à promouvoir la santé. En général, elles peuvent se consommer sous leur forme naturelle, mais sans excès car cela peut être contre-productif. Consommez entre 7 et 10 graines par jour et vous n’aurez aucun problème. Jeûne et instincto-nutritionQu'est-ce que l'instincto-nutrition ?Vous êtes quelques un(e)s a vous intéresser à l’instinctothérapie mais je préfère dire l’instincto-nutrition, qui s’adresse à plus de monde car cette méthode est plus souple, ,que celle de l'instinctothérapie qui est très stricte et s’adresse plutôt aux personnes qui ont choisi de tenter de se soigner naturellement, ou encore parce que la médecine allopathique les a abandonnées car elle ne pouvait plus rien faire. Dans ce cas, l’instinctothérapie peut les soulager, pas forcément les guérir, tout dépend des malades, de l’avancement de la maladie et du sérieux dans l’application de la méthode. Nous le savons tous, il vaut mieux prévenir que guérir ! Revenons donc à l’instincto-nutrition. C’est l’expérience que je vous propose en sortie de jeûne, lorsque vous passez en demi-jeûne. D’après Dominique Guyaux, c’est la meilleure façon de faire en sortie de jeûne afin de rallonger les télomères. https://www.curenature.fr/blog/le-jeune-et-les-telomeres En demi-jeûne, nous privilégions les fruits juteux et les légumes à la croque. Les aliments concentrés, gras ou riches en protéines seront introduits en douceur plus tard après le demi-jeûne, au moment de la reprise alimentaire et physique. En instincto-nutrition, il s’agit de ne consommer que des aliments “natifs”. On entend par là, des aliments totalement naturels tel qu’on peut les trouver dans la nature, sans cuisson, sans mélange, sans assaisonnement, sans congélation ou tout autres manipulations humaines.. La palette alimentaire se compose donc de fruits (au sens large) c’est-à-dire, les fruits sucrés, les fruits gras, (oléagineux, olives, safous etc.) de légumes (légumes feuilles, légumes fleurs, légumes racines etc.) et quelques graines ou céréales trempées ou germées. Également, si nous le souhaitons, de la viande crue maturée, semi sèche ou sèche, des poissons, des œufs etc. Nous classons les aliments en 3 catégories : Les fruits, les légumes et les protéines. Nous mettons dans la catégorie Protéines, tous les aliments concentrés, riches en lipides et/ou en protéines. Il y a toutes les protéines animales comme la viande, les abats, les poissons, les produits marins, les crustacés, les œufs. Ensuite il y a les avocats, les oléagineux, les graines et céréales trempées ou germées, les champignons. Bien entendu, ces produits sont tous consommés crus, non mélangés entre eux, non assaisonnés etc. comme nous l’avons déjà dit plus haut. Mais nous pouvons consommer; viande, abats, produits marins, poissons, œufs et végétaux séchés à moins de 38° ou consommés semi-secs, ce qui permet un mode de conservation longue durée sans trop dénaturer les aliments. La viande maturée est délicieuse également, mais il faut avoir un frigo qui lui est consacré. Associations alimentairesPour éviter de compliquer la digestion par des associations alimentaires peu harmonieuses, nous séparons la consommation des différentes catégories. Pour faire simple, les légumes vont avec tout. Les fruits se consomment plutôt seuls ou éventuellement avec des légumes, mais jamais avec des protéines ou des fruits gras. Les protéines et les aliments riches en lipides se consomment en mono-diète ou avec des légumes. Pourquoi ? Parce que dans la nature, du temps où nous étions cueilleurs-chasseurs en forêt tropicale, nous mangions ce que nous trouvions. Sauf que dans les forêts primaires, les graines se ressèment toutes seules, aussi, dans un endroit où nous allons trouver des manguiers, par exemple, il n’y aura pas à côté, des oranges, des poires, des avocats, une rivière avec des poissons, une carcasse avec un peu de viande séchée dessus etc. Les arbres sont très hauts dans les forêts primaires, une fois installé sur sa branche, notre ancêtre mangeait toutes les mangues mûres qu’il souhaitait, se reposait sûrement un peu avant de redescendre puis marchait beaucoup plus loin avant de trouver d’autres variétés à consommer. Il y avait des périodes d'abondance et des périodes de disette. Nous étions capables, à l’époque, de manger essentiellement des fruits lors de la saison et plutôt des feuilles et des racines lorsque la saison des fruits était terminée tout en ayant une activité physique importante. Lorsqu’un animal était tué pour être mangé, nos ancêtres consommaient toute la viande disponible, car il n’y avait pas encore de moyen pour conserver les aliments. Les mélanges entre fruits, protéines et légumes n'étaient sûrement pas envisageables dans les conditions originelles de l’homo sapien. Notre génétique ne peut évoluer que très lentement, nous supposons donc que nous ne sommes pas adaptés à manger de tout n’importe comment. Et nous le sentons parfaitement au moment de la digestion. Les boissonsNous consommons uniquement de l’eau minérale ou eau de source, mais nous pouvons tester toutes sortes d’eaux minérales plates ou gazeuses et choisir celle que nous préférons. Le mieux est de les consommer à température ambiante, mais nous n’excluons pas l’eau fraîche ou l’eau chaude. Comment s'organisent les repas ?Le matin, en guise de petit-déjeuner, nous buvons de l’eau, puis nous suçons des rondelles de casse. Voir mes articles sur la casse : https://www.curenature.fr/blog/la-casse https://www.curenature.fr/la-casse.html La quantité de casse au départ doit être de 3 à 5 rondelles puis nous pouvons augmenter un peu la dose chaque jour pour finir en la consommant à l’instinct, c’est-à-dire autant que l’on veut dans la mesure où nous la trouvons bonne et agréablement sucrée. Le but n’est pas d’avoir les intestins qui se tordent dans tous les sens 5 ou 6 heures plus tard, mais juste d’évacuer par les selles, toutes les toxines qui se trouvaient dans la lymphe et le sang. Ce nettoyage régulier et progressif est très important les premières années ou nous avons besoin de nettoyer l’organisme en profondeur. Le déjeuner se compose de fruits. Nous en consommons autant que nous le souhaitons en respectant l’instinct, nous y reviendrons plus loin. Le mieux est de ne consommer qu’une seule variété de fruit aussi longtemps que c’est agréable et que notre organisme ne nous envoie pas de message montrant que c’est assez. Là aussi, je reviendrai plus loin sur l’arrêt instinctif ou alliesthésie. Éventuellement, si nous avons encore faim après l’arrêt du fruit que nous avons choisi en premier, il est possible d’en choisir un second ou de manger des légumes. Le dîner sera constitué d’une seule variété d’un aliment de la catégorie que l’on a appelé “protéine”. Il faut donc bien tous les sentir et choisir celui dont l’odeur est la meilleure dans cette catégorie. Après cet aliment, lorsque nous aurons eu l’arrêt instinctif, nous choisirons, toujours à l’instinct, dans la catégorie des légumes, un végétal que nous mangerons seul, à la croque, en mâchant bien. Puis après l’arrêt, nous pourrons en choisir un second, toujours en les sentant, etc. Il n’y a pas de restriction pour les légumes, car nous ne faisons jamais de surcharge, en principe, dans cette catégorie. Tandis qu’il est relativement facile de faire des surcharges avec les fruits, les avocats sélectionnés, les viandes d’élevage etc. Comment faire fonctionner son instinct ?L’idéal est de se placer dans les mêmes conditions que les animaux sauvages dans la nature, comme nous l’étions à notre origine, en marchant dans la nature, riche en fruits, feuilles, graines … et au fur et à mesure que les parfums nous titillaient les narines, nous nous arrêtions pour cueillir et manger les végétaux qui sentaient bons et nous faisaient saliver. Malheureusement, il est bien loin le temps où nous étions des cueilleurs dans les forêts tropicales… Nous sommes obligés de nous adapter à notre vie d’aujourd’hui et pour la plupart d’entre nous, d’aller acheter nos produits en magasins ou chez les producteurs bio. Au déjeuner nous mettrons sur notre table un beau panier contenant tous les fruits de la saison que nous pouvons trouver et si nous en avons la possibilité, ajouter aussi des fruits d'autres régions pour avoir au minimum 5 variétés de fruits à sentir. Nous pouvons également préparer un autre panier avec toutes les variétés de légumes que nous pouvons trouver, au cas où nous aurions envie de manger quelques légumes après les fruits. Sinon, il sera prêt pour le soir. Celui-ci contiendra aussi un minimum de 5 variétés. Lorsque nous aurons faim en milieu de journée, nous nous installerons devant notre panier de fruit et les yeux fermés pour ne pas laisser notre mental nous influencer, nous sentirons chaque variété de fruits les unes après les autres pour sélectionner d’un côté tous ceux qui sentent bons et nous font saliver et de l’autre côté nous laisserons ceux qui ne nous attirent pas. Nous sentirons toutes les variétés à notre disposition. S’il y a plusieurs variétés qui sentent bons, tranquillement, nous les sentirons à nouveau toujours les yeux fermés et nous éliminerons celles qui ne sentent plus, où ne nous attirent plus, jusqu’au moment où nous garderons une seule variété, celle qui sent le meilleure et nous fait saliver le plus. Le choix fait, il ne nous reste plus qu’à manger tranquillement et en conscience ce fruit délicieux et cela jusqu’à la satiété ou alors jusqu’au moment où il y aura un changement : L’arrêt instinctif ou alliesthésieCet arrêt peut se manifester lorsque l’aliment devient insipide ou qu’il devient pâteux, acide, astringent, amer, piquant, ou encore que l’on se mord la langue, ou la joue etc. En bref, notre organisme n’en a plus besoin et ne secrète plus les enzymes nécessaires pour digérer et assimiler correctement cet aliment. Les agrumes, par exemple, peuvent nous brûler aux commissures des lèvres, c’est le signe que ce sont les acides du fruit qui attaquent nos muqueuses. Il faut arrêter aussitôt que l’on ressent un inconfort. Le kaki va devenir astringent lorsque nous n’en avons plus besoin, les produits marins deviendront trop salés etc. Cet arrêt instinctif qui fonctionne essentiellement avec des aliments natifs donc naturels, crus comme je l’expliquais plus haut, sans assaisonnement ni mélange, a été observé par les scientifiques qui lui ont donné le nom d ’alliesthésie. L ’alliesthésie fonctionne parfaitement avec les fruits sauvages, la viande de chasse, les poissons de mer etc. Plus les fruits ont été sélectionnés par l’homme, plus l’arrêt se fait discret, au point que l’on peut ne pas s’en rendre compte et du coup, manger trop. Idem avec la viande d’élevage, les avocats sélectionnés comme les Hass etc. Il faut être conscient que l’homme a sélectionné les fruits au fil du temps pour qu’ils soient beaux, sucrés et attrayants afin que nous en consommions le plus possible. Certains producteurs de melons, pastèques etc. n’hésitent pas à piquer les fruits avec une seringue de glucose pour les rendre encore plus sucrés ! En revanche, les légumes ont été sélectionnés pour être le plus souvent cuits, du coup ils sont devenus plus forts en goût et donc plus difficiles à consommer crus à la croque. Toutefois, il faut garder en tête que pour bien s’équilibrer il est indispensable de manger des légumes tous les jours. On ne peut pas manger uniquement des fruits pour être en bonne santé. Apprenez au début avec une personne expérimentéeVoici donc les grandes lignes sur cette façon de s’alimenter pour avoir beaucoup d’énergie, un minimum de toxines et être en pleine forme longtemps. Il est indispensable de pratiquer au début avec une personne habituée à cette alimentation pour qu’elle fasse sentir les aliments au néophyte qui fermera les yeux pour apprendre à choisir sans faire intervenir le mental. Il faut bien avoir en tête les 3 catégories d’aliments, apprendre à présenter de jolis paniers de fruits et légumes etc. C’est à mon avis la meilleure façon de s’alimenter, toutefois, sur le plan social, c’est plus difficile à mettre en pratique. En famille : il faut comprendre que manger tous à la même heure et les mêmes plats n’a rien de physiologique puisque nous n’avons pas tous les mêmes besoins aux mêmes moments. Invitation : Il faut prévoir son propre panier avec les aliments qui nous conviennent lorsque nous sommes invités. Nous pouvons bien sûr les partager avec les autres. Mais l’inverse n’est souvent pas compatible ! Tout est question de motivation. J’ai un ami qui se sent bien dans ses baskets comme on dit, qui a toujours ses fruits et légumes avec lui partout où il va avec quelques oléagineux, et il mange où il veut, avec qui il veut, sans être dérangé par ce que les autres consomment, même au restaurant, il a son sac à provision à côté de sa chaise, par terre ! Il est préférable de prévenir le restaurant lorsqu’on réserve, qu’une des personnes ne prendra pas de menu et apportera ses aliments personnels parce qu’il a un régime particulier, et donc qu’ils n’ont rien à prévoir pour cette personne. Notez que lorsque vous réservez une table, les restaurants ne refusent pas, en principe, sinon ils risquent de perdre des clients. Le Quinton ou l’eau de mer ?Quelle est la différence entre l'eau de mer et le sérum de Quinton ?Le Quinton est bien sûr de l’eau de mer, mais pas de n’importe quelle mer, de plus, elle est pompée dans une zone très précise. Tandis que de nombreux distributeurs d’eau de mer pompent en Méditerranée ou dans l’Atlantique proche des côtes. Dans le protocole Quinton, l’eau est pompée dans l’Atlantique, au large de Bayonne dans un vortex et dans une zone riche en zooplancton et en phytoplancton. Non seulement cette eau de mer est particulièrement riche en minéraux du fait que le zooplancton qui se nourrit du phytoplancton rejette une petite goutte qui contient tous les minéraux du milieu marin, mais en plus, elle est dynamisée par le vortex. Elle est ensuite transportée en containers réfrigérés jusqu’au laboratoire aux normes européennes à Alicante en Espagne ou elle est analysée puis stérilisée à froid par filtrages successifs pour être commercialisée en ampoules, bouteilles, spray etc. René Quinton“René Quinton (1866 - 1925) était un naturaliste, physiologiste et biologiste français. Autodidacte, il a élaboré une théorie sur l'origine et la nature marine des organismes vivants. René Quinton découvrit par une série d’expériences que le milieu intérieur, c’est-à-dire l’ensemble des composants liquidiens extracellulaires (et notamment le liquide interstitiel dans lequel « baignent » les cellules) tend, dans sa composition chimique et biologique, à s’approcher de celui de l’eau de mer dans laquelle est apparue la vie. Il supposa que cette composition serait optimale pour une activité cellulaire maximale. René Quinton préféra le terme « milieu vital » à celui de « milieu intérieur ». À la fin du XIXe siècle, René Quinton commence à pratiquer sa méthode thérapeutique dans les hôpitaux parisiens, avant de créer des « dispensaires marins ». La thérapie par le « plasma marin de Quinton » est l’aboutissement pratique des théories et des expériences du biologiste. Le plasma de Quinton n’est pas considéré comme un médicament. Le plasma de Quinton n’est plus dans le dictionnaire médical Vidal depuis 1975. Il était délivré sous diverses formes (ampoule buvable, pulvérisable, injectable). La forme injectable a perdu en France son autorisation de mise sur le marché en 1982 et toutes les autres sont désormais classées en parapharmacie.” Il est donc difficile de trouver maintenant des médecins ou des infirmières qui pratiquent des injections de Quinton. Les thérapies par l’eau de mer aujourd’huiLa thérapie par l’eau de mer permet un apport minéral optimum car totalement biodisponible. C’est aussi un anti-oxydant. Nous savons aujourd'hui que nous avons tendance à être déminéralisés. Cela s’explique d’une part parce que les sols sont appauvris suite à la pratique de la monoculture et toutes ses conséquences sur la biodiversité, mais aussi par l’alimentation industrielle, la vie stressante, le manque de sommeil etc. L’eau de mer permet de se reminéraliser progressivement et d’éviter la déshydratation si nous en ajoutons régulièrement à notre eau de boisson ou à notre alimentation en remplacement du sel de cuisine. Pour des carences plus importantes, il est préférable de privilégier le sérum de Quinton. En hypertonique (eau de mer pure) pour se booster en cas de fatigue passagère, avant une compétition ou un examen. Prendre en ampoules buvables et garder 1 ou 2 minutes sous la langue 2 à 4 ampoules de 10 ml le matin à jeun pendant environ 1 mois. En isotonique (33% d’eau de mer coupée avec de l’eau de source) pour toutes les pathologies chroniques. Prendre 2 ampoules à jeun chaque jour pendant au minimum 6 mois. En sous-cutanée (sous réserve de trouver un professionnel consentant) pour reminéraliser une articulation douloureuse comme les genoux et les disques intervertébraux, afin d’éviter une hernie discale, un lumbago, une sciatique ou autre conséquence de la déminéralisation. “Le docteur François Epineuze, médecin phlébologue à Paris, utilise depuis 1998 une méthode dérivée de la mésothérapie pour traiter les hernies discales et les lumbagos. À l'aide d'injections sous-cutanées de plasma de Quinton isotonique, il aide au renforcement de la santé de ses patients concernés. Le protocole de traitement du Dr Epineuze repose sur un ensemble de perfusions sous-cutanées permettant notamment au disque intervertébral réhydraté par ce plasma de retrouver son volume normal et ainsi voir la douleur s'estomper. Les articulations des genoux ou des hanches peuvent également bénéficier de ce type d'injections afin d'éviter la pose de prothèse.” Voir une vidéo du Dr Epineuse Enfin, le sérum de Quinton peut être utilisé en bain de bouche ou en injection (pour les cas les plus graves), pour les maladies parodontales, les infections, les déchaussements de dents etc. L’eau de mer filtréeL’eau de mer filtrée et pompée dans un endroit le moins pollué possible sera plutôt utilisée en buvable tout au long de la journée, coupée avec de l’eau et dans l’alimentation pour les sauces salades par exemple à la place du sel. En “crusine” (la cuisine non chauffée), elle est utilisée dans la plupart des plats. Le sel marin est très peu assimilable car c’est de l’eau de mer qui a perdu sa charge électromagnétique, c’est pourquoi, il est préférable de le remplacer par de l’eau de mer. Plusieurs entreprises en ligne proposent de l’eau de mer hypertonique en 1, 3, 11, 20 litres. 