Le rôle des enzymes pour la santé
Wikipédia décrit le rôle des enzymes dans les processus de maladie ainsi : "l’importance des enzymes est démontrée par le fait qu’une maladie mortelle peut être causée par le mauvais fonctionnement d’un seul type d’enzymes sur les milliers de types présents dans notre corps”.
Les enzymes sont des protéines spécialisées qui agissent sur des molécules spécifiques – appelées substrats – dans le corps, augmentant le taux de réactions et de changements métaboliques. Il existe différentes enzymes associées à différentes tâches, telles que la digestion et le métabolisme, tout en contribuant au bon fonctionnement d’hormones telles que l’insuline et le glucagon. De nombreuses enzymes aident à décomposer les molécules et les composés alimentaires tels que le lactose et les protéines, ce qui facilite l’absorption et l’assimilation appropriées de ces nutriments. Ces enzymes digestives diminuent à mesure que le corps vieillit, mais peuvent être augmentées avec une supplémentation et des moyens diététiques appropriés. Certains nutriments crus biologiques sont des stimulateurs naturels des enzymes détoxifiantes dont notre corps a besoin pour combattre le cancer et les autres maladies. Par exemple, les pousses de brocoli par opposition aux têtes de brocoli plus familières sont de puissants stimulateurs d’enzymes qui détoxifient naturellement le corps. Les pousses de brocoli contiennent 30 à 50 fois la concentration de composés chimiques protecteurs trouvée dans les plants de brocoli mûrs. Les choux, choux-fleurs, choux frisé augmentent la puissance des enzymes. Un manque d’enzymes dans le corps humain est lié aux maladies chroniques telles que l’obésité, la maladie cardiovasculaire, certains types de cancer, et même le vieillissement prématuré. A la naissance nous recevons une certaine réserve d’enzymes qui doivent se renouveler périodiquement. La cuisson des aliments à plus de 42 ° décime notre réserve d’enzymes. Quand cela arrive, le corps demande d’urgence des enzymes pour suppléer les glandes, les muscles, le système nerveux et le sang, en plus de subvenir aux besoins exigeants du processus digestif. La nourriture crue, biologique et vivante va remplir de nouveau cette réserve. Il est très intéressant pour notre santé d’ajouter à notre alimentation des graines germées et des jeunes pousses de légumes que l’on cultive sur des plateaux de bonne terre. Un supplément d’enzymes bénéfique de qualité est le régulat pro. Le regulat pro réduit les symptômes de maladies et donne de l’énergie. De plus les cellules humaines absorbent plus de nutriments lorsqu’on utilise les suppléments d’enzymes comme le regulat pro. Celui-ci ne se substitue pas à la nourriture crue et vivante, mais il peut globalement améliorer notre santé.
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Les 18 merveilles du jus d’herbe de blé ou d’orge
Le jus d’herbe d’orge est un aliment miracle de par ses qualités nutritives. C’est un excellent remède naturel. C’est une source de vitamines A, C et E. Il contient en abondance tous les minéraux connus comme le calcium, le phosphore, le fer, le soufre, le sodium, le cobalt et le zinc. Il est exceptionnellement riche en vitamines du groupe B et surtout la vitamine B17. Il contient environ 70% de chlorophylle qui est une substance considérée comme agent de guérison par excellence. La chlorophylle produit en environnement défavorable à la croissance des bactéries dans le corps et aide à l’élimination des poisons que l’organisme a emmagasinés au cours des ans. Elle permet aussi de purifier le foie et de reconstruire le système circulatoire. Elle favorise une bonne digestion et aide à stabiliser le taux de sucre dans le sang. Le jus d’herbe d’orge est un purificateur très puissant. Certaines personnes ressentent un peu de nausée en le consommant, cela vient d’une réaction à la présence de poisons relâchés dans l’organisme. Il faut commencer avec des petites quantités d'environ 30 ml et augmenter graduellement jusqu’à 125 ml par jour. Le jus d’herbe fait aussi partie d’un bon programme d’assainissement du côlon. On l’introduit directement dans l’intestin. Ce jus est très instable et se dégrade rapidement. Il est recommandé de le boire aussitôt extrait ou dans les 10 minutes. L’herbe coupée se conserve au réfrigérateur dans des contenants de plastique pendant environ une semaine. Si vous désirez congeler le jus, faites- le tout de suite après l’avoir extrait. Il se conservera environ 4 mois. Toutefois il est recommandé d’en consommer 2 fois plus, car la congélation altère une partie des nutriments. Du 16 au 29 octobre 2022, je propose un séjour vitalité avec des jus d’herbe d’orge frais chaque jour. Voyez le programme de ce séjour avec ce lien : L'alimentation vivante
"Une alimentation composée majoritairement d'aliments vivants et crus est riche en oxygène, en vitamines, en minéraux, en protéines complètes hautement assimilables et très élevée en fibres et en enzymes. Le corps répond très favorablement aux propriétés alcalines de ces aliments. Il est important de souligner que les aliments vivants, comme les germes, croissent encore lorsqu'on les mange. L'activité bioélectrique de ces aliments est à son maximum et elle donne au corps une vitalité plus subtile. La photographie Kirkian a même démontré que l'énergie électrique entourant un plateau d'herbe de blé est telle qu'une personne se trouvant dans la même pièce constatera une nette amélioration de son niveau d'énergie, par une augmentation de la qualité d'ions négatifs, bénéfiques à l'organisme humain. "
"Lorsque nous mangeons des aliments cuits, notre système immunitaire réagit comme si nous avions été contaminé par une armée d'envahisseurs toxiques. Les globules blancs se mobilisent en grand nombre et entrent en action pour anéantir cette armée étrangère : plus nous mangeons d'aliments cuits, plus notre système immunitaire est en perpétuelle activité frénétique. Cela épuise l'énergie et diminue la capacité du corps de se maintenir en santé et de lutter contre certains des plus dangereux microbes et toxines chimiques." Source : Brian R. Clement - Le programme de santé Hippocrate et Energie vitale. Que savez-vous des crèmes glacées ?
"Anciennement, la crème glacée était une friandise maison faite à partir d'oeufs entiers, de lait, de crème et de sucres.
Aujourd'hui la loi n'oblige pas les manufacturiers à énumérer les additifs qu'ils utilisent. Ils ont transformé cette "friandise" en un véritable poison. Voici quelques ingrédients surprenants que les glaces industrielles contiennent : - Ethylène Glycol : Ce produit chimique de qualité inférieure est utilisé comme agent émulsif à la place des oeufs. C'est un ingrédient présent dans les solvants à peinture et dans l'antigel. - Pipéronal : Ce produit chimique, remplaçant l'essence de vanille, est aussi utilisé pour tuer les poux. - Aldéhyde C17 : Utilisé pour imiter la saveur de cerise, c'est aussi un liquide inflammable que l'on retrouve dans les teintures à base d'aniline, les plastiques et les caoutchoucs. - Acétate Ethylique : Utilisé comme essence d'ananas, c'est aussi un nettoyeur pour le cuir. Il a été prouvé que ses vapeurs causent des dommages chroniques aux organes. - Aldéhyde butylique : Utilisé dans la crème glacée à saveur d'érable, c'est aussi un ingrédient de la colle à caoutchouc. - Acétate acrylique : Utilisé comme saveur de banane, c'est aussi un solvant à peinture. - Acétate benzylique : Utilisé comme saveur de fraise, c'est aussi un solvant pour le nitrate." Solution :Consommez des crèmes glacées maison, ou mieux encore, des sorbets 100 % fruits. Mettez à congeler des fruits de saison : bananes, fraises, framboises, mangues etc... Une fois congelé passez-les au robot avec la lame en S ou dans votre extracteur de jus s'il comporte l'accessoire spécifique pour les sorbets. Puis décorez de fruits frais, d'amandes effilées, ou autre, et dégustez aussitôt. Ce sorbet ne contient ni gluten, ni lait, ni sucre ajouté. Source : Le programme de santé Hippocrate ou comment vivre sainement avec l'alimentation vivante de Brian R. Clement Le jeûne intermittent ou séquentielLe jeûneLe jeûne, vous le savez peut-être, est ma spécialité puisque je suis accompagnatrice en jeûne hygiéniste tout au long de l’année grâce à l’association CureNature. Le jeûne permet de retrouver sa nature originelle, son soi profond. Avec une pratique régulière, vous bénéficiez d’une énergie physique nouvelle et d’une puissance mentale supérieure, car la partie de votre énergie utilisée à digérer, et cette fonction demande beaucoup d’énergie, se retrouve disponible pour le fonctionnement optimal du cerveau et du corps. Mieux, comme un corps encrassé génère des maladies, en le nettoyant grâce au jeûne, vous diminuez le risque d’en être atteint. Pratiquer le jeûne , c’est en fait développer une nouvelle relation avec son corps. C’est l’écouter et lui parler pour le transformer en source de bien-être. Ces dernières années, de nombreuses recherches consacrées au jeûne ont abouti à des résultats passionnants. Il est ainsi avéré, que lorsqu’on jeûne, on brûle les graisses alimentaires que l’on gardait en réserve. Tout se passe comme si, au lieu de s’alimenter de l’extérieur, une énergie intérieure nourrissait nos cellules. Nous savons aussi que le jeûne permet également une diminution globale de l’inflammation de l’organisme et un allongement de la durée de vie en bonne santé de chaque être vivant, des animaux à l’homme. Le jeûne intermittent ou séquentielLe jeûne intermittent ou séquentiel signifie que chaque jour, nous allons faire une pause alimentaire plus longue que celle naturelle de la nuit. Pour cela il est recommandé de ne pas dîner trop tard, l’idéal est d’avoir terminé son dîner à 20 heures. Puis on ne consomme plus d’aliments jusqu’au lendemain 12 heures ou plus tard si nous le souhaitons. Une pause de 16 heures sans manger mais en buvant de l’eau, des tisanes sans sucre ni édulcorant, est une durée très efficace, en particulier pour faire baisser le taux d’inflammation de l’organisme. Laquelle inflammation est, vous le savez, la porte d’entrée de toutes les maladies. En pratique, vous passez de 3 repas par jour à 2. Mais il est possible de diminuer cette pause alimentaire à 14 heures, si 16 est trop difficile pour vous. Comme il est possible aussi de l’allonger, voir même de passer à un seul repas par jour. Les personnes qui l’ont essayé s’en sont trouvé nettement plus performantes tant physiquement qu’ intellectuellement. Certaines personnes diront qu’elles ne peuvent pas digérer le soir et préfèrent ne pas dîner pour mieux dormir. Vous pouvez dans ce cas faire un seul repas en milieu de journée, ou faire 2 repas, un le matin et un autre 4 heures plus tard environ, puis juste de l’eau et des tisanes le reste de la journée. Ceci est valable pour les adultes en relative bonne santé, sinon, demandez à votre médecin traitant si ce n’est pas contre-indiqué pour vous. Si vous devez prendre des médicaments le matin, il sera peut-être conseillé de les prendre en mangeant. Les enfants et adolescents en pleine croissance ont besoin de manger plus régulièrement. Je conseille souvent de commencer son premier repas par un grand bol d’eau citronnée, cette pratique permet au foie de mieux éliminer les déchets qu’il a accumulés. Mais si vous pratiquez le jeûne intermittent, ne le prenez pas dès votre réveil, le citron est un aliment qui contient l’équivalent d’un morceau de sucre. C’est peu mais suffisant pour mettre le système digestif en route avec ses sécrétions d’hormones et d’enzymes. C’est aussi demander au pancréas, qui est au repos, de fabriquer de l’insuline pour faire entrer le sucre dans nos cellules. Il n’est pas intéressant de mettre en route tout l’appareil digestif pour si peu alors que l’on pourrait le laisser au repos plus longtemps et prendre l’eau citronnée plus tard, 30 minutes avant le premier repas, par exemple. Ainsi le jeûne intermittent serait respecté et notre organisme ne s’en porterait que mieux. Gardez en mémoire qu’une simple fraise ou un jus de citron annulent le jeûne. Trichez sur la nourriture, c’est tricher avec soi-même. Le moindre écart ruine le bénéfice santé. De plus, avec l’habitude vous verrez que vous n’avez pas faim. Ne cédez pas à la tentation de craquer pour une broutille qui risque d’allumer un appétit qui deviendrait alors difficile à contrôler. Je ne comprends pas les centres de jeûne qui proposent des jus, même dilués, des bouillons de légumes et même des tisanes, encore pire des fruits. Ce n’est plus du jeûne mais plutôt une diète dans ces cas-là. Pourtant ils sont nombreux à pratiquer de cette façon, soi-disant pour ménager leurs curistes. Mais en pratiquant ainsi, non seulement, cela ne rend pas le jeûne plus facile, mais en apportant des principes actifs, nous dirigeons l’organisme dans une direction, qui n’est pas forcément celle qu’il aurait prise en le laissant au repos et libre d’agir en interne comme il l’entend. Faites un test, si vous n’êtes pas convaincu et essayez le jeûne intermittent pendant 2 ou 3 semaines si vous voulez voir quels effets ce type de jeûne a sur vous et moduler votre pause alimentaire de manière à ce qu’elle soit compatible avec votre vie de famille et votre vie professionnelle etc. La digestionLe temps de digestion est long. La digestion commence dans la bouche, c’est pourquoi il est important de manger doucement et de bien mâcher. Ensuite les aliments vont dans l’estomac et y restent 3 à 4 heures en moyenne, parfois beaucoup plus. Là, ils sont malaxés et mélangés aux sécrétions d’hormones et d’enzymes destinées à les préparer à l'absorption qui se fait à l’étape suivante lorsque le bol alimentaire arrive dans l’intestin