Principes de la thérapie à fréquence du Dr Clark
On appelle ici fréquence, une onde qui transporte de l’énergie.
"Tous les corps émettent des ondes d’énergie, celles du corps humain sont mesurables. Il transmet électriquement, comme une station de radio, mais sur une large gamme de fréquences et à très basse tension. Pour s’en convaincre il suffit d’observer l’activité d’un électrocardiogramme, qui représente graphiquement l’électricité en action dans le cœur, mesurant des impulsions électriques à très basse tension. Le principe est similaire avec l’électroencéphalographie, qui convertit les impulsions électriques en tracés graphiques pour mesurer les fréquences cérébrales. L’imagerie IRM est aussi basée sur des modèles de résonance magnétique." Le bilan à résonance magnétique que je propose à toutes les personnes qui viennent à CureNature avec un appareil nommé Mini Quantum interprète lui aussi, les ondes émises par tout l’organisme pour restituer un bilan assez intéressant. Ainsi les personnes ont des indications sur les parties de leur organisme qui comportent des fragilités plus ou moins importantes et elles peuvent ainsi mettre des choses en place pour améliorer ces points faibles. Lors d’une prochaine visite, on refait un bilan à résonance magnétique et l’on peut ainsi comparer les deux bilans et observer les améliorations qui se sont produites grâce à une meilleure alimentation, un meilleur sommeil, plus d’activité physique ou autres. "Les micro-organismes transmettent des ondes de la même façon que le corps humain, mais à des fréquences différentes. Chaque créature vivante émet constamment sa présence en rayonnant d’une façon similaire au soleil ou aux étoiles. Le Dr Clark définit ce processus par le terme “bioradiation”. Chaque élément dans l’univers, de même que chaque être vivant et chaque type de cellule, se caractérise par des fréquences spécifiques. Le Dr Clark chercha un moyen d’amplifier ce phénomène d’émission. L’aboutissement de ses recherches fut l’invention du Synchromètre en 1988. Ce dispositif permet de détecter la présence d’éléments (polluants, pathogènes etc.) plus ou moins de la même manière qu’un tuner radio identifie une station de radio spécifique en s’accordant à sa fréquence. Quand un agent pathogène est soumis à ses propres fréquences il se produit une résonance, amplifiée par l’appareil de façon à rendre l’information audible à l’oreille. A l’aide de son Synchromètre, le Dr Clark a dressé une liste de fréquences correspondant aux champignons, virus, bactéries et parasites. Il s’agit de valeurs auxquelles ces pathogènes répondent. L’accumulation de polluants et de pathogènes constitue une perturbation pour le corps humain et son spectre vibratoire. C’est pourquoi l’assainir favorise le déploiement de toutes ses radiations et renforce ses capacités défensives. L’étonnante découverte du Dr Clark peut se résumer ainsi : un micro-courant à onde carrée (L’onde carrée que délivre un zappeur est un assemblage de nombreuses ondes sinusoïdales. Cet assemblage comprend beaucoup d'harmoniques, donc beaucoup de fréquences, et frappe donc de nombreux pathogènes), appliquée sous forme d’impulsion (c’est-à-dire à une certaine fréquence), affecte de nombreux pathogènes, de sorte que la fréquence utilisée n’est pas déterminante pour les atteindre. Il s’agit du principe utilisé par le zappeur. Pourquoi n’a-t-on pas besoin de choisir une fréquence spécifique ? Une façon de le comprendre est que l’onde carrée du zappeur est en quelque sorte un assemblage de nombreuses ondes sinusoïdales. Cet assemblage d’ondes génère des harmoniques, c’est-à-dire diverses fréquences, frappant ainsi divers pathogènes dans le corps. Ainsi il est possible d’atteindre un certain nombre de perturbateurs sans avoir besoin de connaître leur fréquence d’oscillation mortelle. Le zappeur a ouvert la voie à une thérapie à fréquences à large spectre d’action. L'avantage de ne pas avoir besoin de connaître la fréquence des agents pathogènes pour les atteindre rend ce procédé très polyvalent." A CureNature, nous mettons à votre disposition le vari zappeur avec un programme général et des programmes plus spécifiques à certaines pathologies. Chaque semaine, Hélène vous propose également un voyage musical qui permet d’harmoniser toutes les ondes dans la pièce et dans les corps. Extrait du livre : Zappeur du Dr Clark - Principes d’utilisation et méthodes de soin - Tirez le meilleur parti de votre appareil De Marco Caldi
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Les nutriments
Je parle beaucoup dans mes articles et lors des réunions avec les jeûneurs, des nutriments.
Est-ce bien clair pour tout le monde ? Les nutriments sont des éléments nutritifs pour nos cellules. Ce sont des composés organiques et inorganiques nécessaires aux organismes vivants pour entretenir la vie. Les protéinesLes protéines proviennent des animaux (œufs, viandes, poissons et sous-produits animaux, lait etc.). Elles viennent aussi du monde végétal où elles sont moins concentrées (les oléagineux , les légumineuses, les graines germées etc. Les fruits et les légumes en contiennent en plus petites quantités. Les protéines se digèrent dans l’estomac, puis dans l’intestin grêle en donnant des acides aminés utilisables pour la construction ou la restauration des tissus de l’organisme. Cette utilisation ou métabolisme des protéines provoquent des déchets urés et de l’acide urique qui doivent être éliminés par le foie et les reins. Si ces déchets sont mal éliminés, notre organisme s’encrasse et la maladie peut apparaître. Notre organisme recycle une partie des protéines, toutefois un apport journalier est important. Les lipidesLes lipides sont les matières grasses apportées avec les protéines animales et les végétaux gras comme les avocats, les olives, les oléagineux etc. Ces lipides libèrent dans l’organisme des calories qui lui servent à maintenir sa température et à produire de l’énergie. Le métabolisme des lipides génère des déchets glycériques source d’encrassement de l’organisme. Toutefois les lipides sont nécessaires et les meilleures que l’on peut apporter à notre corps proviennent des graisses naturellement présentes dans les aliments. Toutes les matières grasses ajoutées comme l’huile, le beurre, la margarine etc. provoquent souvent des excès et donc de l’encrassement Les glucidesLes glucides appelés aussi hydrates de carbone, existent abondamment dans les matières amylacées des végétaux : amidon, céréales, sucres divers (saccharose, glucose, lactose, lévulose etc.) et les fruits et légumes. La digestion des glucides commence dans la bouche et se termine dans l’intestin grêle et donne un produit final qui est le glucose. Celui-ci parvient au foie qui le met en réserve sous forme de glycogène. Le glucose est utilisé principalement par le cerveau et les muscles. L’utilisation des glucides produit des déchets qui sont l’eau et le dioxyde de carbone ou gaz carbonique, évacué par la respiration pulmonaire. Lorsque nous jeûnons ou si nous suivons un régime strict limitant les sucres, le foie produit des corps cétoniques qui seront parfaits pour le cerveau et les muscles. Ces 3 nutriments sont aussi des macro-nutriments. Mais il y a aussi les micro-nutriments qui, comme leur nom l'indique, sont présents en très faible quantité dans l’organisme. Les vitaminesOn distingue les vitamines liposolubles (solubles dans les matières grasses) des vitamines hydrosolubles (solubles dans l’eau). Les vitamines liposolubles sont les vitamines A, D et E. Les vitamines hydrosolubles sont les vitamines C, B1, B2 et PP essentiellement. La vitamine A favorise la vision, les vitamines B protègent le système nerveux et favorise la digestion des glucides, les C protègent des infections, la D est antirachitique et favorise la croissance du squelette, la E est anti stérilitique et la PP antipellagreuse, (la carence provoque la pellagre, c’est-à-dire des symptômes de malnutrition). Les sels minérauxIls servent à l’organisme aux échanges cellulaires et à la construction notamment du squelette et de la dentition. Ces sels minéraux sont biodisponibles dans les végétaux essentiellement; fruits et légumes, plantes sauvages comestibles, aromates, plantes médicinales etc. Les sels minéraux contenus dans les structures minérales ne sont pas assimilables correctement par nos organismes. Citons les plus connus tels que le calcium, le magnésium, le manganèse, le fer sont des métaux constituants de ces sels minéraux auxquels s’adjoignent des métalloïdes tels que le phosphore, le soufre, l’iode etc. Ce sont les minéraux qui captent les acides et permettent un bon équilibre acido-basique. Ils sont donc extrêmement importants. Et ne pensez pas qu’il suffit de se complémenter pour trouver un bon équilibre. Les compléments alimentaires peuvent aider ponctuellement, mais seule une alimentation variée et équilibrée sera garante d’une bonne santé. Autres nutriments Il reste encore les oligo-éléments, les enzymes L'eauEnfin notre organisme a besoin d’eau, essentiellement celle contenue dans les fruits et les légumes. Lorsque l’on mange cru, il n’est pas nécessaire de boire de grandes quantités d’eau, tandis qu'avec la cuisine la soif est exacerbée par la consommation de sel, des épices et aussi par le fait que la cuisson fait diminuer le taux d’eau des aliments. Les fibresLes fibres alimentaires ne sont pas non plus des nutriments puisqu’elles n’apportent rien directement aux cellules. Elles contiennent de la cellulose dont le rôle est important pour notre biote et le tractus intestinal. On les trouve essentiellement dans les végétaux. ConclusionComme vous l’avez lu précédemment, les végétaux doivent constituer la majorité de tous nos repas. Un bémol toutefois avec la consommation des céréales. Avant l'agriculture, les céréales se trouvaient à l’état naturel très dispersées, l’homme en consommait en petite quantité uniquement. Les céréales sont formées de grosses molécules d’amidon qui sont digérées par hydrolyse en les transformant en sucre double : saccharose, puis en sucre simple : glucose. Ce qui nécessite beaucoup d’énergie, engendrant ultérieurement des états de toxémie et corollairement des troubles de santé. Les amidons concentrés fatiguent le cœur et les voies respiratoires, ils encombrent les intestins et représentent un facteur de vieillissement. Le sel n’est pas proposé en hygiénisme car il s’agit d’eau de mer déshydratée qui a perdu sa charge électromagnétique, il est donc mal assimilé. Le sel de cuisine est une substance morte au même titre que les produits chimiques, est irritante pour le tube digestif. Un bol alimentaire salé est rapidement acheminé, précipité vers le côlon, presque sans digestion ! Ceci finit par irriter les muqueuses intestinales et empoisonner le corps. Cette réaction crée une déperdition énergétique et l'énergie économisée dès la suppression du sel, sera disponible pour l’évacuation des toxines que l'absorption de tout produit chimique ne permet pas. Le sel donne soif parce que l’eau sert à diluer le poison qui sera ensuite facilement évacuer par les reins. Le sel ne contribue pas à la fabrication de l’acide chlorhydrique puisqu’il n’est pas assimilé par l’organisme. Cette sécrétion est inhibée, les parois de l’estomac étant irritées. Notre approvisionnement en sel doit se faire par voie organique, la seule harmonieuse et équilibrée par la consommation de fruits et légumes appropriés. Ceux-ci sont pourvus de sels minéraux, diastases, vitamines et oligo-éléments. Le sel est un accélérateur du rythme cardiaque qu’il dérègle et épuise. Il favorise l’hypertension et la rétention d’eau. En perturbant tous les échanges humoraux et les sécrétions, il encrasse le milieu extracellulaire. Préférez l’eau de mer si nécessaire à la place du sel ou encore des algues marines. Les substances minérales ne sont pas assimilables tant qu’elles ne sont pas passées par le végétal. L’aloé vera, une plante miracle en usage interne ou externe !
Depuis 6 000 ans, l'aloe vera est utilisé tant en phytothérapie qu'en dermatologie ou en cosmétologie. Des études cliniques ont démontré l'efficacité de ses propriétés thérapeutiques dans le traitement de certaines affections dermiques, de troubles gastro-intestinaux et il constitue un excellent antioxydant pour lutter contre le vieillissement cellulaire.
Il existerait à peu près 250 espèces de cette plante. Néanmoins, c’est l’Aloe barbadensis qui possède sans aucun doute les meilleures propriétés médicinales. L’aloé vera s’utilise en externe pour les petites plaies et pour les problèmes de peau, mais il se mange ou se boit en usage interne pour améliorer certaines pathologies et pour un effet minéralisant et antioxydant. L'aloé vera en utilisation interneL'Aloe vera est un véritable allié, au quotidien, sur le plan nutritif. Quatre-vingts éléments, sur les 200 qui le constituent, se révèlent être des nutriments importants pour une meilleure santé (acides aminés, vitamines, minéraux, mono et polysaccharides, enzymes). La présence de choline contribue au contrôle du cholestérol, permet un bon fonctionnement du foie et participe au processus de mémorisation. L' Aloe vera s'avère particulièrement utile pour prévenir ou lutter contre la constipation. Acides aminés : aspartique, isoleucine, hydroxiproline, lysine, méthionine, phénylalanine, théonine, valine, leucine (acides aminés essentiels) et proline, sérine, tyrosine, acide glutamique, alanine, arginine, cystine, glycine, histidine (acides aminés secondaires). Vitamines : A, B1, B2, B3, B6, B9, B12 et PP. Éléments minéraux : calcium, cuivre, chrome, chlore, lithium, fer, manganèse, magnésium, phosphore, sodium, potassium et zinc. Enzymes : catalase, amylase, lipase, cellulase, oxydase et phosphatases. Selon d’autres études en cours, il s’avère que cette plante pourrait traiter d’autres maladies comme le cancer, le diabète, le cholestérol et d’autres maladies auto-immunes. Elle protège efficacement des radiations, aide à la prévention du cancer de la peau (les japonais s’en sont d'ailleurs servis après la bombe nucléaire). Elle stimule et renforce le système immunitaire et c’est un anti-inflammatoire général. L’aloé vera stimule le métabolisme, renforce l’organisme, combat la fatigue, diminue les risques d’infection, combat les champignons, amène une détoxification de l’organisme, une meilleure oxygénation des cellules, il favorise le renouvellement des cellules saines , aide à la prévention du cancer des intestins et du côlon, protège des maladies auto-immunes, améliore la circulation sanguine, combat le diabète et le cholestérol, combat efficacement l'herpès génital, a un effet anesthésique, diminue les douleurs surtout les douleurs intestinales. Assainie la flore intestinale, protège de la maladie de crohn, favorise la digestion, favorise l’élimination des gaz et des toxines, soulage les spasmes digestifs et les troubles liés à l’hyperacidité. C’est un remède aux ulcères de l’estomac et du duodénum, il a une excellente action sur le foie et la VB, reminéralise en profondeur, stabilise le pH sanguin et restaure l’équilibre acido-basique. Son action hépatoprotectrice (protection du foie et de la VB) est couplée avec une action sur les reins, les intestins, l’estomac, le pancréas, la rate qui sont des organes majeurs de la détoxification. C’est un excellent allié pour le système cardio-vasculaire. Il combat l’anémie en multipliant la régénération des globules rouges et blancs, régénère les artères et évite ainsi la formation des caillots sanguins, il diminue l’hypertension artérielle, régule les palpitations cardiaques. L’aloé vera est beaucoup plus efficace en cure de 2 ou 3 mois, ceci permettant une action en profondeur très puissante dans tout l’organisme. Seul le gel mucilagineux situé au coeur de la feuille d'aloé vera est comestible
Une des parties de la plante peut être toxique en usage interne, si elle est consommée pure et en très grande quantité, c’est l’aloïne, le latex présent dans la couche externe d’aloé vera qui la rend potentiellement dangereuse. Les cas d’intoxication sont très rares car les produits vendus sont dénoués de cette substance. Mais si vous consommez de l’aloé vera fraîche, ne buvez pas le jus pur sans précaution. Il faut extraire le gel en enlevant les piquants et la peau pour éviter tous risques d’intoxication.