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Alimentation et classification des alimentsNe pas confondre fruits et graines"Le fruit est un terme de botanique qui désigne la partie fécondée prête à se détacher pour permettre la reproduction. Le fruit est composé de la graine entourée parfois d'une pulpe, elle-même entourée d'une peau. La graine est la partie concentrée (contenant peu d'eau pour permettre sa conservation) qui contient le germe. La pulpe entoure la graine et la peau est destinée à protéger le tout des coups et de la déshydratation. En matière culinaire, quand nous parlons de fruit, c'est en général la pulpe qui est appréciée, c'est la partie juteuse et charnue qui s'altère rapidement, sauf si le fruit est séché. Dans une graine, nous mangeons la partie qui porte le germe, très concentrée en protéines, aliment de croissance, de reconstruction, qui se conserve facilement des années, dans l'attente des conditions de germination favorables. Par exemple, dans une pomme, nous mangeons la pulpe, et laissons les graines, les pépins. Dans une noix ou une noisette, au contraire, nous mangeons la graine capable de germer. Même dans les parties d'un même fruit, nous ne mangeons pas en même temps la pulpe et la graine de ce fruit. Cela est préférable pour un meilleur confort digestif, et pour une meilleure assimilation des nutriments. Mais comme la nature comporte toujours des exceptions, dans une fraise par exemple, nous sommes portés à manger pulpe et graines en même temps, mais il est fort probable que les graines ressortent entières par les selles. Donc nous la considérons bien comme un fruit. Raison de plus quand nous mangeons fruits et graines de deux plantes différentes, alors nous ne mangeons pas ensemble fruits et graines, grasses ou non grasses. Par exemple, nous ne mangeons pas la pulpe sucrée des raisins secs avec les noisettes et les graines de tournesol, qui sont des graines grasses. Idem si nous extrayons l'huile de la graine (ou même d'un fruit gras comme l'olive), nous ne consommons pas l'huile de la graine avec la pulpe d'un fruit sucré. Les fruits gras sont rares (avocats, olives, safou, noix de coco) et sont à caser dans la même catégorie que les graines grasses. Même chose pour les graines non grasses comme les lentilles, les châtaignes, et autres, nous ne consommons pas les fruits avec des graines non grasses. Dans l'avocat, nous mangeons le pulpe du fruit, et non la graine, mais comme la pulpe est grasse, pour l'assimilation, nous le classons avec les graines grasses, même s'il est plus juteux et moins protéiné qu'une graine grasse comme la noix. Donc, nous ne mangeons pas la pulpe de l'avocat qui est grasse avec la pulpe des fruits sucrés Les proportions peuvent varier selon les saisons. Par exemple, davantage de fruits en été, et davantage de graines en hiver. Cette proportion varie en fonction de nombreux autres facteurs. Manger simplement et se régalerL'Hygiénisme est l'école de la simplicité et de la nature Apprenez à croquer dans un légume cru, comme dans une pomme, comme je vous l'apprends après le jeûne. Si l'alimentation dénaturée a émoussé votre joie de vivre, alors vous avez besoin d'un jeûne. On doit bondir de son lit chaque jour, frais et dispo, sinon une pause s'impose ! Pas de privations, pas de frustrations Participez aux rencontres hygiénistes et vacances saines pour ne pas vous sentir isolé. Augmentez votre palette alimentaire en découvrant de nouveaux aliments. Laissez votre corps appeler la variété et l'alternance des aliments au fil des saisons et de sa transformation. Redécouvrez chaque jour l'abondance de la vie naturelle. Puisez à la source. Se sentir libre et se faire plaisir On peut tout concilier, santé et plaisir. Nous avons droit au meilleur de la vie, sans limites. Faire de nouvelles expériences, goûter de nouvelles sensations. Nectar et paradis sont tout proches, juste à saisir. Goûtez les plaisirs de la vie, avec tous les sens, et faites ce qui vous plaît. La vie en famille Les enfants savent mieux que nous revenir à la nature ; et un picnic en famille et en plein air, quoi de plus joyeux ? Si vous observez vos enfants, ils vous apprendront à manger. Chaque enfant est une occasion d'apprendre. Ne ratez pas l'occasion, formez-vous avant de les déformer. Les enfants connaissent la vérité. Besoin d'un coup de pouce Et si vous manquez de volonté, une grande inspiration et un bon cours de yoga par semaine vous aideront à diriger votre vie. Quoi de plus simple que de s'asseoir jambes croisées, le dos droit, les mains jointes devant la poitrine, avec une respiration profonde, en laissant circuler en vous le courant de vie ? Nous sommes tous élèves et enseignants à la grande école de la vie. Eh oui, parfois, il vaut mieux commencer par la fin : renoncer à jouer, prendre un peu de hauteur pour survoler sa vie, et revivre sa naissance. Eh oui, c'est d'un jeûne dont vous avez besoin... le jeûne est une renaissance... la boucle est bouclée ! Quoi de plus simple !" Evelyne Curt 1kg de boeuf cuit au grill = 600 cigarettesEtes-vous sûr de ne pas mettre un zéro de trop ?
Non ! Je peux vous donner beaucoup d'autres exemples comme celui d'un chercheur américain :
"J'ai mis au point une méthode destinée à mesurer les effets cancérigènes des substances alimentaires. J'ai pu évaluer qu'avec la nourriture ordinaire, on absorbe une quantité de substances cancérigènes correspondant à deux paquets de cigarettes par jour. Si cette nourriture est grillée, bien que cela paraisse plus "diététique", on y trouve jusqu'à l'équivalent de dix paquets de cigarettes !" A. Ames Cancérologue/USA La chrononutrition
D’après les études qui ont été faites, il est préférable de manger davantage le matin ou en milieu de journée plutôt que le soir.
Les personnes souffrant d’un dérèglement métabolique comme l’obésité, le surpoids, le diabète de type 2 etc. auraient de bons résultats en organisant leur repas de la sorte. Pour ces personnes ayant choisi de diminuer ou supprimer leur dîner, elles ont enregistré une perte de poids plus caractérisée, une réduction de leur tour de taille, leur glycémie à jeun, l’insuline et la résistance à l’insuline ont diminué dans une plus grande mesure que les personnes qui ont fait l’inverse. Les triglycérides ont diminué. Cela s’explique en partie parce que le corps brûle plus de calories dans la journée que la nuit. Le processus de thermogenèse suit aussi une chronobiologie plus intense le matin ou en milieu de journée. “La chronobiologie est importante pour booster les bons neurotransmetteurs au bon moment. Notamment d'agir sur la motivation, la concentration, mais aussi pour lutter contre la nervosité et la déprime. Un repas riche en protéines, avec peu ou pas de glucides permet la synthèse de la dopamine qui est le neurotransmetteur de l’entrain et de la motivation. Il inhibe aussi la sérotonine qui aurait tendance à nous ralentir.” (Secrets de nutrition N°20) Cela suggère donc de prendre un petit déjeuner de roi, un déjeuner de prince et un dîner de pauvre. La hausse de la glycémie est moins forte après le petit déjeuner qu’après le dîner. Également consommer des protéines accompagnées de quelques lipides (graisses), plutôt le matin et peu ou pas de sucre, que vous consommerez plus tard dans la journée. En France, c’est plutôt le contraire qui est pratiqué avec un petit-déjeuner classique constitué de glucides avec pain, confiture, miel, fruit ou jus de fruit… Le repas de midi comprendra lui aussi quelques protéines, viande, poisson, oeuf ou protéines végétales, accompagnées de légumes crus et/ou cuits. La sérotonine, l’hormone du bien-être et de la détente, sous l’action de l’insuline, est secrétée à la suite d’un repas riche en glucides (les sucres comme les céréales, les féculents, les fruits etc.) et pauvre en protéines. Ces aliments en petites quantités et un type ou deux maximum par jour, pourront constituer le repas du soir si vous en prenez un. Évitez les aliments riches en graisse et en protéines durant ce repas. Toutefois, certaines personnes n’ont pas d'appétit le matin et j’en fait partie. Personnellement, ce qui me va le mieux est de faire un seul repas complet en milieu de journée et le soir, de prendre juste une boisson; du bouillon, de la tisane ou du chai. Le jeûne intermittent, très à la mode et bénéfique pour la santé
Ce jeûne consiste à ne rien prendre de solide pendant plusieurs heures d'affilée, souvent 16 heures. et de concentrer les repas sur une période plus courte de 8 heures ou moins. Il permet ainsi de mettre au repos le tube digestif plus longtemps sur une période de 24 heures et ainsi gagner en énergie. Il a aussi des effets sur les métabolismes (diminution de la glycémie, de l’insuline, de la tension artérielle).
Limiter le temps de prise alimentaire semble réajuster l’horloge circadienne. Le moment des prises alimentaires et leur nature représentent les principes fondamentaux de la chrononutrition, qui est l’étude des relations entre les horloges circadiennes et les prises alimentaires. Alors faut-il sauter le petit-déjeuner ou le dîner ?A chacun de faire des essais et de voir ce qui lui convient le mieux sur tous les plans. Il y a la santé bien sûr, mais aussi la famille, le travail etc. Mais tout le monde s’accorde sur le fait que de ne pas faire du dîner son repas principal est positif, les études ont montré qu’un dîner trop copieux et riche, perturbe le sommeil, le biote intestinal et semble perturber la glycémie, l’insuline et le métabolisme des graisses avec une incidence sur la prise de poids. Les processus d'intoxication alimentaire
L’alimentation humaine (mais aussi animale pour l’élevage), s’est énormément modifiée depuis que nous étions cueilleurs-chasseurs dans les forêts tropicales. Plus grave encore l'évolution de nos repas depuis la dernière guerre mondiale, qui ne cessent de s’industrialiser et de s’éloigner de ce que la nature nous offre pour nous nourrir.
Nos organismes sont capables de s’adapter plutôt très bien en rapport avec ce qu’on leur fait subir, toutefois avec l'accumulation et les répétitions, notre génétique qui évolue que très peu dans le temps, s’embrouille et déraille. Au delà d'un certain seuil, que se passe t-il ?
“Au-delà d’un certain seuil d’intoxication, l’élimination fonctionnelle ne peut plus se faire, l'accumulation de toxines est à l’origine de la dégénérescence de diverses structures : les vacuoles* cellulaires envahissent toute la cellule et inhibent les processus vitaux, des calculs se forment par précipitation de matières excessivement concentrées dans les humeurs, les tissus présentent des infiltrations graisseuses ou calcaires, la dentine peut prendre une couleur foncée due aux matières amenées par le sang et diffusant à partir de la racine etc.
A ces troubles peuvent s’ajouter de beaucoup moins réversibles problèmes comme les dégénérescences dues aux maladies auto-immunes, cancers etc. Le rôle du système immunitaire étant d’assurer le maintien de l’intégrité de l’organisme, on peut supposer qu’il s’est génétiquement élaboré en fonction des problèmes qui pouvaient se poser à lui dans son milieu originel, dont bien sûr des éléments étrangers qui faisaient partie du milieu originel de l’homme lorsqu’il était cueilleur-chasseur. On peut donc raisonnablement envisager la possibilité que notre organisme ne soit pas forcément capable de réagir correctement face à certaines molécules qui ne faisaient pas partie de ce milieu. Certaines d'entre elles pourraient alors s’accumuler dans l’organisme sans être inquiétées. Il apparaît alors logique que le système immunitaire soit désemparé devant des cellules cancéreuses qui n’entrent pas dans son programme, comme par exemple, des cellules “cancérisées” par pénétration d’une molécule non originelle dans son noyau ? Lorsque le système immunitaire est trop fréquemment sollicité par une molécules étrangère, il se met dans un état de tolérance immunologique. L’organisme se laisse alors envahir par cette classe de molécules qui va pouvoir s’introduire dans les cellules et se fixer sur ses membranes. Si par hasard les molécules étrangères de sa membrane entrent dans la classe des molécules tolérées, la cellule incriminée risque de ne pas être reconnue par le système immunitaire et donc de ne pas être détruite par ce dernier. Elle pourra alors donner naissance à une tumeur en toute impunité. Pour inverser ce processus, il faudrait d’abord que le système immunitaire sorte de tolérance. Ce qui nécessite, notamment, la cessation d’apport de molécules étrangères par voie alimentaire.” D’après Dominique Guyaux Mais ce qui rend les choses très délicates, c’est qu’il n’y a pas que par l’alimentation que des molécules étrangères entrent dans notre organisme. Les produits d’hygiène et de maquillage pénètrent par la peau, les produits d’entretien entrent par la peau et les poumons ainsi que la pollution atmosphérique, les émanations de colle, peintures, produits de nettoyage des moquettes et tapis etc. Rôle des virus et bactéries
“En ce qui concerne les cellules particulièrement sujettes à renouvellement comme les gaines de myéline, les calottes articulaires, les reins etc. on peut supposer que certains virus sont programmés pour assurer leur démontage. “
On rejoint là, Anthony William dans Médical Medium qui incrimine toujours les virus et bactéries dans toutes sortes de pathologies et notamment le virus d'Epstein Barr extrêmement répandu dans la population. On estime que 95% des humains de la planète seraient infectés mais le virus reste en dormance la plupart du temps pour devenir parfois actif après un choc, un traumatisme, une maladie, un accident… Ce virus fait partie de la famille des herpès, il infecte les lymphocytes (globules blancs) et perturberait le fonctionnement de nos organes comme la thyroïde, le foie etc. C’est pourquoi, il est indispensable de réduire au maximum tout apport de molécules étrangères dans notre alimentation mais aussi dans notre environnement. Certes, nous subissons certaines pollutions et rayonnements, mais comme le colibri, faisons notre part sur ce que nous pouvons gérer :
Les symptômes qui peuvent apparaître pendant le jeûne
Il est courant qu’en jeûne, quelques symptômes fassent surface. On revit, sous forme très atténuée, les maladies que l’on a pu avoir auparavant.