grêle où ils vont séjourner 6 à 7 heures. Enfin, les résidus du bol alimentaire, (ce qui n’est pas passé dans le sang), arrivent dans le gros intestin ou côlon, dans lequel ils vont être progressivement déshydratés et mélangés à toutes sortes de bactéries pendant environ encore 6 heures avant de finir dans le rectum pour être évacués sous forme de selles. Logiquement, nous devrions avoir autant de selles que de repas chaque jour. Comme vous le voyez, notre système digestif est une vraie usine chimique qui permet d’apporter des nutriments à nos cellules via le sang. Comme toute machine, il a besoin de se réparer et de se régénérer pour fonctionner au mieux. Il n’est pas raisonnable de lui demander un travail constant, quotidien tout au long de l’année, bien souvent, malmené par des aliments délétères. Il n’est donc pas étonnant que la pratique du jeûne intermittent ou séquentiel n’apporte que des bienfaits à nos organismes souvent fatigués. Lorsque l’on jeûne, les organes liés au système digestif deviennent plus performants, les filtres comme le foie et les reins chargés d’éliminer les déchets fonctionnent à plein rendement, le pancréas démarre au quart de tour pour délivrer de l’insuline lorsque c’est nécessaire. Après 40 ans, les organes perdent de leur efficacité, le foie est souvent victime de la suralimentation et devient gras (stéatose hépatique). Avec une alimentation mieux contrôlée, le jeûne intermittent permet d’éviter de telles surcharges et permet à nos organes de mieux fonctionner. Vous seul déciderez, en fonction de votre ressenti, de votre énergie et de votre bien-être, de la suite que vous donnerez à cette expérience. Décider de pratiquer le jeûne complet et/ou le jeûne intermittent, c’est placer sa santé en haut de vos priorités, devant les obligations sociales, s’opposer aux règles des repas imposés qui ne vous correspondent pas forcément, c’est ne plus se forcer pour faire comme tout le monde, mais décider d’être soi. C’est manger lorsque l’on a vraiment faim, affirmer sa propre liberté. Mangez des légumes crusRecettes de légumesCitation du Pr Mono dans son livre Guérison et santé par les aliments (1933) “... la recette la plus merveilleuse est la suivante, applicable à tous les légumes frais , sauf les pommes de terre : couper les légumes en très petits morceaux ou les râper, les introduire dans un appareil appelé bouche, pour faire agir les principes réducteurs sécrétés par les poches spéciales de cet appareil et appelées glandes. A l’aide des broyeurs en ivoire appelés dents, qui garnissent cet appareil, finir de réduire en bouillie le légumes attaqué. Lorsque cette bouillie est obtenue, la mettre voluptueusement au contact du palais une dernière fois, et avaler…” Manger plus de végétaux crusJ’ai déjà parlé des multiples inconvénients de la cuisson sur les nutriments contenus initialement dans les légumes frais et crus. Même cuits à la vapeur douce, les aliments perdent une grande partie de leurs qualités nutritives, les enzymes, les minéraux et vitamines sensibles à la chaleur. Je ne conseille pas non plus de supprimer totalement la cuisson, pour certaines personnes c’est important, du moins, jusqu’au retour à la pleine santé qui devrait leur permettre de manger cru autant qu’elles le souhaitent. Donc, sans supprimer le plat cuit complètement, du moins, devra-t-on faire une part de plus en plus large aux légumes crus qui devront composer la majeure partie du repas principal. Ils doivent être consommés avant le plat cuit, à la suite des fruits qui commencent le repas. Lorsque l’on se nourrit de crudités, une ration bien moindre suffit pour maintenir l’organisme en pleine vigueur, car on est obligé de mâcher les légumes crus lentement et complètement. Il en résulte non seulement une économie énorme d’aliments et par conséquent d’argent, mais aussi une économie notable d’énergie vitale car les efforts faits par l’estomac pour digérer les aliments inutiles représentent un gaspillage d’énergie considérable. N’oubliez pas que l’estomac a une contenance d’environ 2 litres, or lorsqu’on absorbe, comme cela arrive fréquemment, 3 ou 4 litres d’aliments et de boissons au cours d’un repas, une partie de ces aliments, non digérés, fermente et se décompose dans l’intestin, y servant de pâture à toutes sortes de colonies microbiennes. Il ne faut pas chercher ailleurs la cause de la plupart des inconforts digestifs et des maladies. Sans parler des salades vertes, tomates, concombres, radis et autres hors d'œuvres usuels, il ne faut pas craindre de manger toutes les sortes de légumes crus. C’est un vieux préjugé de croire qu’ils sont difficiles à digérer sous cette forme, c’est tout le contraire du moment qu’on les mâche bien. Il est évident que pour certains, une période d’adaptation sera nécessaire, on ne peut pas impunément faire prendre de mauvaises habitudes à certains de nos organes, pendant 20, 30 ou 40 ans, comme la consommation d’aliments trop cuits, des soupes à l’eau, des purées, des pâtes etc qu’on ne mâche pas… Si certains légumes crus sont difficilement tolérés les premiers temps, il suffira d’en manger modérément au début en faisant une large place aux fruits frais bien mûrs, qui, eux, passeront toujours bien. Les légumes feuilles (salades vertes, épinards, mâches etc.) passeront plus facilement car ils contiennent des fibres solubles moins irritantes que les fibres insolubles des légumes racines par exemple. L’assaisonnementLes légumes crus consommés à la croque sans assaisonnement sont excellents dès que notre palais est habitué aux saveurs naturelles des végétaux. Si ce n’est pas encore votre cas, éviter la vinaigrette classique, il est possible de faire mieux… Le vinaigre de vin peut être remplacé par du vinaigre de cidre non pasteurisé ou un jus de citron, l’huile ordinaire par de l’huile de première pression à froid fraîchement pressée, ou encore par des graines grasses trempées ou germées et mixées, comme des graines de tournesol, des amandes, noisettes, noix, des olives noires. Si on a la possibilité de consommer des noix de coco fraîches, la chair tendre peut être mixée avec des plantes aromatiques et un peu de citron. Idem avec des avocats… N’hésitez pas à changer le goût et la couleur en ajoutant quelques jeunes feuilles d’épinard, ou encore du poivron rouge, des tomates etc… 30 minutes d'exercice physique chaque jour, pourquoi ?Pour être en bonne santé et le rester longtemps, il est conseillé de pratiquer 30 minutes d’exercice physique chaque jour, mais pourquoi ?Si on prend l’exemple de la marche, au début, on brûle les sucres, au bout de 20 minutes de marche vive, on se met à brûler les graisses, puis débute la libération de 1004 molécules protectrices comme l’irisine. Qu’est-ce que l’irisine ?C’est l’hormone qui cause la transformation de l’exercice physique en chaleur et en énergie et qui transforme également la graisse en chaleur, lorsqu’il fait froid. Cette hormone, brûle la graisse lors de l’exercice physique, aide notre corps à éliminer les graisses et les empêche avant tout de se former. L’irisine semble booster l’activité de gènes et d’une protéine qui sont essentiels à la transformation des cellules graisseuses blanches en cellules brunes. Elle augmente aussi de façon significative la quantité d’énergie utilisée par ces cellules, ce qui indique qu’elle joue un rôle dans le brûlage des graisses. Les tests montrent que l’irisine est capable de freiner la formation de cellules graisseuses de 20 à 60%. En temps normal, notre corps ne produit que de petites quantités d’irisine. L’activité physique est la clé qui en accélère la production. Cette hormone améliore aussi, entre autres, la fonction cardiaque. L’irisine est également classée comme myokine, c'est-à-dire une cytokine, ou messager chimique, produit par les muscles. Elle présente de nombreux bienfaits pour la santé, notamment, elle : – réduit la formation de plaques d’athérome en empêchant l’accumulation de cellules inflammatoires, diminuant ainsi le risque d’athérosclérose – augmente le rythme métabolique et la dépense énergétique dans le myocarde (la couche la plus épaisse du muscle cardiaque), – favorise la biogénèse mitochondriale – provoque l’élongation des télomères dans les cellules. Chez les humains, la longueur des télomères et leur intégrité jouent un rôle dans les maladies, la prédisposition aux maladies et le vieillissement. Des télomères courts sont un facteur de risque de développer de nombreuses maladies, notamment un affaiblissement du système immunitaire, le diabète, des maladies neurodégénératives, des lésions athéroscléreuses et des dommages de l’ADN. Comme indiqué précédemment, l’irisine est un type de myokine, ou messager chimique d’origine musculaire, ou encore un type de protéine. Les myokines sont très anti-inflammtoires, et la recherche suggère que les myokines pourraient jouer un rôle important dans la lutte contre le syndrome métabolique et le cancer, mais aussi, elle augmente :
Ces molécules protectrices ont une durée de vie de 24 heures environ, l’exercice doit être quotidien pour façonner un bon bouclier de prévention. La vitesse de la marche en elle-même compte beaucoup. Afin que le système cardio-vasculaire circulatoire fonctionne au mieux, il convient d’accélérer le pas. Cette rapidité constitue un indicateur de l’espérance de vie en bonne santé, plus on marche vite, plus on met de son côté les chances de vivre longtemps. Qu’est-ce que l’on entend par exercice physique ?Il n’y a pas que la marche comme exercice physique, n’importe quel sport un peu soutenu fera l’affaire, comme la natation, le vélo, le tennis etc. Mais aussi faire le ménage, jardiner, peindre des murs etc. Ce que disent les scientifiquesGrâce aux dernières avancées scientifiques, nous connaissons aujourd’hui une formule d’exercice physique minimum à effectuer chaque jour pour maintenir le cap d’une bonne santé. Cela consiste à insérer, dans un temps physique modéré supérieur à 20 minutes, trois fois 1 minute d’effort plus soutenu. Des chercheurs ont en effet étudié les effets d’exercices physiques courts et intenses sur la physiologie et constaté que, dans chaque cellule, les centrales énergétiques que constituent les mitochondries devenaient plus performantes et plus efficaces en ces instants spécifiques. En s’accordant des pics de 4 à 5 minutes d’exercice plus intense sur fond d’exercice modéré de 30 minutes, les résultats sur la santé sont carrément excellents. Le seul fait d’intercaler 1 minute d’exercice très intense influe très positivement sur les capacités cardio-respiratoires et la sensibilité à l’insuline. Pour mémoire, une faible sensibilité à l’insuline conduit au diabète de type 2. Malgré qu’ils soient courts, ces instants intenses ont des effets métaboliques positifs sur l’organisme, la répétition de cette minute intense trois fois pendant un exercice modéré donnent un résultat optimal. Sources : https://www.pressesante.com/comment-booster-votre-irisine/ On est jamais mieux soigné que par soi-même du Dr F. Saldmann Notre santé dépend aussi de la santé du sol !
Je viens de faire un grand tour de vélo ce matin dès mon lever avant que le vent ne se lève, et en observant la nature autour de moi puisque je suis à la campagne, je me suis fait la réflexion à la vue de quelques plastiques dans les fossés, que les déchets qui mettent si longtemps à se dégrader dans la nature sont comme les déchets anormaux dans notre organisme qui peuvent rester des décennies si l’on ne fait rien pour les en déloger.
Les déchets dans la nature et ceux de notre organisme peuvent tous entraîner des désordres, des perturbations et même avoir des conséquences encore plus dangereuses. Je me suis dit : “voilà un sujet d’article intéressant !" Et, surprise, en ouvrant mon ordinateur une fois rentrée à la maison je vois un message de mon fils Geoffrey pour Jurassic Fruit qui parle de ce même sujet ! Drôle de coïncidence non ? Je vous livre ce qu’il dit : “La santé du sol d’une plantation a un impact écologique majeur (érosion, faune du sol, etc.). Nous le savions. Mais a-t-elle une influence sur la densité en nutriments des fruits, plantes, graines qui ont poussé dessus ? J’ai toujours été convaincu que oui. Mais je n’avais jamais pu en avoir confirmation… Jusqu’à ce que je découvre cet article épatant : Un groupe de chercheurs américains a mesuré la densité nutritive des récoltes de neuf fermes régénératives comparée à celles de neuf fermes conventionnelles. Voici leurs résultats : Les récoltes des fermes régénératives avaient en moyenne
Et si la culture sur sol vivant était la seule pérenne, qui respecte le vivant, apporte tous les nutriments d’une santé optimale et d’une satisfaction complète des sens ?... C’est ce en quoi nous croyons à Jurassic Fruit !” Je peux vous dire qu’il n’y a pas qu’à Jurassic Fruit que l’on y croit. Donc choisissez bien vos végétaux, ne les achetez pas n’importe où, favorisez les petits producteurs qui cultivent avec amour leur jardin, en petite quantité, sans traiter et en respectant la terre. Comme pour votre jardin que vous n’avez pas envie de voir se transformer en décharge, ne laissez pas votre organisme s’encombrer de déchets anciens et nouveaux. Veillez à le nettoyer régulièrement avec le jeûne et prenez soin de ne pas rajouter de déchets après. Ainsi progressivement, vous aurez plus de vitalité, moins de douleurs, vos organes fonctionneront mieux et vous allez rajeunir. La future maison de jeûne et de régénération et lieu pour des vacances sainesUn lieu idéal pour le ressourcement...
Vous êtes nombreux à être impatients de connaître le nouveau lieu pour la maison de jeûne et de régénération, qui sera aussi je l'espère, un lieu de vacances saines à la belle saison : CureNature en Ardèche.
