Recette de crackers de saison
A Perpignan nous avons une spécialité l’été ; les gros oignons rouges en juin, ils sont très sucrés et pas forts, c’est un délice.
J’ai donc fait des crackers à base de graines germées bien sûr et des oignons. Mais vous pouvez varier en mettant d’autres variétés d’oignon ou des légumes comme des champignons, des épinards, de la carotte, des tomates, des feuilles d’ortie etc… Matériel : Un blender Un déshydrateur et des feuilles NutriFlex ou du papier sulfurisé à poser sur la grille. Certaines personnes ont un four qui a la possibilité de régler le thermostat sur 40°, dans ce cas, il est possible de se passer du déshydrateur. Ingrédients : Graines de sarrazin Graines de lin Graines de tournesol Graines de pavot (facultatif) Graines de courge (facultatif) 2 cuillères à soupe de psyllium (facultatif) 1 ou 2 gros oignons rouges ou autres légumes de votre choix Eau de mer ou une pincée de sel Préparation 10 mn environ Je mets à tremper pendant 8 heures une poignée de graines de sarrazin 3 jours avant puis je les laisse germer en les rinçant 2 fois par jour simplement. La veille je mets à tremper les graines de tournesol et de courge puis je les rince bien, avant la préparation. 3 heures avant, je mets à tremper les graines de lin et de pavot, puis je les rince avant la préparation. Je hache finement les oignons à la main, parce que j’aime bien qu’il y ait des petits morceaux. Puis je mets dans le blender une petite moitié de chacunes des graines (sarrazin, lin, tournesol, pavot et courge) et l’eau de mer et je mixe. Dans un saladier je mélange tous les ingrédients du blender, les oignons et le reste de toutes les graines et éventuellement le psyllium. Je mélange bien avec une cuillère puis j’étale ma préparation sur la feuille NutriFlex ou le papier sulfurisé de manière homogène en laissant environ une épaisseur d’un demi centimètre. Si ma préparation n’est pas trop liquide je pré-découpe déjà les futurs morceaux en dessinant avec une spatule des lignes horizontales et verticales de manière à former des carrés de la grandeur qui me convient. Je place ma grille dans le déshydrateur et je règle le thermostat sur 40° maximum. Si ma préparation est un peu liquide je fais le marquage des carrés au bout de 3 à 5 heures de déshydrateur. Selon la température extérieure les crackers seront prêts dans 2 ou 3 jours. Pour les conserver longtemps il est indispensable qu’ils soient bien secs et conserver dans un bocal hermétique ou un sachet alimentaire hermétique (sac pour congélation). Si c’est pour les consommer rapidement vous n’êtes pas obligé de la sécher autant. Bon appétit.
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Bien manger : L’alimentation de la santéD’après Colin Campbell, extrait du livre : L’enquête Campbell « Il y a d’énormes avantages à adopter un style de vie sain. Sachez que si vous le faites, vous pouvez :
D'après l’enquête CampbellD'après Colin Campbell, pour être en bonne santé, il vous suffit simplement de changer de régime alimentaire. C’est facile et relativement peu exigeant pour arriver à des résultats aussi grands. Il faut manger des fruits frais, des légumes, des graines entières, germées trempées ou cuites et le tout d’origine biologique. Que faut-il éviter au maximum ?Il vaut mieux éviter les produits animaux ou si l’on veut en manger, alors en petite quantité et pas plus de 2 fois par semaine. Cela comprend la viande, le poisson, les œufs et les produits laitiers. Les plats préparés du commerce, et tout ce qui est chimique, trop gras, trop sucré ou trop salé. Bref, les aliments de l’industrie agro-alimentaire ne sont pas conseillés. Les céréales ne sont pas conseillées et avant tout éviter tout ce qui contient du gluten. Pour les amateurs de pain, je sais que ce n’est pas facile. Mais si vous avez la chance d’avoir près de chez vous un boulanger qui fait du vrai pain comme autrefois avec des céréales anciennes et au levain, vous pourrez en manger raisonnablement. Sinon faites des crackers. Je vous donnerai ma recette préférée du moment dans mon prochain article. Supprimer les produits animaux ne va-il pas provoquer des carences ?