Toutefois, certaines personnes n’ont rien. Comment interpréter cette absence de symptômes ? L’absence de symptômes peut tout aussi bien s’expliquer par une absence d’intoxication que par une absence de détoxination. Pour une personne qui a toujours eu une alimentation physiologique et une bonne hygiène de vie, l’intoxication de son organisme est minime. A l’opposé, pour une personne sédentaire, dont l’alimentation a toujours été délétère, il y aura une surcharge de toxine +++. Ses émonctoires (organes d’élimination) fonctionnent au ralenti, la détoxination est primordiale mais reste difficile et lente à réaliser. La santé pourrait alors se définir comme la capacité de l’organisme à maintenir ou à rétablir son intégrité. L’expérience a montré que même en ayant une alimentation 100% physiologique à un moment T de notre vie, la durée de détoxination est à peu près la même que celle de l'intoxication, des années durant lesquelles nous avions une alimentation classique. C’est donc un processus lent et progressif. Une préparation au jeûne sérieuse
Il n’est pas conseillé de faire un jeûne long sans une préparation sérieuse au préalable ainsi qu’une remise en question de l’alimentation générale.
Il est préférable de commencer par des petits jeûnes et, si tout va bien, d’en augmenter progressivement la durée. Votre accompagnatrice en jeûne saura vous conseiller pour la durée et pour la préparation de votre prochain jeûne. Elle doit vous conseiller aussi de revisiter votre alimentation pour limiter au maximum l’arrivée de nouvelles toxines dans votre organisme. A savoir aussi, que lorsque l’on jeûne de façon régulière une ou deux fois par an par exemple, le travail de détoxination reprend là où il s’est arrêté au dernier jeûne. La détoxination se produit souvent par vagues successives lorsque l’on pratique un jeûne long. On peut expliquer ces vagues de détoxination par des sorties de tolérance. Il apparaît logique que les réactions soient plus intenses dans les premiers jeûnes. Toutes ces vagues de détoxination se traduisent par de légers malaises (transpiration, nausée, soif, froid intense etc.) et s’accompagnent parfois d’odeurs anormales dans les selles (pendant la préparation car elles sont rares ou absentes pendant le jeûne), les urines, l’haleine, la transpiration etc. Mais lors d’une bonne préparation, tous ces inconvénients liés à la détoxination et l’élimination ont commencé tout en douceur et se retrouvent bien atténués pendant le jeûne. Une bonne compréhension de ces phénomènes permet de prendre plus au sérieux la préparation au jeûne afin d’éviter les conséquences désagréables rencontrées par les débutants, particulièrement lorsqu’il y a une pathologie déclarée. L'intoxication de l’organisme
"L’amélioration de l’état général et la guérison des maladies peuvent commencer lorsque le taux d'intoxication passe en dessous des seuils critiques et se manifeste d’autant plus rapidement que la maladie est récente.
L'intoxication est certainement responsable d’un vieillissement pathologique qui se superpose au vieillissement programmé génétiquement. Le système immunitaire s’attaquerait aux cellules trop intoxiquées et déclencherait des micro-inflammations qui s'ajoutent à la tendance inflammatoire générale provoquée par des déséquilibres et les toxines de l’alimentation classique. Du coup, les cellules fonctionnelles voisines seraient encore plus sollicitées et se retrouveraient vite en état d’insuffisance fonctionnelle (insuffisance rénale, hépatique, cardio-vasculaire, cérébrale, etc) Dès l’arrêt de l'intoxication alimentaire, on constate en effet une baisse de la tendance inflammatoire générale. On peut donc penser que les cellules fonctionnelles remplacent progressivement les cellules cicatricielles et ceci explique le rajeunissement observé chez beaucoup de jeûneurs de longue durée. Nous observons aussi une perte de poids pendant la préparation et le jeûne, surtout au début. Cette perte de poids correspond à une perte de matières étrangères. "En premier on notera l’élimination des eaux dont le sel de cuisine aura entraîné la rétention, des réserves en tout genre et des cellules inutiles car abîmées, usées, dégénérées. Des substances indésirables, que l’organisme aurait accumulées par un phénomène de tolérance vis à vis des molécules inadaptées, se trouveraient, elles aussi éliminées. Il ne faut donc pas confondre un amaigrissement "voulu” par l’organisme, avec un amaigrissement pathologique provoqué par la malnutrition, un trouble métabolique, ou encore par un processus auto-immun échappant au contrôle génétique. Le ralentissement de la perte de poids peut s’expliquer de deux façons:
Lorsqu’on laisse l’organisme gérer tous ces phénomènes de détoxination, on s'aperçoit qu’il les gère très bien et qu’ ils se font en douceur. Cela d’autant plus que la préparation a été faite suffisamment longtemps et sérieusement. Il ne s’agit là que d’interprétations, certes corroborées par des faits observables, mais qui n’en offrent pas moins l’avantage de faire percevoir que ces faits, aussi incohérents qu’ils puissent paraître de prime abord, peuvent s’intégrer dans une logique globale. Voir les 4 phases du jeûne hygiéniste et la préparation au jeûne Comment choisir les meilleurs aliments qui se conservent ?Les oléagineux
Les oléagineux et les graines peuvent se conserver facilement dans un endroit sec et frais toute une année jusqu’à la prochaine récolte.
Mais attention, si les coques sont bien propres, c’est souvent parce qu’elles ont été lavées et séchées à chaud, opération qui perturbe les molécules de l’aliment et vous permet d’en manger beaucoup trop facilement même si les oléagineux sont bio. Les noix du commerce classique sont systématiquement trempées dans des bains antifongiques et séchées à l’air chaud. Les arachides (cacahuètes) sont quasiment toujours torréfiées, sauf si elles sont crues et dans ce cas c’est indiqué. Les noix déjà décortiquées sont à éviter car elles s’oxydent plus vite. La coque des pistaches est éclatée par passage dans un four à haute température. Les olives
Les olives déjà préparées sont aussi à éviter car elles subissent un traitement chimique destiné à supprimer leur amertume, et parfois aussi à enrichir leurs arômes.
Les olives fraîchement cueillies sont extrêmement amères. Pour pouvoir les consommer au naturel, il suffit de les laisser mûrir sur l’arbre le plus longtemps possible puis de les laisser vieillir et sécher quelques semaines à l’air libre et enfin de les mettre dans un bocal étanche sans rien ajouter pour avoir des olives naturelles. Elles se conservent parfaitement ainsi 1 ou 2 ans. Penser à ouvrir le bocal 2 heures avant de commencer à les consommer, vous devez entendre un "pschitt" à l’ouverture, signifiant que les fermentations ont bien fait leur travail. Sinon, méfiez-vous. Les fruits séchés
Les fruits qui ont séchés naturellement sur l’arbre sont un vrai régal de la nature. Mais on peut les mettre à sécher soi-même dans un déshydrateur en réglant la température sur 38° maximum. On peut les conserver dans un endroit sec et frais. Facile à consommer en randonnée, ils pèsent moins lourd que les fruits frais dans notre sac à dos. Lorsqu’en hiver il y a peu de choix en fruits, ils font un bon complément.
J’ai pu ainsi ramasser des raisins secs sur des vignes abandonnées donc non traitées, certaines variétés de figues à peau épaisse, demie-sèches sur l’arbre, un vrai délice ! Les fruits séchés des magasins bio subissent des dénaturations thermiques. Les figues sont stérilisées à l’eau bouillante et parfois farinées. Les abricots et les bananes sont souvent cuits avant séchage. Quant aux raisins, garantis séchés au soleil, ils sont immergés dans de l’eau bouillante en cours de séchage pour leur donner, d’après les fabricants, un moelleux traditionnel. Les dattes bio sont cueillies par régime entier à maturité moyenne. Un régime de dattes comprend donc des dattes à point, des trop mûres et d’autres pas assez mûres. Pour homogénéiser leur maturité, elles sont souvent réhydratées à la vapeur et trempées dans un sirop de sucre, les rendant plus brillantes. Évitez les dattes du commerce classique, elles sont confites à chaud après avoir été mises sous emballage plastique et sont souvent soumises à une double dénaturation, séchage à chaud plus immersion dans un bain antifongique à 70°. Ces traitements ne sont jamais mentionnés sur les emballages. Les miels
Les miels doivent être extraits à froid, en principe, les producteurs l’indiquent sur les pots lorsque c’est le cas.
L’apiculteur ne doit pas donner de sirop de sucre à ses abeilles mais doit leur laisser assez de miel pour passer l’hiver. Interrogez votre apiculteur, et le mieux est de lui commander du miel en rayon. Je rencontre assez régulièrement des personnes qui avouent ne plus pouvoir s’arrêter lorsqu’elles mangent un de ces produits et pour cause...Lorsqu’ils ont subi une dénaturation par la chaleur ou autre, l’instinct ne fonctionne plus car notre organisme n’a pas de signe indiquant qu’il en a plus besoin. Cette manifestation de l’organisme s’appelle l’alliestésie. Aussi, pour en manger raisonnablement, préférez la qualité et approvisionnez-vous dans des boutiques garantissant la non dénaturation d’aucune sorte. N’oubliez pas non plus que les molécules de Maillard que l’on sait être cancérogènes, sont les plus nombreuses dans les protéines et les graisses cuites. C’est pourquoi je vous conseille de bien choisir votre approvisionnement notamment si vous consommez régulièrement des oléagineux, pour qu’ils n’aient pas subi de dénaturation par la chaleur. Si vous les achetez directement au producteur, posez-lui la question. Il n’y en a pas beaucoup qui peuvent le garantir, en voici donc une qui offre toutes ces garanties : Jurassicfruit. Vous avez aussi une remise de 10% sur votre première commande avec le code : CURENATURE Source : Le régime du plaisir de Dominique Guyaux Les dérives alimentaires dangereusesLes manipulations génétiques, la culture et l'élevage à visée sélective
“La sélection artificielle des céréales a commencé voilà près de dix mille ans. Au néolithique, nos ancêtres choisissaient bien évidemment de replanter les plus belles graines de la récolte précédente. Le type de mutation qu’engendre cette méthode ne semble pas poser beaucoup de problèmes à notre organisme. Le mil de culture, par exemple, s’écarte de son frère sauvage, que d’une dizaine de mutations.
Aujourd’hui, toutes sortes de procédés sont utilisés pour obtenir de nouveaux produits, et chaque année apporte son lot de variétés jusqu'alors inconnues. Or, ces hybrides artificiels peuvent très bien synthétiser de nouvelles molécules en toute impunité si tant est qu’elles ne soient pas détectables par les appareils de mesure actuels. En 1997, les premiers aliments issus du génie génétique ont commencé à être commercialisés en Europe et l’hebdomadaire l’Express (N° 2332 de mars 1996) nous en parle en ces termes : “En France, la commission du génie biomoléculaire (CGB) est prête à délivrer les autorisations de mise sur le marché à une dizaine de produits manipulés :
La plupart de ces produits, plus faciles à cultiver, n’offrent de réels avantages qu’aux seuls producteurs. Les firment qui ont tant investi dans leur mise au point cherchent donc à nous persuader qu’il n’est pas plus dangereux de manger du "génétique" que de s’éclairer au nucléaire” Les aliments transgéniques se sont fait une place de plus en plus importante jusqu’à ce que leur consommation nous paraisse tout à fait naturelle. Quant aux éventuelles conséquences sur la santé de leurs consommateurs, seul l’avenir pourra nous en dire plus.” Le blé
Ah le blé ! représenté souvent par le pain, dont l’image s’est chargé de significations culturelles et religieuses qui se sont profondément ancrées en nous.
“Les éleveurs de volailles savent depuis longtemps qu’il ne faut pas leur donner de blé sous peine de les voir s’exciter au point de se picorer entre elles jusqu’à ce que mort s’ensuive. Ce n’est que pour augmenter leur excitabilité sexuelle lors de la reproduction qu'ils en introduisent une certaine dose dans leur alimentation.” “Depuis ses origines, qui remontent à environ -10 000 ans, le blé a subi de si nombreuses modifications qu’il serait fastidieux de les énumérer. Le blé passe par de multiples hybridations au point que les blés consommés aujourd’hui n’ont plus rien à voir avec leurs ancêtres. Leurs sept paires de chromosomes originels sont bien loin des 14 paires du blé dur utilisé actuellement pour les pâtes, semoules etc. Quant au blé tendre utilisé pour le pain, biscottes, brioches, pizzas etc. il n’en a pas moins de 21 paires ! Le blé avec sa teneur exagérée en gluten à cause des hybridations pour faciliter la fabrication du pain entre autres, est devenu un allergène puissant. Les spécialistes des allergies ont répertorié de nombreuses manifestations d’intolérance au gluten, jusqu’à la maladie coeliaque et des maladies neurologiques, sans parler des maladies psychiatriques. Ils reconnaissent même que cette substance est une des plus grandes causes d’allergie actuelle.” Ainsi, la suppression du blé dans l'alimentation conduira à une diminution des poussées d’adrénaline accompagnant les faux stress, de la timidité, des cauchemars etc. Dans certains pays la consommation du maïs est très importante et l’on peut dire qu’il y a pratiquement les mêmes inconvénients qu’avec le blé, sa consommation est devenue dangereuse. Je peux personnellement témoigner de l’effet immédiat des molécules anormales sur les enfants, qui par leur énergie nerveuse encore au top, ont des organisme qui réagissent immédiatement pour s’en débarrasser sous forme de nez qui coule, d’excitabilité à outrance etc. Mes deux derniers enfants qui ont eu une alimentation originelle, c’est-à-dire, crue, bio,non transformée ni mélangée (l’instinctothérapie) n’ont jamais crié ou pleuré sans raison, sauf les rares fois où, avec leurs amis, ils partaient discrètement dans l’un des commerces du village pour s’acheter des bonbons ou des gâteaux. Même si personne ne les avait vu partir, le seul fait de les voir le soir même s’énerver pour un rien, se disputer, crier, avec le nez qui coule, nous savions qu’ils avaient mangé quelque chose d’anormal. Les animaux d’élevage
La sélection artificielle des animaux d’élevage n’est pas plus exempte de risques que celle des végétaux, car il n’est pas démontré que ces manipulations n’entraînent pas l’apparition de nouvelles molécules dont nous ne pourrons détecter les effets nocifs que dans plusieurs générations.”
(Rappelons le scandale de la vache folle pour avoir nourri des bovidés comme des carnivores). Gardez en mémoire que les animaux d’élevage sont très mal nourris et leur alimentation n’est pas du tout conforme à leur génétique. Les produits laitiers
Les petits d’hommes doivent se nourrir du lait maternel et surtout pas d’un autre lait, même “maternisé” qui reste du lait de vache qui a subi des transformations.
Aucun mammifère à part l’homme n’a jamais bu le lait d’un autre mammifère et pourtant les animaux sauvages ne souffrent pas d’ostéoporose. Ce fait a été démontré en comparant l’état de l’ossature des peuples friands de lait de vache comme ceux de l’Europe du nord avec celui des peuples qui n’ont pas cette consommation dans leur culture comme au Japon (même si cela a bien changé ces dernières décennies). Le calcium bio disponible et parfait pour nous vient des oléagineux, des algues, des fruits et des légumes. Sources : Dominique Guyaux, Le régime du plaisir, guide de l’alimentation originelle à l’orée du troisième millénaire. Les utilisations de l’huile de ricin bio
Le ricin est un arbuste exotique qui pousse un peu partout en France, à la belle saison. Il est utilisé à des fins ornementales dans les jardins avec ses feuilles vertes ou rouges foncées et ses fruits rouges épineux.