Les travaux de rénovation devraient pouvoir commencer en février-mars prochain. Nous allons faire le nécessaire pour qu'en juin, la maison soit prête à vous recevoir. Voici quelques photos du lieu et comme vous pouvez le voir, il se prête totalement au calme et au repos sur cette colline à 4 km du Cheylard avec un terrain en terrasse qui se termine en bois jusqu'en haut de la colline. Une rivière accessible à pieds, permet de se baigner et la source qui coule devant la maison nous invite à la relaxation et à la méditation. Une maison typiquement Ardéchoise en pierres naturelles
Dans le cadre idyllique du parc naturel des monts de l’Ardèche, la maison principale est typiquement Ardéchoise en pierre 105 m2 habitable avec de beaux volumes et la possibilité d'aménager les combles 70m2 à l'étage d'en côté et en rez-de-chaussé de l'autre puisque l'on se trouve sur la pente d'une colline. Une maison mitoyenne perpendiculaire de 50 m2 est louée actuellement à un apiculteur, et sera disponible en août 2023.
Sa source, le terrain, sous forme de terrasses ; jardin, prairie et un bois attenant pour une surface totale de 7720 m2 env. Deux cours, garages, poulailler en pierre cadastré. Le potentiel est fort sympathique ! Je vous laisse admirer...
C'est la maison du milieu en haut de la photo avec les 2 terrasses en dessous et une partie des prairies à l'arrière et le bois jusqu'au sommet de la colline. La rivière n'est pas visible, elle se trouve dans le creux derrière les arbres du premier plan. La ligne électrique va être démontée et enterrée.
Comment rester jeune et en forme ?
“A 20 ans, on jouit de sa jeunesse, premier cadeau de la vie. A 50 ans, la jeunesse devient le cadeau que vous vous offrez par la qualité de votre mode de vie. A 65 ans, le taux de vieillissement est 125 fois plus élevé que chez un enfant de 12 ans mais des pistes ouvrent bien des espoirs.”
Dr Frédéric Saldmann Aussi, plus on avance en âge, plus il faut prendre sa santé en main, savoir se mettre à l’écoute de son organisme, afin de le connaître, le comprendre et l’aider. L’horloge ne tourne pas à la même vitesse pour nous tous et nous ne vieillissons pas tous de la même façon. Des chercheurs américains ont établi à quel âge commençait le vieillissement. Après avoir étudié tous les facteurs, leur réponse est formelle : 26 ans. La durée de vie maximale, selon l’institut Albert Einstein, est de 115 ans pour les femmes et 114 ans pour les hommes. Mais Jeanne Calment a prouvé que l’on pouvait atteindre 122 ans, donc ne perdons pas espoir et surtout comprenons bien ce qui se passe. L’âge immunitaireL’âge immunitaire est l’âge de notre système de défense et il n’a rien à voir avec notre âge chronologique. Bien-sûr, l’immunité baisse au fur et à mesure que les années passent. Actuellement il n’existe aucun médicament apte à accroître la qualité de notre système immunitaire. Mais en revanche, notre mode de vie, lui, agit directement lorsqu’on veut le rendre plus performant. L’activité physique régulière, le jeûne et la restriction calorique sont les plus performants pour préserver notre capital immunitaire. L’île d’Okinawa au Japon détient le record mondial du nombre de centenaires. Nombreux sont les chercheurs qui ont étudié les habitants de cette île et il en ressort que ce record de longévité en pleine forme venait très certainement de deux sources : Le maintien d’une activité physique quotidienne et une frugalité nutritionnelle. A plus de 100 ans, les doyens continuent d’entretenir leur potager, de consommer beaucoup de légumes et aucune sucrerie. Quant à leur moral, ils le maintiennent jour après jour en se levant le matin conscients d’avoir un but. L’inactivité fait vieillir… Comment vieillit-on ?La vitesse d’usure du corps dépend du mode de vie. Les organes vieillissants deviennent plus vulnérables à la maladie, certes, mais pas seulement. Nous savons qu’un organe fatigué génère des dégâts sur ceux restés fonctionnels. Le foie par exemple, s’il est gras (stéatose hépatique) à cause d’une alimentation délétère riche en gras et sucre, ne peut plus fonctionner normalement, il s’encrasse en accumulant les toxines et les cancérigènes, et dès lors, met en danger l’organisme tout entier. Quand un organe est défaillant, les autres paient les pots cassés. Tous les organes ne vieillissent pas au même rythme. Cela vient du code génétique que chacun possède à sa naissance, dont l’expression peut se modifier selon l’hygiène de vie. D’où l’importance de notre capacité à prendre notre santé en main. L’exercice physiqueUne équipe de chercheurs américains a découvert des hommes et des femmes de 70 ans dont les corps auraient pu appartenir à des personnes de 40 ans grâce à l’exercice physique quotidien. Après leur avoir fait faire du vélo d’intérieur et mesuré le taux d’oxygène que chaque individu produit, ils ont aussi pratiqué des biopsies musculaires pour apprécier la qualité des muscles. L’état cardiovasculaire de chacun a été analysé en détail, de même que la longueur des télomères, ces capsules situées au bout des chromosomes de chacune de nos cellules. Or on sait que plus les télomères sont longs, plus ils indiquent une vie en bonne santé durable, alors que réduits, ils traduisent des risques de cancers, maladies cardiovasculaires ou Alzheimer élevés. Ces capsules ne donnent pas l’âge chronologique, mais l’âge biologique. Voir mon article sur les télomères et le jeûne. Les chercheurs américains ont constaté que les cobayes habitués à faire entre 30 et 45 minutes d’exercice continu chaque jour depuis des dizaines d’années, avaient à 70 ans, l’organisme d’individus de 40 ans. Cela s’explique aisément : le sport quotidien agit comme un élixir de jeunesse, une sorte de potion magique aidant à défier les outrages du temps.
Les personnes âgées ayant une grande détermination intérieure, un mental d’acier, se sentent beaucoup plus jeunes, certes, mais surtout vivent bien plus longtemps. Faire de l’exercice physique tous les jours signe donc la force du mental, ce facteur clé de la longévité ! Les études signalent qu’au-delà de 60 ans même une activité physique modeste a de l’importance. Des chercheurs ont montré que des gestes quotidiens comme jardiner, étendre une lessive, faire le ménage, marcher etc. réduisaient de 22 % les risques cardiovasculaires. Plus l’activité est élevée, plus ce risque s’amenuise. Alors ne vous épargnez pas. Monter et descendre les escaliers, faire quelques pas, tout est bon à prendre. C’est la sédentarité qui tue à petit feu. Mesures d'hygiène au quotidien
Sans devenir parano comme certains ou certaines depuis le covid, en période de chaleur et avec l’humidité amenée par les orages fréquents, il est important de savoir où se trouve les plus grandes concentrations de microbes dans notre quotidien.
Les cartes bancaires et l'hygièneC’est de l’argent sale, au sens premier du terme. Ce sont des nids à microbes. Elles sont manipulées par toutes sortes de personnes, et chaque fois que nous nous en servons, elles ramassent un grand nombre de microbes. C’est la zone des chiffres en relief qui en contient une plus grande concentration. Lors d'analyses les scientifiques ont pu compter jusqu’à 300 colonies bactériennes par carte. Les cartes bancaires peuvent aussi être contaminées par des champignons. Le conseil est de nettoyer sa ou ses cartes bancaires avec un gel hydroalcoolique pour éviter qu’elles ne deviennent de véritables relais de contamination surtout en période de crise sanitaire de grippe, de gastro-entérite ou de covid. C’est un geste d’hygiène simple qui peut nous éviter de tomber malade bêtement ! Les menus de restaurants et l'hygiènePour les mêmes raisons, les menus dans les restaurants sont rarement lavés ou désinfectés. Les chercheurs ont noté que les menus faisaient office de supports à la contamination croisée microbes/aliments, provoquant gastro-entérites et/ou grippes. D’ailleurs depuis l’épidémie de covid 19, nombreux sont les restaurants qui ont opté pour le menu sur téléphone portable en scannant le QR code ou le menus “set de table” jetables. Comme pour les cartes bancaires, les chercheurs ont mis à jour une grande diversité de bactéries, dont des staphylocoques dorés connus pour avoir des durées de survie s’élevant jusqu’à plusieurs jours. Conseils : se laver les mains après avoir commandé votre repas et avant de commencer à manger. Attention : On retrouve le même problème avec les salières. Le mieux est de ne pas s’en servir puisque l’on sait que le sel augmente les risques d’hypertension artérielle et de cancer de l’estomac, stimule trop l’appétit et fait grossir inutilement. L’intérieur des voituresPour peu que vous mangiez dans votre voiture, qu’en plus vous utilisez la climatisation, autant d’habitudes qui créent les conditions idéales à la multiplication des microbes : du temps, de la chaleur, de l’humidité et des débris alimentaires. Conseils : nettoyez, lavez et séchez régulièrement le volant et les poignées intérieurs de votre véhicule. N’oubliez pas de vous laver les mains après avoir touché le pistolet à carburant. De nombreux objets douteux tout au long de l’étéSolutionAttention aux bracelets de camping, festivals, de montre, bijoux fantaisie etc. Proches des mains que l’on lave régulièrement, ils peuvent devenir de véritables nids à microbes qu’on ne lave que très rarement ou pas du tout ! Votre téléphone portable que vous avez parfois du mal à lâcher, qui vous suit partout y compris souvent dans les toilettes ! Attention aux aliments dans votre réfrigérateur, ne les gardez pas longtemps. Pire encore si vous les gardez à température ambiante. Cette liste n'est pas exhaustive... SolutionIl est important de se laver les mains régulièrement, cela permet également de se décharger de l’électro-magnétisme. Une solution simple lorsqu’il n’est pas toujours aisé de se laver les mains lorsque nous ne sommes pas chez nous, c’est d’avoir toujours un citron sur soi. Pressez un peu de jus de citron dans vos mains sans oublier les espaces interdigitaux et les ongles, puis séchez-les. Le citron est une arme anti bactérienne redoutable, naturelle et sans danger, à utiliser sans modération. Son pouvoir actif, en particulier contre les bactéries type staphylocoques dorés ou certaines souches d’Escherichia coli, est réputé. Quels sont les mécanismes et comment éviter la déshydratation ?
Il est important de comprendre clairement les mécanismes et la physiologie de ce mécanisme, afin d'améliorer les besoins d'hydratation.
Chez un sujet sédentaire, le changement d'eau quotidien est d'environ 2,5 litres (entre les entrées et les sorties), mais les liquides qui circulent réellement dans tout le système digestif s'élèvent à environ 9 litres. En ce qui concerne les athlètes, ces quantités varient considérablement et les demandes de liquides augmentent en parallèle à l' augmentation des sorties, notamment sous forme de sueur. Ces pertes doivent être adéquatement compensées par une augmentation des entrées hydriques, afin de ne pas risquer de rencontrer des problèmes et des répercussions. La quantité d'eau à réintégrer varie alors en fonction des caractéristiques individuelles, de l'intensité et de la quantité du travail musculaire et surtout en fonction des conditions climatiques. Il n'est donc pas possible d'établir, a priori, les besoins généraux d’hydratation car ces besoins sont strictement individuels et personnels. Physiologie et mécanismes de l'état d'hydratationCependant, il est toujours important de garder à l'esprit certains aspects physiologiques, qui permettent de mieux comprendre comment fonctionne l'état d'hydratation de l'individu : l'eau corporelle représente environ 60 % du poids d’un homme adulte. La quantité d'eau intracellulaire s'élève à 2/3 de l'eau corporelle totale (66%), tandis que la teneur en eau extracellulaire s'élève à 1/3 de l'eau corporelle totale et représente 35%. Approximativement, le besoin en eau d'une personne qui pratique une activité physique est d'environ 1 ml par calorie de dépense énergétique. Si l'activité physique dépasse 2 heures, la déshydratation peut atteindre jusqu'à 5 % du poids corporel ce qui peut entraîner de graves complications si elle n'est pas rapidement réintégrée. Ce manque de liquides doit donc être rééquilibré de manière adéquate et rapide, sinon, il crée les conditions d'une détérioration rapide des performances de l'athlète. En général, le manque de liquides et par conséquent de sels, surtout dans des conditions de chaleur humide, se signale par des symptômes tels que nausées, vomissements, étourdissements et fatigue générale, ainsi que par une altération importante des performances. Si vous insistez sur la poursuite de l'activité malgré l'apparition des symptômes, cela peut entraîner des crampes musculaires et des difficultés de concentration. Dans la partie extracellulaire de l'eau, le sodium est plus important, tandis que dans la partie intracellulaire, le potassium prévaut. En cette période de canicule, n’oubliez pas qu’il faut boire régulièrement, toutefois pour fixer l’eau, il faut y ajouter des minéraux. Vous pouvez mettre jusqu’à ⅓ d’eau de mer dans votre bouteille d’eau. Vous pouvez aussi y ajouter quelques rondelles de concombre, de citron, d’orange, de la menthe etc. Vous pouvez boire des jus de légumes et manger des fruits bien mûrs qui contiennent beaucoup d’eau comme la pastèque, le melon, les pêches et nectarines etc. L'intégration de sels minérauxSur le plan intégratif, deux minéraux bien connus jouent certainement un rôle fondamental : le magnésium et le potassium. Le magnésium aide à soutenir la fonction musculaire physiologique, contribue à la réduction de la sensation de fatigue et d'épuisement, soutient le métabolisme énergétique et contribue au fonctionnement normal du système nerveux. Le potassium aide à soutenir la fonction musculaire physiologique, favorise le maintien d'une tension artérielle normale et contribue également au fonctionnement du système nerveux. Dans certaines situations, une supplémentation en sodium peut également être nécessaire, à la suite d'une sudation extrême non suivie d'une récupération adéquate. Le sodium, en effet, participe à la transmission de l'influx nerveux, régule la perméabilité des membranes et contribue au maintien de l'équilibre hydrique. Pour cela, le mieux est de consommer de l’eau de mer comme la marque Quinton ou une autre marque sérieuse. En ce qui concerne les niveaux de concentration des solutions, celles-ci peuvent être divisées en Isotonique et Hypertonique , en fonction du temps d'assimilation par l'intestin. Une solution isotonique (avec une pression osmotique égale à celle du plasma) garantit également un transit rapide dans l'estomac, juste plus lent que celui de l'eau pure. Une solution hypertonique, en revanche, c'est-à-dire avec une pression osmotique supérieure à celle du plasma, reste plus longtemps dans l'estomac et, une fois qu'elle atteint la lumière intestinale, en raison de l'osmolarité élevée, puise une quantité considérable de liquides de l'estomac. Cette soustraction d'eau endommage tout l'organisme, aggravant un éventuel état de déshydratation, provoquant des diarrhées et, dans tous les cas, limitant les performances sportives. Au début de l'exercice physique, l'eau est transférée du plasma sanguin vers les espaces interstitiels et intracellulaires : les métabolites commencent à s'accumuler dans et autour des fibres musculaires ; la pression osmotique à ces sites augmente et attire l'eau. En augmentant l'activité musculaire, on obtient une élévation de la pression artérielle, avec une « extravasation » d'eau du compartiment vasculaire, souvent associée à une augmentation de la sudation : essentiellement, de tous ces effets dus à l'augmentation de l'activité physique, les muscles acquièrent de l'eau au détriment du volume plasmatique. D'autre part, la diminution du volume plasmatique entraîne :
Les risques de déshydratationMême une déshydratation modeste (égale à 1 % du poids corporel), causée par la transpiration, peut augmenter le travail cardiovasculaire en augmentant la fréquence cardiaque, en réduisant ainsi la capacité de thermorégulation de l'organisme. Une transpiration excessive et / ou une miction urinaire pourraient également être une conséquence de la perte importante d'électrolytes, ce qui pourrait entraîner le développement de graves répercussions, telles que des troubles du rythme cardiaque. Tout cela même si Costill, un célèbre spécialiste de la physiologie du sport, a observé que la perte uniforme d'électrolytes, bien que considérable, provient principalement de la partie extracellulaire, et donc la perte d'ions par la transpiration et la miction se traduirait par de petits effets sur la teneur en ions .K + dans la cellule musculaire. Il ne faut pas négliger l'influence de la déshydratation sur nos défenses immunitaires. Cet effet, également appelé « effet fenêtre ouverte », découle du fait qu'après l'exercice, le système immunitaire guérit les micro-lésions des muscles et des cellules, formées à la suite de l'entraînement. C'est pourquoi, en plus de l'hydratation, pendant et après la performance, un athlète doit se rappeler de protéger également ses intestins. En fait, c'est toute sa santé qui est en jeu : Pour que l'intestin soit moins « perméable » aux attaques d'agents pathogènes, des suppléments comme le zinc et la vitamine C exercent une excellente action anti oxydante pour protéger les cellules du stress oxydatif induit par une activité physique intense, et ainsi soutenir les défenses physiologiques. SOURCE https://blog.alphazer.it/fr/deshydratation-et-sels-mineraux-role-et-fonctions-a1838 BIBLIOGRAPHIE McARDLE W. D, KATCH FI, KATCH VL "Physiologie appliquée au SPORT". Maison d'édition Ambrosiana, Milan, 1998. OPPLIGER RA, CASE HS, HORSWILL CA et al. "Perte de poids chez les lutteurs", position officielle de l'American College of Sports Medicine. Médecine et science du sport et de l'exercice. Tome 28, n° 2. 1996 Damir Zubac, Armin Paravlic, Reid Reale, Igor Jelaska, Shawnda A Morrison, Vladimir IvancevEur J Nutr. 2019 Mar;58(2):497-514. Fluid balance and hydration status in combat sport Olympic athletes: a systematic review with meta-analysis of controlled and uncontrolled studies. R. J. Maughan, S. M. Shirreffs; Scand J Med Sci Sports 2010: 20 (Suppl. 2): 59–69. Development of hydration strategies to optimize performance for athletes in high-intensity sports and in sports with repeated intense efforts. La quercétine pour notre santé
C’est la saison des oignons rouges, une spécialité de Toulouges, banlieue ouest de Perpignan.