« Dans les aliments d’origine animale, il existe quatre nutriments que les aliments d’origine végétale ne contiennent pas pour la plupart : Le cholestérol et les vitamines A, D, et B12. Les 3 premiers nutriments ne sont pas essentiels. Le cholestérol est naturellement fabriqué par notre corps. La vitamine A est produite par notre corps à partir du bêta-carotène, et la vitamine D, en s’exposant au soleil environ 15 minutes tous les 2 jours. Ces 2 vitamines sont toxiques si elles sont consommées en grande quantité. C’est là un indice de plus qui nous rappelle qu’il vaut mieux compter sur les précurseurs de vitamines (bêta-carotène et rayons du soleil) pour que notre corps puisse bien contrôler le moment et les quantités de vitamines A et D dont il a besoin. La vitamine B12 est plus problématique. Celle-ci est fabriquée par des micro-organismes provenant du sol et de l’intestin des animaux, y compris les nôtres. Comme la quantité de cette vitamine qui est fabriquée dans nos intestins n’est pas bien absorbée, il est recommandé d’en consommer dans les aliments. Les recherches ont prouvé que les plantes qui poussent dans des sols sains et dotés d’une bonne concentration de vitamine B 12 absorberont facilement ce nutriment. En outre, nous vivons dans un monde tellement aseptisé que nous entrons rarement en contact direct avec les micro-organismes qui produisent la vitamine B 12. Nous pouvons tirer notre vitamine B 12 des légumes qui ne sont pas totalement débarrassés de la terre. Il est estimé que nous disposons d’une réserve de vitamine B 12 de trois ans dans notre corps Cette alimentation ne sera jamais mauvaise pour vousVous pouvez maximiser votre santé et contrôler les maladies, quelle qu’elles soient, avec une seule et même alimentation. La façon dont les innombrables facteurs des aliments à base de végétaux œuvrent magiquement pour créer la santé à tous les niveaux de notre corps, de nos organes, de nos cellules, de nos enzymes et dans toutes les particules de nos cellules. » Nous ne parlons ici que de l'alimentation physique, toutefois, il est bon de garder en mémoire qu'il y a bien d'autres nourritures indispensables aux être humains, je pense en l’occurrence aux personnes, de plus en plus nombreuses, qui ne se nourrissent que de lumière que l'on appelle les präniques ! Je témoigne qu'en changeant d'alimentation et en se mettant au cru radicalement sans faire des mélanges, tout notre ressenti est différent et l'on se sent pleinement vivant ! Pourquoi et comment limiter gluten, sucres et glucides raffinés
Quand on manque d’énergie c’est aux sucres que l’on pense. L’hypoglycémie appelle les sucres et nos journées n’en manquent pas. Gâteaux, friandises, boissons sucrées avec vrais et faux sucres…
Trop de sucres atrophie le cerveau et donc impacte les facultés cognitives. Les bonnes graisses, elles, sont indispensables au cerveau. Attention aux graisses hydrogénées avec les acides gras trans des margarines toxiques pour la santé. Que de changements sur le plan alimentaire en 50 ans, et autant d’augmentation de maladies telles que maux de tête chroniques, insomnie, anxiété, dépression, épilepsie, dyskinésie, schizophrénie, troubles de l’attention, hyper activité et tous les dysfonctionnements des personnes vieillissantes. « Biologiquement parlant, notre corps se comporte comme celui de nos ancêtres. Nous vivons plus vieux mais pourquoi ne pas vouloir vivre mieux ? Des millions d’individus souffrent de pathologies chroniques qui auraient pu être évitées. L’inflammation est le dénominateur commun des affections chroniques d’aujourd’hui. » Comme vous l’imaginez, les aliments mal digérés se retrouvent dans les intestins sous forme d’un résidu pâteux. Le système immunitaire réagit alors, d’où une inflammation de la paroi intestinale. Les personnes se plaignent de douleurs abdominales, de