En culture bio, la plante de ricin, intercalée entre les pieds de pommes de terre, repousse les Doryphores. Les graines contenues dans les fruits sont la source de l’huile de ricin, qui a diverses applications, et de la ricine, un poison. Les graines contiennent entre 40 et 60 % d'huile riche en triglycérides, principalement la ricinoléine. Seules les variétés à plus grosses graines sont utilisées pour la production d'huile, les formes spontanées ayant la plupart du temps de petites graines impropres à l'extraction d'huile. La totalité de la plante semble toxique en raison de la présence d'une lectine glycoprotéique : la ricine. La concentration en ricine est maximale dans les graines qui renferment par ailleurs des protéines, de l'eau et des lipides. Ces graines sont riches en une huile qui doit ses propriétés purgatives à la présence de l'acide ricinoléique. L'huile de ricin qui altère la muqueuse intestinale et provoque des pertes importantes en eau et en électrolytes (sels minéraux), d'où son action purgative intense et irritante. La ricine, protéine présente dans la plante et les graines, est une toxine redoutable. Les graines et les coques de ricin contiennent aussi d'autres produits toxiques, dont un allergène, plus difficile à rendre inactif que la ricine et pouvant provoquer une hypersensibilité chez les humains en contact avec ce produit. Cet allergène semble peu nocif pour les animaux. L'ingestion de graines, souvent accidentelle chez les jeunes enfants, peut provoquer des intoxications graves (en raison de la présence de ricine) nécessitant impérativement une prise en charge hospitalière. On considère que trois graines peuvent être fatales à un enfant, quatre graines peuvent déterminer une intoxication sérieuse chez l'adulte et six à huit graines peuvent lui être fatales. Ces chiffres sont cependant à nuancer, la gravité de l'intoxication dépend de la sensibilité individuelle à la ricine. De plus, selon que les graines sont mastiquées ou non, la gravité de l'intoxication ne sera pas la même. Lorsque les personnes intoxiquées sont prises en charge à temps en milieu hospitalier, l'issue de l'intoxication est presque toujours favorable. L'huile de ricin, obtenue par pression à froid des graines, est un purgatif puissant très prisé en médecine naturelle et en cosmétique. Toutefois, comme vous venez de le lire, en usage interne, cette huile n’est pas à utiliser régulièrement car elle peut provoquer de graves lésions aux intestins, qui sont déjà trop souvent malmenés par une alimentation délétère. Donc prudence si vous souhaitez faire des purges à l’huile de ricin, elles ne conviennent pas à tout le monde. Cette forme de purge permet l’élimination des colles, mucus et glaires principalement. Elle peut être suivie par un jeûne sec qui va aussi dans le sens des éliminations de type colloïdale. Pour obtenir un effet laxatif doux, prenez 6 à 8 gouttes ou maximum une cuillère à soupe pour nettoyer le sang, la lymphe et les intestins. Pour un effet plus puissant, selon ce que vous recherchez, vous pouvez aller jusqu’à 3 cuillères à soupe d’huile de ricin que vous pouvez mélanger à un peu de jus de citron ou d’orange pour faciliter l'absorption. Il ne faut plus boire ni manger tant que la purge n’ a pas fini de faire son effet. Pour les personnes souffrant d’allergies saisonnières, comme le rhume des foins, plusieurs gouttes d’huile de ricin chaque jour durant la période peuvent aider à contrôler l’allergie. Nombreuses sont les utilisations en usage externeEn cosmétique
L’huile de ricin est réputée comme “crème de nuit” antirides, comme démaquillant ou encore pour faire pousser plus rapidement les cils et les cheveux.
En hygiénisme
Pour les excroissances et kystes, masser doucement avec de l’huile de ricin mélangée avec du bicarbonate de soude.
Pour le vitiligo, masser doucement les régions affectées avec de l’huile de ricin tiède. Idem pour la corne sous les pieds, les douleurs articulaires, raideurs du cou etc. Si vous avez une irritation dans les yeux, 1 goutte d’huile de ricin dans les yeux favorise le drainage. Pour les infections aux oreilles comme les otites, mettez 2 à 3 gouttes tièdes dans le canal auditif et mettez un coton puis massez les régions arrière et inférieures de l’oreille. En cataplasme
Les cataplasmes se font avec une application de chaleur par dessus pendant 1 heure 30 ou plus.
Comment préparer un cataplasme d'huile de ricin ?
Imbibez une flanelle ou un tissu un peu épais, coupez en fonction de la grandeur de la partie du corps que vous souhaitez traiter avec l’huile de ricin. Laissez le tissu absorber l’huile (l’huile ne doit pas couler), puis appliquez votre tissu côté huile de ricin sur la peau directement. Couvrez avec un plastique ou un film étirable pour protéger vos vêtements et posez une bouillotte chaude par-dessus.
Contrairement au cataplasme d’argile, celui à l’huile de ricin n’a pas besoin de respirer et vous pourrez l’utiliser facilement 10 ou 15 fois juste en remettant un peu d’huile lorsque ce sera nécessaire. Le cataplasme d’huile de ricin n’absorbe rien, il permet simplement d'attirer les globules blancs dans la zone traitée, qui eux, feront leur job de nettoyage de la zone en question pour un meilleur fonctionnement de l’organe ou de la glande. Ce type de cataplasme est parfait pour relancer le fonctionnement de la glande thyroïde qui se trouve juste sous la peau au milieu du cou. Pour le foie, les intestins, les reins etc. Il faut garder le cataplasme au moins 1 heure ou plus et même une nuit entière si vous le pouvez et le faire tous les jours ou au moins 3 fois par semaine plusieurs semaines suivant vos symptômes. Lorsque vous enlevez le cataplasme, placez-le dans une boîte hermétique au frais pour une prochaine utilisation qui demandera peut-être d’ajouter un peu d’huile de ricin s’il vous paraît un peu sec. Après une quinzaine d’utilisations, jetez-le et recommencez avec un nouveau morceau de tissu. Il est possible par cette technique de traiter :
Pour les enfants
Pour les jeunes enfants, il est plus difficile de maintenir un cataplasme mais un simple massage avec de l’huile de ricin tiédie suffit en principe, pour calmer un mal de ventre par exemple.
Si l’enfant présente des symptômes d’appendicite, le masser tous les jours dans la zone de l’appendice peut éviter une opération si c’est pris à temps, mais ne négligez jamais l’avis de votre médecin en cas de doute. Ne laissez jamais votre bouteille d'huile de ricin à la portée des enfants. Où acheter votre huile de ricin bio ?
La boutique Biovie en ligne vous propose la bouteille d'un litre à 17.50 euros et avec le code promo : CURENATURE-BIOVIE, vous avez 10 % sur votre première commande.
L'iridologie, un outil pour voir le terrain physiologique d'une personneL’iridologie n’est pas science divinatoire
Nous ne voyons pas de symptômes mais plutôt le terrain physiologique de la personne dont on étudie les iris. C'est-à-dire les points faibles et les points forts. Le terrain c’est aussi les conditions génétiques.
Il y a environ 28000 fibres nerveuses qui arrivent dans l’iris, alors que pour le fonctionnement de l'œil il n’en faut même pas 8000. 1 fibre nerveuse dans l’iris contrôle 5 à 10 cellules musculaires. Dans l’organisme, 1 fibre nerveuse contrôle environ 300 cellules musculaires. Ce qui signifie qu’une fibre nerveuse dans l’iris correspond à une petite partie et donc qu’elle est facilement reconnaissable dans l’organisme. C’est un peu comme en réflexologie, palmo-thérapie ou auriculothérapie où l’on retrouve aussi toutes les parties du corps dans les pieds, les mains et dans les oreilles, qu’il est possible de stimuler par des pressions, des piqûres et des massages. Nous savons également que dans chaque partie du côlon il y a aussi une correspondance avec les différents organes du corps. Dans l'œil droit on retrouve les organes du côté droit. Dans l'œil gauche, ceux du côté gauche et on retrouve dans les 2 yeux les organes qui sont au centre. Lorsqu’il y a une zone sombre ou noire, cela signifie que pour cette zone, il n’y a plus de réponses nerveuses ce qui laisse entendre qu’il n’y a plus d’élimination de produits toxiques dans cette zone, pourtant, fatalement elle en reçoit toujours. Dans ce cas on peut penser qu’il pourrait y avoir un risque d’apparition de phénomènes de type tumoraux. Il y a le potentiel, manifesté ou pas. Il ne faut pas se laisser leurrer par les symptômes mais s’intéresser au terrain comme nous allons le voir plus loin. On ne voit pas tout dans les iris, seulement les parties qui sont innervées. Par exemple il est impossible d'après les yeux de voir s’il s’agit d’un homme ou d’une femme, ou de voir si une femme est enceinte. On ne peut pas voir les calculs car ils ne sont pas innervés, ni le cholestérol mais on peut voir l’anneau de cholestérol donc l’action du cholestérol sur les artères. Rappelons les 4 états de dégénérescence d’un individu
L’état aigu
Dans l’état aigu, voici ce que l’on peut remarquer. C’était, (car c’est de moins en moins le cas depuis les années 2000) le cas des enfants qui étaient souvent enrhumés, faisaient des maladies infantiles, mais se remettaient assez vite.
L’état suraigu Dans l’état suraigu, il y a moins de sorties de toxines, moins de symptômes. Le système nerveux commence à s'affaiblir, c’est le cas des adolescents avec écrans, nuits courtes et mauvaise alimentation. Découverte de la cigarette voir même drogue et alcool.
L’état chronique A l’âge adulte, si l’on n’y prend pas garde, on se laisse envahir par le stress des études, des premiers emplois, de la vie de couple et ses aléas etc.
Les 2 couleurs d’yeux génétiquement parlant
En génétique, il n’y a que 2 couleurs d’yeux, les yeux bleus et les vrais yeux marron (que l’on trouve plus couramment en Afrique et en Asie).
Les yeux marron avec des parties claires, sont en fait des yeux bleus avec un état chronique qui donne la couleur marron à l'œil. Alors que dans les vrais yeux marron, nous avons l’impression d’un velours régulier dans la couleur. LA couleur prédominante
Dans un iris, en dehors de la couleur génétique de l'œil, la couleur prédominante nous donnera une indication sur l’état nerveux de la personne, donc l’état de ses surrénales, que l’on peut vérifier aussi avec la pression sanguine de la personne.
Iris dominé par le blanc = état aigu Iris dominé par la couleur jaune = état suraigu Iris dominé par la couleur marron = état chronique Iris dominé par le noir = état dégénératif L’état de la pupille
Lorsque l’on remarque une forte contraction de la pupille, on peut dire que c’est le système nerveux parasympathique qui domine, la personne est plus ou moins en état d’épuisement
Lorsqu’au contraire on remarque une forte dilatation de la pupille, c’est le système nerveux sympathique (lutte ou fuite) qui domine. Le cercle de malabsorption
Il se trouve autour de la pupille sous forme d’anneau plus ou moins net d’une couleur souvent marron tirant sur le rouge. Il représente un défaut d’absorption au niveau intestinal.
Le cercle nerveux autonome ou collerette
La collerette se forme sous l’influence du système nerveux sympathique et parasympathique. Normalement on peut suivre cette collerette qui représente exactement la forme des intestins. Dans l'œil droit nous observons le côlon ascendant et la première partie de côlon transverse. Dans l’œil gauche nous voyons la représentation de l’autre moitié du côlon transverse, le côlon descendant, le sigmoïde et le rectum.
D’après la forme de la collerette, nous pouvons observer s’il y a des ballonnements, des prolapsus, des spasmes, de l’inflammation etc. et dans la zone des intestins, il est possible de voir s’il y a des diverticules, une parasitose etc. La couleur à l’intérieur de cette zone permet de dire si les intestins sont chargés ou pas. Lorsque les intestins sont chargés, le haut de l’iris, qui correspond à la zone des processus cognitifs de l’individu, sera très certainement foncé également car les intestins sont reliés à la tête par le nerf vague. Le cercle de l'estomac
On observe le cercle de l’estomac dans la zone intestinale comme un cercle parfaitement régulier autour de la pupille. Il n’apparaît que si le terrain de cet organe n’est pas bon, sinon il n’apparaît pas. S’il est plutôt blanc, on en conclu qu’il y a une hyperactivité et que l’estomac secrète beaucoup d’acide chlorhydrique.
S’il est blanc terne, jusqu’à gris foncé et marron, on en conclu qu’il y a une hypoactivité et donc pas assez d’acide chlorhydrique, les parois de l’estomac sont laisées, affaiblies avec un risque d’ulcère donc le corps ralentit la production d’acide chlorhydrique pour se protéger. Il ne faut donc pas en ajouter mais reminéraliser pour renforcer les parois de l’estomac. Qu’est-ce qui demande beaucoup d’acide chlorhydrique ? Toutes les protéines animales, les céréales complètes, la cellulose complexe. (attention aux végétariens qui consomment beaucoup de céréales complètes.) Les intestins
S’il y a des déchets qui stagnent dans la zone intestinale, il y a une prolifération bactérienne.
Lorsqu’il y a comme un brouillard dans la zone des intestins, nous pouvons en déduire qu’il y a une infection fongique massive. Les radiis solaris ou rayons de soleil montrent des parasites intestinaux qui passent des intestins dans le milieu interne et souvent dans la zone des processus cognitifs. Il s’agit en principe de bacilles. La zone intestinale a peu de nerf sensitif, ce qui fait que même si on a les intestins en vrac, on ne le sent pas forcément. S’il y a une “coupure” dans la collerette, c’est un risque de hernie et un relâchement nerveux dans cette zone de l’intestin. La collerette en forme d’étoile montre une hypersensibilité intestinale. Une double collerette par endroit montre une tendance schizoïde avec des troubles psy marqués. Une candidose (qui peut camoufler la collerette) montre la présence de champignons et de levures, une infection fongique. La présence de micro-organismes ”nettoyeurs” est justifiée parce qu’il y a des déchets, des fermentations et des putréfactions. L’infection fongique est caractérisée par la présence de la couleur orange du fait du rejet d’acide sulfurique par les champignons et levures. Ils ont une influence directe sur les processus cognitifs. Ce sont souvent des terrains à la dépression, la fatigue chronique etc. La candidose est une fragilité de la muqueuse intestinale, hyperméabilité etc. La zone des organes et glandes
A l’extérieur de la collerette, nous arrivons dans la zone des organes. On peut simplement y voir des zones d’ombres et plus particulièrement des lacunes qui se présentent comme des pétales de fleur.
Une lacune peut être ouverte ou fermée. Si les bords sont épais blanc ou marron, c’est une zone de l’organisme qui présente un défaut majeur de circulation sanguine et lymphatique si elle est ouverte. Si elle est fermée, la circulation sanguine et lymphatique ne se fait plus. Rien ne bouge dans cette zone (il faut se référer à la charte pour savoir de quelle zone il s'agit), il y a donc beaucoup de toxines qu’il faudra aider par des techniques hygiénistes. S’il y a des lignes dans la lacune, elles sont appelées lignes de guérison qui, lorsqu’elles se forment, indiquent que les fibres de la trame réapparaissent. C’est un nouveau réseau qui se crée, la zone se revivifie. Dans la zone des organes, il y a souvent des marques récurrentes, souvent sur les reins et les surrénales, mais aussi les poumons, la thyroïde … On voit des lacunes dans ces zones. Dans la zone des processus cognitifs, on peut distinguer :
La trame
Elle est constituée de fibres radiales qui donnent des indications sur l’hérédité, la génétique de l’individu. Plus les fibres sont denses, plus la génétique est forte. Ce sont ces fibres qui portent la couleur de l'œil comme le bleu par exemple.
Si on voit du noir entre les fibres, c’est qu’elles sont relâchées. Plus la trame est dense, plus la personne est en bonne santé avec une constitution forte. Les cercles nerveux, ou cercles de stress
Si la personne est soumise à un stress endogène ou exogène, il y a une dilatation de la pupille. Si la situation est chronique, les cercles de stress indiquent des phénomènes de compensation.
Si la situation de stress est intense et dure dans le temps, cela provoque une déformation de la pupille. S’il y a un aplatissement en haut de la pupille, c’est la zone des processus cognitifs qui est atteinte. S’il y a aplatissement vers le bas, ce sont les organes pelviens qui sont touchés par l’origine nerveuse (épuisement nerveux dans la zone). S’il y a un aplatissement vers la droite pour l'œil gauche, c’est le cœur et le plexus solaire qui sont touchés. La faiblesse nerveuse est à réparer au plus vite. La zone lymphatique
Après la zone des organes on peut observer la zone du système lymphatique. Lorsqu’elle est chargée, cette zone apparaît comme un chapelet de points blancs ou blanc crème en général. Ce sont les ganglions lymphatiques enflammés, chargés, et donc en hyper activité. C’est une réaction inflammatoire. Si c’est orangé, c’est une infection fongique qui peut être liée à la peau qui se trouve juste à côté dans la zone d’élimination, et dans ce cas ce sera une infection de type fongique de la peau comme le psoriasis par exemple.