Ils sont juteux, sucrés à souhait, il faut en profiter car ils sont riches en quercétine. Qu’est-ce que la quercétine ?C’est un polyphénol de la famille des flavonoïdes, de pigment jaune. Il se trouve dans les végétaux et principalement dans le cacao, les câpres, le jus de pamplemousse, le vin rouge (sans sulfite, c’est mieux!), les oignons rouges, les myrtilles, les échalotes etc. A quoi sert la quercétine pour le corps ?C’est un antioxydant très important qui agit d’une part sur le glutathion qui est un antioxydant produit par notre corps, et d’autre part pousse l’organisme à produire plus d’enzymes antioxydantes. C’est un anti-inflammatoire polyvalent en inhibant différents éléments impliqués dans l’inflammation. La quercétine lutte contre le diabète de type 2 en agissant sur l’intestin grêle, le pancréas, les muscles, le tissu adipeux et le foie, contrôlant ainsi l’équilibre du glucose. Elle inhibe l'absorption intestinale du glucose, elle améliore la sécrétion et la sensibilité à l’insuline, elle favorise l’utilisation du glucose par les cellules. Elle protège le cœur en luttant contre les maladies cardiovasculaires. Elle diminue l’oxydation du mauvais cholestérol (LDL), elle a des effets vasodilatateurs, elle fluidifie le sang et réduit l’agrégation plaquettaire, elle lutte contre le stresse oxydatif, l’inflammation et les molécules d’adhésion pour une meilleure circulation dans les vaisseaux sanguins. La quercétine exercerait des effets anticancéreux en modulant différentes voies cellulaires. Comme le fait le jeûne, elle favoriserait l’apoptose et l’autophagie (autodestruction des cellules anormales ou malades). Elle préviendrait également les métastases. Elle exercerait des effets métaboliques contre les cancers en les privant de glucose. La quercétine est un composé lipophile, c’est-à-dire qu’elle est mieux absorbée avec des graisses alimentaires. Les fibres peuvent également faciliter son absorption. La biodisponibilité de la quercétine, comme la plupart des principes actifs des végétaux, est meilleure lorsqu’ils sont consommés avec l’aliment entier, c’est pourquoi je vous ai donné une petite liste des aliments principaux qui contiennent pas mal de quercétine. La quercétine en complémentL’alimentation apporte seulement que quelques milligrammes de quercétine, les compléments alimentaires, eux, peuvent apporter des centaines de fois plus de cette substance. Ils n’ont pas pour vocation de combler un manque en quercétine, mais plutôt d’apporter des doses potentiellement thérapeutiques. Pour ma part, je conçois les compléments alimentaires uniquement pour des raisons thérapeutiques ponctuelles. L’efficacité de la quercétine en complément est limitée à cause de sa solubilité et de sa faible absorption. La forme qui serait la plus assimilable est la quercétine phospholipide, dite aussi phytosome. La prise de quercétine phospholipide peut restreindre drastiquement la gravité et les symptômes du Covid-19. L'hirudothérapie ou la thérapie par les sangsues
C’est une thérapie de drainage basée sur l’élimination des déchets stockés et d’autres substances nocives par la circulation sanguine.
Ce qui distingue la thérapie par les sangsues de toutes les autres méthodes de drainage est l’effet unique de la sécrétion salivaire de la sangsue, qui est libérée dans le sang du patient lorsque la sangsue aspire le sang. En raison de son efficacité et de sa tolérance, la thérapie par les sangsues est de plus en plus populaire pour un large éventail de maladies. C’est une méthode de purification et les sangsues utilisées sont des sangsues médicinales qui sont vendues par des entreprises spécialisées qui fournissent les hôpitaux et de nombreux pays dans le monde entier avec toutes les garanties nécessaires d’hygiène. En aucun cas, les sangsues des mares et marécages ne peuvent être utilisées pour cette thérapie. Les archives historiques montrent que la sangsue était utilisée comme traitement naturopathique et Ayurvédique en Inde il y a environ 3000 ans. Ces dernières années, la thérapie par les sangsues a été utilisée de plus en plus fréquemment et connaît une véritable renaissance. Outre l’application comme méthode de drainage, la sangsue est parfois aussi utilisée comme méthode de traitement complémentaire dans la médecine conventionnelle. Les sangsues sont utilisées dans les services de traumatologie et en chirurgie réparatrice. La thérapie par les sangsues s’est avérée efficace pour les maladies suivantes :
Dans le cas de l’arthrose, la thérapie par les sangsues est excellente pour soulager la douleur et réduire le gonflement grâce à l’effet de décongestion. En général, la thérapie par les sangsues est extrêmement utile pour toutes les maladies causées par des troubles circulatoires ou des processus inflammatoires. Mode d’action de l'hirudothérapieLa thérapie par les sangsues repose sur les substances actives contenues dans la salive de ces petites bêtes. Les scientifiques y ont découvert plus de 20 substances différentes. En particulier, les substances « égline » (anti-inflammatoire puissant) et « hirudine » (anticoagulant, principal responsable de la fluidification du sang) se sont révélées particulièrement utiles et ont fait l’objet de recherches intensives. L’ingrédient actif égline bloque les enzymes qui déclenchent l’inflammation et s’oppose ainsi aux processus inflammatoires. Par conséquent, l’égline sert d’anti-inflammatoire naturel. En outre, l’égline a un effet analgésique. Le principe actif, l’hirudine, possède toute une série de propriétés positives : En inhibant la coagulation du sang, l’hirudine empêche la formation de thromboses et aide à dissoudre les thrombus existants. De plus, l’hirudine a un effet de soulagement des vasospasmes qui est décongestionnant. L’hirudine renforce également le système immunitaire de l’organisme en favorisant la formation de globules blancs (leucocytes). Les leucocytes sont les éléments cellulaires du système immunitaire humain. Comme l’hirudine accélère également le flux lymphatique, l’organisme peut éliminer plus rapidement les substances nocives contenues dans la lymphe au cours du processus d’élimination. Procédure du traitement par les sangsuesAu début de la thérapie par les sangsues, la sangsue médicale est placée sur la zone cutanée sélectionnée suivant le traitement souhaité. La sangsue commence alors son travail en pénétrant la peau avec ses minuscules dents. Comme la sangsue libère immédiatement une sécrétion anesthésiante, la procédure est à peine perceptible et peut être comparée à une piqûre d’ortie. Les sangsues restent en place pour aspirer entre 10 et 20 ml de sang et la séance dure 30 à 90 minutes. Par séance on utilise 2 à 6 sangsues. Une fois qu’une sangsue a sucé assez de sang, elle tombe d’elle-même. Le saignement qui suit dure de 4 à 8 heures en moyenne, il est important de le laisser s’écouler et de poser des protections comme des bandages stériles et souples pour l’absorber. Cela augmente l’efficacité du traitement par les sangsues et libère la plaie de tout germe. Il est normal que des rougeurs, des démangeaisons et un léger gonflement apparaissent jusqu’à 48 heures après le traitement. Il est recommandé de passer la journée du traitement dans le calme et de boire beaucoup. À qui convient la thérapie par les sangsues ?Bien que la thérapie par les sangsues convienne en principe à tout le monde ainsi qu’aux animaux (les sangsues sont beaucoup utilisées pour les chevaux notamment), le traitement ne doit pas être utilisé dans certaines circonstances de la vie et en cas de maladies existantes. Il s’agit notamment de la prise de médicaments anticoagulants, d’un système immunitaire affaibli, d’une anémie, d’une cicatrisation excessive ou d’une grossesse. Sources : Livre : Thérapie par les sangsues du Dr Dominique Kaehler Schweizer blog : https://pretasurvivre.com/therapie-sangsues/ Les aliments qui favorisent la détox et l’élimination des métaux lourds et autres polluants dans notre organisme
Il existe des aliments naturels très efficaces pour stimuler les processus de détoxification et d’élimination de certaines substances indésirables et même dangereuses pour notre corps.
Il est important de les connaître pour éviter une accumulation trop importante de ces toxines pour réduire les risques de maladie dû à ces poisons. Ces substances toxiques peuvent venir de l’extérieur (toxines exogènes). C’est le cas des métaux lourds, des pesticides, du tabac, de la pollution, des médicaments, vaccins etc. Elles peuvent venir aussi du fonctionnement de notre organisme (toxines endogènes), comme les radicaux libres, les hormones, les toxines produites par notre microbiote et les intestins poreux. Ces intoxications provoquent de la fatigue, des troubles intestinaux, des sueurs nocturnes et des douleurs. Elles peuvent aussi conduire à des maladies touchant les systèmes nerveux, digestif, immunitaire, métabolique, ostéo-articulaire etc. La détoxification est une tâche cellulaire vitale qui conduit à l’élimination d’une partie de ces toxines. Mais le corps n’a pas la capacité d’éliminer rapidement tous ces composés chimiques nocifs, car de nombreuses substances toxiques s’accumulent durablement dans les tissus, entraînant à long terme des dommages à l’organisme. Le jeûne et une alimentation physiologique vont jouer un rôle important pour favoriser le travail de détox et d’élimination. La consommation régulière de casse fistula complète ce nettoyage en profondeur.
Traquer les sources d’exposition aux poisonsIl est primordial d’éviter autant que faire se peut l’exposition aux toxiques, mais il est impossible de les éviter tous.