nausées, de diarrhées, de constipations ou d’autres désordres intestinaux. Le gluten peut aussi attaquer insidieusement d’autres parties du corps, y compris le système nerveux, et ce, sans que l’on ressente le moindre trouble. Gardez à l’esprit que, lorsque l’organisme réagit de manière négative à l’ingestion d’un aliment, il essaie de contrôler les dommages causés par cet aliment en libérant des messagers inflammatoires qui identifient les composés incriminés comme des ennemis à éliminer. Le système immunitaire continue à envoyer des substances chimiques inflammatoires, parmi lesquelles des cellules tueuses, qui vont tenter de détruire ces ennemis. Souvent, la réaction inflammatoire détruit les tissus et entraîne une perte d’étanchéité de la paroi intestinale. On parle alors du « syndrome de l’intestin qui fuit » ou plus scientifiquement d’« hyperméabilité intestinale ». Pour les personnes qui sont touchées par ce syndrome, les risques de développer dans le futur d’autres intolérances alimentaires sont particulièrement élevés. Par ailleurs, la réponse inflammatoire peut également favoriser l’apparition d’une maladie auto-immune. Le Pr Hadjivassiliou affirme que « l’intolérance au gluten serait essentiellement, et dans nombreux cas, exclusivement une maladie neurologique ». Autrement dit, « les personnes intolérantes au gluten peuvent voir leurs fonctions cérébrales endommagées sans ressentir par ailleurs le moindre trouble gastro-intestinal ou autre ». Le gluten est l’un des additifs les plus couramment utilisés par les industries agroalimentaires et cosmétiques. Il interfère avec l’assimilation intestinale des nutriments et provoque une réaction immunitaire qui donne lieu à une inflammation. Le gluten produit les mêmes effets délétères, que le cerveau soit fragilisé ou non. Vous pouvez être intolérant au gluten sur le plan neurologique et, en l’absence de manifestations physiologiques probantes, l’ignorer. Chez les personnes intolérantes au gluten, tout se passe comme si le système immunitaire ne pouvait plus assumer sa fonction de défense naturelle : l’organisme produit quantité de molécules inflammatoires, contre lesquelles le cerveau n’est pas protégé naturellement, et peine à synthétiser des antioxydants. Trop de gluten dans l’alimentation d’aujourd’huiSi le gluten est aussi dangereux pour la santé, comment les hommes sont-ils parvenus à vivre jusqu’à aujourd’hui tout en en consommant ? Pour faire simple : parce que nous n’avons pas toujours ingéré le même type de gluten depuis que nos ancêtres ont appris à cultiver le blé et à en tirer de la farine. Les céréales que nous consommons actuellement n’ont pas grand-chose à voir avec celles que l’homme s’est mis à manger il y a quelques dix mille ans. Depuis le jour où, au XIXe siècle, le botaniste Gregor Mendel a publié sa célèbre étude sur les plantes hybrides issues du croisement de deux variétés, nous sommes devenus des experts en termes de combinaisons et d’associations, ce qui a permis de voir apparaître de nouvelles variétés de céréales sur le marché. Et si notre patrimoine génétique et notre physiologie n’ont pratiquement pas changé au fil du temps, notre chaîne alimentaire s’est considérablement modifiée au cours des cinquante dernières années. Les industries agroalimentaires d’aujourd’hui – y compris les sociétés de bio ingénierie génétique – nous permettent de cultiver des céréales qui contiennent jusqu’à quarante fois plus de gluten que les variétés employées il y a quelques dizaines d’années. Lorsque le blé est digéré, il se dégrade pour donner des composés ayant les mêmes effets que la morphine. Ces composés se fixent sur les récepteurs aux opiacés dans le cerveau, générant une légère euphorie. Vous comprenez pourquoi les industriels mettent de plus en plus de gluten dans leurs produits, et pourquoi autant de personnes sont complètement accros aux aliments riches en gluten. Le gluten est partout, dans les assaisonnements, les cocktails, les glaces et même dans les