Les processus d'intoxication alimentaire
L’alimentation humaine (mais aussi animale pour l’élevage), s’est énormément modifiée depuis que nous étions cueilleurs-chasseurs dans les forêts tropicales. Plus grave encore l'évolution de nos repas depuis la dernière guerre mondiale, qui ne cessent de s’industrialiser et de s’éloigner de ce que la nature nous offre pour nous nourrir.
Nos organismes sont capables de s’adapter plutôt très bien en rapport avec ce qu’on leur fait subir, toutefois avec l'accumulation et les répétitions, notre génétique qui évolue que très peu dans le temps, s’embrouille et déraille. Au delà d'un certain seuil, que se passe t-il ?
“Au-delà d’un certain seuil d’intoxication, l’élimination fonctionnelle ne peut plus se faire, l'accumulation de toxines est à l’origine de la dégénérescence de diverses structures : les vacuoles* cellulaires envahissent toute la cellule et inhibent les processus vitaux, des calculs se forment par précipitation de matières excessivement concentrées dans les humeurs, les tissus présentent des infiltrations graisseuses ou calcaires, la dentine peut prendre une couleur foncée due aux matières amenées par le sang et diffusant à partir de la racine etc.
A ces troubles peuvent s’ajouter de beaucoup moins réversibles problèmes comme les dégénérescences dues aux maladies auto-immunes, cancers etc. Le rôle du système immunitaire étant d’assurer le maintien de l’intégrité de l’organisme, on peut supposer qu’il s’est génétiquement élaboré en fonction des problèmes qui pouvaient se poser à lui dans son milieu originel, dont bien sûr des éléments étrangers qui faisaient partie du milieu originel de l’homme lorsqu’il était cueilleur-chasseur. On peut donc raisonnablement envisager la possibilité que notre organisme ne soit pas forcément capable de réagir correctement face à certaines molécules qui ne faisaient pas partie de ce milieu. Certaines d'entre elles pourraient alors s’accumuler dans l’organisme sans être inquiétées. Il apparaît alors logique que le système immunitaire soit désemparé devant des cellules cancéreuses qui n’entrent pas dans son programme, comme par exemple, des cellules “cancérisées” par pénétration d’une molécule non originelle dans son noyau ? Lorsque le système immunitaire est trop fréquemment sollicité par une molécules étrangère, il se met dans un état de tolérance immunologique. L’organisme se laisse alors envahir par cette classe de molécules qui va pouvoir s’introduire dans les cellules et se fixer sur ses membranes. Si par hasard les molécules étrangères de sa membrane entrent dans la classe des molécules tolérées, la cellule incriminée risque de ne pas être reconnue par le système immunitaire et donc de ne pas être détruite par ce dernier. Elle pourra alors donner naissance à une tumeur en toute impunité. Pour inverser ce processus, il faudrait d’abord que le système immunitaire sorte de tolérance. Ce qui nécessite, notamment, la cessation d’apport de molécules étrangères par voie alimentaire.” D’après Dominique Guyaux Mais ce qui rend les choses très délicates, c’est qu’il n’y a pas que par l’alimentation que des molécules étrangères entrent dans notre organisme. Les produits d’hygiène et de maquillage pénètrent par la peau, les produits d’entretien entrent par la peau et les poumons ainsi que la pollution atmosphérique, les émanations de colle, peintures, produits de nettoyage des moquettes et tapis etc. Rôle des virus et bactéries
“En ce qui concerne les cellules particulièrement sujettes à renouvellement comme les gaines de myéline, les calottes articulaires, les reins etc. on peut supposer que certains virus sont programmés pour assurer leur démontage. “
On rejoint là, Anthony William dans Médical Medium qui incrimine toujours les virus et bactéries dans toutes sortes de pathologies et notamment le virus d'Epstein Barr extrêmement répandu dans la population. On estime que 95% des humains de la planète seraient infectés mais le virus reste en dormance la plupart du temps pour devenir parfois actif après un choc, un traumatisme, une maladie, un accident… Ce virus fait partie de la famille des herpès, il infecte les lymphocytes (globules blancs) et perturberait le fonctionnement de nos organes comme la thyroïde, le foie etc. C’est pourquoi, il est indispensable de réduire au maximum tout apport de molécules étrangères dans notre alimentation mais aussi dans notre environnement. Certes, nous subissons certaines pollutions et rayonnements, mais comme le colibri, faisons notre part sur ce que nous pouvons gérer :
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