Les végétauxLes végétaux seront toujours moins pollués que les animaux qui consomment ces végétaux. Les animaux sont victimes eux aussi d’une accumulation de substances toxiques. C’est la raison pour laquelle il est toujours mieux de consommer des poissons sauvages de mer de début de chaîne (petits poissons) plutôt que les gros poissons de fin de chaîne (requin, thon etc.). Un autre avantage des végétaux est leur richesse en fibres qui permettent de moins s’intoxiquer car les fibres peuvent retenir des métaux lourds, qui seront éliminés par les selles. Les polluants organiques persistants se solubilisent et s’accumulent dans les graisses. Ainsi les graisses animales seront toujours plus polluées que les graisses végétales, en raison de la place des animaux dans la chaîne alimentaire. Les micronutriments permettent de capter les toxines et ainsi d’une certaine façon, nous protègent. (vitamines, minéraux, oligo éléments, caroténoÏdes et polyphénols), donc plus on apporte de minéraux par l’alimentation, plus l’empoisonnement sera limité. Exemple : le sélénium permet de limiter l’empoisonnement au mercure. Le zinc atténue la toxicité du cadmium. La vitamine C inhibe la conversion des nitrites en nitrosamines dans le tube digestif. Le calcium limite la toxicité du plomb et de l’aluminium. Quels sont les moyens d’apporter un maximum de ces micronutriments ?
Quels sont les moyens pour détoxifier et éliminer les toxiques accumulés ?
Le fonctionnement de l'eau dans notre corps
L’eau représente en moyenne 60 % du poids d’une personne. Ainsi, il y a 42 kg d'eau dans un corps de 70 kg. Le corps est une sorte d'éponge qui doit toujours rester humide. Mais l'importance de la proportion d'eau diminue avec l'âge. De 75 % chez les nourrissons, elle passe à 55 % environ chez la personne âgée.
Le corps humain ne stocke pas l'eau : on ne peut donc pas vivre longtemps sans boire. En revanche, la croyance qui dit qu’on ne peut pas rester plus de 3 jours sans boire est fausse, je le constate régulièrement avec le jeûne sec. La personne que je connais qui a battu le record est restée 21 jours sans boire ni manger et a guéri de son cancer du tube digestif au stade 4 ! Où se trouve l'eau ?L'eau se trouve partout dans le corps mais elle est inégalement répartie. Tous les liquides corporels : plasma sanguin, sueur, salive, larmes, liquide céphalo-rachidien et tous les sucs digestifs contiennent de 96 à 99 % d'eau. Le cerveau est constitué de 76 % d'eau, il y en a 81 % dans les reins, 78 % dans les poumons. La graisse (30 %) et les os (25 %) en sont plus pauvres. Quant à la masse musculaire, elle contient de 73 à 75 % d'eau. Du fait de son importance, c'est là où la moitié de l'eau corporelle se trouve. A quoi sert l'eau ?Toutes les cellules qui composent le corps sont remplies d'eau : c'est l'eau intracellulaire. Mais elles baignent aussi dans de l'eau : c'est l'eau extra cellulaire. Un perpétuel mouvement s'accomplit en permanence entre les deux milieux. L'eau dissout et véhicule toutes les substances en les transportant à l'intérieur et à l'extérieur de chaque cellule et d'une cellule à l'autre. Toutes les réactions cellulaires ont besoin d'eau car elle fournit l'atome d'hydrogène qui leur est nécessaire. L'eau contribue à la régulation thermique : quand la température du corps s'élève, la transpiration le rafraîchit. L'eau élimine une grande partie des déchets métaboliques dans les urines. Le sang passe en permanence dans les reins où il est filtré : la plus grande partie de l'eau est réabsorbée, retournant ainsi dans le circuit général mais une petite quantité entraîne les éléments qui sont à éliminer : ce sont les urines. Une autre caractéristique de l’eau corporelleAutre caractéristique de l’eau; elle se trouve sous deux formes dans notre organisme ; l’eau libre et l'eau liée. Le Dr Batmanghelidj a mis en évidence que les tissus cancéreux possèdent une proportion plus importante d’eau libre par rapport à un tissu sain qui a une proportion d’eau liée plus importante. Or les fruits et les légumes apportent à l’organisme cette eau liée. L’eau libre est incorporée aux structures moléculaires. Elle circule en dehors de ces structures pour apporter les éléments nutritifs nécessaires à leur fonctionnement et assurer l’élimination des déchets. Le volume d’eau présent à l’intérieur des cellules et celui présent à l’extérieur devraient être équilibrés, mais avec l’âge, souvent une déshydratation s’installe et peut expliquer l'hypertension et les excès de cholestérol. Selon le Dr Rodbell, prix Nobel de médecine, les nouveaux-nés sont dotés d’une eau cellulaire très structurée et mobile qui favorise le transport de l’oxygène, des nutriments et l'évacuation des déchets. Mais il a découvert que cette structure de l’eau se modifie avec l’âge, s'altère et ne permet plus un fonctionnement optimum de l’organisme, avec toujours comme cause, une déshydratation progressive. Selon le Dr Ketsyama, à 60 ans, les trois-quart ou presque de l’eau contenue dans le sang, ou eau libre, ont quasiment disparu, induisant des maladies de dégénérescence qui ne seront pratiquement jamais mises en relation avec une déshydratation progressive. Ce qui me motive à dire qu’une cure de jeûne sec au moins une fois par an, permet de rééquilibrer la proportion d'eau libre et d'eau liée, par une forme de déshydratation volontaire et d’obliger l’organisme à fabriquer sa propre eau endogène à partir des graisses. Cette eau devient la meilleure eau pour nos cellules qui ainsi peuvent être mieux hydratées et nourries. Il devient primordial pour la santé publique, de savoir comment et quoi boire, pour que ne s'installe pas cette fameuse déshydratation : le café, le thé, l’alcool, toutes les boissons gazeuses, le chocolat, extraient l’eau de nos cellules. Mais attention, pour se réhydrater, il ne suffit pas de boire de l’eau pure car pour la fixer correctement, nous avons besoin d’une eau dynamisée accompagnée de minéraux. D’où l’avantage de consommer des fruits et des légumes et des jus de légumes frais. Il est profitable également d'ajouter un peu d'eau de mer à notre eau de boisson pour les minéraux qu'elle apporte. Pour dynamiser l’eau de boisson, si vous n’avez pas d’osmoseur, vous pouvez mettre votre bouteille en verre (jamais de bouteille plastique), remplie d’eau au soleil pendant une journée, ou utiliser une carafe Aladin ou une carafe avec des symboles de dynamisation comme la fleur de vie, ou autre. S’il existe une source de qualité à proximité de son domicile, on pourra s’y approvisionner pour les boissons et la cuisine. L’eau du réseau, même dite potable, ne doit pas être bue de façon régulière sous peine de s’intoxiquer avec les produits rajoutés comme le chlore et bien d’autres. De plus, il reste, dans cette eau, des traces de médicaments rejetés par les humains et les animaux que ni les sols ni les stations d’épuration n’arrivent à filtrer suffisamment. Par précaution, je conseille toujours de mettre des bâtons de charbon actif de bambou dans votre eau de boisson pour éliminer toutes traces de poisons toxiques. Vous trouverez des paquets de bâtons de charbon actif réutilisables à volonté sur la boutique du site : www.curenature.fr ou avec ce lien : Les graines germées et les jeunes pousses un concentré de vitalité
Jeunes pousses de tournesol et petit pois
Les graines germées sont faciles à faire et peu encombrantes pour les personnes qui n’ont pas de place chez elles. Pour les jeunes pousses, il est préférable de les mettre sur terre après germination pour qu’elles soient plus riches en nutriments, mais on peut aussi laisser certaines graines germées devenir des jeunes pousses assez facilement juste avec de l’eau.
La plupart des magasins bio vendent des graines déjà germées prêtes a consommées en salade ou à la croque. Parfois, certains vendent aussi des jeunes pousses de tournesol ou autres. Mais acheter tout prêt revient forcément plus cher, alors qu’en les faisant soi-même le coût est vraiment faible pour un aliment aussi énergétique et riche. Dès que les températures deviennent plus clémentes autour de 20 à 25 ° elles poussent très rapidement. De plus, si l’ on en fait tous les 3 ou 4 jours en variant, cela permet d’en avoir toujours de prêtes sous la main. Ce sont des aliments frais et vivants, naturellement riches en nutriments qui se consomment non cuits et non transformés. Quelles graines utiliser ?Les graines germées se font avec des graines de légumes, de légumineuses, de céréales ou d’oléagineux, dont le métabolisme a été réveillé au contact de l’eau, de l’air, de la chaleur et qui vont croître en quelques jours. Les Celtes, les Esséniens en consommaient déjà. Ils savaient que la germination augmentait de façon spectaculaire leur valeur nutritive. Les graines germées et les jeunes pousses sont des aliments de santé d’une puissance exceptionnelle. Elles sont riches en vitamines A, C, E, D, K, B, en minéraux tel que le calcium, le magnésium, le zinc, le phosphore, le fer, le sélénium, le potassium etc. En acides aminés et acides gras insaturés bénéfiques pour le système cardiovasculaire, ainsi que des fibres et des antioxydants qui luttent contre le vieillissement cellulaire. Ce sont, de ce fait, d’excellentes sources de protéines végétales, digestes et facilement assimilables. Elles corrigent les carences provoquées par l’alimentation moderne. La graine en se réveillant lors du processus de germination, va décupler la quantité de ses vitamines et minéraux. Le potentiel entier de la graine se trouve activé et complètement disponible. Tout le monde peut consommer des graines germées et des jeunes pousses, du jeune enfant aux personnes âgées sans aucun risque. Chaque variété a ses qualités propres, c’est pourquoi il est bon de varier tout au long de l’année. Par exemple les graines germées de radis roses ou noirs sont reconnues excellentes pour le foie, elles contribuent au bon fonctionnement de la vésicule biliaire et des fonctions hépatiques en général Le fenugrec améliore la circulation sanguine, stimule le pancréas, nettoie le foie et favorise la lactation pour les femmes qui allaitent. Les graines germées de carvi, fenouil, coriandre et cumin sont excellentes pour le système digestif. L’alfalfa est reminéralisant, régénérant et détoxifiant. Les graines germées de betterave rouge sont alcalinisantes, minéralisantes et régulent l’action du foie. Le brocoli est antioxydant. Les lentilles sont consistantes et nutritives. Les graines de poireaux sont diurétiques, celles de trèfles rouges sont recommandées pour les femmes et particulièrement en période de ménopause. Le quinoa germé contient tous les acides aminés essentiels et a l’avantage de germer en 24 heures. Les oléagineux comme les amandes, noisettes, noix, pignons de pin etc. sont plus digestes trempés 6 à 8 heures ou germés. Le tournesol décortiqué germe rapidement lui aussi. Si vous souhaitez faire des jeunes pousses, utilisez plutôt des graines de tournesol non décortiquées, faites les germer puis posez-les sur du terreau humide en les pulvérisant tous les jours. Mais pour qu’elles poussent bien il leur faut une température clémente, s’il fait trop froid, elles ne poussent pas ou mal. La plupart des magasins bio vendent des sachets de graines à germer les plus courantes comme l’alfalfa, le fenugrec, le tournesol, certaines enseignes ont plus de choix. Sinon la boutique en ligne Biovie propose un excellent choix de graines à germer avec des conditionnements plus grands aussi. Boutique Biovie – La force du vivanthttps://www.biovie.fr/ Indiquer le code : CURENATURE-BIOVIE Pour avoir 10% de réduction sur votre première commande Comment faire germer des graines ?Le matériel souvent utilisé est un germoir. Il en existe de plusieurs modèles mais le plus pratique reste le bocal avec un couvercle à trous que l’on peut poser à l’envers en diagonale pour laisser l’eau s’écouler. Attention commencez avec 1 ou 2 c à soupe de graines, car elles vont prendre du volume et remplir le bocal assez vite. Lorsque j’ai du monde et que je veux faire de plus grandes quantités, je les mets à tremper dans un saladier puis je les rince et les égoutte avec une passoire fine avant de les remettre dans le saladier et je n’ai jamais de problème non plus de cette façon. L’été lorsqu’il y a des moucherons, je recouvre le saladier d’un tissu fin. Laissez vos graines germer dans un endroit sombre, puis lorsque vous souhaitez qu’elles deviennent des jeunes pousses mettez-les à la lumière sans recevoir pour autant directement les rayons du soleil. Rincez et égouttez vos graines matin et soir lorsqu’il fait chaud. Lorsque vous souhaitez stopper la pousse des germes, placez-les au réfrigérateur. Comment les consommer ?Les jeunes pousses de légumes ou de légumineuses se consomment crus en salade ou à la croque. Elles peuvent aussi donner une touche de fraîcheur en décoration sur un plat plus classique. Les graines germées se consomment dans les salades, les soupes ou tout autres plats mais sans les faire chauffer pour conserver toutes leurs propriétés nutritives. Vous pouvez en consommer autant que vous le souhaitez, une tasse à chaque repas par exemple, vous fera le plus grand bien. Mes articles déjà publiés sur le même thèmeRéalisez ce que vous rêvez
D’après le livre Le Secret de Rhonda Byrne