L’aloé vera peut aussi, à haute dose, provoquer des diarrhées. A retenir pour un usage interne :
A savoir que l’utilisation de la plante fraîche est plus efficace que celle achetée prête à être consommée en jus, ou déshydratée en gélule. Contre-indications La consommation de son latex ne convient pas aux femmes enceintes, aux jeunes enfants ainsi qu'aux personnes souffrant du syndrome du côlon irritable, d'ulcères, de troubles cardiaques ou rénaux. Effets indésirables Des crampes abdominales et des diarrhées peuvent survenir lorsque le latex d' Aloe vera est utilisé en fortes doses ou pendant une longue période. L'aloé vera en utilisation externeL’aloé vera soulage les affections de la peau : acné, eczéma, psoriasis, brûlures, furoncles, démangeaisons. Il a un effet analgésique léger sur les douleurs articulaires, musculaires et névralgiques. En dermatologie et en cosmétologie, seul le gel est exploité. Propriétés du gel d’aloé veraLe gel d'aloès améliore l'état des peaux matures, car il présente des propriétés de stimulation biogène. Il multiplie, par 7 ou 8, la production des fibroblastes, qui créent le collagène humain. Hydratant et émollient, il adoucit la peau irritée, brûlée en surface ou très sèche. Cette plante permet aussi de combattre la dermatite, les pellicules, les inflammations, les rides et même la peau sèche. Parmi les vertus de l’aloe vera, on trouve des propriétés antiseptiques très bénéfiques pour la peau. On trouve également des propriétés bactéricides, anti-inflammatoires et antifongiques. Tout cela aide à éviter l’entrée de germes à travers les blessures en formant une couche protectrice ! Il est également très utile pour traiter les problèmes d’acné et les brûlures liées au soleil. En effet, parmi les vertus de l’aloe vera, on trouve l’accélération de la cicatrisation et la prévention des infections au niveau de la peau. Il ne faut cependant l’utiliser que sur des blessures légères. Sur des blessures profondes, l’aloe vera pourrait les aggraver à cause de sa capacité à augmenter la circulation sanguine dans la zone concernée. Son usage sur la peau de façon externe ne présente pas de contre-indication en général. Cependant, il faut tout de même réaliser un test afin de s’assurer qu’elle ne provoque pas d’allergies. Vous pouvez ainsi appliquer le gel de cette plante sur votre bras et attendre 20 à 30 minutes. Si aucune réaction n’apparaît, alors vous pourrez l’utiliser sans problème ! En usage externe, attention de ne pas s’exposer au soleil après avoir appliqué de l’aloé vera, car cette plante est phyto-sensibilisante. En gel, l' Aloe vera doit être appliqué en minces couches, directement sur la peau. Il est inefficace en application sur des lésions déjà infectées. Il est recommandé de consulter votre médecin avant d’utiliser cette plante. Quelques recettesL’aloe vera et l’huile de cocoIl s’agit d’un excellent remède maison pour les cheveux. Il va leur rendre leur brillance, leur soyeux et aussi leur santé. De plus, il agit sur le cuir chevelu, hydrate la peau et évite aussi la chute des cheveux. Ingrédients
Aloé vera, miel et citronCe remède à l’aloe vera est utilisé pour traiter les chéloïdes et régénérer la peau. Il est recommandé de l’appliquer plusieurs fois par jour pendant un mois pour voir les résultats. Ingrédients
L’aloe vera, l’œuf et le mielUn autre remèdes à l’aloe vera pour une chevelure brillante et soyeuse. Idéal pour éliminer les pointes fourchues et aussi pour nourrir complètement les cheveux. Ingrédients
Conseils pour bien digérer
Voici ce que je vous conseille pour bien digérer et assimiler les aliments.
1 - S’abstenir de manger tant que la digestion du repas précédent n’est pas terminée. Si ce dernier a été très copieux, il vaut mieux sauter le prochain repas. 2 - Sous l’effet de la douleur, de la fièvre, de l’inflammation, du chagrin, de la colère ou de la peur, il est préférable de s’abstenir de manger tant que les symptômes persistent. Manger dans ces conditions provoque des malaises, ralentit la digestion, amène un inconfort voire même des douleurs. 3 - En cas de grande fatigue, il vaut mieux se reposer avant de manger, seuls le repos et la détente permettent de retrouver de l’énergie 4 - Tout le monde le sait, les repas de fête, de famille etc. sont éprouvant pour l’organisme, boire ou manger par obligation, pour faire plaisir et manger trop avec trop de sortes d’aliments n’est pas bon. Si c’est exceptionnel, prenez du charbon actif après le repas pour aider. Mais si cela est régulier, vous détruisez votre santé et vous allez très vite manquer d’énergie. Nous devons sortir de table avec une légère faim. 5 - Adultes comme enfants, choisissez vos aliments, laissez-vous le choix des fruits et des légumes, nous n’avons pas tous les mêmes besoins au même moment ! Il faut toujours manger avec plaisir. 6 - N’ayez pas de conversations trop animées pendant les repas, ce n’est pas le moment de régler ses comptes. L’idéal est de manger dans le calme et en conscience. Ne regardez pas d’écran et ne lisez pas en mangeant. Prenez quelques instants de détente après vos repas pour favoriser la digestion. 7 - Bien mastiquer les aliments et manger tranquillement sans précipitation. On ne devrait avaler que lorsque les bouchées sont devenues de la bouillie presque liquide. On dit qu’il faut boire les aliments solides et mâcher les jus de légumes frais. Pensez à poser votre fourchette et votre couteau entre chaque bouchée. N’oubliez pas que la digestion commence dans la bouche avec les enzymes salivaires. 8 - Ne buvez pas pendant le repas, mais avant. Si vous avez soif en mangeant, c’est soit que vous mangez trop salé, sucré ou épicé. Réduisez ces aliments plutôt que de céder à la facilité et boire. 9 - Ne mélangez pas toutes les sortes d’aliments dans un même repas; Les légumes vont avec tout : fruits ou protéines. Les fruits se mangent seuls avant le repas ou avec d’autres fruits ou avec des légumes, mais jamais de gras avec le sucré. Les protéines (végétales ou animales) ne s’associent qu’avec les légumes. Retenez que sucres et graisses ne font pas bon ménage, et que les protéines contiennent quasiment toujours des graisses même non visibles. 10 - Abstenez-vous de prendre des aliments que vous savez ne pas pouvoir digérer, au moins pendant 3 ou 6 mois puis réessayez en toute petite quantité pour voir si vous les tolérez mieux après ce temps. Bon appétit La cuisson, l’irradiation et le raffinage des aliments : conséquencesLa cuissonCuire les aliments a pour première incidence de détruire les enzymes (diastases) à partir de 40°. Nous savons qu’aujourd’hui, nous sommes tous plus ou moins carencés en enzymes. La cuisson est une invention de l’homme qui favorise un déséquilibre progressif dans l’organisme. L’idéal est de manger cru ou si ce n’est pas à 100%, au moins de manger des légumes crus (crudités) à chaque repas et de manger des fruits crus bien mûrs chaque jour. Il est recommandé de commencer les repas par des crudités afin d’éviter la leucocytose digestive qui est l’élévation brutale des leucocytes, globules blancs, qui ont pour mission de défendre l’intégrité de l’organisme vis-à-vis des corps étrangers. Les chercheurs ont observé cette élévation des globules blancs dans le sang après un repas cuisiné et soupçonnent qu’il s’agit d’un processus anormal de l’organisme, une réaction pathologique. Ils démontrent que la leucocytose n’apparaît que lorsqu’on absorbe des aliments cuits et qu’elle est par conséquent une réaction de l’organisme au même titre que la leucocytose qui se produit en cas d’intrusion microbienne. Les fruits et légumes crus ne produisent pas cette leucocytose. L’aliment cru ne suscite pas de réaction inflammatoire de la part de l’organisme. Les personnes qui ne supportent pas le cru ont un tube digestif malade. Elles devront trouver des alternatives pour progressivement régénérer leur digestion et pouvoir manger plus sainement, même si cela leur demande des mois voire des années. Le jeûne permet aux organes une assimilation plus rapide du cru du fait de la désintoxication effectuée et de la remise en état des différents organes. Plus on est intoxiqué, moins on supporte le cru. Mais il est important de faire une transition alimentaire très progressive. La durée de cuisson des alimentsPrenons l’exemple de la teneur en vitamine C du chou en cours de cuisson. Celle-ci diminue à mesure que la cuisson se prolonge. Mais on retrouve des paramètres assez semblables pour les autres vitamines et les minéraux sont encore plus fragiles à la chaleur. Cru : 70 mg pour 100 gr de chou Après 10 mn de cuisson : 47,5 mg pour 100 gr Après 15 mn de cuisson : 29,5 mg pour 100 gr Après 30 mn de cuisson : 22,3 mg pour 100 gr etc. Si vous devez cuire vos aliments, la meilleure cuisson est à la vapeur douce et peu de temps. Ainsi l’aliment n’est pas en contact avec l’eau, les phénomènes d’osmose sont très réduits, les minéraux et autres corps solubles sont retenus dans l’aliment. Temps de cuisson vapeur pour décrudire les légumes : 5 minutes pour les choux, épinards, endives, poivrons et champignons. 10 minutes pour les asperges, aubergines, courges, courgettes, haricots verts, poireaux, potirons etc. 10 à 15 minutes pour les carottes et choux de bruxelles 15 à 20 minutes pour les betteraves, navets et artichauts L’irradiation ou ionisation des alimentsL'irradiation des aliments consiste à exposer des aliments à des rayonnements ionisants afin de réduire le nombre de micro-organismes qu'ils contiennent. Pour certains végétaux, ce procédé empêche la germination (pomme de terre, ail, oignon etc.) pour d’autres, cela sert à une plus longue conservation (fraise etc.) L'OMS l'a accepté pour l’alimentation humaine. Ce procédé fait partie des procédés de pasteurisation à froid. L'irradiation de la nourriture est une technique développée par des entreprises agroalimentaires parce que les aliments ainsi irradiés s'abîment moins. Le procédé réduit également le risque de contamination par un organisme pathogène. Les supermarchés tentent de faire croire que ce système est mieux pour les végétaux et sans conséquence pour notre santé. Toutefois sachez que les enzymes sont très radiosensibles, l’ADN de celles-ci est altéré et les fruits et légumes sont ainsi stérilisés. Les cellules germinatives, celles en voie de division et les tissus en développement rapide sont très sensibles à ce type de traitement. Le charançon des grains, la teigne du riz, la bruche du haricot, tous les insectes sont rendus stériles par l’irradiation, le plus souvent ils meurent quelques jours plus tard. Les vitamines sont elles aussi très sensibles à ce type de traitement de conservation et aux rayons ionisants en particulier, notamment la vitamine C. Les fruits comme les pêches, les citrons, les tomates, les fraises sont très touchés par cette perte en vitamine C. Les autres vitamines très sensibles également sont les vitamines K, B1 puis B6, PP, A et E. Les pertes seraient du même ordre que lors de la cuisson. À des doses supérieures à 6 kilogray, l'irradiation peut fortement dégrader les vitamines liposolubles (vitamine D notamment). En 2008, Caulfield a montré que l'irradiation gamma oxyde fortement les vitamines liposolubles dans les rations sèches, entraînant une effondrement de la teneur de certains produits en vitamines après irradiation. Il en va de même pour quelques autres nutriments, ce qui diminue les qualités nutritives du produit irradié. Quand elle concerne des produits gras (viandes notamment), l'irradiation peut avoir un impact négatif sur le goût, l’odeur et la texture des aliments traités (rancissement). En France, la dose maximale de 10 kilogray est autorisée pour le traitement des céréales, de la farine de riz ou des épices, et la dose de 5 kilogray ne doit pas être dépassée pour la viande ou le poisson. Les aliments doivent être irradiés assez longtemps pour que les bactéries et moisissures ciblées soient inactivées. Sans compter les effets nocifs sur nos organismes… Le raffinageLe raffinage nous donne la possibilité de manger des plus grandes quantités d’aliments que l’on ne pourrait pas manger à l’état naturel. Cela permet donc les abus, et l’on sait que l’on mange trop et souvent trop riche dans les pays occidentaux. Je pense aux fruits séchés, aux oléagineux transformés en huile, aux hydrates de carbone qu’il vaut mieux manger sous leur forme naturelle comme la betterave à sucre, la canne à sucre etc. Il vaut toujours mieux consommer nos aliments sous leur forme entière si nous sommes en bonne santé et désirons le rester. Le bilanLa nature ne produit pas de protéines ou de glucides , elle produit des aliments entiers, contenant en juste équilibre tous les éléments indispensables à l'élaboration de tissus nouveaux, à la croissance et au renouvellement des cellules. Non transformés par quelque procédé industriel, ou même amoindris par la cuisson, ils apportent la vitalité à l’organisme. N’oubliez pas que nous ne mangeons pas des protéines, glucides, lipides etc. , mais des noix, des dattes etc. La seule exception qui peut être bénéfique, sont les jus de légumes frais faits maison qu’il faut boire tout juste fait sans attendre qu’ils s’oxydent. Parce que la plupart des gens ne mangent pas assez de légumes qui sont si riches en minéraux et vitamines. Le sevrage de l’enfant
Après les mois d’allaitement maternel et de symbiose alimentaire entre la mère et l’enfant, viendra le temps du sevrage, c'est-à-dire le moment où l’enfant va commencer à consommer une autre nourriture en plus du lait maternel.