produits cosmétiques, notamment les crèmes pour les mains. Il se dissimule aussi dans les soupes, les édulcorants et les produits à base de soja et est présent dans les compléments alimentaires et les produits pharmaceutiques de marque. Lorsque l’on ingère du gluten, on ingère aussi des sucres, puisque les céréales sont des sucres à chaînes longues. Les céréales sont donc à éviter. Certaines ne contiennent pas de gluten comme le riz. Si vous souhaitez en consommer, acheter du riz long ou du riz basmati et faite le cuire à la vapeur, c’est préférable. Certains riz peuvent germer pour les manger crus. Evitez à tout prix le blé et si vous ne pouvez vous passer de pain, préférez la baguette tradition ou encore mieux le pain au levain. Certains boulangers proposent des pains sans gluten fait avec des farines de châtaigne ou d’autres farines. L’idéal est de faire vous-même des crackers au déshydrateur, faites germer légèrement du sarrazin, des graines tournesol, ajouter des graines de lin mucilagineuses qui auront trempé 1 ou 2 heures, quelques graines de courge, ou des graines de chia, du psyllium, des graines de pavot etc. Vous pouvez ajouter un ou deux beaux oignons rouges ou jaunes coupés finement. Vous pouvez aussi varier les parfums et mettre quelquefois des olives ou autres. Passez au blender un tiers ou la moitié des graines, suivant si vous aimez voir les graines entières ou pas. Mélangez le tout et étalez sur une plaque fine de votre déshydrateur. Réglez votre appareil sur 40 ° maximum et laissez 48 heures ou plus selon la température extérieure et le taux d’humidité de l’air, afin qu’ils soient bien secs pour se conserver dans un récipient étanche. Petite astuce : avec une spatule, faites des traits pour prédécouper les carrés de crackers qui seront plus faciles à casser lorsqu’ils seront secs. Bon appétit. Références : Dr David Perlmutter Le jeûne sec, quelques compléments d’information d’après Sergei Filonov
Celui qui nous a permis de connaître le jeûne sec en France est le médecin naturopathe russe : Sergei Filonov. Je lui rends hommage pour tout ce qu’il nous apprend, car je pratique le jeûne sec et j’y crois à fond !
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Ce qu’il faut savoir avant tout, c’est que les gens qui sont contre le jeûne sec, ne le connaissent pas et ne l’ont pas expérimenté. Aussi je préfère prendre mes sources directement avec celui qui a, probablement le plus d’expérience sur ce type de jeûne. Lorsque Sergei Filonov a commencé à faire pratiquer le jeûne à ses patients, c’était du jeûne hydrique et il avait remarqué que ses patients allaient mieux pendant le jeûne, mais que les symptômes réapparaissaient après le jeûne. Il n’était donc pas entièrement satisfait. C’est à la suite d’une grippe avec une forte inflammation des sinus qu’il a voulu expérimenter le jeûne sec sur lui-même. Il pensait que sans eau, l’inflammation ne résisterait pas. Et c’est bien ce qui s’est passé. A partir de là, il pratiquait et faisait pratiquer à ses patients des jeûnes secs de 3 ou 4 jours. Voici ce qu’il dit à cette époque : « Nous savons tous que l’eau représente 70 % de la vie. Mais c’est également le cas pour la vie des micro-organismes pathogènes. Ce fut pour moi une grande révélation. » En recevant un malade souffrant d’une forme grave de polyarthrite rhumatoïde, il a essayé de le faire jeûner à sec plus longtemps espérant ainsi obtenir des résultats positifs sur les souffrances qui le paralysaient. L’inflammation était extrême et au bout de 9 jours de jeûne, rien n’avait bougé. Il a donc pensé que le jeûne ne pouvait rien changer mais il ne comprenait pas pourquoi. Il proposa donc à ce patient de rompre le jeûne le lendemain. Et à sa grande surprise c’est au matin du 10 ème jour que la personne a commencé à pouvoir bouger ses articulations car elle n’avait plus mal ! C’est ainsi qu’il a observé que le 9ème jour de jeûne sec était extrêmement important, que les effets curatifs du jeûne étaient le plus puissants. C’est