Zone d’élimination par la peau mais pas uniquement
On l’appelle aussi le cercle éliminatif. S’il est épais, sombre, il y a une déficience de l’élimination dans les zones représentées. C’est souvent le cas au niveau de la peau mais aussi des poumons.
Cercle de sodium ou de cholestérol ou de sénescence
C’est l’action du sodium et du cholestérol sur notre système circulatoire, des dépôts inorganiques qui rigidifient nos artères et nos veines. Lorsque ce cercle est visible, il y a des risques de rupture d’anévrisme, d’embolie etc.
Il faut reminéraliser de toute urgence. Attention, les minéraux cuits des légumes et fruits, perdent leur charge électromagnétique et se déposent dans les veines et artères en les rigidifiant. Pour les personnes âgées, ce cercle indique aussi un risque d’anémie cérébrales en cours, avec donc un manque d'afflux sanguin dans la tête car avec la pesanteur la montée du sang et de la lymphe est plus difficile, ce qui entraîne un manque d’oxygène. Il faut reminéraliser et décongestionner. Si on voit la couleur bleutée, il y a un risque grave d’arrêt cardiaque car la congestion veineuse et artérielle est très importante. Points pigmentés associés à des tâches de produits chimiques et métaux lourds
Ce sont des tâches de produits chimiques et résidus de produits chimiques souvent dûes aux vaccins ou à des traitements médicamenteux importants. Ce sont des traces de fer, d’iode radioactif, d’aluminium, de plomb, de mercure, de phosphore, d’arsenic etc.
Voilà donc un petit aperçu de ce que l’on peut observer dans les iris. Cela nous donne des indications sur ce qu’il est intéressant de mettre en place pour améliorer le terrain.
Par exemple un changement d’alimentation, ou une minéralisation massive avec des jus frais, de l’eau de mer etc. Ou plutôt un bon nettoyage intestinal par des irrigations du côlon et/ou des lavements sur du long terme ou encore s’orienter vers le yoga, la relaxation, un meilleur sommeil etc. pour contrôler son stress… La personne peut ainsi, mieux connaître ses points faibles ou au contraire ses points forts sur lesquels elle peut s’appuyer. Chaque personne que j’accueille à CureNature bénéficie d’une étude de ses iris et reçoit du même coup des conseils et des pistes à explorer si nécessaire. Source: Formation d’iridologie de Thierry Casasnovas d’après Bernard Jensens. Le microbiote buccale
Lorsque l’on parle de microbiote, il s’agit souvent du microbiote intestinal, appelé également flore intestinale.
Cette flore est tellement importante pour tout l’équilibre de notre organisme que l’on en parle comme d’un organe que les scientifiques étudient de plus en plus. Mais rappelons qu’un microbiote est un ensemble de bactéries vivantes dans une partie précise de notre corps mais aussi de la terre, jardin, potager, forêt etc. C’est un milieu vivant ; ces bactéries se forment, vivent puis meurent pour se renouveler en permanence sans que l’on ne s’en aperçoive la plupart du temps. Chaque type de bactéries a un rôle précis suivant où il se trouve. Aujourd’hui, je vais vous parler du microbiote buccal. La bouche est l’entrée du tube digestif. Comme tout au long du tube digestif, il y a un ensemble de bactéries qui nous protègent contre des bactéries pathogènes qui pourraient entraîner des maladies comme les caries, les infections, les gingivites etc. Toutes les maladies parodontales sont des infections causées par l’accumulation de bactéries pathogènes et des toxines qui s’accumulent sur le bord de la gencive, sur les dents, sur le palais, la langue et l’intérieur des joues. Ces dépôts que l’on remarque le matin au réveil proviennent de l’ensemble du tube digestif et donnent souvent mauvaise haleine. C’est le résultat du travail de détoxification naturel de la nuit lorsque l’on est au repos. En jeûne, le phénomène est accentué et peut durer plusieurs jours avec une impression de bouche pâteuse. C’est ce que l’on appelle aussi le biofilm qui, s’il n’est pas retiré avec une brosse à dent, provoque la plaque dentaire qui a des conséquences plus graves pouvant entraîner des problèmes cardiaques. Les risques s’accentuent avec l’âge. L’alimentation joue un grand rôle dans l’équilibre de notre microbiote buccale ainsi que l’hygiène comme le brossage adapté au minimum matin et soir. Un brossage adapté est un brossage vertical qui part du bord de la gencive pour aller au bout de la dent, sur l’avant de la dent comme à l’arrière, afin de retirer ce biofilm. Le matin il est préférable de se brosser les dents de cette façon avant même le petit déjeuner si vous en consommez un. Et peu de gens en ont conscience. Il est préférable de ne pas ravaler ce biofilm qui est constitué de bactéries mortes ou pathogènes… En plus des dents, le matin, brossez-vous les gencives (avec une brosse très douce), l’intérieur des joues, le palais et la langue. Il existe des râpes langues en cuivre justement contre les bactéries. Le brossage sert aussi à retirer des particules alimentaires qui peuvent rester coincées dans les dents. Ce brossage est donc adapté après les repas. Qu’est-ce qui provoque un déséquilibre du microbiote buccal ?Une forte consommation de sucre, particulièrement le soir, nourrit des bactéries pathogènes qui, si cette consommation est régulière, vont coloniser le tube digestif au détriment des bonnes bactéries. Une alimentation industrielle, riche en sucres, sels, graisses, produits chimiques etc. a des conséquences aussi sur l’ensemble des bactéries. Quels sont les aliments qui vont rééquilibrer notre microbiote ?Contre les bactéries qui provoquent les caries, nous savons que l’ail et le citron combinés ensemble ont un bon effet contre la bactérie Streptococcus mutans. L’ail seul a déjà un effet anti-microbien, mais associé au citron il est encore plus efficace pour inhiber la bactérie. Cette association rentre parfaitement dans un jus ou dans une sauce pour crudités. Le jus des “braves” de Robert Morse, repris par Thierry Casasnovas est intéressant puisque l’on passe dans l’extracteur de jus à part égale du citron, du gingembre, du curcuma. Et on ajoute facilement 1 ou 2 gousses d’ail. Le mélange de cannelle de Ceylan et de clous de girofle montre une activité antibactérienne très élevée. C’est un mélange que je fais lorsque je prépare du chai (du thé Indien aux épices) et si en plus des épices, vous ajoutez du thé vert qui possède lui aussi de bonnes propriétés antibactériennes pour la bouche, vous avez une boisson excellente et utile pour votre microbiote.
Les herbes méditerranéennes ont aussi un bon pouvoir sur les micro-organismes buccaux. Notamment le romarin et la sauge sclarée. Ce sont des plantes qui s’associent parfaitement dans les plats comme la sauce tomate crue ou cuite, avec des champignons etc.
Les polyphénols sont des antioxydants, ils aident à inhiber le développement et la progression des maladies parodontales et augmentent l’activité antioxydante des liquides buccaux. Ces polyphénols se trouvent dans les différents thés, (le fait de garder dans la bouche du thé vert ou noir 2 à 5 minutes accroît la capacité antioxydante de la salive), le jus de raisin et le vin rouge (sans sulfate si possible), le café etc. Le cacao (sans sucre) possède lui aussi des vertus pour prévenir les maladies parodontales. Vous pouvez consommer des fèves de cacao crues ou des éclats de cacao cru à croquer ou à utiliser dans une boisson ou un dessert. L’association de miel et de propolis est une bonne source de polyphénols. Ils ont des propriétés antibactériennes, antivirales, antiparasitaires, anti-inflammatoires et antioxydantes. Le miel et la propolis ensemble inhibent la croissance des agents pathogènes oraux tout en limitant la déminéralisation de l’émail. Le miel et la propolis protègent l’émail en inhibant la fixation des bactéries dégradantes et même en renforçant la surface de l’émail. Tous les miels de bonne qualité peuvent être utilisés, celui de Manuka est souvent cité car c’est celui qui est le plus étudié, mais n’importe quel miel joue ce rôle. Vous pouvez mâchouiller un peu de propolis avec une cuillère à café de miel en rayon par exemple ou y ajouter quelques gouttes de teinture mère de propolis pour renforcer le système immunitaire et pour la santé de votre bouche. Oil pulling ou bain de boucheUne pratique qui nous vient de la médecine ayurvédique consiste à faire un bain de bouche le matin au réveil avec de l’huile de sésame vierge de première pression à froid qui peut être remplacer par de l’huile de coco vierge. Il s’agit de prendre une bonne cuillère à soupe d’huile dans sa bouche et de la faire passer entre les dents et partout dans la bouche pendant environ 15 minutes puis, bien sûr, la recracher. L’huile est antifongique et permet de réduire la gingivite. Ses acides gras polyinsaturés atténuent également les dommages causés par les radicaux libres dans les cavités buccales. Elle apporte aussi quelques vitamines et minéraux aux muqueuses. L’alimentation physiologiqueSi vous optez définitivement pour une alimentation physiologique, composée essentiellement de fruits et de légumes, de graines germées, d’oléagineux etc. toutes ces choses comestibles que la nature nous donne, vous n’aurez pas d’inquiétude à avoir pour votre santé dans son ensemble. Et si parfois, pour une occasion spéciale, il vous arrive de manger autre chose de moins sain, ce n’est pas grave. Vous pouvez, après les repas de fêtes, prévoir un jeûne de quelques jours, pour rapidement éliminer ce que l’organisme ne peut gérer correctement. L'exposition croissante aux ondes électromagnétiques est un problème de santé publique majeur11/15/2022 L’exposition croissante aux ondes électromagnétiques est un problème de santé publique majeur
Tout le monde sait que les ondes électromagnétiques sont mauvaises pour nos organismes mais nous préférons faire les autruches, parce que c’est tellement bien d’être connecté !
70 % des études scientifiques indépendantes ont démontré que l’exposition à de faibles doses de radiofréquences peut effectivement présenter des risques à long ou moyen terme pour la santé, notamment des cancers cérébraux. La box wi-fiLes personnes qui vivent dans des immeubles pensent qu’il ne sert à rien de couper son xi-fi la nuit, parce que les nombreux wifi des voisins sont branchés. Mais si tout le monde pense ainsi, alors l’immeuble est plongé dans un tourbillon électromagnétique 24/24 et cela est franchement mauvais autant pour les humains que pour les animaux et les plantes. Plus votre box wifi est proche, plus vous recevez d’ondes électromagnétiques. La première chose à faire est de l'éloigner au maximum des zones où vous vivez le plus et surtout des endroits ou vous vous reposez comme la chambre à coucher, peut-être le salon mais aussi votre bureau si vous êtes en télétravail et que vous y passez plusieurs heures. Pourtant, bon nombre de personnes ont la box dans leur table de nuit, c’est totalement aberrant et dangereux. Quoiqu’il en soit, éteignez la box au moins la nuit si ce n’est lorsque vous ne vous en servez pas. C’est lorsque l’on est au repos, pendant la nuit qu’on est le plus vulnérable à toutes ces perturbations. Il existe des moyens pour contrecarrer les nuisances électromagnétiques, je ne les ai pas tous essayés mais une pomme de terre coupée en 2 près de la box, absorberait une partie de cette pollution. Le gros sel marin aurait la même propriété. Personnellement, je pose des bâtons de charbon actif de bambou à côté de la box et dans la pièce principale de la maison. Le charbon actif absorbe et adsorbe (attire à lui) la pollution de l’air, l’humidité, les odeurs et l’électromagnétisme. Il est recommandé d’utiliser les connexions internet filaires au lieu du Wi-F Les téléphones cellulaires
Beaucoup de jeunes passent leur soirée sur leur téléphone portable, utilisent leur appareil pour voir l’heure la nuit et l’alarme. Du coup ils ont leur téléphone actif tout le temps ou presque. Là aussi, plus le téléphone est proche de la tête plus il y a de risque de tumeur au cerveau. Le risque est accru la nuit lorsque l’on est au repos, donc prudence, ne laissez jamais votre téléphone actif près de vous lorsque vous dormez, mettez-le systématiquement sur mode avion. Attention le pire est lorsque vous rechargez votre téléphone dans votre chambre, c’est là qu’il émet le plus de pollution électromagnétique. Rechargez votre téléphone dans une pièce où vous ne séjournez pas et le plus loin possible de là ou vous vous reposez. “Le risque à la santé dépend de la dose reçue, explique Santé Canada : « Contrairement au téléphone cellulaire où l'émetteur se trouve à proximité de la tête, de sorte qu'une grande partie de l'énergie RF absorbée se dépose dans une région très localisée, l'énergie RF des appareils Wi-Fi est habituellement transmise à une distance beaucoup plus grande du corps. Cela entraîne des niveaux moyens d'absorption d'énergie RF très faibles dans toutes les parties du corps, tout comme l'exposition aux signaux de radiodiffusion AM/FM. » https://maisonsaine.ca/actualites/champs-electromagnetiques-douze-facons-de-se-proteger Les autres appareilsOn n’y pense pas toujours, mais les câbles électriques et tous les appareils branchés sur le secteur émettent un champ électromagnétique, même lorsqu’ils sont éteints. Alors si vous ne pouvez pas changer de place les câbles électriques qui passent dans votre chambre à coucher, évitez de mettre votre tête de lit près de ces câbles qui passent dans les murs. Prenez soin d’avoir le moins de choses possible branchées sur le secteur dans votre chambre. N’utilisez pas de réveil électrique, pas de téléphone sans fil, pas de télévision même éteinte dans votre chambre et aucun autre appareil qui ne soit pas indispensable dans la chambre. Il est possible d’utiliser une lampe de chevet solaire et un réveil à pile pour remplacer. L'électrosensibilité“Le groupe de travail Biolnitiative est composé de 29 experts indépendants qui ont passé en revue 1800 études publiées depuis 2007 sur le rapport entre les CEM et la santé. Ils affirment que la prépondérance de la preuve indique que les expositions très en deçà des standards de sécurité publique peuvent augmenter le risque de nombreuses maladies et conditions, du cancer du cerveau et de la leucémie aux maladies cardiaques et neurologiques, en passant par l’infertilité, l’autisme et l’électrosensibilité, en particulier chez les utilisateurs fréquents d’appareils sans-fil. Par exemple, les standards sont de 1000 à 10 000 fois plus élevés que les niveaux maintenant communément rapportés comme déclencheurs d’effets biologiques. La médecine moderne en est encore à débattre des origines des symptômes d’électrosensibilité tels que les maux de tête, l’insomnie, les troubles cutanés et les acouphènes (bourdonnements d’oreilles). « L’électrosensibilité n’est pas une phobie », nous a affirmé en entrevue le gastroentérologue Roy Fox, professeur de gériatrie et expert en médecine environnementale à l’Université de Dalhousie à Halifax, Nouvelle-Écosse. « Quand le système nerveux est dans un état d’excitation élevée, en réaction à l’environnement, on interprète cela comme de l’anxiété, relate le Dr Fox, qui est directeur médical du Service de soins intégrés des maladies chroniques, un centre financé par des fonds publics qui se spécialise dans le traitement des patients souffrant des conditions chroniques complexes telles que le syndrome de fatigue chronique et les sensibilités environnementales. Mais lorsque vous tombez malades et que tout ce à quoi vous êtes exposés aggrave votre condition, vous devez réduire vos expositions environnementales de façon à ce que le corps puisse récupérer. Nous enseignons à nos patients comment réduire les expositions chimiques et électromagnétiques et alors leur état de santé s’améliore. » “Le rapport BioInitiative conclut sans équivoque : « Un usage vigoureux du principe de précaution et des avertissements clairs de santé publique sont nécessaires dans l’immédiat pour prévenir une épidémie mondiale de tumeurs du cerveau due à l’usage des appareils sans-fil». En fait, l’épidémie a peut-être déjà commencé, selon le London Daily Mail du 24 avril 2012 : le taux des tumeurs du lobe temporal et frontal a grimpé de 50 % (de 2 à 3 personnes par 100 000) entre 1999 et 2009, selon l’Office britannique des statistiques nationales. De plus, « les données de l’Université Segalen de Bordeaux démontrent une augmentation annuelle de 1 à 2 % du cancer du cerveau chez les enfants ». En plus de la leucémie, ces champs magnétiques sont aussi soupçonnés de causer des maladies neurologiques ainsi que les cancers du cerveau et du sein. Ceci notamment en stoppant la production par la glande pinéale de l’hormone du sommeil, la mélatonine, un antioxydant très puissant qui freine la croissance des tumeurs. https://maisonsaine.ca/actualites/champs-electromagnetiques-douze-facons-de-se-proteger Comment se décharger de l’électromagnétisme accumulé ?