Même si l’allaitement diminue progressivement, il est parfois maintenu de nombreux mois avec une alimentation mixte. La décision finale d’interrompre l’allaitement étant du ressort de la maman, le bébé doit lui aussi se sentir assez fort physiquement et psychologiquement pour se passer du lait et de la communication privilégiée que constitue la tétée. L’équilibre affectif entre la mère et l’enfant doit alors passer par d’autres voies. Le sevrage ne doit pas apparaître comme un acte restrictif, mais comme une possibilité pour l’enfant d’acquérir une nouvelle indépendance en consommant de nouveaux aliments. Vers quelle nourriture se diriger au moment du sevrage ?La réponse pourrait se trouver dans l’observation de la reprise alimentaire des jeûneurs. L’introduction des aliments dans le tube digestif doit se faire très progressivement, le plus lentement possible. Des jus de légumes doux comme le jus de carotte, de betterave etc. puis progressivement varier les jus. Puis des jus de fruits doux non acides au début puis mi-acide par la suite en enfin acides plus tard. Au tout début, on peut diluer légèrement les jus et tester auprès de l’enfant s’il a une appétence pour ce que l’on a choisi de lui présenter. Avec mes enfants, ma technique était de leur passer les aliments devant le visage, en effet, l’odorat des enfants étant très développé leur organisme reconnaît ce dont il a besoin, l’enfant dès sa naissance a le réflexe d’ouvrir la bouche. Si on lui donne une petite cuillèrée d'un aliment utile à son organisme le bébé tète directement à la cuillère le jus qu’on lui présente. Si au contraire on lui présente un aliment dont il n’a pas besoin, l’enfant garde la bouche fermée, et si on essaye à tout prix de lui glisser quelques gouttes dans la bouche, il le repousse avec la langue et cela autant de fois que l’on tentera l’expérience. L’instinct du bébé est fonctionnel dès sa naissance, j’en suis le témoin. A plus forte raison, lorsqu’il a quelques mois et que l’on commence à diversifier son alimentation. Inutile de préparer des compotes, des purées, l’alimentation physiologique du jeune enfant et comme pour l’adulte, composée de végétaux comestibles : fruits au sens large (fruits juteux, fruits gras, fruits à coque etc.), des légumes crus et si possible biologiques, des plantes aromatiques, plantes sauvages etc. Pensez à varier en utilisant les fruits et légumes de saison. Au fur et à mesure que la dentition apparaît, il sera plus facile pour l’enfant d’aller vers une alimentation plus solide et crue. Au fil des mois, son alimentation comportera davantage d’aliments concentrés énergétiquement comme les matières grasses des avocats, des oléagineux que la maman pourra pré-mâcher ou mixer, des protéines animales ou végétales. L’entrée du bébé dans le monde alimentaire définitif doit se faire progressivement et d’une manière satisfaisante avec des produits qu’il aime et d’excellente qualité. C’est un gage de réussite d’autonomie personnelle et d’une programmation positive envers la prise de nourriture augurant un bon équilibre alimentaire pour sa vie future. L'alimentation physiologique du nourrisson et du jeune enfant
J'ai fait une formation numérique (texte, audio, vidéo) vendue en 2020 par Biovie puis retirée du catalogue. Je la vends actuellement en version texte et photo pour 20 euros. Contactez-moi.
Jeûne intermittent ou des repas fractionnés ?
La restauration propose de plus en plus de ventes au comptoir, rapidement rejointe par les grandes surfaces. Le marché du snacking explose chez nous, pour représenter 47 milliards d’euros en 2015.
Les français sont désormais à 6,3 prises alimentaires par jour (données du groupe international de recherche agroalimentaire, Gira, 2015); Entre-temps, la science avance sur cette question de fréquence des repas. En 2009, une étude britannique soulève les premiers doutes : le métabolisme augmente proportionnellement à la quantité de nourriture avalée et donc sur une journée, 6 petits repas n’augmentent pas la dépense d’énergie totale par rapport à 3 repas normaux : aucun avantage sur le métabolisme à manger plus souvent. Une autre étude contrôlée de 2013 le confirme et ne montre aucun avantage à faire plus de 3 repas par jour. En revanche, l’appétit des participants augmente avec 6 repas. Sauter des repas ne ralentit pas le métabolisme. Concernant le diabète et la résistance à l’insuline, une autre étude contrôlée de 2014 confirme une meilleure gestion de l’insuline avec 2 repas importants par jour plutôt qu’avec 6 petits repas. D’après les chercheurs, faire des repas plus importants mais moins nombreux permet de diminuer la résistance à l’insuline, un problème qui est de plus en plus fréquent aujourd’hui. Encore une fois, comme pour l’hypothèse de l’implication des graisses dans les maladies cardio-vasculaires, les premières hypothèses sur l’importance de la fréquence des repas pour la santé ne sont pas confirmées par les études approfondies. Mais encore une fois, les recommandations sont faites, les habitudes prises, et le snacking explose ! Dans notre pays, les années de famine et de sous-nutrition sont loin derrière nous. Nous mangeons dès le réveil pour “avoir de l’énergie”, nous mangeons entre les repas pour ne pas “ralentir le métabolisme” … Il est temps de regarder dans le détail ce qui se passe et comment ces nouveaux comportements dérèglent des millions d’années d’évolution. Notre corps est capable de s’autoréguler sans effort, mais les mauvaises habitudes nous en empêchent et notamment de manger trop souvent. Que se passe-t-il si on arrête de manger ?D’autres hormones se mettent au travail. L’insuline Lorsque le taux de sucre dans le sang baisse, l’insuline disparaît, au profit d’une autre hormone, le glucagon, produite également par le pancréas. Le rôle de cette hormone est de garder un niveau minimum de sucre dans le sang, notamment pour alimenter le cerveau. Sans le glucagon, vous déclencheriez une hypoglycémie grave, entraînant un coma après quelques heures sans manger. Alors que l’insuline ordonne le stockage du sucre depuis le sang vers les tissus adipeux et musculaires qui en ont besoin , le glucagon ordonne sa libération depuis le foie, puis, lorsque vos réserves de sucre sont épuisées, transforme la graisse du tissu adipeux en sucre. Si l’insuline est l’hormone du stockage et de la prise de poids, le glucagon est l’hormone de la minceur et du déstockage. Avec une alimentation quasi continue, on ne laisse jamais l’occasion au corps de baisser les niveaux de sucre et donc les niveaux d’insuline. L'hormone de croissance Pour passer de nouveau-né (qui pèse quelques kilos) à adulte (de plusieurs dizaines de kilos), le corps reçoit l’ordre d’utiliser vos apports nutritionnels quotidiens pour construire de nouvelles cellules. Ainsi, ce que vous mangez est transformé en muscles, os et organes au lieu d’être stocké en graisse. C’est pour cette raison que les adolescents grandissent en taille et non pas en tour de taille. Cet état est maintenu par la production de l’hormone de croissance. Plus vous êtes jeune, plus vous en produisez. Vers 20 ans, la production de cette hormone se stabilise puis ensuite décroît lentement jusqu’à la fin de la vie. Elle est considérée comme l’hormone maîtresse, sa concentration fait varier d’autres hormones. En résuméSi vous n’avez pas de pathologie du tube digestif ou de fatigue chronique, vous avez tout intérêt à faire 2 ou maximum 3 repas par jour (pour un adulte). Et suivant votre âge et votre exercice physique habituel, deux repas sont souvent bien suffisants. Le jeûne intermittent 16/8 signifie que vous ne mangez rien pendant 16 heures, souvent après le dîner jusqu’au déjeuner du lendemain, puis dans la plage horaire des 8 heures restants, vous faites deux repas équilibrés et sains. Ainsi, si vous terminez votre dîner à 20 heures, vous ne mangerez rien jusqu’au lendemain vers midi ou plus tard. Votre tube digestif est ainsi plus longtemps au repos, vous gagnez en énergie, en principe vous ne grossissez pas, même en prenant de l’âge. Pour d’autres personnes, ce sera l’inverse, elles mangeront le matin et au déjeuner puis plus rien jusqu’au lendemain. Pour elles, la digestion est meilleure et le sommeil facilité. A chacun de trouver ce qui lui convient sans excès ni dogmatisme ! Les cadeaux du jeûne
Le jeûne est un apprentissage, il nécessite l’installation de nouvelles habitudes par la préparation d’abord, puis après la période de jeûne complet, le demi-jeûne et enfin la reprise. Un nouveau rapport au monde s’installe ainsi qu’une nouvelle relation avec notre entourage.
Le jeûne nous demande de vaincre nos peurs et d’accepter l'éventualité que certaines personnes ne nous comprennent plus, que certains environnements ne nous correspondent plus. Qu’il faudra peut-être changer des choses, quitter des lieux etc. Le jeûne agit sur l’être global, dans sa totalité, dans sa complexité et dans sa simplicité aussi. Quelques exemples de petits bénéfices gagner par la pratique du jeûne :
Le rapport au corps devient vraiment différent, en particulier en termes d’écoute et de compréhension, en termes de confiance mutuelle, de ressenti. Que ce soit la respiration devenue tellement présente, ou les cellules qui frétillent comme des petits poissons… Le corps n’est plus cet ennemi que l’on brutalise à coups de régimes, d’excès etc. Le jeûne c’est aussi la fin ou l’apaisement des petites misères, des douleurs multiples, des troubles psychosomatiques … L’énergie découlant du jeûne apporte une meilleure assimilation de la nourriture. Les sens sont exacerbés. Notre rapport à la nourriture s'équilibre, c’est une nouvelle liberté extraordinaire. C’est aussi une voie vers la décroissance et le minimalisme. Plus besoin d’une tonne de condiments, de produits de beauté et bien d’autres choses encore. Consommons différemmentLe jeûne nous ouvre davantage aux énergies renouvelables, au bio, à la nature et à son respect. Après un jeûne, il est aisé de découvrir le vrai goût des fruits et légumes de bonne qualité. Nous privilégions la qualité à la quantité. Les goûts sont décuplés, plus besoin de sel, d’huile, d’herbes et d’épices. Chaque bouchée est un bonheur total. Nombreux sont les jeûneurs qui décrivent un sentiment de force accrue, de confiance dans la vie, de pensée positive, de clarté mentale. La créativité et la capacité de mener à bien ses projets s’en trouvent décuplées, ou reprennent leur place essentielle dans la vie. Toute l’énergie qui n’est pas utilisée à digérer permet de digérer d’autres choses et aussi de créer. Chez certaines personnes, le jeûne provoque également une augmentation de l’empathie. Comme dans la méditation, l’espace et le temps s’élargissent. Rôle du jeûne sec sur nos réserves d’eauLa qualité de l'eau corporelleRappelons que notre corps est composé d’au moins 70% d’eau. A l’instar de nos cellules, cette eau est intoxiquée par de nombreux perturbateurs toxiques venant du stress et de l’alimentation principalement. Cette eau peut-être changée en quelque sorte par une eau plus pure. C’est le rôle du jeûne sec qui permet un renouvellement profond de l’eau qui est contenue dans notre organisme. L’eau se trouve sous deux formes dans notre organisme ; l’eau libre et l'eau liée. Le Dr Batmanghelidj a mis en évidence que les tissus cancéreux possèdent une proportion plus importante d’eau libre par rapport à un tissu sain qui a une proportion d’eau liée plus importante. Or les fruits et les légumes apportent à l’organisme cette eau liée. L’eau libre est incorporée aux structures moléculaires. Elle circule en dehors de ces structures pour apporter les éléments nutritifs nécessaires à leur fonctionnement et assurer l’élimination des déchets. La déshydratationLe volume d’eau à l’intérieur des cellules et celui à l’extérieur devraient être équilibrés, mais avec l’âge, souvent une déshydratation s’installe et peut expliquer l'hypertension et les excès de cholestérol. Selon le Dr Rodbell, prix Nobel de médecine, les nouveaux-nés sont dotés d’une eau cellulaire très structurée et mobile qui favorise le transport de l’oxygène, des nutriments et l'évacuation des déchets. Mais il a découvert que cette structure de l’eau se modifie avec l’âge, elle s'altère et ne permet plus un fonctionnement optimum de l’organisme, avec toujours comme cause, à l’origine, une déshydratation progressive. Selon le Dr Ketsyama, à 60 ans, les trois-quart ou presque de l’eau contenue dans le sang, ou eau libre, ont quasiment disparu, induisant des maladies de dégénérescence qui ne seront pratiquement jamais mises en relation avec une déshydratation progressive. (Il n'a pas observé des personnes à l'hygiène de vie et alimentaire spécifiques !) Ce qui me motive à dire qu’une cure de jeûne sec au moins une fois par an, permet d’évacuer l’eau “sale” par une forme de déshydratation volontaire et d’obliger l’organisme à fabriquer sa propre eau endogène à partir des graisses. Cette eau devient la meilleure eau pour nos cellules qui ainsi peuvent être mieux hydratées et nourries. La qualité de l'eau de boissonIl devient primordial pour la santé, de savoir comment et quoi boire après ce jeûne sec, pour que ne s'installe pas cette fameuse déshydratation : le café, le thé, l’alcool, toutes les boissons gazeuses, le chocolat, extraient l’eau de nos cellules. S’il existe une source d'eau de qualité à proximité, on pourra s’y approvisionner pour la boisson. Il est indispensable de boire une bonne eau doucement après un jeûne sec, en gardant chaque gorgée dans la bouche quelques instants. L’eau du réseau, dite potable, ne doit pas être bue de façon régulière sous peine de s’intoxiquer avec les produits rajoutés comme le chlore et bien d’autres. De plus, il reste, dans cette eau, des traces de médicament rejetés par les humains et les animaux que ni les sols ni les stations d’épuration n’arrivent à filtrer suffisamment. L’eau minérale en bouteille plastique contient des perturbateurs. Il faut donc s’équiper soit d’un osmoseur dynamiseur, mais cela à un coût important, soit filtrer l’eau de consommation avec du charbon actif de bambou, procédé facile et très bon marché puisque les bâtons de charbon de bambou activés s’utilisent à vie à condition de les redynamiser au soleil ou sur une source de chaleur toutes les 3 semaines environ. L'étape intermédiaire entre le jeûne et la repriseLa seconde étape après l’eau quand on a pratiqué le jeûne sec, c’est de faire un demi-jeûne pendant au moins 3 jours. Le matin, boire de l’eau uniquement puis, l'après-midi jusqu’au soir, choisir une petite collation toutes les 2 heures, en choisissant soit un verre de jus de légumes, un légume à la croque ou un fruit juteux bien mûr. Eventuellement cela peut être aussi un bouillon de légumes. De cette façon, l’organisme refait ses réserves d’eau de la meilleure qualité qu’il soit. Le jeûne sec peut se pratiquer sur quelques heures, 24 heures ou plusieurs jours selon notre entraînement. La durée maximum conseillée par le Docteur Filonov, grand spécialiste du jeûne sec en Russie, est de 9 à 10 jours complets, à condition d’être entraîné et bien préparé à ce type de jeûne. Ce nombre de jours permet de faire une sorte de "reset” complet de l’organisme et si besoin est, de renouveler l’expérience plusieurs mois plus tard. N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter sur le site www.curenature.fr et de bénéficier ainsi de la possibilité de télécharger gratuitement mon e-book spécial jeûne sec. Le microbiote, notre 3ème cerveauQu’est-ce que le microbiote ?Présent dans le corps dès la naissance, le microbiote est constitué d’archées, de champignons, de virus, de bactéries et d’autres micro-organismes. Il est présent dans les voies respiratoires, sur la peau, au niveau des organes génitaux, dans la bouche et dans le tube digestif. Celui qui se trouve dans le