“Lorsque j’ai découvert Le Secret, j'ai voulu savoir ce que les scientifiques et les physiciens en pensaient. Ce que j’ai constaté est tout simplement stupéfiant. Ce qu’il y a de plus excitant à propos de la vie à notre époque, c’est que les découvertes de la physique quantique et de la nouvelle science sont en parfaite harmonie avec les enseignements du Secret, et avec les connaissances de tous les grands maîtres qui nous ont précédés. La tour de transmission de l’UniversEn termes simples, toute énergie vibre à une fréquence. Étant nous-même de l’énergie, nous vibrons également à une fréquence, et ce sont nos pensées et nos sentiments qui déterminent cette fréquence, en tout temps. Toutes les choses que nous voulons sont composées d’énergie, et elles vibrent elles aussi. Tout est énergie. Et voici le facteur “d’émerveillement”. Lorsque nous pensons à ce que nous voulons, et que nous émettons la fréquence y correspondant, nous poussons l’énergie de nos désirs à vibrer à cette fréquence et nous attirons à Nous cette fréquence ! En nous concentrant sur ce que nous voulons, nous modifions la vibration des atomes y correspondant et nous les faisons vibrer pour Nous. La raison pour laquelle nous sommes la tour de transmission la plus puissante de l’Univers, c’est que nous avons reçu le pouvoir de concentrer notre énergie par le biais de nos pensées et d’altérer les vibrations de ce sur quoi nous nous concentrons, ce qui l’attire ensuite à nous comme si nous étions un aimant et nous rétablissons un courant électrique entre nous et tout ce que nous voulons. Chaque être humain gère sa propre énergie magnétique, car personne ne peut penser et sentir à sa place, et ce sont ses pensées et ses sentiments qui créent la fréquence sur laquelle il se trouve.” Je témoigneJe peux sincèrement témoigner que nos rêves, nos aspirations profondes, je ne parle pas là de nos désirs égotiques, non, ces choses que l’on ressent au plus profond de soi-même, et bien ces choses là sont sur notre chemin de vie. A nous de prendre le chemin ou pas. Il faut écouter son intuition et prendre le chemin lorsque c’est le moment. De cette manière tout se met en place devant nous, pratiquement sans rien à faire de particulier si ce n’est que d’y croire et d’avancer. Voici un bout de mon histoire… Après avoir vécu 15 ans à Bali, j’avais fait un peu le tour des possibilités, j’en avais assez et j’avais envie de rentrer en France mais je ne savais pas où, ni avec qui, ni pour faire quoi ? J’étais chef de famille et d’entreprise et avec la crise économique commencée en 2008, en septembre 2010 j’ai dû déposer le bilan. J’ai connu le manque d’argent même pour manger. En tant qu'expatriée, on ne touche aucune aide, rien de personne. J’ai “vivoté” tant bien que mal puis j’ai fait guide touristique, cela marchait de mieux en mieux mais j’avais l’impression de perdre mon temps. Comme “par hasard" des amis de longue date, pratiquant l’instinctonutrition, nouvellement installés du côté de Perpignan ont repris contact avec moi. Ils m’ont encouragée à rentrer en France et à venir les rejoindre pour former un groupe. Je suis d’abord revenue pendant 2 mois, histoire de voir la famille et découvrir Perpignan et sa région et aussi tester les motivations de mes amis. J’ai été convaincue et malgré les réflexions que mon père m’a faites comme quoi après 50 ans, le seul boulot que je pourrai peut-être obtenir serait Femme de chambre dans un hôtel, j’ai décidé de tout mettre en place pour revenir en France, quitte à vivre avec juste le RSA s’il le fallait. Un mois plus tard, ma fille a eu son bac avec mention, l’école Française de Bali lui a proposé un emploi administratif et comme elle ne savait pas encore comment orienter ses études, elle a accepté, devenant ainsi autonome financièrement. Je lui ai laissé mon chat et une partie de mes meubles et quelques mois plus tard je m’installais au sud de Perpignan en collocation avec mes amis. Une amie proche à Bali serait sa seconde maman sur place si besoin ! Mon objectif était de reprendre le cru à 100% et 2 semaines plus tard Thierry Casasnovas passant chez nous, (il habitait à moins d’un kilomètre) me demande si j’accepterai de l’aider à répondre aux trop nombreux mails qu’il recevait pour sa nouvelle association Vivre Cru. J’accepte et devant la charge de travail, en quelques mois il créait un premier emploi pour moi. Vous connaissez sûrement la suite : Régénère, les stages, les formations, tout l’enseignement de Thierry, le jeûne, ma formation avec Evelyne Curt qui insiste pour que j’accueille des jeûneurs alors que je ne demandais rien etc. Ma route se traçait toute seule. Maintenant je continue avec le besoin d’avoir un lieu dans la nature, au calme, agréable et serein pour l’accueil de jeûneurs et de stagiaires, pour l’alimentation vivante et la régénération, bref, un cocon douillet qui fonctionnera toute l'année ! NAMASTE Le jeûne de l'antiquité à nos joursLe jeûne dans l’antiquitéLe jeûne est une pratique ancestrale dont les origines remontent à l’Antiquité. Ainsi, il en est déjà fait mention dans le Mahâbhârata (Sita Nath Pradhan (Chronology of Ancient India,) une épopée sanskrite, rédigée plusieurs siècles av. J.-C.. Les bienfaits du jeûne étaient donc bien identifiés, que ce soit pour des raisons médicales ou philosophiques. Au Ve siècle av. J.-C., dans la Grèce antique, les vertus du jeûne étaient également reconnues et fréquemment mises en application. À l’époque, le jeûne faisait partie des rituels organisés lors des grandes fêtes religieuses. Pendant les Thesmophories par exemple, organisées dans la ville d’Éleusis en l’honneur de Déméter, déesse de l’agriculture, les Athéniens s’abstenaient de manger pendant une journée complète. ( FOUCARD, Paul. Les Mystères d’Éleusis, Paris, Éditions Pardès, 1992 (1re éd. 1914), 508 p., p. 317 et 320. ) À Rome, le jeûne pouvait également être associé à la religion. Cérès, l’équivalent latinisé de Déméter, était célébrée lors des Cerealia ou Jeux de Cérès. Pour l’occasion, les Romains observaient le Jéjunum Cereris, une privation de nourriture associée aux célébrations. ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Cerealia) Dans certains monastères crétois, les prêtres ne mangeaient rien de cuit durant toute leur vie. Cet engagement s’apparente à une autre forme de jeûne lié à des pratiques religieuses. L’histoire du jeûne en occidentDans la religion chrétienne, le jeûne fait référence aux quarante jours et quarante nuits de privation de nourriture de Moïse. L’histoire du jeûne au moyen-orient et en Asie du sud-estAu sein de la communauté musulmane, le jeûne, aussi appelé saoum, est associé au ramadan et se pratique depuis la naissance de l’Islam. Il s’apparente aussi bien à une privation de nourriture et de boisson qu’à un renoncement spirituel. Il permet de développer sa conscience philosophique et de tisser un lien fort avec la religion. Chez les hindouistes, le jeûne est très fortement lié à la dimension spirituelle de la religion. Il se pratique lors de certaines fêtes religieuses comme Chivaratri ou Karwa Chauth. Cependant, des écrits portant sur l’abstinence ont été retrouvés dans les Upanishad1, des textes à l’origine de l’hindouisme, datés entre 800 à 500 av. J.-C. Chez les bouddhistes, on ne jeûne pas au sens propre du terme. En revanche, il est dit que le prince Siddhartha suivit pendant six ans un mode de vie très stricte, pendant lequel il mangea très peu. Cette pratique lui aurait permis d’atteindre l’illumination et de devenir Bouddha L’histoire du jeûne dans la médecineLe jeûne comme soin thérapeutique est connu depuis de nombreux siècles. La privation de nourriture était alors une pratique fréquente, dont les bienfaits sur la santé étaient bien connus des guérisseurs. Le jeûne, un remède très fréquent dans l’antiquitéDès 370 av. J.-C., le philosophe et médecin Hippocrate soutenait qu’il valait mieux soigner les petits maux par le jeûne plutôt que par la prescription de substances quelconque. Une technique très répandue dans la Grèce Antique, puisque Aristote raconte dans ses écrits que la privation de nourriture était un remède courant. En effet, lorsqu’une personne était atteinte d’un mal incurable, on lui conseillait de s’isoler et de prier dans l’abstinence. Deux siècles après J.-C., à Rome, le médecin Claude Galien avance l’hypothèse qu’un jeûne prolongé permettrait de rétablir l’équilibre chez l’être humain. Il fait notamment le lien entre le corps et les humeurs, et le prescrit régulièrement à ses patients (GALIEN, Claude. Méthode thérapeutique IX 10, cf. Boudon-Millot). La pratique du jeûne et ses vertus thérapeutiques entrent alors dans les annales de la médecine. Le jeûne au moyen-âgeSi la pratique du jeûne connaît un essor considérable au Moyen-âge, c’est en partie grâce à l’expansion de la religion chrétienne. Cependant, certains médecins continuent de voir dans la privation de nourriture le remède idéal à de nombreux maux. Au XIe siècle, le médecin Avicenne (https://fr.wikipedia.org/wiki/Avicenne), guérit bon nombre de ses malades en leur prescrivant trois semaines consécutives de jeûne. Quelques siècles plus tard, en Suisse, le médecin-chirurgien Paracelse étudie également les bienfaits de l’abstinence. Philosophe de la nature, il propose une théorie selon laquelle jeûner régule naturellement le corps humain Le jeûne à l’époque des temps modernesC’est une époque qui marque un tournant dans de nombreux domaines : la science prend le pas sur la religion, ce qui offre de nombreuses opportunités pour la recherche médicale. Au XVIIIe siècle, Frédéric Hoffmann, médecin attitré du Roi de Prusse, affirme que « la modération et le jeûne » peuvent s’avérer être un remède efficace dans le cas de maladies graves. Aux États-Unis, en 1830, une petite fille atteinte du typhus est soignée par le médecin Isaac Jennings, grâce à une privation de nourriture associée à du repos. À l’aube du XXe siècle, le médecin américain John Tilden promeut cette pratique dans les écoles de santé (TILDEN, John H., Food: Its Influence as a Factor in Disease and Health, 1914). Enfin, dans les années 50, le jeûne est de plus en plus reconnu, notamment à travers le développement des médecines alternatives. En 1950, Herbert Shelton encourage une alimentation plus saine et une pratique régulière du jeûne (SHELTON, Herbert. Article Hygiénisme (nutrition)). En France, de plus en plus de médecins s’y intéressent : parmi eux, on retiendra surtout Paul Carton, puis André Passebecq ou encore Jean-Pierre Willem. -En 1900, le médecin américain John Tilden ouvrit de nombreuses écoles de santé vantant les mérites du jeûne. En 1950, Herbert Shelton devient le fondateur de l’hygiénisme, une médecine non conventionnelle qui prône l’autoguérison, le crudivorisme, la naturopathie et le jeûne. -En suisse, le médecin Edouard Bertholet enseigna l’art du jeûne à des milliers de malades et de médecins. -En France, le docteur Paul Carton devint l’ambassadeur du jeûne, suivi plus récemment par André Passebecq, Albert Mosséri, Désiré Mérien, Daniel Kieffer, Jean-Pierre Willem La pratique du jeûne de nos joursDepuis quelques dizaines d’années, les médecines dites « alternatives » se développent de façon exponentielle. L’expérience d’un jeûne, souvent perçue comme telle, voit le nombre de ses pratiquants augmenter d’année en année. En Russie, jeûner est devenu une pratique courante. Depuis plus d’une quarantaine d’années, il fait partie intégrante des soins conseillés dans le traitement de maladies complexes et invalidantes telles que l’asthme, les allergies, l’arthrose, ou encore le diabète. En Europe, grâce au médecin Otto Büchinger, l’Allemagne fait figure de référence sur le sujet (https://fr.wikipedia.org/wiki/Otto_Buchinger). Après avoir réussi à soigner des douleurs articulaires grâce au jeûne, il ouvre une clinique dédiée à cette pratique en 1953. Pourtant, le jeûne reste encore peu connu en France, même si de plus en plus d’établissements de soins se spécialisent dans ce domaine. Il est souvent associé à de la marche, une approche de la privation de nourriture mise en avant par la Fédération française du Jeûne et Randonnée. À l’échelle mondiale, de tels établissements sont encore rares, même si certains commencent à se faire connaître. On citera notamment : L’institut Hippocrate aux États-Unis, connu pour le traitement de certains cancers ; Le centre de jeûne hygiéniste du biologiste Jean Rocan au Canada, qui a traité, à ce jour, plus de 8000 patients ; Le centre du docteur Yuumi Ishihara au Japon, qui fait de plus en plus d’adeptes. Aujourd'hui il y a la maison de jeûne CureNature au sud de Perpignan. L’histoire du jeûne a connu de nombreux bouleversements au cours des siècles. Qu’il soit utilisé à des fins spirituelles pour purifier l’âme, ou dans un objectif thérapeutique, pour nettoyer le corps, sa mise en pratique est sensiblement la même. Méthode d’autoguérison reconnue, mais trop souvent ignorée, il semblerait que son histoire soit loin d’être terminée. En France, le jeûne était une pratique quasi confidentielle qui commence à sortir petit à petit de l'anonymat, relayée par la Fédération Française du Jeûne et Randonnée. L’émission de Arté sur le jeûne a permis de sensibiliser beaucoup de personnes à cette technique. Thierry Casasnovas avec sa chaîne Youtube a popularisé aussi le jeûne, y compris le jeûne sec, encore très peu connu en France alors qu’il est pratiqué couramment en Russie sous la surveillance du Dr Filonov. Néanmoins, la route est encore longue. Il fut un temps où nous jeûnions instinctivement lorsque nous étions souffrants, comme le font les animaux et les bébés. Aujourd’hui, nous préférons manger pour prendre des forces, même si cette digestion représente une mission supplémentaire à notre organisme déjà bien occupé à lutter, et prendre des médicaments pour nous permettre d’aller mieux, plutôt que de nous tourner vers des méthodes plus naturelles. Pourtant je peux vous assurer que l’essayer, c’est l’adopter. Toute l’équipe de Thierry Casasnovas, dont je faisais partie, s'est mise à expérimenter le jeûne sec le jour où une stagiaire d’âge mûr a témoigné l’avoir pratiqué sans danger et qu’elle en avait ressenti le plus grand bien. Force est de constater avec mon expérience aujourd’hui, qu’il est plus facile de commencer son jeûne par du jeûne sec et de reprendre de l’eau lorsque le besoin est trop pressant. Certaines personnes testent sur une journée ou 24 heures, la plupart arrivent à faire 48 à 72 heures assez facilement.Et d’autres personnes font plus et jusqu’à 10 jours de jeûne sec. En jeûne sec, il y a peu de symptômes du fait que l’organisme monte en température dans les zones où il travaille afin de brûler les toxines à l’intérieur même des cellules. Ainsi les toxines ne sont pas ou peu remises en circulation dans le sang et dans la lymphe, ce qui apporte plus de confort pour le jeûneur ou la jeûneuse. C’est toujours la soif et/ou la peur qui nous font reprendre l’eau, plus que l’inconfort ou la fatigue. On se souvient tous, d’avoir appris à l’école qu’on ne pouvait pas rester plus de 3 jours sans boire sinon on mourrait ! J’ai régulièrement des personnes qui arrivent à faire la cure complète conseillée par le Dr Filonov des 9 jours de jeûne sec. Cela permet un “reset” complet de l’organisme et si besoin est, il est conseillé de refaire une cure dans 6 mois ou un an plutôt que d’essayer de prolonger au-delà des 9 ou 10 