Protégez les enfantsLes enfants sont encore plus vulnérables que les adultes, alors si vous ne le faites pas pour vous, faites-le au moins pour les enfants sans oublier les femmes enceintes. Séjour Vitalité : le témoignage de Marc
Séjour Vitalité chez Hélène de Cure Nature à Latour Bas Elne dans le département 66.
J’ai bientôt 63 ans et je suis un jeune retraité. Mes fonctions de Chef d’Entreprises durant 30 ans ont passablement dégradé ma santé à cause du stress et des mauvaises habitudes alimentaires, deux facteurs déterminants qu’il y a lieu de « revisiter » si l’on souhaite prendre en mains sa Santé et retrouver une belle Vitalité. Problèmes cardiologiques, sommeil imparfait, faible énergie, arthrite douloureuse de l’épaule, apnée du sommeil, hyperactivité vésicale (urine toutes les 2h ), maux de dos … Bref, mon corps me signalait qu’il fallait réagir et vite ! C’est chez Hélène que j’ai pu trouver les réponses à mes questions et surtout une philosophie de Vie et des méthodes qui déclenchent une réelle et profonde prise de conscience de nature à enclencher le changement souhaité dans mon mode de vie. J’ai commencé chez moi, début octobre 2022, par une semaine de descente alimentaire (légumes & fruits). Le stage chez Hélène s’est enchaîné durant 2 semaines sur la même base de légumes et fruits naturels bio et crus. En même temps, le matin, des jus quotidiens de légumes verts ainsi que des petites doses (50ml) de jus d’herbe d’orge (à boire et en implant rectal) qu’Helene avait cultivé et fraîchement cueilli. Ce breuvage amer au début ne me plaisait pas mais au fur et à mesure je m’y suis fait notamment en songeant aux bienfaits de cette herbe miraculeuse que constitue l’herbe d’orge. Il s’en est suivi un jeûne hydrique de 12 jours (1 semaine chez Hélène et 5 jours à la maison). À la suite, j’ai repris doucement une alimentation à base de fruits et de légumes crus et bio (2 jours) selon les recommandations d’Helene qui reste disponible en cas de besoin. Puis en intégrant au fur et à mesure, laits végétaux, oléagineux, protéines, etc … sur une durée que moi même je me suis fixé avec raison et responsabilité. Il est clair que désormais mon alimentation exclue quasiment les glucides (sauf le fructose des fruits) ainsi que certaines céréales avec du gluten (pâtes, pizzas, ….) et les laitages animaux (surtout le lait de vache), et ce durant au moins une année … ou vraiment occasionnellement pour me faire plaisir et quand mon corps sera rétabli complètement et me le réclamera. Pour conclure, au bout d’un mois, je me suis allégé de 15 kgs, je suis en pleine forme et mes soucis physiques ont disparu complètement hormis la cardiopathie que je dois faire contrôler par mon cardiologue prochainement. Mais je me sens extrêmement bien ! Durant les deux semaines de stages Vitalité ou Hélène nous cuisinait également des petits plats naturels et bio (talent de crusiniere ), des thérapeutes sont intervenus et contribuaient à notre évolution mentale en vue de nous apporter Bien Etre et Confiance (massages divers, réflexologie plantaire, méditation, activités aquatiques …). Voilà, ce témoignage est sincère. Il est établi sur la base de ma propre volonté et sur mon profond ressenti. Je remercie infiniment Hélène et les thérapeutes compétents qu’elle a choisi pour nous faire du Bien ! Je recommande vivement de vivre cette expérience pour celles et ceux qui cherchent une voie d’amélioration de leur Santé et ont la volonté de changement pour retrouver moral et vitalité. Aimez-vous et offrez-vous ce cadeau ! Bon courage à toutes et à tous, Marc Vialis (département 13). Le 11 Novembre 2022 Est-ce bien à nous de financer la recherche médicale ?Les campagnes de dons pour la rechercheEn voyant les différentes campagnes pour récolter des dons je me pose à chaque fois la question : Pourquoi les laboratoires internationaux qui font des bénéfices inimaginables, ne financent-ils pas la recherche médicale qui, ensuite, leur fera gagner encore plus d’argent ? Que l’on fasse des dons pour les resto du cœur, ou autres, parce que l’état ne parvient pas à subvenir aux besoins des plus démunis malgré les impôts que nous payons, passe encore et j’aime particulièrement les resto du cœur, je l’avoue. Mais depuis le temps qu’on nous promet que l’on va guérir le cancer et qu’il faut faire des dons pour la recherche contre le cancer, le constat est que, non seulement il y a de plus en plus de cancers, mais aussi que les chimiothérapies coûtent une fortune sans parler de tous les examens et traitements annexes. Je n’aborde même pas le trou de la sécurité sociale… Que se passe-t-il en réalité ? En tant que citoyen, nous cotisons à la sécurité sociale, aux mutuelles, nous payons des impôts de toutes sortes, mais si nous consommons des médicaments, il est rare que l’on ne soit pas obligé de mettre la main à la poche puisqu’ils sont de moins en moins remboursés, idem pour les examens médicaux, la dentisterie, l’optique et cie. Donc il me semble que l’on paye déjà tout cela largement. En effet, dans le prix d’un médicament est incluse une part pour la recherche comme dans tous les domaines. Pourquoi dans ce cas faudrait-il encore faire des dons pour un secteur d'activité qui fait partie de ceux qui se portent le mieux ? Pour les maladies rares, les labos ne financent pas la recherche parce que justement, comme ces maladies sont rares, il n’y aurait pas assez de malades pour rentabiliser les produits de ces recherches. Mais le cancer, le sida, la mucoviscidose etc. ne sont pas des maladies rares, alors j’aimerais savoir pourquoi les labos font encore et toujours appel à des dons pour financer la recherche ? Quelques chiffres
Savez-vous combien de bénéfices font les laboratoires internationaux ?
Sur internet vous verrez que Pfizer a doublé son bénéfice net en 2021, on se demande pourquoi ? Il est de 22 millions de dollars. Le laboratoire pharmaceutique américain Merck a réalisé un bénéfice net de 4,57 milliards de dollars contre 2,94 milliards un an plus tôt. “Selon un rapport Oxfam, au moins neuf personnes sont devenues milliardaires depuis le début de la pandémie COVID grâce aux profits des sociétés pharmaceutiques en charge de la production et de la distribution des vaccins contre le COVID partout dans le monde. À leur tête, le PDG de Moderna, le marseillais Stéphane Bancel, dont la fortune s’élève maintenant à 4,3 milliards de dollars. Ces bénéfices réalisés grâce aux vaccins sont progressivement placés dans certains des pires paradis fiscaux du monde, prévient un récent rapport du Centre de recherche sur les sociétés multinationales (SOMO)... “D’un autre côté, Moderna ne paie pas d’impôts sur les brevets déposés : jusqu'à 780 brevets ont été déposés dans le Delaware, où les revenus des brevets sont exonérés d'impôt, ce qui fait de cet État américain un paradis fiscal. Selon le rapport, cette démarche est connue comme un "triple coup dur". C'est-à-dire qu’en plus de payer peu d'impôts, la société bénéficie d’aides publiques pour développer son vaccin, qu’elle facture ensuite à des prix élevés.” https://www.francesoir.fr/politique-monde/moderna-place-les-benefices-des-ventes-de-son-vaccin-dans-les-paradis-fiscaux Dans cet autre article je trouve : “Les laboratoires producteurs de vaccin contre le Covid-19 engrangent depuis plusieurs mois d'importants bénéfices. Pfizer, Biontech et Moderna réaliseraient près de 65 000 dollars par minute. “ https://www.midilibre.fr/2021/11/16/vaccins-contre-le-covid-19-pfizer-biontech-moderna-quels-sont-les-benefices-des-laboratoires-de-sante-9931424.php Alors croyez-vous toujours que c’est à nous de faire des dons pour la recherche médicale ?Bien entendu, ces propos n’engagent que mon point de vue mais je suis persuadée que de très nombreuses personnes le partagent. Je pense que la générosité est une qualité formidable mais qu’elle ne doit pas devenir une source d’exploitation. LE COMPORTEMENT ALIMENTAIRE / LES 5 BLESSURES QUI EMPÊCHENT D'ÊTRE SOI-MÊME
Parmi les gens qui pratiquent le jeûne, beaucoup cherchent à comprendre et si besoin à corriger leur comportement alimentaire.
Éducation, hérédité, climat, croyances, publicités... sont autant de conditionnements qui influencent notre comportement alimentaire. Certains sont favorables à notre santé, et d'autres le sont moins. Dans tous les cas, ils nous donnent une direction. Dans un contexte naturel, les conditionnements apportent exactement ce qui est nécessaire à la survie de l'individu et de l'espèce. Et au-delà de ces conditionnements, la personnalité de chacun va déterminer comment nous nous y prenons pour effectuer les changements vers un mieux-être. De même que les conditionnements sont bons ou mauvais, les traits de la personnalité sont spontanés et naturels, ou déviés et empêchés. et donc peuvent servir ou desservir le retour à la santé et le maintien de l'équilibre dans le temps. Le but est de déceler et enlever les écueils qui freinent notre progression, tant au niveau des conditionnements reçus qu'au niveau de notre personnalité. Le livre de Lise Bourbeau : Les 5 blessures qui empêchent d'être soi-même, apporte un éclairage nécessaire. L'analyse des différents types de personnalité explique pourquoi chacun s'y prend différemment dans son chemin de progression, tout en allant dans la même direction. Les cinq blessures expliquent les déviations de chaque type de personnalité, et comment les guérir afin d'être à nouveau soi-même, spontanément et naturellement. Sortir des conditionnements mauvais qui détruisent la santé, et donc des voies sans issue, doit se faire en parallèle avec la guérison des cinq blessures ; afin que le chemin du rétablissement de la santé se fasse franchement et dans la bonne direction. L'ensemble de nos conditionnements ajouté à notre personnalité donne le comportement alimentaire. CONDITIONNEMENTS PLUS PERSONNALITÉ = COMPORTEMENT ALIMENTAIREUne fois conscientisés, démêlés et résolus tous ces facteurs, vous devenez apte à répondre naturellement et spontanément aux besoins physiologiques de votre corps, en alliant plaisir, satisfaction et santé. Voici les tendances globales de chaque blessure, sachant que nous n'avons jamais une seule blessure, et que nous avons souvent les cinq, mais à des niveaux d'intensité différents. Chaque combinaison de blessures entraîne un comportement particulier. Ces blessures se révèlent aussi bien dans nos choix alimentaires que dans nos motivations à faire des jeûnes. Pour l'alimentation : La personne qui a une blessure de rejet : manque de tonus, alimentation très sélective pour préserver son énergie et limiter les dégâts, protéger sa santé, espérance d'une perfection jamais atteinte, besoin de repères, de régularité. La personne qui a une blessure d'abandon : incapacité à choisir, à sélectionner ce qui est bon pour soi, veut tout ce qu'elle voit et tout ce qu'ont les autres, aime les aliments mous, mange lentement, difficulté à programmer, à prévoir. La personne qui a une blessure d'humiliation : tendance au surpoids, ne cherche pas à ressentir ses besoins, aime les aliments gras, honte de se faire plaisir, n'aime pas être différente des autres, craint de sortir de ses habitudes. La personne qui a une blessure de trahison : cherche à se contrôler, comprendre, connaître ses besoins, accepte les expériences nouvelles, se prend en charge, est convaincante, mange rapidement, aime le sel et les épices. La personne qui a une blessure d'injustice : ne veut pas prendre de poids, indifférente à la nourriture, difficulté à ressentir le besoin de changer, aime le sel et tout ce qui est croustillant. Pour le jeûne : La personne qui a une blessure de rejet : le jeûne est une mesure de sauvegarde, de survie, de protection, de sevrage... souhaite guérir son passé, préfère jeûner seule. La personne qui a une blessure d'abandon : sentiment de frustration et de privation nécessaire, jeûne pour soulager, apaiser, urgence à survivre, arrêter l'engrenage, rejet de la nourriture. La personne qui a une blessure d'humiliation : le jeûne est une auto punition, blessée d'avoir trop ou mal mangé, risque de passer d'un extrême à l'autre, ne se sent pas libre. La personne qui a une blessure de trahison : cherche davantage de maîtrise de soi, de connaissance de soi, veut contrôler son comportement, ses colères, ses excès... La personne qui a une blessure d'injustice : souhaite faire un jeûne spirituel, ou jeûne dans un but thérapeutique, avec volonté de guérir une pathologie précise, recherche l'efficacité du jeûne pour un résultat, une ouverture d'esprit, une prise de conscience, l'aboutissement d'un projet... Entretenir notre musculature, même et surtout après 50 ans !
Nous savons qu’il est indispensable d’avoir une musculature suffisante pour éviter d’avoir mal au dos et aux articulations, pour avoir un corps svelte et harmonieux, mais ce que nous savons moins, c’est qu’après 50 ans, nous perdons doucement et progressivement cette masse musculaire, il est donc indispensable de la fortifier pour la maintenir, car la perte de cette masse a des répercussions sur notre santé.
Quelles sont les causes de cette perte musculaire ?