tube digestif s’appelle microbiote intestinal et il est composé de milliers de milliards de micro-organismes. Comparé aux autres organes, il est celui qui en contient le plus grand nombre. C’est pour cette raison, et aussi pour son rôle dans différentes fonctions et maladies, que les scientifiques l’étudient plus particulièrement. Majoritairement situé dans le côlon et l’intestin grêle, le microbiote intestinal est formé dès la naissance des premières bactéries qui se multiplient au contact de l’oxygène. Ce sont notamment les staphylocoques, les entérocoques et d’autres bactéries aérobies. Au contact de l’oxygène dans l’intestin, il se développe et favorise la prolifération d’autres bactéries qui se développent lorsque ce gaz est absent. Ce sont les bactéries anaérobies, telles que le bifidobacterium, le clostridium, les bactéroïdes, etc. Au cours des premières années de vie de l’individu, sa composition se modifie en quantité et en qualité. Ce changement est dû à l’environnement, la génétique, la diversification alimentaire, les traitements à base de médicaments ainsi que le niveau d’hygiène. Après une période de stabilité, le développement des hormones sexuelles joue un rôle considérable sur sa composition. La composition en quantité et qualité de ces différentes bactéries diffère en fonction des individus. Elle peut être plus ou moins stable suivant les événements perturbateurs que vivent les uns et les autres. Parmi les différents microbiotes présents dans l’organisme, celui qui se trouve dans le tube digestif contient 10 puissance 12 à puissance 14 micro-organismes. Cette quantité représente deux à dix fois la quantité de cellules qui forment le corps, pour un poids de 1,5 à 2 kg chez un adulte. Auparavant, les moyens techniques destinés à étudier ces micro-organismes étaient restreints. Actuellement, les scientifiques s’y intéressent de près au point d’étudier la nature des interactions entre eux, celles de l’hôte-microbiote ainsi que son impact sur l’organisme. Une telle démarche est possible grâce à l’utilisation de techniques de séquençage haut débit du matériel génétique. À noter que les scientifiques ont détecté leur présence dans l’intestin il y a plus d’un siècle de cela. Il existe également un microbiote des plantes intimement associé à leur système racinaire. Comme pour les plantes de notre jardin, nous devons entretenir notre microbiote le mieux possible sans l’agresser si possible avec des médicaments ou des huiles essentielles trop fortes pour une utilisation interne. Des expériences ont été menées sur des souris saines en changeant leur microbiote en implantant dans leurs intestins un microbiote de souris dépressives ou obèses et les souris ainsi implantées sont devenues à leur tour dépressives ou obèses selon les cas. Ce qui a amené les chercheurs à appeler notre microbiote le 3ème cerveau, les deux autres, rappelons-le étant le cerveau et l’intestin avec ses neurones. Au fil des années, des études ont démontré son rôle essentiel sur l’organisme. Lorsqu’il est perturbé, l’individu peut être exposé à différentes sortes de maladies. Le ventre va ainsi souvent influencer le cerveau dans sa prise de décisionLe microbiote intestinal joue un rôle dans les fonctions immunitaires, métaboliques, digestives, mais aussi neurologiques. Des tests cliniques ont démontré qu’un traitement antibiotique permet d’améliorer les symptômes d’autisme. Quelques années plus tôt, des chercheurs ont émis l’hypothèse selon laquelle une modification du microbiote entraînerait un changement de l’information communiquée au système nerveux central. Preuves à l’appui, certaines maladies neuropsychiatriques parmi lesquelles la dépression, l’autisme, les troubles bipolaires, l’anxiété, ou encore la schizophrénie, semblent liées à une perturbation du microbiote. Cela est dû au fait que la majorité des neurones constituant le système nerveux véhiculent l’information de l’intestin au cerveau. L’idéal serait d’améliorer la communication entre le cerveau et les intestins avec ses neurones, ses neurotransmetteurs et son microbiote. Nous avons plusieurs outils permettant cette meilleure relation entre les 3, l’alimentation saine, les médecines douces, la méditation, certains massages comme le chi neï tsang, le yoga et le jeûne. Des micro-organismes essentiels pour la digestionLe rôle du microbiote intestinal est essentiel dans la digestion. En plus de garantir son propre métabolisme grâce à la nourriture ingérée, il favorise l’hydrolyse de la cellulose, de l’amidon et des polysaccharides, des glucides formés de sucres simples. Il entre aussi en jeu dans la régulation des voies métaboliques en absorbant les acides gras qui sont importants pour la structure des cellules et pour le stockage du magnésium, du calcium, de l’énergie, etc. Sa présence simplifie également l’assimilation des nutriments ainsi que la fermentation des substrats et des déchets d’aliments qui ne peuvent pas être digérés. Il prend également part à la synthèse des vitamines B12, K et B8. Une barrière contre les espèces pathogènesLe système immunitaire de l’être humain arrive à maturation avec l’aide des bactéries de la flore intestinale. Ces dernières jouent le rôle de barrière de l’intestin en évitant la prolifération des espèces pathogènes. Son rôle est primordial dès la naissance, car l’organisme est exposé à de nombreux antigènes d’origine microbienne ou alimentaire. Ainsi, grâce à sa présence, l’immunité intestinale apprend à faire la distinction entre pathogènes et espèces invitées. Des solutions pour soigner certaines pathologiesUne dysbiose ou perturbation de la fonction et de la qualité de la flore intestinale peut provoquer de nombreuses maladies. Parmi celles-ci, les maladies intestinales inflammatoires (maladie de Crohn), l’obésité, le diabète et le cancer gastrique font partie des conséquences graves liées à ce phénomène. Pour traiter certaines maladies, les thérapeutes peuvent conseiller un changement du mode vie en vue de modifier la composition du microbiote intestinal. Ainsi, ils peuvent recommander la prise de prébiotiques, des compléments alimentaires et de probiotiques, des micro-organismes vivants non-pathogènes. Une alimentation favorable à la production de bactéries facilitant la digestion est également conseillée. Trop de sucre : les conséquences sur la santé
Je fais suite à mon précédent article sur les sucres : Se libérer des sucres
Vous avez compris maintenant que les sucres se cachent partout, même là où on ne s’y attend pas du tout. Vous savez qu’il faut à tout prix éviter de consommer l’alimentation industrielle qui en contient systématiquement.
Vous avez encore besoin d’être convaincu pour surveiller votre consommation de sucre ? Voici les conséquences directes d’une consommation trop élevée de sucre
Le fructose des aliments transformés, attention danger !La surconsommation de fructose dans les aliments transformés, le sirop de maïs (très utilisé par l’industrie agro-alimentaire, surtout aux USA) provoque les mêmes effets qu’une grande consommation d'alcool car le fructose est métabolisé par le foie comme l’alcool. C’est pourquoi on entend dire parfois que le sucre est l'alcool des enfants et peut provoquer les mêmes dommages sur le foie !
Les seuls sucres à consommerLes seuls bons sucres que nous devons consommer sont ceux naturellement présents dans les végétaux, préférentiellement les légumes, les fruits en quantité raisonnable en lien avec l’activité physique, les céréales en petite quantité, les oléagineux et les légumineuses. Plus tôt nous prenons conscience de notre trop grande quantité de sucre consommée, plus facile sera l’inversion de l’état de notre foie et par là même, de tout notre organisme. Se libérer des sucres
175 millions de tonnes de sucre sont consommées dans le monde, soit 25,5 kilos par habitant et par an ; les français en consomment 35 kg par an !
Pain, pizza, charcuterie... Le sucre est addictif et dangereux. Il se trouve dans de nombreux aliments qui ne sont pas supposés en contenir... La consommation mondiale de sucre augmente de manière régulière, à un rythme moyen de 2,5% par an. Où sont les sucres ?Le sucre est présent dans de nombreux aliments, soit parce qu’on le retrouve naturellement, soit parce qu’il y est ajouté. Il y a des sucres dans tous les légumes, les fruits, les céréales et donc les farines, les pommes de terre, le lait et produits laitiers etc. Le sucre est une source d’énergie (en calories), mais ne présente pas d'avantage nutritionnel. On le retrouve sous plusieurs formes : sucre blanc, cassonade, mélasse, miel, sirop d’érable, sirop de maïs, glucose, fructose, dextrose, maltose ou saccharose, etc. Le sucre est utilisé dans de nombreux aliments non seulement pour leur donner du goût, mais également pour transformer leur texture. C’est pour cette raison qu’on en retrouve partout. Les sucres visibles sont faciles à reconnaître : bonbons, confiture, miel, biscuits, gâteaux, sucre blanc ou roux. Mais les sucres invisibles sont plus difficiles à dénicher : plats cuisinés, céréales de petit déjeuner, charcuteries, surimi, ketchup, sodas, alcool, desserts lactés, smoothies, jus de fruits, vin doux, jambon, pâtes de fruits, certaines conserves et, de façon générale, tous les produits industriels. Les végétaux contiennent tous du sucre en plus ou moins grande quantité : les fruits, tous les légumes, les oléagineux, les légumineuses et les graines. Ce sont des sucres naturellement présents dans des aliments que l’on trouve dans la nature, ils ne causent pas de problèmes pour notre santé. Plus on consomme du sucre, plus on en a envieSi les industriels en utilisent autant, c'est peut-être parce que ces petits cristaux de saccharose nous rendraient dépendants autant que des drogues dures. Serge Ahmed, chercheur au CNRS à Bordeaux (Gironde), l'a prouvé en étudiant des rats habitués à consommer de la cocaïne et du sucre : dans les cages, les rats ont le choix entre les deux et préfèrent à chaque fois le sucre. Quand nous en avalons, il active le circuit de la récompense dans le cerveau. Serge Ahmed explique que l'on peut aujourd'hui considérer la dopamine comme “l'hormone du désir de plaisir". Elle nous donne envie "de répéter l'expérience de plaisir qui a été générée par la consommation de sucre", explique-t-il. En clair, plus on consomme de sucre, plus on a envie d'en reprendre. Ainsi, en vingt-cinq ans, le taux d'obésité a doublé : 15% des Français sont aujourd'hui touchés par ce problème. De nouvelles maladies apparaissent, comme la NASH, ou "maladie du soda", qui détruit progressivement le foie. Quelle est l’incidence du sucre sur la santé ?S’il semble difficile pour certains de s’en passer, c’est à cause de l’effet addictif du sucre. Les spécialistes aujourd’hui associent l’excès de sucre aux risques liés à l’obésité, aux caries, au diabète, au cancer, à l’hypercholestérolémie et aux maladies cardiaques qui seraient coupables d’environ 16 millions de décès prématurés chaque année dans le monde. Cet excès de sucre participe à la production des triglycérides, responsables des tissus adipeux et de l’augmentation de la résistance à l’insuline. Il augmente aussi l'accumulation de matière grasse dans le foie pouvant causer la stéatose du foie ou NASH , le foie gras ! Il faut savoir lire les étiquettes des emballages des produits que vous achetez“Sans sucre ajouté” signifie que l’on a pas ajouté de glucose, de fructose, du miel ou de la mélasse. Mais il peut contenir du sucre naturel comme celui qui est présent dans les fruits ou les produits laitiers. “Teneur réduite en sucre” ou “faible en sucre” signifie que la teneur en sucre de l’aliment est inférieur à au moins 25% par rapport à l’aliment auquel il est comparé. “Non sucré” signifie que l’on a ajouté aucun sucre ou édulcorant comme l’aspartame ou le sucralose. “Sans sucre” signifie que la portion contient moins de 0,5 g. de sucre et moins de 5 calories. L’expérience de Damon GameauCet acteur et réalisateur Australien a tourné un documentaire nommé Sugerland. Pour cela il a voulu tester les effets d’une alimentation riche en sucre, composée uniquement d’aliments considérés comme sains et équilibrés, sur un corps en bonne santé. Pendant 60 jours il a consommé l’équivalent de 40 cuillères à café de sucre chaque jour, trouvé dans des aliments comme des boissons habituels, sans être particulièrement connus comme riches en sucre, c’est-à-dire qu’il consommait des yaourts allégés, des barres de muesli, des céréales saines, des jus de fruits, des boissons sportives et des smoothies. Ces quantités de sucre sont à peine au-dessus de la consommation moyenne d’un adolescent d’après Damon Gameau. Le résultat c’est qu'après 3 semaines, Damon a développé une stéatose hépatique (un foie gras) et à la fin il avait un prédiabète avec un risque accru d’infarctus et 11 cm de tour de taille en plus. Tout cela en consommant moins de graisses et de calories qu’avant. Heureusement pour lui après quelques semaines de reprise alimentaire d’avant, sa santé est revenue à la normale. Les quantités de sucres maximales recommandéesLa fondation des maladies du cœur et de l’AVC recommande de veiller à ce que la quantité de sucre consommée par jour ne dépasse pas 10% des calories totales. Commencez par réduire tous les sucres ajoutés, voir progressivement les supprimer totalement. En diminuant doucement sa consommation de sucres, l’organisme se déshabitue de cette addiction, il n’y a plus de manque bien au contraire, nous finissons par ne plus être attirés par les plats sucrés. Ensuite évitez les glucides à Indice glycémique (IG) élevé comme les frites, les galettes de riz, le pain blanc, les pommes de terre, le riz blanc etc. Privilégiez les produits à IG égal ou inférieur à 50. (voir la liste ci-dessous) Les apparences sont trompeuses. Sucrée, la patate douce ? Malgré son goût suave, sa teneur en amidon est compensée par sa teneur élevée en fibres, si bien que son IG est bas (50) alors que les pommes de terre ont un IG plus élevé. Le melon a un indice plus bas que la pastèque etc. Pour avoir une idée de ces indices, vous trouverez plus bas une liste des produits à IG acceptable. L’index glycémique et la charge glycémiqueIl est important d’avoir des notions sur l’indice glycémique et la charge glycémique. La glycémie est le taux de sucre dans le sang. A jeun, un taux normal se situe entre 0,7 et 1,1 g. par litre de sang. Lorsque nous mangeons un aliment qui contient du sucre, ce taux s’élève. Pour éviter de trop gros pics de glycémie, l’insuline sécrétée par le pancréas fait baisser le taux de sucre en l’aidant à entrer dans les cellules. Le taux de sucre dans le sang est, bien sûr, important. Trop élevé, il est synonyme de diabète, de maladies cardiovasculaires, d’obésité et de certains cancers. Or, comme nous venons de le voir, le sucre est omniprésent dans notre alimentation, plus que nous ne le soupçonnons ; d’où l’intérêt de s’y repérer. Par ailleurs, la seule teneur en sucre d’un aliment n’est pas une indication suffisante en tant que telle. En prenant l’exemple des pommes de terre, celles cuites à la vapeur ont un indice glycémique de 65, alors que l’indice de celles cuites au four est de 95. C’est de cette complexité dont a tenu compte le Pr David Jankins, le père de l’indice glycémique, qui a classé les aliments en trois catégories selon la vitesse à laquelle ils augmentent le taux de sucre dans le sang : Les aliments avec un IG élevé (supérieur à 60), les aliments avec un IG intermédiaire (entre 40 et 60) et ceux avec un IG faible (inférieur à 40). Les aliments à index glycémique bas sont ceux qui font peu grimper le taux de sucre dans le sang lors de leur digestion et assimilation. Ce sont en général les aliments peu transformés, qui sont très riches en fibres. Voici quelques exemples d’aliments à IG bas et plus élevés.