jours. Ma touche personnelleJ'ajoute à cette cure 2 ou 3 jours de demi-jeûne, comme l’avait montré Mosséri à son époque pour le jeûne hydrique, mais en commençant par des légumes à la croque ou des jus de légumes et n’introduire les fruits qu’après les légumes pour éviter un pic de glycémie trop violent pour l’organisme en sortant de jeûne. En général, après ces 2 ou 3 jours de demi-jeûne, la faim devient plus marquée, il est bon de prévoir une belle assiette de légumes et un peu d’avocat ou quelques oléagineux pour répondre au besoin de gras. Références 4 Évangile selon Matthieu – Matt IV 2 – Lc IV 1-4 5 BRIET, Sylvie. Sciences et avenir. Disponible sur www.sciencesetavenir.fr/nutrition/d-ou-vient-la-tradition-du-jeune-dans-les-religions_29178 Le jeûne et les télomèresQu’est-ce que les télomères ?Ce sont les extrémités de nos chromosomes. La particularité des télomères est qu’ils raccourcissent un peu à chaque duplication des chromosomes ; ceci les place au cœur des processus de vieillissement en raison d’une recopie de moins en moins fidèle. C’est ainsi que notre âge organique réel est défini par la longueur restante de nos télomères. Par ailleurs, ils indiquent notre taux de vitalité et notre capacité de restauration fonctionnelle. Or, il existe une enzyme nommée télomérase dont la fonction est de réparer l’usure des télomères lors des divisions cellulaires. Le problème est que sa carence s’aggrave en fonction de l’ampleur de nos infractions aux conditions de santé naturelle, au quotidien. Alors, des chercheurs se sont attelés à la tâche de rattraper cette carence de télomérase. Rôle du jeûne et de l’alimentationUne façon simple est d’apporter des stimulations naturelles, donc biocompatibles. Avoir une alimentation physiologique (composée uniquement de produits que la nature nous donne et adaptés à l’humain) Il y a quelques années, Dominique Guyaux a écrit un article sur la meilleure façon de reprendre l’alimentation après un jeûne. Il expliquait qu’en sentant les fruits et les légumes et en sélectionnant ceux qui sentent bons et font saliver, pour finir en choisissant celui entre tous, qui sent le meilleur et nous fait saliver à l’instant T, non seulement on est certain de se régaler, de digérer sans gène mais en plus, cette façon de se réalimenter permet l’activation de l’enzyme télomérase et ainsi de rallonger nos télomères. C’est donc cette façon que je préconise lorsque les personnes terminent la phase de jeûne pur et passent en demi-jeûne. C’est très simple, je mets à leur disposition un grand panier avec toutes sortes de variétés de légumes, un autre panier avec toutes sortes de variétés de fruits juteux et bien mûrs et je leur montre comment choisir l’aliment parfait pour eux au moment de chaque collation. Libre à chacun de suivre les conseils ou pas, mais mieux on choisit ses aliments, plus longtemps les bienfaits du jeûne se font ressentir. Cela peut en prolonger les bienfaits encore 3 mois après … D’ailleurs, il est bien connu que jeûner régulièrement, 1 ou 2 fois par an, nous fait paraître plus jeune et nous maintient dans une bonne vitalité ! Comment prévenir, lutter ou contrôler le diabète, suite
L’acide palmitique est un acide gras saturé. Il est produit à partir du glucose et du fructose quand le foie convertit le sucre en graisse. C’est donc un élément majeur des graisses fabriquées par l’organisme. On en trouve dans toutes les graisses de réserve et dans toutes les graisses animales.
L’acide palmitique fait partie des acides gras qui entraînent le risque le plus fort de développer un diabète de type 2 car il diminue l’absorption du glucose par les cellules. L’acide palmitique s’accumule sous forme de triglycérides dans l’organisme, qui est un facteur important de la résistance à l’insuline. Tandis que l’acide oléique se retrouve sous forme d’acide gras libre dans les fibres musculaires. L’acide oléique (oméga-9) semble avoir les effets opposés. Il est produit par l'organisme, à partir de l’acide palmitique, mais il est également présent dans l’alimentation. Pour lutter contre le diabète, il est essentiel de limiter les sources d’acide palmitique et de privilégier celles d’acide oléique. Consommez plutôt des aliments riches en acide oléique comme l’huile d’olive, de colza, des noisettes, noix de pécan, des amandes, des olives et des avocats. Évitez les aliments riches en acide palmitique comme l’huile de palme, le beurre de cacao, la graisse de canard, le lard, la graisse de bœuf, le beurre et la graisse d’oie. Les perturbateurs endocriniens jouent un rôle dans un certain nombre de maladies. Évitez autant que possible les pesticides organochlorés, les dioxines, les PCB, les plastifiants, bisphénols et phtalates. Beaucoup d’entre eux agissent comme des oestrogènes dans les tissus sensibles à l’insuline et dans les cellules bêta du pancréas qui entraînent une production excessive d’insuline. Les principales sources alimentaires de perturbateurs endocriniens sont les graisses animales, les végétaux non bio, les canettes et conserves métalliques, le plastique et le film étirable. Des aliments protecteurs contre le diabèteLes aliments riches en omega-3, le vinaigre surtout s’il y a un féculent dans le repas, le soja, mais attention, il est controversé du fait que 80 % du soja cultivé sur la planète est OGM ! Les fibres sont efficaces pour prévenir et contrôler le diabète, il faut donc manger des légumes et des fruits mais il faut éviter les fruits et autres aliments sucrés en dehors des repas. Il est intéressant aussi de prendre un peu de psyllium avec beaucoup d’eau avant les repas. Les fibres de céréales sont très efficaces, mais attention aux colles qui s’entassent dans le côlon lorsque l’on mange régulièrement des céréales ! Le curcuma car la curcumine contenue dans ce tubercule a la capacité de réguler le métabolisme des lipides. Elle restreint la production de graisses par le foie, réduit la synthèse du cholestérol et favorise la mobilisation des graisses de réserve, en plus de ses actions antioxydantes et anti-inflammatoires. Elle fait baisser la glycémie en améliorant la combustion des acides gras dans le sang. Le resvératrol peut être efficace, on le trouve surtout dans la peau du raisin noir et dans les arachides. Mais il faudrait plus de 100 mg de resvératrol par jour pour que l’effet soit significatif, donc il est préférable de se supplémenter pour avoir plus de 100 mg afin de permettre un effet thérapeutique sur tous les plans. La cannelle de Ceylan ou de Madagascar (cinnamomum verum) fait baisser la glycémie mais pas la cannelle de Chine qui aurait un effet néfaste sur le foie, du fait de sa grande teneur en coumarine. La cannelle de Ceylan fait baisser la glycémie à jeun, il est conseillé de prendre au moins une cuillère à café de cannelle chaque jour à condition que ce soit la bonne cannelle. Le gingembre, connu déjà pour ses propriétés anti-inflammatoires, montre aussi des effets significatifs sur le contrôle de la glycémie et la sensibilité à l’insuline. Il est conseillé de consommer ½ cuillère à café de poudre de gingembre ou du gingembre frais, chaque jour. Des compléments alimentaires contre le diabètePour prévenir ou lutter contre la résistance à l’insuline, il y a le magnésium, le zinc, le chrome, la vitamine E, l’acide alpha-lipoïque etc. Les deux derniers restent les incontournables. Mais une substance sort du lot et a probablement un grand intérêt pour le diabète de type 2 : la pyrroloquinoléine quinone, dite PQQ La berbérine extrait de l’épine-vinette (berberis vulgaris) est très efficace. Elle a montré qu’elle produisait des effets identiques à la metformine (médicament de première intention dans le diabète de type 2), dans la régulation du métabolisme du glucose, de l'hémoglobine glyquée, la glycémie à jeun, la glycémie postprandiale, l’insuline à jeun et postprandiale (qui se produit après les repas). Ce qu’il faut retenirLes efforts pour renverser et annuler un diabète existant doivent être considérablement plus importants que pour seulement le prévenir. C’est une maladie métabolique qui a mis longtemps à se développer. Bien entendu, l’augmentation de l’activité physique est préconisée, une heure de marche ou de vélo chaque jour, ou de n’importe quel autre sport. Les cures de jeûnes régulières vont aussi aider à rétablir l’équilibre de la glycémie et de l’insuline. A vos marques, prêt, partez Comment prévenir, lutter ou contrôler un diabète de type 2 ?Contre le diabète,nous avons tous entendu dire qu'il faut supprimer les sucres. Mais est-ce si simple ?Limiter sa consommation de glucides, c’est bien sûr indispensable, mais cela concerne essentiellement les sucres raffinés et les sucres ajoutés. Néanmoins manger des fruits frais en quantité raisonnable est également indispensable. Pour prévenir, lutter ou contrôler le diabète, il est important de consommer des fruits et des légumes car ils apportent des éléments qui permettent de s’attaquer aux causes profondes du désordre. Le diabète est caractérisé par un taux anormalement élevé de glucose dans le sang, lui-même causé par une résistance à l’insuline qui est l’hormone faisant entrer le sucre dans nos cellules en temps normal. Lorsque l'insuline n’arrive plus à jouer son rôle, le sucre reste dans le sang faisant ainsi monter la glycémie. Le diabète de type 2 touche 1 personne sur 5 de plus de 70 ans dans les pays occidentaux, mais touche également de plus en plus de personnes jeunes. Cette hausse est encore plus rapide dans les pays en voie de développement. Souvent, nous prenons conscience d’un problème subitement par une prise de sang qui indique un taux de glycémie anormalement haut, mais en réalité, le problème se prépare depuis déjà un bon moment. Pendant des années, progressivement, la résistance à l’insuline est compensée par une plus grande quantité d’insuline libérée par le pancréas, ainsi la glycémie reste normale. Mais ces sécrétions importantes d’insuline favorise la prise de poids qui à son tour favorise la résistance à l’insuline et fatigue le pancréas. C’est donc un cercle vicieux. Progressivement, l’insuline ne peut plus jouer son rôle et l’on découvre un pré-diabète ou un diabète. En dehors de l’alimentation, l’inflammation chronique aggrave les risques de diabète. L’inflammation chronique de bas grade (quantité de médiateurs inflammatoires supérieure à la normale, mais en dessous du seuil de douleur) est un élément commun à différentes maladies métaboliques dont le diabète de type 2. Elle contribue grandement à la résistance à l’insuline. On sait aujourd’hui que le microbiote intestinal participe au métabolisme de l’ensemble du corps, affecte l’équilibre énergétique, la glycémie et l’inflammation de bas grade. Un des processus contribuant grandement à l’inflammation de bas grade est le passage d’endotoxines dans le sang, on appelle cela l’endotoxémie. Les endotoxines sont des petits éléments qui passent la barrière intestinale et entrent dans le sang, réagissent avec le système immunitaire et engendrent une réaction inflammatoire. C’est le cas dans ce que l’on appelle les intestins poreux et l’hyperméabilité intestinale. Ce problème concerne beaucoup plus de personnes qu’on ne le croit. Il semblerait même que la grande majorité de la population en souffre. Comment prévenir un intestin poreux ?Lorsque l’intestin est en bonne santé, les nutriments (vitamines, minéraux, acides aminés,..) sont absorbés correctement et arrivent directement aux cellules qui en ont besoin. Un intestin perméable ouvre la porte non seulement à des problèmes digestifs et intestinaux mais aussi aux maladies chroniques, inflammatoires et auto-immunes. L'intestin est comme un gros tuyau entouré d'un filtre que l'on appelle muqueuse. Cette muqueuse est composée de liaisons serrées (appelées aussi jonctions serrées) qui servent de bouclier contre les éléments extérieurs. Lorsque la muqueuse fonctionne normalement, elle laisse pénétrer dans l'organisme uniquement les nutriments et empêche la pénétration des micro-organismes, macromolécules et composés toxiques. Elle fait office de rempart naturel. Lorsque la muqueuse est abîmée, les liaisons se distendent, l'intestin devient poreux laissant passer dans l'organisme de nombreuses toxines. Les causes majeures de l’intestin poreuxL'alimentation moderne. Une faiblesse d'enzyme digestive. Un déséquilibre de la flore (dysbiose). Les antibiotiques, les anti-inflammatoires, les corticoïdes,... La consommation de substances toxiques; drogue, tabac, alcool,...pesticides. Les traitements en naturopathieUne bonne santé ainsi que la réduction de l'hyperperméabilité intestinale passe par: - Une bonne hygiène de vie et l'arrêt d'aliments morts et raffinés. Un rééquilibrage alimentaire est indispensable avec la mise en place d'une alimentation hypotoxique riche en vitamines et minéraux. C’est ce type d’alimentation que l’on pratique pendant le séjour vitalité qui a lieu chaque année au printemps et à l’automne. - La reconstitution d'une flore saine avec de bonnes bactéries qui vont évincer les mauvaises. - La restauration de la muqueuse intestinale grâce notamment à la L-glutamine, le curcuma, l'argile verte, la mélisse, les implants de jus d’herbe, de sérum de Quinton etc. Il n’y a pas que les glucides qui sont pointés du doigt, un régime riche en graisse (comme on le voit avec les régimes cétogènes par exemple ou une alimentation principalement industrielle), favorise le déséquilibre du microbiote. Les fibres et les prébiotiques liés aux glucides alimentaires (dans les fruits, légumes, graines, légumineuses etc.) restent indispensables pour moduler le microbiote et agir sur cette endotoxémie. La flore intestinale joue un rôle majeur dans le diabète de type 2. On parle même de communication entre le microbiote et le métabolisme de l’hôte, via la sécrétion d’hormones intestinales, elles-mêmes stimulées par certains éléments du microbiote. L’alimentation influence directement la composition de la flore. Ainsi, une alimentation pauvre en mauvaises graisses et en sucres, mais riche en fibres et en prébiotiques est une arme concrète pour lutter contre le diabète de type 2. Lorsque le diabète est déjà présent, ce sont les supplémentations en bêta-glucanes (ex. son d'avoine) et en psyllium qui sont les plus efficaces. Source : Secrets de nutrition (décembre 2021) La jungle alimentaire, comment s’y retrouver ?