Nos cellulaires se renouvellent sans cesse, il faut leur apporter l’oxygène et l’énergie dont elles ont besoin. Il faut donc produire en permanence de nouvelles cellules et entretenir celles existantes. C’est le rôle principal des protéines. Il est recommandé d’en consommer chaque jour à raison de 0.8 gr par kilo de poids. Mais après 50 ans,il en faut plutôt 1 gr à 1,2 gr par jour et par kilo de poids du corps. Attention, nous parlons de protéines, pas de viande ou de poisson … 100 gr de viande apporte en moyenne 30 à 40 gr de protéines Une partie des protéines sont recyclées par notre organisme, malgré tout il faut un apport journalier Stimuler nos musclesNos muscles ont besoin d’être stimulés pour croître c’est pour cela qu’il faut avoir une activité physique quotidienne de 30 à 60 minutes, sans excès. Inutile toutefois d'aller obligatoirement faire de la musculation en salle. On peut le faire, mais l’activité physique peut être aussi de la marche soutenue, du vélo (pas électrique), de la natation, du jardinage etc. En vieillissant, nous sommes moins dynamiques, plus fatigués et nous avons donc tendance à avoir moins d’activités physiques, alors même que nous sommes à une période de notre vie où nous perdons de la masse musculaire progressivement à raison de 1% de perte par an environ. Il faut donc impérativement vieillir en bonne santé, avec une bonne hygiène de vie pour pouvoir continuer d’entretenir correctement notre corps. En principe ce n’est pas le temps qui nous fait défaut mais plutôt le manque d’énergie. La perte musculaire d’une personne âgée proviendrait à la fois d’une atrophie des muscles et d’une perte de fibres musculaires appelée hypoplasie. Les scientifiques supposent également une résistance métabolique car la musculature ne se développe plus de la même façon que lorsqu’on est jeune, même à stimulation musculaire et apport protéiniques équivalents. Des glucides, des graisses et nos musclesC’est pour toutes ces raisons que l’alimentation suffisamment riche en protéines, saine et associée à de l’exercice physique quotidiennement sont importants pour éviter de perdre du muscle et entretenir sa musculature. Métaboliquement, les muscles sont de grands consommateurs de glucose, si l’ensemble de la musculature est faible, les risques de perturbation de la glycémie augmentent. Dans ces cas-là, on observe aussi une augmentation des lipides musculaires intracellulaires. Cette infiltration de graisses est liée au développement de l’inflammation. C’est ainsi que se dégrade petit à petit l’ensemble du corps. Les protéinesLors de la digestion, les protéines issues de l’alimentation (protéines animales et végétales) sont dégradées en unités plus petites: les peptides, puis en unités simples: les acides aminés. La synthèse des protéines dans le corps nécessite l’apport de 20 acides aminés. 11 de ces acides aminés peuvent être produits par le corps à partir d’autres acides aminés. 9 d’entre eux sont dits essentiels , ils doivent être impérativement apportés de l’extérieur par l’alimentation. Mais attention, une alimentation riche en protéines est acidifiante, il faut donc bien choisir et équilibrer son alimentation. Il est préférable de consommer essentiellement des protéines d'origine végétale. Ces protéines se trouvent principalement dans les graines germées, les céréales, les oléagineux, les légumineuses, les champignons, la mâche, mais aussi dans le pâté de soja. La viande, les poissons, les produits marins (coquillages, crabes etc.), les œufs contiennent tous les acides aminés essentiels. Pour les végétaux, seuls le soja et le quinoa les contiennent tous également, pour les autres végétaux riches en protéines, il faut donc en général, associer céréales et légumineuses dans une même journée pour les avoir tous (pas forcément lors du même repas). Équilibrer son alimentation en consommant largement des légumes et des fruits qui apportent du magnésium et du potassium. En Résumé
La meilleure reprise alimentaire après un jeûne
L’état de conscience modifiée induit par le jeûne est un état très agréable, lorsqu’on a bien préparé son jeûne ou que l’on jeûne régulièrement et que l’on est bien installé dans l’énergie du jeûne sans crise d’élimination particulière. Cet état de grâce pourrait donner envie à certains jeûneurs de prolonger leur jeûne au-delà de leurs capacités adaptatives. C’est à l’accompagnateur(trice) de surveiller que la personne est apte à poursuivre son jeûne ou, au contraire, de l'inviter à passer en demi-jeûne si sa vitalité a trop diminué.
C’est pour cette raison, qu’il est indispensable d’être accompagné pour des jeûnes qui dépassent quelques jours, à fortiori, si vous n’avez pas l’habitude de jeûner régulièrement. Etre accompagnéC’est pour cette raison, qu’il est indispensable d’être accompagné pour des jeûnes qui dépassent quelques jours, à fortiori, si vous n’avez pas l’habitude de jeûner régulièrement. Le demi-jeûne initié par Albert Mosséri est vraiment très intéressant à faire également en étant accompagné, ainsi vous avez quelqu’un qui fait les courses pour vous, vous prépare des paniers de fruits et légumes pour votre choix, ou qui fait des jus de légumes pour vous. De cette manière, vous pouvez toujours être à l’écoute de votre ressenti et rester dans votre bulle. Vous en sortirez très progressivement, lorsque la faim se fera ressentir plus précisément. Pendant les premiers jours du demi-jeûne, vous verrez qu’il se passe encore beaucoup de choses dans votre fort intérieur et notamment de fortes éliminations, tant physiques que psychiques. A quoi sert le demi-jeûne ?En jeûne hydrique, on détoxifie, cela signifie que les toxines sortent des cellules et se remettent en circulation dans le sang et la lymphe. Ce sont les organes d’élimination (émonctoires) qui doivent prendre le relai pour les faire sortir du corps. Seulement, souvent ces organes fonctionnent au ralenti, ou sont trop encombrés, de ce fait, les éliminations ne se font pas correctement et vous restez patraque ! En apportant doucement et progressivement un peu de nutriments, vous permettez à votre organisme d’avoir plus d’énergie, les émonctoires fonctionnent mieux et les éliminations seront favorisées. Il est important de rester bien au repos pour laisser ce travail se faire. En jeûne hydrique, on détoxifie, cela signifie que les toxines sortent des cellules et se remettent en circulation dans le sang et la lymphe. Ce sont les organes d’élimination (émonctoires) qui doivent prendre le relai pour les faire sortir du corps. Seulement, souvent ces organes fonctionnent au ralenti, ou sont trop encombrés, de ce fait, les éliminations ne se font pas correctement et vous restez patraque ! En apportant doucement et progressivement un peu de nutriments, vous permettez à votre organisme d’avoir plus d’énergie, les émonctoires fonctionnent mieux et les éliminations seront favorisées. Il est important de rester bien au repos pour laisser ce travail se faire. La reprise alimenraire
Plus le jeûne est long, plus la remontée alimentaire doit être lente et progressive et nécessite de la prudence, ce qui est beaucoup plus compliqué à gérer. La reprise alimentaire et physique est sûrement la phase de la cure la plus délicate. Grâce au jeûne, nous métabolisons tout mieux, le bon comme le mauvais. Il est important de n’apporter que des bonnes choses pour que les effets du jeûne se prolongent pendant 3 mois environ. Dès que le demi-jeûne est fini, consommez des légumes autant que vous le voudrez, crus bien sûr, et cuit si vous le souhaitez en favorisant dans ce cas, la cuisson à la vapeur, des fruits frais bien mûrs, des aliments naturellement gras qui vont vous apporter les lipides nécessaires à votre organisme, comme les avocats, les oléagineux en quantité raisonnable. Pour les protéines, les meilleures seront les protéines d’origine végétale comme celles provenant des graines germées, des légumineuses germées ou cuites, des champignons, de la mâche, des oléagineux etc. Ces aliments devraient vous combler, mais si toutefois vous souhaitez consommer des produits animaux, faites-le plus tard, sans précipitation, et avec des produits de qualité. Ne consommez pas de viande ou de poisson d’élevage, ces animaux mangent vraiment n’importe quoi, leur chair est empoisonnée par les pesticides, les médicaments, les antibiotiques etc. Leur nourriture est un “bugui-bulgar” de tout et n’importe quoi. La preuve, je connais un chauffeur routier qui m’a raconté qu’une fois on lui a demandé de venir chercher dans une usine, un chargement de bonbons périmés et de les livrer dans un élevage. Intrigué, il a demandé qu’est-ce qu’ils en faisaient et on lui a répondu que les bonbons périmés allaient être déshydratés puis réduits en farine pour être ajoutés à l’alimentation des animaux ! Vous pouvez boire des jus de légumes frais, vous pouvez y ajouter un peu d’eau de mer. Continuez de fuir ce qui contient du gluten et les produits laitiers. En respectant cette alimentation totalement physiologique, vos télomères (extrémité de l’ADN) vont rallonger, Nous savons qu’avec l’âge les télomères raccourcissent. En inversant le processus, le jeûne a un effet rajeunissant sur nous. Reprenez également l’activité physique progressivement pour ne pas trop vous fatiguer. Vous constaterez qu’après une certaine période, non seulement vous ne serez plus fatigué mais au contraire, vos performances sportives seront améliorées. N’oubliez jamais que l’on métabolise tout beaucoup mieux qu’avant, alors n’apportez que du bon à votre corps, il en sera reconnaissant ! Le jeûne sec vu par Jeûne et bien-être et mon droit de réponseLe jeûne sec vu par Jeûne et bien-êtreVoici le mail que je viens de recevoir et auquel je propose un droit de réponse. “On voit émerger depuis quelques mois une forme extrême de jeûne: le jeûne sec, ou dry fasting. Il consiste à ne pas manger ET à ne pas boire du tout, pendant une période de 1 à 12 jours, voire même au-delà pour certains pratiquants. Il est présenté par ses adeptes comme étant la méthode actuelle de détox la plus puissante. D'après les travaux et observations de scientifiques russes, il aurait les mêmes bénéfices que le jeûne hydrique, mais bien plus rapidement. L'autophagie serait multipliée par 1.5, et 1 jour de jeûne sec serait équivalent à 3 à 5 jours de jeûne hydrique. La pénurie d'eau serait surtout radicale pour lutter contre l'inflammation, les microbes pathogènes, et les parasites. On peut être séduit par le gain de temps et les effets espérés. Mais les expériences et pratiques des uns sont-elles toujours transposables et adaptées à tous ? Pourquoi Jeûne & Bien-être déconseille fortement le jeûne sec ?Le jeûne sec ne devrait être pratiqué que sur de courtes périodes (48h maximum) sous la surveillance de professionnels spécialement formés, et avec des précautions particulières avant, pendant, et après le jeûne. Une cure mal conduite peut se révéler préjudiciable pour la santé, voire même aboutir à des situations d'urgence dramatiques. Hors de question d'improviser en solitaire. L'accompagnement se doit d'être professionnel, rigoureux, avec de solides connaissances de la physiologie du corps et du jeûne, des contre-indications du jeûne sec, et des conséquences possibles de cette pratique. Des effets négatifs sur l'organismeIl faut en effet avoir conscience que la carence prolongée en eau peut provoquer de graves désordres physiologiques: • Hyperthermie • Déshydratation • Troubles rénaux • Troubles cardiaques • Hémogliase (épaississement du sang avec risque important de caillots sanguins) Lors d'un jeûne, les toxines stockées sont remises en circulation. L'eau est nécessaire pour les diluer et les éliminer, en particulier l'acide urique. Le manque d'eau fait souffrir le corps. Les toxines ne sont pas évacuées correctement et se redéposent dans les tissus. Cela se manifeste par des désagréments importants, en particulier maux de tête, douleurs musculaires et articulaires, vertiges, surtout le matin au réveil, avec risque important d’hypotension et de chute. Notons que la nuit est déjà un temps de jeûne sec physiologique. L’observation de nos jeûneurs montre que boire un verre d’eau dès le réveil est très efficace pour lutter contre les vertiges, faciliter la mise en route de l’organisme et retrouver de l’énergie. La quantité d'eau restituée par l'utilisation de nos réserves est faible et insuffisante pour couvrir nos besoins: 3 à 5 grammes d'eau pour 1 gramme de glucides ou de protéines, et 0,1 gramme d'eau pour 1 gramme de graisse. Bien sûr, il y a aussi la libération de l'eau stockée dans les tissus en cas de rétention d'eau, mais cela ne suffit pas non plus à couvrir nos besoins et compenser l'eau habituellement apportée par les aliments. Le manque d'eau va majorer tous les désagréments tels que maux de tête, douleurs musculaires, vertiges… Un apport d'eau est donc essentielDepuis plus de 10 ans et quelques milliers de jeûneurs, nous constatons que dès que l'apport d'eau est augmenté, la plupart des désagréments s'atténuent rapidement ! C'est pourquoi, chez Jeûne & Bien-être, nous refusons d'encadrer des jeûnes secs car nous refusons de faire courir le moindre risque à nos clients. Nous déconseillons le jeûne sec et préconisons un apport d'eau en quantité suffisante, de l'ordre de 2 litres /24h. Nous rappelons que nos stages ont une durée de 7 jours, et sont encadrés par des professionnels présents 24h/24h, avec un suivi quotidien rigoureux et une adaptation journalière personnalisée du jeûne pour chaque jeûneur. “ Ma lettre restée sans réponse
Bonjour Jean-Pascal de Jeûne et bien-être,
Effectivement le jeûne sec est puissant, cela permet de gagner du temps et donne ainsi la possibilité aux personnes qui travaillent et partent en congés en famille de pouvoir pratiquer le jeûne malgré tout, sur des périodes plus courtes et d’avoir un résultat largement aussi efficace qu’un jeûne hydrique long. Et je suis d’accord avec vous, le jeûne sec sans préparation spécifique ne devrait pas aller au-delà de 2 ou 3 jours. Jusque là tout va bien. Quant aux effets négatifs du jeûne sec que vous annoncez, j’aimerais que nous voyons ensemble et de plus près de quoi il s’agit: L’hyperthermie, en effet le corps monte souvent en température mais rien d’alarmant et c’est plus agréable l’hiver plutôt que de grelotter comme c’est le cas en jeûne hydrique, et l’été lorsqu’il fait chaud, les bains de mer ou d’eau douce (lacs, rivières) apportent un regain d’énergie et une plénitude inégalable ! Pour les puristes, les ablutions d'eau froide (moins de 11°) sont stimulantes pour l'organisme. Déshydratation, si la préparation est bien faite sérieusement, la sensation de déshydratation arrive entre 5 et 8 jours suivant les personnes. Le Dr. Filonov, spécialiste de jeûne sec en Russie, explique qu’il n’est pas utile d’aller au-delà de 9 à 10 jours de jeûne sec. Les premiers jours on perd essentiellement l’eau de rétention puis, après, le corps fabrique sa propre eau endogène à partir des graisses. L’organisme ne manque pas d’eau réellement. Troubles rénaux, il est fort probable que certains problèmes rénaux sont une contre-indication au jeûne sec, mais pour les personnes qui ont tendance à faire des calculs, le jeûne sec permet un nettoyage des reins et nous avons observé des personnes qui éliminaient comme du “sable” durant le jeûne sec et les jours suivants. Donc, sauf contre-indication, le jeûne sec permet de mettre les reins un peu au repos et leur permet de se nettoyer. Troubles cardiaques, là aussi, pour des problèmes cardiaques graves, il est plus prudent de s’abstenir, mais en prévention et en ne forçant jamais, pourquoi pas, parlez-en à un spécialiste du jeûne sec. Hémogliase, en effet le jeûne sec épaissit le sang, il est donc indispensable de faire une préparation de plusieurs semaines dans le but de “nettoyer” le sang afin d’éliminer le plus gros des toxines circulantes, et je conseille de prendre de la casse* chaque jour au minimum un mois avant le jeûne, et également de supprimer totalement les produits laitiers et le gluten 3 mois avant. En suivant cette préparation et en pratiquant 1 jour de jeûne sec par semaine durant la préparation, je n’ai jamais observé de problème particulier. Si lors d’un jeûne hydrique l’eau est nécessaire pour drainer les toxines vers les émonctoires, en jeûne sec, le corps monte en température en provoquant une fièvre légère soit généralisée soit localisée, qui se déplace suivant les endroits qui travaillent le plus. Ainsi les toxines sont brûlées à l’intérieur même des cellules. Le jeûne sec favorise l’élimination des toxines colloïdales (mucus, glaires etc), alors que le jeûne hydrique favorise plutôt l’élimination des acides qui ont besoin d’eau pour être dilués et éliminés par les reins et la peau essentiellement. Nous accumulons tous dans nos organismes ces deux types de toxines, toutefois, certaines personnes ont plus de l’un ou de l’autre. Il est bon, dans ce cas, d’adapter l’un ou l’autre des jeûnes. J’ai remarqué que de faire moitié moitié peut avoir d’excellents résultats, par exemple 7 jours de jeûne sec suivi de 7 jours de jeûne hydrique puis le demi-jeûne encore au moins 3 jours, suivi d'une reprise en douceur et du repos. J’ai vu des personnes avec une tumeur récente qui disparaissait après ces 3 semaines de cure. Lorsque je travaillais avec Thierry Casasnovas pour Régénère, je me souviens de cette femme déjà sénior qui nous a parlé pour la première fois du jeûne sec qu’elle avait pratiqué plusieurs fois. Intrigué, Thierry et toute l’équipe de l’époque avons aussitôt testé et jeûné à sec. Quelle ne fut pas notre surprise de constater qu’il était beaucoup plus facile de commencer par un jeûne sec, la sensation de faim disparaissant presque aussitôt et nous n’avions pas non plus cette sensation de froid intense jusque dans les os ! En tant qu’accompagnatrice en jeûne hygiéniste, je remarque presque toujours que les crises d’élimination sont moins fortes et qu’il y a moins de symptômes désagréables. Pour moi, un jeûne hygiéniste ou thérapeutique comporte toujours 4 phases :
Le longe-côte ou marche aquatique, un sport d'endurance doux et bien plus encore…Régénérant, ludique, accessible, ce sport de pleine nature permet de recharger les batteries au contact de l'océan. Zoom sur les bienfaits de cette pratique en vogue. Cette marche aquatique a l'avantage de pouvoir se pratiquer à tout âge, seul, à deux ou en groupe.Le longe côte, une communion avec la naturePour s'évader, pour se ressourcer, le longe-côte est avant tout un moment pour soi. Le matin, avant de commencer la journée, quand les premiers rayons du soleil font leur apparition, le midi, pour une pause bien-être, originale et sportive, le soir, pour décompresser et s'offrir un moment de calme... Quel que soit le moment de la journée, le longe-côte offre une coupure totale pour se reconnecter à l'essentiel : à la nature et à nous-même. L'océan, la mer : une thérapie naturelleÇa n'est plus à prouver : l'océan a un impact positif sur notre mental. Les embruns, l'eau fraîche et salée, le contact avec la nature, la sensation de liberté... En plus de booster notre système immunitaire, pratiquer un sport au contact de la mer a un effet relaxant et apaisant. Après une séance, on se sent bien, on se sent léger, aussi bien au niveau du corps que de l'esprit. On a laissé tous nos soucis derrière nous pour ressortir de l'eau plus apaisé. Ce sport en pleine nature est un vrai anti-stress naturel ! Le contact avec l'océan couplé à l'activité physique douce favorise également un sommeil réparateur. Moins de stress pour plus de bonheur et de lâcher prise, voici ce qui vous attend avec le longe-côte que Valérie, maître nageur-sauveteur, va nous proposer pendant le séjour vitalité en octobre au sud de Perpignan. Faire du longe-côte pour tonifier l’ensemble du corpsCe sport présente un avantage de taille : il se pratique dans l'eau. Avec le longe-côte, vous avez donc les bienfaits en version double : ceux de la marche et ceux du milieu aquatique. Avec la marche ou la course à pied traditionnelle, vos articulations peuvent vite être mises à rude épreuve du fait des à-coups au sol. Ici, pas de risque de traumatismes puisque vous évoluez dans l'eau. Entre le terrain inégal, le sable, la houle, le courant... En longe-côte, à chaque pas, on travaille sa stabilité et ses appuis tout en améliorant sa proprioception et sa motricité. L'eau offre une résistance qui, à chaque effort, permet de travailler les muscles profonds. Marcher dans l'eau demande un effort particulier, c'est toute la chaîne musculaire qui est engagée : le bas du corps avec la marche (mollets, quadriceps, fessiers, ischios-jambiers), les abdominaux ainsi que le haut du corps si vous vous aidez des bras pour avancer. Le longe-côte, un exercice bénéfique pour le système respiratoireÀ chaque sortie, vous prenez un grand shot des bienfaits de la mer ! Les ions négatifs libérés par l'eau en mouvement ont des effets positifs sur le fonctionnement de notre système respiratoire. Vous avez sûrement déjà entendu ces récits de personnes se baignant toute l'année dans l'eau de mer, qui assurent ne plus tomber malade ? Il y a de quoi s'en inspirer ! Moins de sinusites, moins de rhumes, moins d'infections respiratoires... Les effets bénéfiques de l'océan sur notre santé sont nombreux, alors, pourquoi s'en priver ? Le longe-côte présente de nombreux bienfaits, tant physiques que psychiques. Cette marche dans l'eau permet incontestablement d'améliorer sa condition physique sans jamais avoir de courbatures, mais vous procure également une sensation de bien-être et de liberté, provoquée par l'environnement dans lequel vous évoluez : la mer, l'océan ou le lac.