Si vous voulez voir précisément la composition des aliments que vous consommez, allez voir la table Ciqual sur internet.
Vous trouverez également des tableaux d’index glycémique sur le net. Jeûner pour lutter contre l’inflammationLa réaction inflammatoireL’inflammation est un mécanisme de défense contre certaines agressions, d’origine infectieuse ou non infectieuse. L’inflammation est une réaction des tissus vascularisés, permettant l’accumulation de sang et de cellules spécialisées à l’endroit de l’agression. Dans ce processus, interviennent principalement les polynucléaires neutrophiles, les monocytes macrophages et de nombreux médiateurs. Les polynucléaires neutrophiles désignent un type de globules blancs qui naissent dans la moelle osseuse et qui ont pour rôle la défense de l'organisme. La variation de leur taux peut révéler une infection bactérienne ou une anomalie de la moelle osseuse. Les monocytes sont des cellules immunitaires, qui contribuent à protéger l'organisme contre les agents pathogènes (virus, bactéries, parasites...). Ce sont les plus grands de nos globules blancs (leucocytes). Ils circulent dans le sang, puis le quittent pour gagner les tissus où ils se transforment en macrophages. Ils sont alors capables de phagocyter, c'est-à-dire d'ingérer, les microbes pour les neutraliser. Les leucocytes ou globules blancs sont des cellules produites par la moelle osseuse et sont présents dans le sang, la lymphe, les organes lymphoïdes et certains tissus. Ils constituent le système immunitaire chez les humains et ils interviennent dans la lutte contre les infections et les inflammations. Leur mission est de libérer des médiateurs, principalement l’histamine, (médiateur qui se libère en cas d’allergie). L’inflammation n’est pas spécifiquement dirigée contre un antigène et ne possède pas de mémoire. Elle n’augmente pas d’intensité en cas de nouveau contact avec l’agresseur. Il y a principalement 2 types d’inflammation:
Rôle du jeûne dans l’inflammationUn des nombreux bénéfices du jeûne est la réduction majeure de l’inflammation. Le diabète de type 2, le cancer, les maladies cardio-vasculaires, artériosclérose, la polyarthrite rhumatoïde, l’arthrite, l’arthrose et les rhumatismes en général, les dépressions, les allergies, les maladies auto-immunes, la maladie de Parkinson ou d’Alzheimer… toutes ces maladies sont très différentes mais le processus déclenchant est le même : l’inflammation. Lorsque vous jeûnez, vous fabriquez des corps cétoniques et plus encore une fois la crise d’acidose passée. Ce sont des métabolites produits lors de la cétogenèse. Votre organisme, après avoir vidé ses réserves de glucides, dégrade vos acides gras en corps cétoniques, qui deviennent son nouveau carburant. Il existe trois métabolites : l’acétylacétate, le BHB (β-hydroxybutyrate ou acide β-hydroxybutyrique) et l’acétone. Les deux premiers sont utilisés comme source d’énergie par le cœur et le cerveau. L’acétone est un produit de dégradation de l’acétylacétate. Le BHB a la particularité d’être anti-inflammatoire. Le jeûne intermittent qui consiste en une restriction alimentaire d’une quinzaine d’heures, plus facile qu’un jeûne d’une à deux semaines, peut également vous permettre de fabriquer des corps cétoniques. Tout dépend de ce que vous consommez à la rupture de jeûne. Les pouvoirs anti inflammatoires du jeûne viennent aussi du fait que le jeûne ne s’occupe pas que d’un seul organe mais de tous les organes concernés par l’inflammation, ainsi que de leur fonctionnement les uns avec les autres. En revanche, les études démontrent que si vous souhaitez profiter longtemps des vertus anti inflammatoires du jeûne, vous devez jeûner au moins une fois par an et border vos jeûnes d’une alimentation de bon sens. C’est-à-dire qu’avant et après le jeûne vous devez avoir une alimentation hypotoxique et équilibrée. Pour expérimenter un stage de jeûne : https://www.curenature.fr/le-jeucircne-hygieniste.html Le jeûne sur le plan émotionnel
Toutes les empreintes, mêmes précoces, enfouies dans nos mémoires peuvent être revisitées pendant le jeûne.
De la même manière que le jeûne permet la régénération des cellules souches. Ce retour aux origines est comme un bain de jouvence et un grand facteur de résilience. Dans un jeûne de durée moyenne, vers le 3ème jour, lorsqu’il n’y a plus de réserve de glucose dans l’organisme, l’énergie provient principalement de la dégradation des lipides (graisses), qui va produire des corps cétoniques. Ce sont des métabolites (éléments issus du métabolisme) produits par le foie en cas d’absence de glucose. Les corps cétoniques créent un état euphorisant, ils peuvent générer une impression de bien-être, de légèreté et couper la faim. Certains médecins disent qu’ils provoquent un état modifié de la conscience, une sensation grisante recherchée par certains jeûneurs. Cet état un peu euphorique, très sympathique, ne dure pas tout au long du jeûne mais plus on jeûne régulièrement, mieux est la préparation et plus cet état de conscience s’élargit profondément et durablement d'après ce que j’ai pu observer sur moi-même et sur les centaines de personnes que j’accompagne maintenant depuis plusieurs années. Il ne s’agit pas simplement du mental clair décrit par la plupart des jeûneurs mais également d’une sensation accrue d’empathie, de lien avec l’univers, l’humanité, la nature qui nous entoure. Certaines personnes perçoivent profondément cette nouvelle sensibilité en se promenant sous les grands arbres du Mas Després, en marchant sur le sable de la plage proche ou dans la mer. Progressivement ce bien-être tellement apprécié nous donne envie de ne plus manger pour conserver cet état. C’est une telle libération de tant d’habitudes, de temps consacré, d’heures obligées. Même si la convivialité des repas passés en famille ou entre amis n’est pas à négliger, ni le goût d’une mangue bien mûre ou de petits pois tout frais cueillis du potager sucrés à ravir. Le jeûne permet de se nourrir autrement. Le jeûne crée un vide qui se remplit et nous comble autrement ; de la présence de Dieu pour les plus religieux, de la présence de l'absent pour ceux qui font aussi du jeûne un rituel de deuil comme mon amie Florence cet été. D’une réponse de l’Univers comme j’aime l’imaginer, car souvent, en cours de jeûne, des réponses à des questions existentielles arrivent tout simplement et deviennent claires ! On peut aussi se sentir nourri de la lumière et de la chaleur du soleil lorsqu'il n’est pas trop fort, de certains sons avec la relaxation musicale qu’accompagnent le gong et les bols tibétains, l’odeur de la mer, les bruits du vent lorsque la tramontane rugit à travers les chênes et platanes du parc. Faites de votre jeûne une véritable retraite de jouvence. Comment savoir si vous avez besoin de jeûner ?Quels sont les signes qui vous montrent que votre organisme a besoin de se nettoyer plus en profondeur ?C’est la nuit que l’on détoxine le plus. Détoxiner signifie que pendant notre sommeil, nous sommes au repos et, en principe,nous ne mangeons et ne buvons pas. Notre organisme profite de ce petit jeûne quotidien pour se débarrasser des toxines qui l’encombrent. Ces toxines sortent des cellules et se retrouvent dans la circulation sanguine et lymphatique. Il faut donc qu’elles puissent s’évacuer du corps. Les voies naturelles sont les selles, les urines, la respiration et la peau. Mais d’autres voies secondaires peuvent être utilisées lorsque les émonctoires sont surchargés et fonctionnent au ralenti. Les éliminationsSi vous voyez des tâches ou des boutons, de nouveaux grains de beauté ou d’autres marques qui apparaissent sur votre peau , si vous avez des saletés aux coins des yeux le matin à votre réveil, si vous avez le nez qui coule, besoin de vous moucher plusieurs fois, des odeurs corporelles fortes, des urines chargées, un manque d’énergie, des selles anormales, des douleurs dans les articulations etc. Tous ces petits signes du quotidien auxquels nous ne prêtons pas beaucoup d’attention, ces signes que l’on attribue souvent au vieillissement, sont en réalité des symptômes ou des signaux que notre organisme nous envoie pour nous montrer qu’il a besoin de se nettoyer plus en profondeur car il y a trop de toxines à éliminer. Si vous avez eu durant votre vie, des traitements médicamenteux, des vaccins, des antibiotiques etc. Si vous avez été exposés à une forme quelconque d’intoxication (alimentaire, chimique, radiation électromagnétique, nucléaires, métaux lourds etc.), vous avez des choses enfouies au plus profond de votre organisme, qui ne demandent qu’à s’éliminer pour un meilleur fonctionnement des cellules et donc des organes. Vitalité, énergie sont indispensables pour bien jeûnerIl faut avoir assez de vitalité pour jeûner même quelques jours. Les personnes en burn-out ou trop épuisées auront plutôt intérêt à se mettre à la diète, au jus de légumes et de fruits. Dans les proportions d’environ ⅔ de légumes et ⅓ de fruits bien mûrs. De cette façon, elles vont se reminéraliser, apporter de l’énergie à leur organisme tout en mettant leur tube digestif dans une sorte de repos puisque l’assimilation se fera très facilement. Elles gagneront en énergie et les jus, additionnés d’eau de mer, apporteront à leurs organismes une grande quantité de minéraux biodisponibles, facilement assimilables qui capteront les acides en circulation. Si en plus, ces personnes se reposent pendant cette cure de jus, l’énergie ainsi économisée servira à détoxifier davantage. Jeûne sec ou à l'eauPour les personnes qui ne sont pas en épuisement, un jeûne à l’eau ou à sec et au repos, sera encore plus puissant. Suivant la durée du jeûne, le corps va se nettoyer puis réparer des parties qui en ont besoin. Plus le jeûne sera long, plus puissant sera le nettoyage et la régénération. Il est possible progressivement de se débarrasser de toxines accumulées depuis plusieurs décennies… Toutefois il n’est pas recommandé de vouloir jeûner sans préparation et trop longtemps. Il est raisonnable de commencer doucement et d’augmenter la durée du jeûne progressivement en fonction de ses capacités. Prévoyez votre jeûne à l'avanceSi vous n’avez jamais jeûné, prévoyez 6 jours au repos, seul ou accompagné. Jeûner 3 jours est en principe possible pour tout le monde et sans danger (adulte sans pathologie grave). Poursuivre avec 3 jours de jeûne intermittent avec des petites collations de fruits ou légumes crus ou des jus de légumes toutes les 2 heures de l’après midi jusqu’au soir. La meilleure préparation pour tous est de diminuer, voire supprimer tous les aliments qui contiennent du gluten en sachant que le pire est le blé. De diminuer ou de supprimer totalement les produits laitiers, les pires sont ceux à base de lait de vache. Manger plus de légumes et de fruits frais et bien mûrs, éviter les aliments traités chimiquement dans la mesure du possible ou les laisser tremper dans de l’eau avec un morceau de charbon actif de bambou* pour adsorber et absorber les produits chimiques sur et dans la peau des végétaux. Diminuer sa ration de produits animaux, et préparer soi-même sa nourriture. Diminuer ou supprimer les excitants. Éviter tous les produits chimiques dans l’alimentation mais aussi dans les produits de soin pour le corps. Plus tôt commencera votre préparation, mieux se passera votre jeûne. Ces recommandations sont d’ailleurs valables à vie ! Si vous êtes accompagnés pendant votre premier jeûne, le ou la thérapeute qui a l’habitude, saura vous dire combien de temps vous pourrez consacrer à votre prochaine cure de jeûne, en fonction de votre constitution et de vos maux pendant cette première démarche. De cette façon, vous pourrez prévoir de jeûner idéalement 2 fois par an en augmentant la durée à chaque fois. Belle régénération à tous L’hyperperméabilité intestinaleL’état de notre intestin
de la perméabilité
La muqueuse intestinale est la seule barrière entre notre sang et notre lymphe, et de dangereux agents de l’environnement : bactéries et aliments. L’état de cette barrière dépend beaucoup de deux facteurs : les cellules épithéliales de la muqueuse et la flore bactérienne du grêle. La nutrition actuelle paraît responsable de façon directe ou indirecte de nombreuses affections. Si l’on compare l’alimentation ancienne et l’alimentation moderne, on constate que les principales différences se situent au niveau des laits animaux, des céréales, de la cuisson, de la préparation des huiles, de la pollution et de la teneur en vitamines et minéraux. Il est indispensable de réparer en continu notre système digestif et notamment l’intestin dont le rôle de barrière permet d’éviter que certains aliments indésirables passent dans la circulation générale. Quand on a une candidose, c’est-à-dire une mycose intestinale qui élimine les levures, les fibres insolubles ne sont plus détruites : elles gonflent et notre ventre aussi. Ce signe est important pour reconnaître un problème de candidose digestive. Des flatulences, voire des diarrhées peuvent aussi apparaître au niveau du côlon si on absorbe trop de gluten glyqué (protéines des céréales, ou de caséine glyquée (protéine du lait). C’est aussi le cas si les germes du côlon sont mal en point, (suite par exemple à des traitements médicaux comme des antibiotiques). Ces germes propres au côlon ont aussi d’autres rôles importants et méconnus : permettre la sécrétion de certaines substances non apportées par l’alimentation ou en quantités insuffisantes (exemple la vitamine K), et permettre de réguler toute la réponse immunitaire. C’est la raison pour laquelle il faut en prendre grand soin ! Une barrière qui a parfois des trousComme la peau fait barrière entre l’extérieur et l’intérieur de notre organisme, l’intestin sert de barrière entre les éléments nutritifs venant des aliments et notre sang. L’intestin est constitué d’une muqueuse unicellulaire de quelques microns d’épaisseur posée sur une membrane basale. Les entérocytes (cellules de la paroi intestinale en contact avec le chyme alimentaire (la bouillie qui arrive dans le côlon), forment un tissu dans lequel les cellules sont liées les unes aux autres par un film très peu perméable. Seules l’eau et les très petites molécules peuvent la traverser pour parvenir jusqu’à la circulation sanguine. Pour que cette muqueuse joue son rôle de filtre et n’envoie pas dans le sang des particules trop grosses, des résidus, des toxines ou des germes, il faut qu’elle soit perméable à ce qui est bon pour nous et imperméable à ce qui ne l’est pas. Ce film peut être altéré par l'ingestion de toxines, de germes ou virus, une mauvaise oxygénation par le sang dû au stress, un excès de viande etc. La muqueuse devient alors comme poreuse et laisse passer dans la circulation sanguine ce qui ne devrait pas y pénétrer, empoisonnant le foie et intoxiquant les tissus. Normalement, un intestin en bonne santé permet une perméabilité contrôlée. Mais pour de multiples raisons la paroi intestinale peut-être lésée, enflammée, endommagée et laisser échapper des toxines et des toxiques qui migrent ensuite dans tout l’organisme en le polluant. Les espaces entre les cellules qui composent la paroi intestinale s’agrandissent et laissent passer des antigènes de plus grosses tailles qui d’ordinaire ne peuvent pas traverser. Ces antigènes de grosses tailles font réagir le système immunitaire qui les prend pour des particules étrangères qui agressent l’organisme. Il en résulte une production d’anticorps contre des aliments inoffensifs ! Si ce phénomène s’emballe, la production d’anticorps se multiplie et se répand dans tout l’organisme et attaque nos propres tissus. Actuellement ce syndrome de perméabilité de l’intestin touche la majorité de la population, très peu y échappent. Les symptômes sont les suivants : gaz, ballonnements, constipation ou selles collantes nauséabondes, urine foncée malodorante, léthargie après les repas, cernes marquées sous les yeux, troubles ORL, maux de tête, langue blanche chargée, haleine fétide, envies difficiles à réfréner de sucre, de gâteaux, de produits laitiers, hyperactivité, TOC etc. Cela permet aussi de comprendre pourquoi nous sommes de plus en plus nombreux à souffrir d’allergies et d’intolérances. Nous venons de voir comment des molécules d’un aliment peuvent s’échapper par une voie anormale en traversant la barrière intestinale directement sans passer par le filtre normal de la cellule. Dans ce cas, même un aliment qui nous convient dans l’absolu va devenir un poison car une fois échappé de l'intestin, notre système immunitaire le voit comme un allergène. La solution la plus simple est de manger très peu pendant quelques jours, ou encore mieux de jeûner puis de ne plus consommer de gluten ni de produits laitiers. Conséquence de la perméabilité intestinaleCette perméabilité entraîne des problèmes de diarrhées et de constipations, de mauvaise haleine, de fatigue, de dermatoses, des intolérances alimentaires, le syndrôme du côlon irritable, la candidose, des infections vaginales, des pathologies auto-immunes. Cela peut aller encore plus loin : l’hyperperméabilité liée à une inflammation de l’intestin avec une production de radicaux libres qui pourront être à l’origine de cancers. Peut-on réparer nos intestins ?La flore et la muqueuse intestinales se renouvellent en permanence. Il faut veiller à la qualité et la quantité des aliments ingérés. Nous disposons de deux armes efficaces pour contrer l’hyperperméabilité intestinale, les probiotiques qui agissent sur la flore en les régénérant et les anti-inflammatoires de la muqueuse intestinale (glutamine, curcumine, chlorophylle). Éventuellement aussi des huiles essentielles et de l’extrait de pépin de pamplemousse en cas de dysbiose. Il faut contrer ce problème le plus tôt possible si l’on veut profiter des avantages d’un changement qualitatif de programme alimentaire. Les huiles alimentaires industrielles ou le danger des huiles actuelles
Comme je l’ai écrit dans mon précédent article sur les aliments, le XXe siècle a vu se développer l’industrie agroalimentaire qui a entraîné plusieurs changements dont celui de la préparation des huiles alimentaires.