Peut-être faites-vous partis des personnes qui se sentent perdus dans une "jungle" alimentaire ?
Vous avez essayez différents régimes, différentes méthodes et autres conseils d'experts en nutrition et au final vous n'obtenez pas les résultats dont vous rêvez en terme de vitalité, de perte ou de prise de poids, de compréhension de vos réels besoins... Pour sortir de la maladie et prendre soin de vous, l'important n'est pas de trouver une énième solution miracle, mais bel et bien d'avoir les principes essentiels qui vont vous permettre de discerner au quotidien, et même tout au long de votre vie, ce qui est bon pour vous en matière d'alimentation de ce qui ne l'est pas ! Nous sommes tous différents, et ce qui convient aux uns, ne convient pas nécessairement aux autres et c’est logique. Il est donc impossible de donner une manière de s’alimenter qui convienne à tout le monde. Comment faire pour savoir ce qui nous convient ?La première étape est de ne prendre en considération que des aliments naturels sans transformation. C'est-à-dire tous les aliments comestibles que l’on trouve dans la nature et tel qu’on les trouve dans la nature, sans avoir été chauffés, irradiés, assaisonnés, congelés etc. On met d’un côté toutes les variétés de fruits de la région et de la saison et éventuellement d’autres fruits plus exotiques parce que l’on a une appétence pour ces fruits aussi. D’un autre côté toutes les variétés de légumes que l’on peut trouver, y compris les jeunes pousses de légumes si on en a. Et enfin tous les aliments riches en protéines ou en lipides (graisses naturelles) Cela comprend les protéines animales (viandes, œufs, poissons, produits marins), les protéines végétales (champignons, graines germées, graines trempées, légumineuses trempées et germées etc.) et les produits gras naturellement comme les avocats, les oléagineux, les safous, les olives etc. L’idéal est que tous ces produits soient non seulement biologiques mais si possible produits par des petites fermes en permaculture ou du moins ne venant pas d’une monoculture qui appauvrit les terres et rendent les végétaux également pauvres en minéraux. Attention aux aliments que l’on croit crus et qui ne le sont pas comme les fruits séchés, les oléagineux etc. même venant de magasins bio, (séchés à plus de 40°). Pour choisir ce que vous pouvez manger, ce dont votre organisme a besoin à un moment précis, il faut sentir chaque variété de fruits. Pour le déjeuner, par exemple, sélectionnez celui qui sent le meilleur et qui vous fait saliver. Les fruits se mangent majoritairement crus et dans leur entièreté, commencez par manger le fruit que vous avez sélectionné tranquillement en mâchant bien et en conscience. Si vous vous rendez compte au bout de quelques bouchées qu’il n’est plus aussi bon, ou bien que vous observez un signe montrant que vous ne produisez plus les enzymes nécessaires à la bonne digestion de ce fruit, arrêtez-vous aussitôt. Quels sont les signes d’alliesthésie ou d’arrêt que vous pouvez observer ?Vous pouvez trouver à un moment donné, que le fruit devient trop sucré, ou trop acide, amer, astringent, piquant, ou encore qu’il brûle les commissures de vos lèvres. Vous pouvez aussi vous mordre la langue, avaler de travers, tousser, éternuer, etc. Ces signes vous montrent que vous devez cesser de consommer ce fruit pour cette fois-ci, car votre métabolisme ne pourra pas le traiter correctement. Il est donc inutile d'insister et si vous avez encore faim, sentez de nouveau les autres variétés de fruits et choisissez-en un autre. Mais il est possible aussi que vous n’ayez aucun signe d’arrêt et que vous mangiez un kilo ou plus de ce fruit. C’est parfait ainsi, allez-y jusqu’à satiété. Moins on mélange de variété, plus la digestion est facile, discrète et rapide. Après avoir mangé, une ou deux variétés de fruits, si vous avez encore faim, faites la même chose avec votre choix de légumes. Sentez-les et choisissez le légume qui sent le meilleur et vous fait saliver. Le mieux est de le manger cru à la croque sans assaisonnement. Mais si vous n’avez pas l’habitude de manger de cette façon, alors assaisonnez-le légèrement avec une sauce que vous avez faite vous-même avec de bons produits. Si vous voulez les cuire, la moins mauvaise des cuissons est la vapeur douce à moins de 100° et pas longtemps, 15 à 20 minutes suffisent. Cette cuisson respecte les saveurs et n’oblige pas à assaisonner les aliments. Le seul inconvénient est que vous allez perdre des nutriments sensibles à la chaleur comme certains minéraux et les enzymes. Mais cette chaleur douce ne provoque pas de molécules toxiques. Pour votre dîner, choisissez un aliment dans la catégorie des protéinés ou gras. Le mieux est de choisir une seule variété, donc choisissez bien celle qui vous fait saliver. Mangez-en, là aussi, jusqu’à l’arrêt et cru. Les protéines et les lipides chauffés contiennent des molécules de Maillard qui sont toxiques et cancérigènes. Ce sont les aliments les plus dangereux après la cuisson. Plus ils sont chauffés à haute température et longtemps, plus ils deviennent toxiques. Les pires sont ceux qui sont carbonisés au barbecue ou frits à haute température. Après cette étape vous pourrez manger des légumes autant que vous voudrez toujours en choisissant les variétés de manière olfactive.. Une dernière chose à savoir : les légumes se marient facilement avec tous les autres aliments. En revanche, il est préférable de manger les fruits seuls ou seulement avec des légumes. Pas de protéines ni d’aliment gras au cours d’un repas comportant des sucres. Bien entendu, pour se nourrir correctement et de manière équilibré, il faut varier tout au long de l’année, c’est pourquoi il est recommandé de suivre les produits de saison, ainsi avons nous la garantie de varier notre alimentation et, de surcroît, de manière moins onéreuse. Pour apprendre à suivre ses besoins alimentaires, je vous invite à un stage d’alimentation vivante, contactez-moi. Le séjour vitalité, à quoi sert-il et comment se déroule-t-il ?Le séjour vitalité proposé par CureNature
Le séjour vitalité proposé par CureNature accueille des personnes qui viennent soit pour prendre soin d’elles-même, soit pour “remettre les pendules à l’heure” dans le sens de se remettre sur de bons rails sur le plan alimentaire et vitalité avec les nombreux jus frais d’herbe d’orge, de céleri, concombre, fenouil, épinard etc. une alimentation vivante et biologique, non chauffée, des graines germées et des jeunes pousses de légumes et légumineuses etc.
Les personnes se reposent et retrouvent un équilibre perdu, une quiétude et aussi la joie d’échanger avec les autres dans une ambiance bienveillante et chaleureuse. Chaque matin, nous commençons par boire un shot de jus d’herbe d’orge frais, puis nous avons un autre shot de jus d’herbe d’orge pour faire un implant rectal. Le corps absorbe tout et le jus passe en quelques minutes dans le sang puis va au foie par la veine porte. Retrouvez toutes les qualités du jus d’herbe d’orge : Le programmeAprès, nous nous réunissons dans la grande salle pour une méditation chantée sur le son HU avec Egon. A 10 heures ou 10.30 heures selon les jours, commence une activité différente chaque matin : Yoga avec Soham, respirations actives Kapalabhati avec Julie, les 5 tibétains avec Soham, ou encore le longe côté avec Valérie, visite des vergers en permacultures avec Emmanuel, promenade santé, éveil corporel etc. Le buffet ouvre à 12.15 heures avec des fruits et légumes à volonté accompagnés d’une petite sauce, pour celles qui le souhaitent. Les après-midi offrent du temps libre ou un massage. Chaque personne reçoit 4 massages différents sur les 2 semaines que dure le séjour :
A 18.15 heures, le buffet du soir nous offre des légumes, graines germées et sauces diverses à volonté et en plus des crackers, des olives ou de l'avocat et un plat “crusiné” différent chaque soir :
Une journée spéciale jusUne fois par semaine, le mercredi, c’est une journée de diète aux jus et eau de noix de coco fraîches. Le samedi et dimanche, un peu plus de douceur avec un entremet au lait de coco et figues avec un coulis de fraises puis un gâteau au citron toujours cru bien-sûr. En soirée, voyage musical, concert ou discussion. Quelques personnes détoxent assez fortement d’autres pour qui tout va bien et entre les deux, ceux qui éliminent en douceur. Tous sentent une amélioration de leur état et de leur vitalité et c’est bien le but. Ce séjour est proposé deux fois par an, au printemps et à l'automne. Principes de la thérapie à fréquence du Dr Clark
On appelle ici fréquence, une onde qui transporte de l’énergie.
"Tous les corps émettent des ondes d’énergie, celles du corps humain sont mesurables. Il transmet électriquement, comme une station de radio, mais sur une large gamme de fréquences et à très basse tension. Pour s’en convaincre il suffit d’observer l’activité d’un électrocardiogramme, qui représente graphiquement l’électricité en action dans le cœur, mesurant des impulsions électriques à très basse tension. Le principe est similaire avec l’électroencéphalographie, qui convertit les impulsions électriques en tracés graphiques pour mesurer les fréquences cérébrales. L’imagerie IRM est aussi basée sur des modèles de résonance magnétique." Le bilan à résonance magnétique que je propose à toutes les personnes qui viennent à CureNature avec un appareil nommé Mini Quantum interprète lui aussi, les ondes émises par tout l’organisme pour restituer un bilan assez intéressant. Ainsi les personnes ont des indications sur les parties de leur organisme qui comportent des fragilités plus ou moins importantes et elles peuvent ainsi mettre des choses en place pour améliorer ces points faibles. Lors d’une prochaine visite, on refait un bilan à résonance magnétique et l’on peut ainsi comparer les deux bilans et observer les améliorations qui se sont produites grâce à une meilleure alimentation, un meilleur sommeil, plus d’activité physique ou autres. "Les micro-organismes transmettent des ondes de la même façon que le corps humain, mais à des fréquences différentes. Chaque créature vivante émet constamment sa présence en rayonnant d’une façon similaire au soleil ou aux étoiles. Le Dr Clark définit ce processus par le terme “bioradiation”. Chaque élément dans l’univers, de même que chaque être vivant et chaque type de cellule, se caractérise par des fréquences spécifiques. Le Dr Clark chercha un moyen d’amplifier ce phénomène d’émission. L’aboutissement de ses recherches fut l’invention du Synchromètre en 1988. Ce dispositif permet de détecter la présence d’éléments (polluants, pathogènes etc.) plus ou moins de la même manière qu’un tuner radio identifie une station de radio spécifique en s’accordant à sa fréquence. Quand un agent pathogène est soumis à ses propres fréquences il se produit une résonance, amplifiée par l’appareil de façon à rendre l’information audible à l’oreille. A l’aide de son Synchromètre, le Dr Clark a dressé une liste de fréquences correspondant aux champignons, virus, bactéries et parasites. Il s’agit de valeurs auxquelles ces pathogènes répondent. L’accumulation de polluants et de pathogènes constitue une perturbation pour le corps humain et son spectre vibratoire. C’est pourquoi l’assainir favorise le déploiement de toutes ses radiations et renforce ses capacités défensives. L’étonnante découverte du Dr Clark peut se résumer ainsi : un micro-courant à onde carrée (L’onde carrée que délivre un zappeur est un assemblage de nombreuses ondes sinusoïdales. Cet assemblage comprend beaucoup d'harmoniques, donc beaucoup de fréquences, et frappe donc de nombreux pathogènes), appliquée sous forme d’impulsion (c’est-à-dire à une certaine fréquence), affecte de nombreux pathogènes, de sorte que la fréquence utilisée n’est pas déterminante pour les atteindre. Il s’agit du principe utilisé par le zappeur. Pourquoi n’a-t-on pas besoin de choisir une fréquence spécifique ? Une façon de le comprendre est que l’onde carrée du zappeur est en quelque sorte un assemblage de nombreuses ondes sinusoïdales. Cet assemblage d’ondes génère des harmoniques, c’est-à-dire diverses fréquences, frappant ainsi divers pathogènes dans le corps. Ainsi il est possible d’atteindre un certain nombre de perturbateurs sans avoir besoin de connaître leur fréquence d’oscillation mortelle. Le zappeur a ouvert la voie à une thérapie à fréquences à large spectre d’action. L'avantage de ne pas avoir besoin de connaître la fréquence des agents pathogènes pour les atteindre rend ce procédé très polyvalent." A CureNature, nous mettons à votre disposition le vari zappeur avec un programme général et des programmes plus spécifiques à certaines pathologies. Chaque semaine, Hélène vous propose également un voyage musical qui permet d’harmoniser toutes les ondes dans la pièce et dans les corps. Extrait du livre : Zappeur du Dr Clark - Principes d’utilisation et méthodes de soin - Tirez le meilleur parti de votre appareil De Marco Caldi |
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