Les pieds dans le sable, nous marchons, faisons des pas chassés, des montées de genoux, le tout dans l’eau de mer avec un paysage splendide à perte de vue. Personnellement je l’ai pratiqué entre amies, mais il y a des coachs et des clubs de Longe-Côte qui le pratiquent toute l’année avec des combinaisons plus ou moins épaisses selon la température de l’eau.
Une séance de longe-côte dure entre 45 min et 1 h 30 en général. C'est donc un sport d’endurance qui va permettre de :
Améliore la circulation du sangComme tous les sports aquatiques, le longe-côte est bon pour les personnes qui souffrent de rétention d’eau. Ce sport va permettre un bon drainage des membres inférieurs en améliorant le retour veineux. La poussée du pied dans le sable demande une attaque franche du talon suivie d'un déroulement du pas souple jusqu'aux orteils. Après la séance, vous aurez une sensation de jambes légères. Non seulement ce sport est aquatique, mais en plus, il se pratique la plupart du temps en mer. Vous allez ainsi bénéficier de la qualité de l’eau de mer, et des sels marins, pour gommer la cellulite et lisser la peau. Améliore le système immunitaireGrâce à l’iode marin et l’effet d’eau fraîche qui ont un effet bénéfique sur l’immunité, vous tomberez moins malade. En effet, l’eau de mer permet de recharger nos batteries, et de purifier notre organisme. Efficace et douxEnfin, le longe-côte se pratique en profitant de la pesanteur de l’eau. Il est donc considéré comme un sport de décharge au même titre que le vélo ou la natation, car il est peu traumatisant pour les articulations. En faisant du longe-côte, vous vous entraînez tout en luttant contre la force de l’eau tout en sollicitant tous les groupes musculaires immergés. Avoir le dos dans l’eau permet d'éviter de forcer sur le bas de la colonne vertébrale. C’est un sport qui est fortement recommandé pour les lombalgies, car il améliore les douleurs. Si vous vous aidez des bras ou d’une pagaie pour avancer, vous faites également travailler le haut du corps. Vous allez pratiquer ce sport dans le meilleur endroit possible : la mer. En pratiquant le longe-côte à l’extérieur, dans un endroit non pollué, vous allez favoriser la bonne oxygénation de vos poumons et de vos muscles. Vous allez permettre à votre moral et à votre cerveau de s’apaiser le temps d’une séance. On parle aussi de sport anti-stress. C’est pour toutes ces raisons et pour l’avoir essayé, que je vous propose de découvrir et pratiquer ce sport lors du séjour vitalité du 16 au 29 octobre 2022. Prenons soins de nos intestins, notre santé globale en dépendConstipations, ballonnements, diarrhées, flatulences, fatigue, arthrose, diabète, hypertension, dysbiose etc. Tous ces symptômes peuvent être causés par un déséquilibre dans nos intestins.Lorsque nos intestins s’intoxiquent, cela porte un nom : la dysbiose, notre digestion ne se fait pas correctement et notre santé est menacée. On appelle parfois la dysbiose, la peste du 21ème siècle. C’est environ 30 millions de Français qui souffrent de ce trouble, vous en faites probablement partie, voyons donc ensemble comment prévenir et remédier à ces dysfonctionnements. 95% de nos maladies prendraient racine dans nos intestinsC’est probablement le savant Russe Elie Metchnikoff, qui le premier a commencé à s’intéresser à nos intestins à l’institut Pasteur en 1888 en étudiant la longévité des habitants des pays scandinaves qui depuis des siècles consomment leurs légumes lacto-fermentés majoritairement l’hiver car ils en ont peu à cette saison, les yaourts de kéfir riches en probiotiques etc. Les probiotiques sont des micros organismes qui enrichissent la flore intestinale. Il y a consacré toute sa vie et il a conclu que 95% des maladies sont provoquées par un déséquilibre de notre flore intestinale. Ceci est confirmé par les chercheurs aujourd’hui encore et même plus que jamais. Une bonne digestion permet d’extraire les nutriments de nos aliments et d’éliminer les déchets rapidement, régulièrement et complètement. Mais pour diverses raisons que nous allons voir plus loin, nos intestins n’arrivent plus à faire ce travail correctement. Les déchets contenant de plus en plus de toxines s’accumulent dans nos intestins, causant toutes sortes de problèmes digestifs et bien plus encore. Ces toxines passent dans le sang qui les distribue un peu partout dans le corps et provoquent des maladies parfois très graves (infections, tumeurs, Alzheimer, Parkinson, hypertension, diabète, surpoids, arthrose etc.) Flore intestinale ou microbiote désigne la même chose : l’ensemble des bactéries qui tapissent nos intestins. Ces bactéries sont extrêmement nombreuses, on parle de 100 000 milliards de micro-organismes probiotiques. Cet ensemble de bactéries représente un organe à lui seul qui effectue un travail considérable ; il nous protège des bactéries pathogènes indésirables (conservateurs, additifs alimentaires, sucre, eau chlorée, stress, métaux lourds, pollution, médicaments etc.) Il transforme et métabolise des vitamines, nous protège contre des virus et représente 80 % des cellules de notre système immunitaire. Il contient des bactéries qui nous protègent de certaines carences, contre certains cancers etc. Chaque partie de notre système digestif abrite une certaine catégorie de bactéries, de même que chaque partie de notre côlon abrite un type spécifique de bactéries, y compris notre appendice que l’on retirait un peu à tort et à travers autrefois, et que l’on enlève qu’exceptionnellement maintenant car les scientifiques savent aujourd’hui que l’appendice produit des bactéries qui nous protègent de certains cancers des intestins … Différents signes qui doivent vous alerter
Les problèmes de ce type ont tendance à empirer avec l’âge surtout après 50 ans. Les déséquilibres du microbiote peuvent être à l’origine d’un surpoids, d’un diabète, d’infarctus, d’hypertension, un état inflammatoire chronique etc. Nous avons pris l’habitude de nommer nos intestins notre deuxième cerveau, car il produit des neuromédiateurs tels que la sérotonine, l’hormone du bonheur, l’acétylcholine, la noradrénaline, le GABA. C’est pourquoi on associe souvent les maladies comme Alzheimer, Parkinson, la dépression, la fibromyalgie, la schizophrénie, les insomnies etc aux déséquilibres intestinaux. Nos intestins sont aussi le centre de nos émotions. Des selles normalesLes selles normalement constituées doivent être marron, inodores, ni trop dures, ni trop liquides. La déjection doit être rapide, non douloureuse, facile et votre papier pour vous essuyé ne doit pratiquement pas être sale. Si vos selles sont plutôt jaunes, vous êtes peut être intolérent au gluten ou vous digérez mal les graisses. Si elles sont vertes, vous digérez trop rapidement, ou votre foie détoxifie beaucoup. Si elles sont noires comme du goudron (ce qui peut arriver lorsque l’on commence à consommer de la casse), cela provoque l’évacuation de vieux déchets malodorants. Sinon cela peut provenir d’un saignement dans le tube digestif. Si elles sont plutôt claires presque blanches, c’est un problème au foie ou une inflammation des voies biliaires pouvant être provoquée par des calculs. Si elles sont rouges, vous avez des hémorroïdes qui saignent. Cancer du sein, des ovaires et de la prostateD’après Susan Erdman, microbiologiste de l’université du Massachusetts, l’appauvrissement de notre flore intestinale expliquerait la hausse du risque de cancer du sein, des ovaires et de la prostate. N’oublions pas que la zone intestinale est la zone la plus polluée de notre corps et que les organes qui se trouvent à proximité comme l’appareil reproducteur ou la prostate sont directement impactés par cette pollution. L’arthrose et les rhumatismesL’arthrose et les rhumatismes sont provoqués par l’inflammation chronique qui ronge les articulations progressivement. Elles deviennent douloureuses, rigides et gonflées. Le foyer de cette inflammation se trouve dans notre ventre. La perméabilité intestinale laisse passer dans le sang des molécules qui ne devraient pas se trouver là, mais plutôt dans nos selles. Ces bactéries toxiques entraînent une inflammation qui se généralise et elles se déposent sur les articulations, dans notre cerveau, dans notre système cardio-vasculaire et neurologique etc. Que faire pour éviter tous ces inconvénients ?La première chose est d’éviter autant que possible tout ce qui va fragiliser la muqueuse intestinale et l’accumulation de toxines. Le gluten et les produits laitiers sont toujours en cause, en les supprimant vous verrez une nette différence. C’est le Dr Seignalet qui le premier a mis en évidence leurs effets négatifs sur des personnes fragiles comme des schizophrènes, puis a étendu ses expériences à l’ensemble des pathologies qu’il a rencontrées. Éviter de boire de l’eau chlorée, de consommer des aliments industriels qui contiennent des produits chimiques, des végétaux traités aux pesticides et cie. Consommer en majorité des légumes et des fruits biologiques qui apportent des fibres naturelles. Vous pouvez aussi prendre un peu de psyllium chaque jour avec beaucoup d’eau. Boire suffisamment. Faire de l’exercice physique quotidiennement. Consommer des légumes, des fruits ou des jus lacto-fermentés régulièrement que vous pouvez faire facilement vous même.
Ou encore des boissons telles que le kombucha ou le kéfir. Mais aussi du pollen frais congelé qui contient naturellement des probiotiques.
Enfin vous pouvez faire des cures de compléments alimentaires probiotiques pour réensemencer la flore intestinale. La prise de probiotiques en complément d’une alimentation revisitée peut vraiment aider à vous débarrasser de vos problèmes digestifs et autres. Assurez-vous que les probiotiques que vous allez acheter sont vivants, ils doivent contenir plusieurs milliards de bactéries d’au moins 3 souches différentes et si possible fabriqués en France, car les contrôles sur la qualité sont stricts, par un laboratoire sérieux. Il faut en prendre tous les jours pendant une certaine durée puis renouveler la cure si nécessaire. Comment éviter la chute des cheveux ?
La nutrition est un des moyens les plus efficaces pour nourrir vos cheveux de l’intérieur et les aider à repousser. Certains disent même qu’elle peut contribuer à repigmenter les cheveux blancs, mais là, je demande à voir !
Les cheveux ont un cycle de vie en décalé pour nous permettre, en principe, d’avoir toujours une chevelure. Il y a 3 phases : La phase anagène, c’est la période de pousse qui dure de 3 à 5 ans. La phase catagène, qui est une étape de transition et dure environ 2 ou 3 semaines, le cheveux ne pousse plus. La phase télogène est une période de repos, le cheveu est “mort” mais reste attaché à son follicule pendant environ 3 mois et tombe. Puis le cheveu suivant commence déjà sa phase anagène. C’est environ 25 à 100 cheveux télogènes qui tombent normalement chaque jour. Les follicules pileux donnent naissance aux cheveux environ 25 à 30 cycles durant notre vie. Les causes de la perte de cheveuxIl existe plusieurs raisons à la perte des cheveux :
Les carences nutritionnelles ou certains excès peuvent aussi jouer un rôle mais on peut les corriger. L’hypothyroïdie est connue pour favoriser la perte des cheveux. Pour le savoir il faut faire un bilan thyroïdien. En plus de la TSH, il faut également doser la T4 et la T3 pour vérifier la conversion de T4 en T3, cette dernière étant la véritable forme active. La perte de cheveux peut être aussi liée à un microbiote trop pauvre ou déséquilibré. Dans ce cas, il est bon de faire des lavements ou des hydrothérapies du côlon, consommer des aliments riches en fibres comme les fruits et les légumes et éventuellement prendre des probiotiques. La kératine, une fibre capillaireLa kératine est responsable de l'épaisseur, de la forme et du volume des cheveux. C’est une protéine riche en acides aminés soufrés. Des études ont montré que 90% des patients atteints d’alopécie androgénétique étaient carencés en protéines. Il est donc important de consommer ni trop ni trop peu de protéines. Les recommandations à ce sujet est un apport de protéines minimum de 0,83 g/ kg/ jour. Pour une femme de 60 kg par exemple, il faudra un apport journalier de 50 à 90 g. de protéines chaque jour. A savoir qu’une part de viande ou de poisson apporte environ 30 g de protéines. 200 g. de légumineuses cuites apportent environ 15 g. de protéines. Un oeuf environ 6 g. Une carence en acide gras essentiels entraîne une diminution de l’hydratation des cheveux, voire leur perte, à cause d’un mauvais état des bulbes pileux. Les acides gras essentiels se trouvent dans les aliments naturellement gras comme les avocats, les oléagineux, la viande, le poisson, les œufs, les graines germées ou cuites comme le chanvre, le sésame, le lin, le tournesol etc. Les aliments ultra-transformés et riches en sucres simples favorisent indirectement la chute excessive des cheveux. De même qu’une surconsommation d’acides gras conduit à des troubles de la kératinisation. Source : Secrets de Nutrition (février 2022) |
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