Les dangers liés aux méthodes actuelles pour la préparation industrielle des huiles ont été dénoncés dès 1980 par le Dr Kousmine et ultérieurement par d’autres. Autrefois les huiles étaient extraites des plantes par première pression à froid avec une température d’environ 30°C. Ces huiles contenaient des acides gras essentiels, en particulier l’acide linoléique et l’acide alpha linolénique ou vitamine F. Cependant le rendement n’atteignait que 30%. Depuis la seconde guerre mondiale, de nombreuses huiles sont extraites à chaud, sur de la vapeur d’eau entre 160 et 200°C. Ce procédé porte le rendement à 70%. On y ajoute souvent un pressage à froid, après mélange de la graine avec un solvant, l’hexane, ce qui permet de recueillir 100% des corps gras. Ceci oblige à de multiples raffinages. Ce mode de préparation entraîne 3 inconvénients :
Ces considérations ont conduit le Dr Kousmine (1983) à proposer le remplacement des huiles industrielles par des huiles de première pression à froid, notamment dans le traitement des maladies auto-immunes. Sources : Dr Kousmine et Dr Seignalet Nos aliments d’aujourd’hui sont-ils vraiment adaptés à nos organismes ?
L’importance de nos aliments est à l’heure actuelle grandement sous-estimée par la grande majorité des médecins à l’exception de quelques pionniers. Alors que pour commercialiser un nouveau médicament, on exige à juste titre qu’il remplisse de nombreux critères d’efficacité et d’innocuité relative, bien moins de précautions sont prises en matière nutritionnelle. Si bien que l’alimentation des hommes et des animaux a beaucoup changé au cours des siècles sans assez de surveillance. C’est pourquoi, à l'heure actuelle, elle offre trois caractères inquiétants :
Ces différents aspects ont un impact sur nos organismes qui ne sont pas génétiquement adaptés, entraînant des perturbations plus ou moins importantes sur notre santé. Les chromosomes et les gènes peuvent être modifiés par certains facteurs de l’environnement : radiations, substances cancérigènes etc. et le Docteur Seignalet a mis également en évidence que les molécules bactériennes ou alimentaires venues de l’intestin grêle peuvent passer la barrière intestinale (hyper-porosité intestinale) pour se retrouver anormalement dans le sang. Phénomène qui a bien évidemment des répercussions sur la santé. Voici ce que dit le Dr Seignalet : “ La muqueuse intestinale est la seule barrière entre notre sang et notre lymphe et de dangereux agents de l’environnement : bactéries et aliments. L’état de cette barrière dépend de deux facteurs : les cellules épithéliales de la muqueuse et la flore bactérienne de l’intestin grêle. La nutrition actuelle paraît responsable de façon directe ou indirecte de nombreuses affections. Si l’on compare l’alimentation ancienne et l’alimentation moderne, on constate que les principales différences se situent au niveau des laits animaux, des céréales, de la cuisson, de la préparation des huiles, de la pollution et de la teneur en vitamines et minéraux. Le XXe siècle a vu se développer l’industrie agroalimentaire qui a entraîné plusieurs changement :
Pendant des millions d’années, les hommes ont consommé une nourriture naturelle, analogue à celle des animaux sauvages. D’après les lois de Darwin, les enzymes et les mucines digestives*, les enzymes cellulaires étaient adaptées aux diverses substances ingérées. L’alimentation moderne est riche en macromolécules nouvelles, pour lesquelles enzymes et mucines ne sont souvent pas adaptées. Les enzymes ont une spécificité étroite, semblable à celle d’une clef qui n’entre que dans une seule serrure. Ces enzymes s'avèrent donc incapables de métaboliser correctement beaucoup de molécules nouvelles, ce qui n’est pas sans conséquence vous vous en doutez bien. Interactions entre protéines et glucides réducteursCe sont les fameuses réactions de Maillard, mises en évidence par ce chimiste dès 1916 et qui ont donné lieu à de nombreux travaux. Elles se produisent entre le groupement amine des protéines et le groupement carbonyle des sucres, aboutissant à la formation de substances de plus en plus complexes. Au cours des réactions de Maillard se créent des substances à faible effet mutagène. Et l’on peut vraiment se demander quel est le devenir de ces grosses molécules lorsqu'elles ont traversé la barrière intestinale. Certains composés de Maillard sont insolubles dans l’eau et résistants aux enzymes protéolytiques. Même l’eau de Javel ou les détergents ne peuvent les casser. Rien ne s’oppose à l’accumulation de ces substances, sans modification de leur structure, sinon dans les cellules, du moins dans le milieu extracellulaire. Ce qu’il faut retenir c’est que la cuisson engendre un grand nombre de molécules complexes, n’existant pas à l’état naturel, et dont les propriétés ainsi que le destin nous sont inconnus. Il a été démontré que certaines substances issues de la cuisson sont toxiques ou cancérigènes. Alors que les pesticides et les colorants préoccupent beaucoup les consommateurs, on estime à juste titre qu’ils contiennent beaucoup moins de composés mutagènes que les aliments cuits. Les modifications induites par la chaleur sont d’autant plus importantes que la température est élevée et que le temps d’exposition est long. Il faut éviter les grillades et les fritures qui se situent entre 300 et 700°C Il faut éviter le four classique qui atteint 300°C Il faut éviter la cocotte minute qui parvient jusqu’à 140°C Il convient d’opter pour la cuisson à l’étouffée ou la cuisson à la vapeur douce. Le four à micro-ondes élève la température pendant un temps très court autour de 75°C. Cependant cet appareil possède plusieurs propriétés inquiétantes :
Les produits chauffés au four à micro-ondes subissent donc des modifications de structure subtiles, mais probablement redoutables. (Des expériences faites par le professeur Henri Joyeux sur des souris prouvent que ces produits ne sont pas sans conséquence sur la santé). Additifs alimentaires (Chambolle 1992)Colorants, Conservateurs, Antioxygènes, émulsifiants, sels de fonte, épaississants, gélifiants, stabilisants, exhausteurs de goût, acidifiants, correcteurs d’acidité, anti agglomérants, amidon modifié, édulcorants, poudres à laver, antimoussants, agents d’enrobage, traitement de la farine, affermissants, humectants, enzymes, agents de charge, gaz propulseurs, gaz d’emballage etc. Produits administrés aux animaux et aux végétaux : Hormones, antibiotiques, tranquillisants. Médicaments divers, pesticides, engrais, fongicides Tous ces produits sont délétères pour notre santé. Le terme “biologique” indique en principe : “élevé ou cultivé dans des conditions naturelles”. Mais peut-on considérer naturel le blé d’aujourd’hui, le maïs, le soja ? et les animaux qui ont consommé ces aliments ? Les oléagineux et les fruits séchés chauffés à plus de 40°C ? etc. Les carences en vitamines et en minérauxAujourd’hui la plupart des animaux d’élevage ne sortent pas de leur local et sont nourris avec des batteries comportant entre autre : luzerne déshydratée, céréales séchées, plantes séchées, produits fermentés par ensilage, tourteaux qui correspond aux résidus des graines après l’extraction de l’huile, résidus de plusieurs industries (huilerie, meunerie, amidonnerie, brasserie), farines de viandes, déchets de poissons etc. (Cordesse 1994).” Et ce n’est pas tout… J’ai reçu en jeûne récemment un chauffeur routier qui me racontait qu’une fois, il a eu comme mission d’aller chercher des colis de bonbons périmés pour les conduire dans un élevage pour servir d’aliments à moindre coût aux animaux ! “Beaucoup de légumes et de fruits poussent dans des serres et sont récoltés après une vie plus courte que les légumes et les fruits traditionnels. Il est probable que l’animal ou la plante dont la croissance est accélérée ne fixent pas une partie des minéraux et des vitamines. Nos organismes ne sont pas adaptés à ces aliments artificiels, cuits, où la proportion des divers minéraux et vitamines est mal équilibrée. La diététique ne doit pas être fondée sur des notions quantitatives, mais sur des notions qualitatives. Un retour à des aliments naturels et crus serait un grand pas dans cette direction.” * Les mucines digestives sont les constituants principaux des mucus tapissants les muqueuses digestives. Ces glycoprotéines forment un réseau protéique aux caractères physico-chimiques bien particulières qui confèrent aux mucus leur propriétés viscoélastiques. Sources : Dr Seignalet : L’alimentation ou la troisième médecine. Le sel du point de vue hygiéniste
En hygiénisme, c’est-à-dire lorsque l’on respecte son organisme et que l’on évite de le perturber soit par une hygiène de vie inadéquate soit par une alimentation délétère, nous évitons l’utilisation du sel de mer dans l’alimentation.
Le sel fin blanc de table est toxique, il est transformé et devient un produit chimique aux effets déséquilibrants. Il contient des éléments toxiques comme des sels d’aluminium. Le sel non traitéLe sel de mer gris est probablement le meilleur de tous comme le sel de Guérande ou le sel de l'himalaya. Toutefois le sel gris de mer non traité est de l’eau de mer déshydratée qui a perdu sa charge électromagnétique et n’est donc pas correctement assimilé par l’organisme. Il est nettement préférable de le remplacer par de l’eau de mer dans les salades, les sauces etc. L’eau de mer est vendue parfois dans les magasins bio et par les boutiques en ligne comme Jurassicfruit (Voir plus bas le code de promotion pour avoir 10% de réduction). Il ne faut pas la faire chauffer, car la chaleur détruit une grande partie des nutriments qu’elle contient. Le sel blanc, un véritable poisonLe sel est une substance irritante pour le tube digestif, le bol alimentaire salé est précipité dans le côlon sans être correctement assimilé, ce qui devient irritant pour les muqueuses. Le sel donne soif également et nous oblige à consommer des liquides au cours des repas, ce qui dilue le bol alimentaire. Le sel est aussi un accélérateur du rythme cardiaque qu’il dérègle et épuise. Il favorise l'hypertension et la rétention d’eau créant ainsi des oedèmes. Il perturbe les échanges hormonaux et les sécrétions et encrasse le milieu extracellulaire. Notre approvisionnement en sel doit se faire par les plantes pour être correctement assimilé. Les fruits et les légumes consommés crus en quantité suffisante nous apportent les sels minéraux, les enzymes, les vitamines et les oligo-éléments indispensables à notre santé. Remplacer le sel blanc par du sel de céleri, des algues ou de l'eau de merLe céleri branche par exemple est extrêmement riche en sodium. Séché à moins de 40 ° et broyé, il se transforme en sel de céleri naturel et assimilable que l’on peut utiliser comme le sel de table. Dans vos plats chauds, vous pouvez remplacer le sel par des algues séchées à moins de 38°. Dans les crudités vous pouvez réhydrater les algues sèches en les trempant une minute dans de l’eau froide ou tiède puis égouttez les et laissez les gonfler pendant 15 minutes. La boutique en ligne Jurassic fruit propose un choix important de variétés d’algues séchées à moins de 38° ainsi que de l’eau de mer. Avec le code de promotion CURENATURE vous obtenez 10% de réduction sur votre première commande. Perte de calcium : causes et solutions
Comme vous le savez surement, toutes les personnes qui viennent à CureNature bénéficient d’un bilan à résonance magnétique gratuit effectué avec l’appareil Mini Quantum.
Force est de constater qu’environ 90 % des personnes qui font ce bilan ont une grande perte de calcium avec des taux parfois inférieurs à 5 fois ceux recommandés par l'OMS. Je peux dire que les ¾ des personnes dans ce cas de figure sont également en acidose avec un pH plus ou moins bas.. Nous savons que pour neutraliser les acides, l’organisme va chercher des minéraux disponibles en premier dans les vaisseaux sanguins, augmentant ainsi les risques de faire un AVC. Puis l’organisme va continuer à chercher des minéraux là où il y en a le plus dans le corps c’est-à-dire dans les os. Ainsi plus on sera en acidose plus forte sera la perte de calcium des os dans le système tampon qui permet au sang de garder un pH toujours stable. Pour environ ¼ des personnes qui ont un pH neutre, comment peut-on expliquer ce manque de calcium, qui je vous le rappelle, a des incidences sur notre densité osseuse, augmentant les risques de rhumatisme; de calcification osseuse, d’ostéoporose et d’hyperostose et a un impact sur la croissance osseuse. Ces personnes ont-elles une alimentation riche en calcium et peu acidifiante ?Si ce n’est pas le cas, elles doivent revoir leur alimentation et éviter les produits les plus acidifiants et favoriser ceux riches en calcium. Vivent-elles ou travaillent-elles en ville et sont donc peu en contact avec la lumière du jour, avec le soleil ? Ce soleil qui, je vous le rappelle, permet de fixer la vitamine D qui elle-même permet de synthétiser le calcium. Si cette perte de calcium continue dans le temps, les risques de fracture des os augmentent de ce fait avec l’âge. C’est pourquoi les personnes âgées ont les os plus fragiles. Les conséquences comme les fractures du col du fémur, douloureuses et handicapantes, ne sont pas rares, et entraînent une opération avec tous les risques qu’elle comporte pour des personnes plus fragiles. Qu’est-ce que le calcium ?Le calcium est le constituant minéral le plus abondant chez l'homme : de 1 à 1,2 kilo à l’âge adulte dont 98 % sont situés dans la matrice osseuse. 99% de ce calcium contribue à la formation et à la solidité des os et des dents. Le calcium non osseux, malgré sa faible part (1 %), intervient dans de multiples fonctions indispensables : coagulation sanguine, contraction musculaire, conduction nerveuse, libération d'hormones… Le taux de calcium dans le sang est maintenu dans des limites de valeurs très étroites et ce au détriment des réserves osseuses. Ainsi, l'impact d'un régime n'apportant pas suffisamment de calcium (alimentation carencée), n'est apparent que lorsque surviennent des modifications au niveau de l'os (mauvaise constitution osseuse chez le jeune, décalcification chez l'adulte et la personne âgée). Le calcium sert à former et à solidifier les os et les dents ; à dynamiser la circulation sanguine ; à limiter l'hypertension artérielle ; à éviter les crampes, surtout pendant la grossesse ; à réguler le taux d'insuline et mieux assimiler le sucre ; à diminuer les risques de cancer du côlon. Le corps ne peut pas le synthétiser, il faut donc un apport extérieur indispensable. Il soutient la fréquence cardiaque, la conduction nerveuse, musculaire, la coagulation du sang. Quels sont les apports conseillés en calcium ?À tout âge, l'organisme a besoin d'un apport régulier en calcium. Les besoins sont cependant différents selon les périodes de la vie. Les apports quotidiens conseillés en calcium sont de :
Quels sont les effets du calcium sur la santé ?Le calcium est l'un des minéraux essentiels au développement, puis au renforcement, des os et des dents. Les médecins ont pris l’habitude de supplémenter en calcium, généralement en association avec de la vitamine D, les femmes de plus de 50 ans afin de limiter les risques d'ostéoporose. Le calcium est également efficace contre les douleurs prémenstruelles. Que provoque une carence en calcium ?Il faut veiller à consommer régulièrement des aliments riches en calcium. Une carence en calcium peut entraîner : des crises de tétanie ; des fourmillements ; des troubles de l'humeur ; des maux de tête ; des crampes abdominales, associées ou pas à des diarrhées ; un essoufflement. Dans quels aliments trouver du calcium ?Dans le cadre d'un régime alimentaire équilibré, nous absorbons quotidiennement environ 1000 mg de calcium. L'aliment le plus riche en calcium est ... le wakamé, une algue brune très utilisée dans la cuisine japonaise, en salade ou dans les soupes. Toutes les algues alimentaires sont également riches en calcium. Les végétaux apportent du calcium et il est mieux assimilé que celui du lait. Certains légumes verts contiennent beaucoup de calcium, notamment les épinards, les blettes, le cresson, le persil, le chou. Pour un bon apport quotidien en calcium, il est recommandé d’en manger 400 à 600 g par jour. Les légumineuses, quant à elles, sont aussi particulièrement riches en calcium. Il s'agit par exemple des haricots blancs et des pois chiches. Tous ces aliments sont excellents pour la santé, puisqu'ils contiennent aussi d'autres minéraux comme le magnésium et le potassium. Les graines oléagineuses les plus connues sont les graines de sésame, de pavot, de tournesol, de lin ou encore la graine de courge. Ces graines fournissent une grande quantité d’acides gras insaturés mais également beaucoup de calcium. En effet, 100 g de graines de sésame fournissent environ 950 mg de calcium. De même, châtaignes, amandes, noisettes, pistaches ou encore noix de macadamia en fournissent de 250 à 85 mg (pour 100 g). Très saines, ces graines peuvent être consommées sans risque, d’autant qu’elles apportent également de nombreux autres minéraux, des lipides et des protéines. Quels sont les autres aliments riches en calcium ?
Séjour de régénération octobre 2021, devenu en 2022 : séjour vitalité
Le séjour de régénération se passe merveilleusement bien.
Nous nous régalons. Même en octobre, nous pouvons profiter de la plage et des baignades, de la piscine du mas et des randonnées... En dernière semaine, atelier découverte et soins aux bols tibétains avec Carine. Sylvette Lumière est venue une nouvelle fois témoigner de sa guérison grâce à l'alimentation vivante, les jus d'herbe etc. Réflexion sur le cancer ; causes et préventionLettre à Antoine
Salut Antoine,
Je viens d’apprendre ton brutal décès d’un cancer, aussi nous n’avons pas pu nous revoir avant que tu partes, un mois il faut dire que c’est rapide… Tu es la 5e personne de mon entourage touchée par un cancer en un mois, un ami en phase terminale, 29 ans, un autre au stade 2, et une récidive, la femme d’un client … Je me suis dit que c’était un signe, que c'était le moment de donner mon avis sur la question, dont la médecine dit ne pas connaître la cause. Ne regrette rien, même si tu avais lu cette lettre avant d’être malade cela n’aurait rien changé, il y a une chose que j’ai apprise depuis longtemps, c’est que la plupart des gens préfèrent mourir plutôt que de changer de mode de vie, surtout d’alimentation. Te connaissant bien, je sais que tu faisais partie de ceux-là. Mais les considérations terrestres ne te concernent plus, alors faisons le plus court possible. CAUSES DU CANCER1 D'où vient l'échec du système immunitaire ? Officiellement, les causes du cancer ne sont pas connues. Les médecins ne sont pas des imbéciles, donc la cause ne doit être ni simple, ni unique à détecter. Il s’agit vraisemblablement de causes multi-factorielles. Dans le même temps, nous savons qu’il se forme tous les jours dans l’organisme des centaines, voire des milliers de cellules anormales, cancéreuses, mais qui, lorsqu'elles sont détectées par le système immunitaire, sont éliminées. Alors, pourquoi le système immunitaire échoue t-il dans certains cas ? Nous connaissons plusieurs substances cancérogènes (participant à la genèse de cancers) et cancérigènes (favorisant son développement). Ne nous embarrassons pas des nuances, restons simples et succincts : il y a des molécules dangereuses pour l’organisme. Des xénobiotiques qui sont étrangères à la vie. Les antibiotiques (anti bio – anti vie aussi ?) également ciblent les bactéries, mais les xénobiotiques, moins célèbres, sont pourtant de vrais poisons. Une petite liste en vrac : ACRYLAMIDE L'acrylamide est un composé chimique produit industriellement et utilisé pour la fabrication des plastiques, des cosmétiques et pour le traitement des eaux. Il est considéré comme un toxique dangereux (mutagène, génotoxique et cancérogène) Produit par la cuisson des amidons (pains, pâtes, pomme de terre etc, surtout à hautes températures) FURANES Les furanes sont des toxiques pour l’organisme. Ils provoquent des maladies de la peau comme la chloracnée, des troubles hépatiques, un affaiblissement du système immunitaire, de l’appareil endocrinien et des fonctions de reproduction. On leur attribue aussi des effets sur le développement du système nerveux ainsi que certains cancers. HAP Les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), formés lors de la cuisson au bois ou au charbon, ont des propriétés cancérigènes BENZOPYRÈNE C20H12 appartenant à la famille des hydrocarbures aromatiques polycycliques. Structurellement formé de cinq cycles fusionnés, c'est un agent mutagène très cancérogène MOLÉCULES DE MAILLARD Brunissement rapide de la viande produit par les mélanoïdines La réaction chimique très complexe qui se produit dans presque tous les aliments, résultant de la condensation initiale entre le groupement amine de composés organiques (acide aminé, protéine) et le groupement carbonyle de sucres réducteurs (glucose, fructose, lactose, ribose) Pigments bruns de structure très peu connue, cette molécule est la responsable principale de la production des odeurs, des arômes et des pigments caractéristiques des aliments chauffés (sirop d'érable, beurre noisette), des aliment cuits (viandes rôties, pain grillé, café fraîchement torréfié) ou du jambon cru. Elle peut aussi donner naissance à des composés cancérigènes (acrylamides, hydrocarbures polycycliques, amines hétérocycliques, HMF) et également réduire la valeur nutritionnelle des aliments PEROXYDES DE LIPIDES Lorsque l'huile d'olive est surchauffée, des produits chimiques toxiques appelés "péroxydes de lipide" sont libérés. Ces derniers peuvent réagir avec des protéines et l'ADN, et ainsi augmenter le risque de cancer et de maladie cardiaque NITROSAMINES (Produits fumés, nitrités – charcuteries) Les nitrosamines sont une famille de composés chimiques azotés et oxydés. Les nitrosamines, en particulier les dérivés N-nitrosés, constituent une famille de composés chimiques extrêmement dangereux 90 % des nitrosamines ont manifesté un pouvoir cancérigène sur de nombreux organes et ceci pour toutes les espèces animales testées AMINES HÉTÉROCYCLIQUES Les amines hétérocycliques (AH) sont des composés chimiques formés au cours de la cuisson des viandes, du poisson ou de la volaille, principalement si la viande est grillée à haute température ou cuite pendant longtemps On a observé que les (AH) ont causés certains types de cancer dans des études en laboratoire menées sur des animaux tels les rats et les souris La plus grande partie des expositions aux (AH) surviennent par les aliments. Il y aussi les Phtalates, Bisphénol A, Les AGEs AGEs (Advanced Glycation End-Products) Nous négligeons les effets d’accumulation, d’addition et de combinaisons des différents AGE. Le glycation a des conséquences dans tout l’organisme, et joue notamment un rôle important dans certaines maladies telles les lésions cellulaires et tissulaires du diabète, le vieillissement vasculaire et l’insuffisance rénale Tu vas me dire, les quantités de ces poisons sont faibles dans les aliments. Oui, mais on ne mesure pas les effets cumulatifs (les molécules restent dans l’organisme) et croisés (quid de l’effet des mélanges des acrylamides, HAP, Acrylamide, molécules de maillards présentes ‘en même temps’ dans la tractus digestif. Tu vas me dire également, si tous ces aliments étaient si dangereux, on tomberait comme des mouches ? Oui, on dirait en effet que passé l'âge de 50 ou 60 ans , c’est ce qui arrive, tu es maintenant bien placé pour le savoir, malheureusement. «Tout est poison, rien n'est poison. La dose fait le poison.» - Paracelse (1493-1541) 2 Réactions à la cuisson Pour faire simple, l’action cancérogène des produits ci-dessus vient de leurs interférences avec l’ADN cellulaire. Mais il y a une autre source de problèmes, très peu évoquée, et qui mérite réflexion. La cuisson des protéines d’une manière générale transforme les protéines, modifie leur conformation, leur disposition 3D. Imagine une clef tordue par la chaleur, elle ne rentrera plus dans la serrure. Une certaine portion des protéines ainsi déformées ne sera pas bien dégradée par les enzymes, et pourra traverser la paroi intestinale, passer dans le sang = antigène. (On appelle antigène toute substance étrangère à l'organisme capable de déclencher une réponse immunitaire visant à l'éliminer) Ces antigènes d’origine alimentaire vont être une charge pour le système immunitaire. https://www.rts.ch/info/sciences-tech/12292448-une-etude-confirme-le-lien-biologique-entre-viande-rouge-et-cancer.html 3 Les produits laitiers et le gluten Le même raisonnement s’applique pour les produits laitiers et le gluten. Le gluten est une protéine végétale, qui si elle est mal digérée (déficit enzymatique), va perturber le système immunitaire. Les produits laitiers comportent des protéines (bêta lactaglobulines) susceptibles de déranger le métabolisme. La raison est globalement simple à comprendre : consommer le lait d’un autre animal est une innovation technologique humaine qui date d’environ 8000 ans. Il n’y a pas de raison, à priori, que cela soit sans conséquence. Notre génétique a-t-elle eu le temps de s’adapter à cette avalanche de protéines inconnues ? https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%AAta-lactoglobuline La β-lactoglobuline est aussi rencontrée dans un désordre immunologique fréquent ; en fait, elle est l’allergène impliqué dans 82 % des cas d’allergies au lait chez les jeunes enfants 4 Le microbiote Le microbiote a un rôle très important dans l'écosystème intestinal. D’ou le danger des antibiotiques qui perturbent l’équilibre bactérien et l'importance des fibres et des pectines contenus dans les fruits et légumes. https://observatoireprevention.org/2020/10/07/un-apport-insuffisant-en-fibres-alimentaires-nuit-au-microbiote-intestinal-et-a-lequilibre-du-systeme-immunitaire 5 La micronutrition La carence en vitamine D a des conséquences sur l’immunité. Il faut prêter attention à la micronutrition de manière à éviter les carences en vitamines. https://www.larevuedupraticien.fr/article/effet-benefique-de-la-vitamine-d-dans-la-covid-quelles-sont-les-donnees 6 Les facteurs environnementaux Les pesticides Nous savons tous qu’ils sont présents dans notre alimentation et qu’ils peuvent être des facteurs cancérogènes. https://www.cancer-environnement.fr/326-Pesticides.ce.aspx
La pollution – air - eaux7 Le stress et le sommeil Il est démontré maintenant que le système parasympathique est étroitement lié à l’immunité. Pour faire simple, le stress et le manque de sommeil sont des facteurs qui dépriment le système immunitaire. https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/stress-stress-diminue-nos-defenses-immunitaires-50069/ 8 La psychologie En amont des pratiques délétères (alcool, tabac etc.), il y a une déconnection possible entre le corps et l’esprit. Des manques intérieurs, émotions refoulées, voire des injonctions destructrices (d’un milieu familial néfaste dans l’enfance par exemple) que seule une approche psychologique, une recherche de reconnection à son monde intérieur peut résoudre. 9 les autres causes Passons sous silence les causes encore plus évidentes comme l’irradiation nucléaire (perturbant encore une fois l’ADN par ses rayons pénétrants à haute énergie), les UV … Le tabac, l’alcool, ces causes sont tellement connues et documentées qu’il n’est pas vraiment utile de s'y attarder ici. ACTIONS ANTI CANCERCadre conceptuel – biologie évolutionniste Pour alimenter notre réflexion et s’y retrouver parmi toutes nos lectures, la notion de biologie évolutionniste nous est d’un grand secours. L’évolution se fait sur des millions d’années, et globalement les organismes des primates sont les mêmes au XXIe siècle qu’il y a 50 000 ans. Or l’environnement, lui, s'est radicalement transformé. Il vaut mieux prévenir que guérir, adage facile, au vu des éléments ci-dessus, on peut en déduire une ligne d’action idéale : 1. Éliminer de notre alimentation toutes les sources de xénobiotiques. Se méfier en particulier des protéines transformées. Adopter une alimentation la plus riche possible en aliments crus, riches en fibres et en antioxydants. Éviter les pesticides, les fongicides et les produits chimiques. 2. Intégrer une gestion du stress dans notre mode de vie. Dans la vie moderne, quasi impossible d’y échapper, les pressions professionnelles, familiales, relationnelles multiples sont des ennemis inévitables. Nous devons donc penser à des activités comme la méditation, la sophrologie, le yoga... … 3. Sport, Intégrer une activité physique dans son mode de vie. L’activité physique renforce l’immunité. Ou plutôt, le fait d’être trop sédentaire la dégrade (notion évolutionniste encore une fois). https://www.irbms.com/activite-physique-et-immunite/ La pratique d’une activité physique est connue comme thérapie non médicamenteuse afin de booster les défenses immunitaires et ceci est précisé par la loi dite Sport Santé sur ordonnance. https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-billet-vert/pourquoi-le-sport-booste-notre-immunite_4292355.html Notre système immunitaire est renforcé grâce à l'activité physique qui stimulent de petites cellules qui réparent les os. Ces petites cellules magiques, ce sont les cellules hématopoïètiques, elles sont situées au cœur de la moelle osseuse, et elles produisent toutes les cellules sanguines notamment les lymphocytes, qui sont nos cellules immunitaires. 4. Respiration La méthode Wim Hof (une technique d’hyper ventilation) a démontré en étude hospitalière un impact sur une meilleure résistance à l’injection d’une toxine. Une piste intéressante pour booster notre immunité. 5. Le Jeûne Lors du jeûne, notre système de défense se reconstitue pour être opérationnel lors d'une invasion virale par exemple et peut procéder de manière optimale à la destruction massive des virus invasifs http://www.slate.fr/story/100539/jeuner-trois-jours-systeme-immunitaire CONCLUSIONLe sujet est vaste, l’impact immense, des dizaines de millions de personnes, la maladie en pleine croissance, tragiquement. Pourtant si les causes semblent multiples comme les têtes d’une hydre mystérieuse, elles se ramènent toutes à un seul tronc commun : l’immunité. Un système immunitaire assiégé, terrorisé quotidiennement par des avalanches de xénobiotiques, produits chimiques, protéines antigènes, éventuellement stress, tabac, manque de sommeil, hypoxie etc … ! Les solutions semblent alors plus évidentes : comment éviter de déranger l’immunité, comment renforcer son immunité. L’éléphant dans la pièce, c’est l’alimentation, la modifier pour revenir à des habitudes plus naturelles (au sens de la biologie évolutionniste) est la première piste essentielle. Gestion du stress, travail sur les émotions, activité physique, respiration et jeûnes complètent la démarche holistique à même d’affronter efficacement les problèmes qui se posent et de se remettre sur les rails d’une super forme. Divagations sur le cancer de Frédéric G QUELQUES LIENShttps://www.rts.ch/info/sciences-tech/12292448-une-etude-confirme-le-lien-biologique-entre-viande-rouge-et-cancer.html https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/06/22/le-lien-entre-consommation-de-viande-rouge-et-cancer-colorectal-mieux-compris_6085111_3244.html https://www.thierrysouccar.com/nutrition/info/les-mefaits-de-la-cuisson-haute-temperature-369 https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/stress-stress-diminue-nos-defenses-immunitaires-50069/ https://presse.inserm.fr/quand-le-stress-affaiblit-les-defenses-immunitaires/38527/ https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/sommeil-sommeil-renforce-notre-systeme-immunitaire-75008/ https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=allies-systeme-immunitaire https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%AAta-lactoglobuline https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Reduire-les-risques-de-cancer/Alimentation https://www.larevuedupraticien.fr/article/la-pratique-du-sport-t-elle-un-impact-sur-letat-immunitaire https://www.irbms.com/activite-physique-et-immunite https://www.larevuedupraticien.fr/article/effet-benefique-de-la-vitamine-d-dans-la-covid-quelles-sont-les-donnees http://www.slate.fr/story/100539/jeuner-trois-jours-systeme-immunitaire Pourquoi utiliser du charbon actif ?
Le charbon actif ou activé a des qualités inégalables ; Il est purifiant, désinfectant, nettoyant et 20 fois plus absorbant que l’argile, il est aussi adsorbant, c’est-à-dire qu’il attire à lui.
A l’instar du diamant, il est composé presque exclusivement de carbone, c’est pourquoi au Japon, le charbon de bambou est surnommé le “diamant noir” . Hippocrate connaissait déjà les vertus du charbon végétal. Pour les cas d’intoxication alimentaire lorsque vous vous rendez aux urgences, la première chose que l’on vous donne c’est du charbon actif. Mais plus couramment, lorsque vous ne digérez pas quelque chose, ou que vous avez des ballonnements, des gaz etc. prendre un peu de charbon actif en 1 ou 2 fois avec de l’eau permet de soulager très rapidement vos inconforts; gaz, fermentation, putréfaction intestinale, toxines de bactéries et parasites, molécules chimiques, métaux lourds, alcool etc. Attention toutefois si vous suivez un traitement médical, ne prenez pas de charbon proche des prises médicamenteuses, laissez au moins deux heures d'intervalles entre la prise du médicament et la prise de charbon actif, de manière à ne pas annuler les effets des médicaments ou même d’une pilule contraceptive. Pour vous donner une idée de la puissance du charbon actif, sachez que 1 cm3 de charbon activé peut nettoyer une surface d’environ 1,2 km2. Habituellement, dans le commerce, on trouve du charbon activé en poudre, en granulés, en comprimés ou en gélules. Ces formules sont spécifiques pour un usage interne. Toutefois le charbon actif en morceaux sert également à purifier l’air en absorbant et adsorbant la pollution, l’humidité, les odeurs, la fumée, les ondes électromagnétiques, la radio-activité etc. à l’intérieur comme à l’extérieur des bâtiments. Les morceaux de charbon peuvent être immergés également dans l’eau de boisson pour purifier cette eau. Le charbon actif de bois n’est pas recommandé pour éviter la destruction des forêts. Il est préférable d’utiliser du charbon actif de noix de coco ou de bambou. L'or noir du Japon Les japonais utilisent depuis des millénaires le Takesumi qui est un charbon activé de bambou travaillé dans des fours en argile pendant une lune soit 28 jours. Ainsi il vous est possible de vous procurer des morceaux de charbon activé pour en mettre dans votre pichet d’eau ou fontaine d’eau mais aussi pour poser proche de la wifi, de la télévision, dans le réfrigérateur, la salle de bain, les WC et toutes les autres pièces de la maison. Le charbon actif est probablement le purificateur le plus puissant que l’on connaisse, mais ce n’est pas un médicament ni un complément alimentaire. A CureNature, je propose du Takesumi, le charbon actif de bambou en poudre ou en bâtonnets en direct d'Asie. L'or noir du JaponLes japonais utilisent depuis des millénaires le Takesumi qui est un charbon activé de bambou travaillé dans des fours en argile pendant une lune soit 28 jours. Ainsi il vous est possible de vous procurer des morceaux de charbon activé pour en mettre dans votre pichet d’eau ou fontaine d’eau mais aussi pour poser proche de la wifi, de la télévision, dans le réfrigérateur, la salle de bain, les WC et toutes les autres pièces de la maison. Le charbon actif est probablement le purificateur le plus puissant que l’on connaisse, mais ce n’est pas un médicament ni un complément alimentaire. A CureNature, je propose du Takesumi, le charbon actif de bambou en poudre ou en bâtonnets en direct d'Asie. Revisiter son alimentation pour notre plus grand bien et faire des pauses de temps en temps9/22/2021 Revisiter son alimentation pour notre plus grand bien et faire des pauses de temps en temps
Au cours de sa vie, un individu fait en moyenne 80 000 repas. Cela paraît énorme, mais si nous y réfléchissons bien, pouvons-nous dire au cours de combien de repas nous avons consommé principalement des fruits et des légumes ? Les végétaux frais sont le plus souvent considérés comme une garniture, alors qu’ils devraient être la source principale de nutriments.
Interrogeons un groupe d’hommes et de femmes de 90 ans et demandons-leur si les fruits et légumes tenaient une place fondamentale dans leur alimentation avant que les modes et la publicité prennent le pouvoir et fassent chanceler les habitudes. La réponse sera très certainement positive. Une alimentation riche en fruits, légumes, herbes, épices et aliments sauvages était autrefois synonyme de longévité dans la sagesse populaire. Puis, lorsque les femmes se sont mises à travailler à l’extérieur et que le temps est devenu de l’argent, l’industrie alimentaire a créé un très grand nombre de nouveaux produits qui, s’ils nous ont fait gagner du temps pour la préparation des repas, ont également abouti à de plus grandes dépenses pour le ravitaillement et surtout à une perte de qualité des produits consommés. Souvent, nous mangeons des aliments peu adaptés à notre organisme, pour nous réconforter et non pour nous nourrir. Petit à petit, la condition de notre corps physique s’en ressent. Le corps humain pardonne tout. Le vôtre a envie de se sentir plein d’énergie ou peut-être de guérir et il peut le faire. Même après des années de mauvais traitements, de négligences et d’erreurs, il est toujours prêt à se battre pour vous. Traitez-le bien et il se montrera capable de se remettre des maladies les plus graves. Engageons-nous à faire usage de notre libre arbitre pour offrir à notre corps le soutien qu’il réclame à grands cris. Les fruits et les légumes crus sont les aliments les plus riches en nutriments essentiels faciles à assimiler. En les consommant en grande quantité, nous fournissons à notre organisme un maximum de substances utiles. Vitamines, minéraux, micro-organismes… Tous participent à la purification et à la stimulation de l’ensemble de nos fonctions vitales. Le système digestif sera l’un des premiers à bénéficier de ce protocole, ce qui influera considérablement sur notre immunité et notre santé générale. En effet, la digestion a tendance à mobiliser la plus grande partie de notre énergie. C’est un peu comme si notre organisme se conformait à une liste de tâches à accomplir en commençant par celles qui lui sont indispensables : circulation du sang, respiration, digestion. Viendront ensuite les choses qu’il aimerait pouvoir faire : se débarrasser de ses toxines, réparer ses tissus endommagés etc. si seulement il en avait le temps et la possibilité ! Mais il est submergé de nourriture indigeste et carencée de toutes parts, il est donc important de ne pas repousser éternellement la mise en œuvre de bonnes résolutions. Le jeûne pour cela sera formidable pour mettre le tube digestif au repos et donner la possibilité à l’organisme de se débarrasser des toxines qui l’encombrent et régénérer les cellules qui composent nos tissus. La première étape est la réparation. Elle consiste pendant quelques semaines à revenir à une alimentation composée de fruits et légumes uniquement et crus du moins en bonne partie. La deuxième étape est celle du jeûne proprement dit où nous ne consommons rien de solide. Ce jeûne peut se faire en buvant de l’eau ou même sans boire du tout, c’est ce que l’on appelle le jeûne sec pour un certain nombre de jours. La troisième étape est celle du demi-jeûne où l’on reprend progressivement contact avec la nourriture ; liquide avec de l’eau si l’on a jeûné à sec, puis avec des jus de légumes faits maison ou encore avec des légumes à la croque et des fruits bien juteux. La quatrième étape est celle de la reprise alimentaire progressive où l’on réintroduit les autres catégories d’aliments comme les lipides (graisses) et protéines végétales ou animales. Cette étape est délicate mais beaucoup plus facile à gérer si l’on a bien fait le demi-jeûne avant. Vous pouvez faire un jour ou 24 heures de jeûne chaque semaine, ou encore 3 jours chaque mois et 1 ou 2 cures de jeûne par an de 1 ou 2 semaines d'affilées. Il est inutile et souvent contre-productif de se lancer dans une cure de jeûne plus longue sauf pour des cas exceptionnels. "Les yeux ouverts" de Marguerite Yourcenar de 1980
Cet article n'a pas pris une ride comme vous pouvez le constater:
"Je condamne l'ignorance qui règne en ce moment dans les démocraties aussi bien que dans les régimes totalitaires. Cette ignorance est si forte, souvent si totale, qu'on la dirait voulue par le système, sinon par le régime. J'ai souvent réfléchi à ce que pourrait être l'éducation de l'enfant. Je pense qu'il faudrait des études de base, très simples, où l'enfant apprendrait qu'il existe au sein de l'univers, sur une planète dont il devra plus tard ménager les ressources, qu'il dépend de l'air, de l'eau, de tous les êtres vivants et que la moindre erreur ou la moindre violence risque de tout détruire. Il apprendrait que les hommes se sont entre-tués dans des guerres qui n'ont jamais fait que produire d'autres guerres et que chaque pays arrange son histoire, mensongèrement, de façon à flatter son orgueil. On lui apprendrait assez du passé pour qu'il se sente relié aux hommes qui l'ont précédé, pour qu'il les admire là où ils méritent de l'être, sans s'en faire des idoles, non plus que du présent ou d'un hypothétique avenir. On essaierait de le familiariser à la fois avec les livres et les choses; il saurait le nom des plantes, il connaîtrait les animaux sans se livrer aux hideuses vivisections imposées aux enfants et aux très jeunes adolescents sous prétexte de biologie; il apprendrait à donner les premiers soins aux blessés; son éducation sexuelle comprendrait la présence à un accouchement, son éducation mentale, la vue des grands malades et des morts. On lui donnerait aussi les simples notions de morale sans laquelle la vie en société est impossible, instruction que les écoles élémentaires et moyennes n'osent plus donner dans ce pays. En matière de religion, on ne lui imposerait aucune pratique ou aucun dogme, mais on lui dirait quelque chose de toutes les grandes religions du monde et surtout de celle du pays où il se trouve, pour éveiller en lui le respect et détruire d'avance certains odieux préjugés. On lui apprendrait à aimer le travail quand le travail est utile et à ne pas se laisser prendre à l'imposture publicitaire, en commençant par celle qui lui vante des friandises plus ou moins frelatés, en lui préparant des caries et des diabètes futurs. Il y a certainement un moyen de parler aux enfants de choses véritablement importantes plus tôt qu'on ne le fait". |
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