ce que l’on appelle la seconde crise de guérison. En jeûne hydrique cette seconde crise advient beaucoup plus tard, entre 21 et 60 jours. C’est ce qui fait dire que le jeûne sec et au moins 3 fois plus efficace que le jeûne hydrique. Toutefois, il ne faut pas perdre de vue que jeûner si longtemps sans eau, n’est pas à la portée de tout le monde, et qu’une préparation et un suivi sont fortement recommandés. Voici encore ce qu’il nous dit : « La préparation doit être adéquate car le corps des hommes d’aujourd’hui contient énormément de produits toxiques. » Jeûne sec et reinsBeaucoup de personnes ont peur pour leurs reins. Mais en fait ce jeûne permet de mettre les reins dans un repos relatif car ils continuent de fonctionner puisque l‘on continue d’uriner un peu. Ils se régénèrent pendant cette période de repos et S. Filonov n’a jamais observé d’effets négatifs, il dit au contraire que lorsqu’il n’y a pas d’eau, il n’y a plus d’inflammation et donc que les reins commencent à se rétablir. Il a aussi observé la disparition des calculs rénaux après un jeûne sec. Jeûne sec et déshydratationUne autre question récurrente est la crainte de la déshydratation du corps. Mais là aussi, Filonov répond, qu’avec la capacité de notre organisme à utiliser nos stocks de graisse pour fabriquer de l’eau, qui plus est, cette eau endogène est de bien meilleure qualité que l’eau extérieur que l’on ingurgite, il n’y a pas de danger. Il y a aussi de l’eau dans nos muscles. Et après le jeûne sec, nos cellules ont appris à fabriquer leur propre eau. Renouvellement cellulaireUn autre avantage c’est que les conditions du jeûne sec étant extrêmes, seules les cellules saines peuvent survivre et se reproduire. Ce qui entraîne automatiquement non seulement un renouvellement cellulaire mais un renouvellement d’excellentes cellules. Il dit aussi que les cellules malsaines qui meurent donnent aux nouvelles cellules une information qui pourrait se traduire par : comment combattre les divers poisons dans notre organisme et comment être plus résistant à ce qui est mauvais pour notre corps. Pathologies graves et sortie de jeûneSon expérience lui permet de dire aussi qu’il y a de très bons effets du jeûne sec sur des pathologies très graves, sans effets négatifs en sortie de jeûne, contrairement à ce qu’il a observé avec le jeûne hydrique Prudence, le sang s’épaissitIl souligne toutefois que le jeûne sec épaissit le sang. L’avantage d’après lui, c’est que le sang contiendrait une plus grande concentration d’hormones et de cellules immunitaires. Mais le sang épais entraine aussi un grand stress pour le système vasculaire, c’est pourquoi il recommande aux personnes qui veulent faire un jeûne sec thérapeutique de prendre pendant le mois qui précède, une cuillère à thé de bicarbonate de sodium dilué dans un verre d’eau chaude, le matin à jeun, pour nettoyer le sang. Mais toujours d’après Filovov, à chaque jeûne sec, le système vasculaire est de plus en plus efficace. Il en ressort donc renforcé. Le jeûne sec présente malgré tout un danger réel pour les personnes ayant des antécédents de thrombose ou d’autres pathologies du système vasculaire. Il est conseillé de se préparer longuement et sérieusement et de se faire accompagner par un spécialiste. La meilleure préparation est de pratiquer le jeûne sec court très régulièrement et longtemps à l’avance. Il dit aussi que le jeûne sec ne peut pas remettre tout en état à lui tout seul dans certains cas, et qu’il est bon de prévoir des thérapies complémentaires comme les massages, les ventouses ou les sangsues médicinales pour diminuer l’effet néfaste de l’épaississement du sang. Sergei souligne qu’il a vu des gens faire un jeûne hydrique de 60 jours pour résoudre une pathologie sans pour autant avoir de résultat, alors qu’en 10 jours de jeûne sec, ils ont guéri. Montrant ainsi que ces deux formes de jeûne agissent totalement différemment. Contre-indications : oui ou non ?Pour lui les contre-indications sont relatives et non pas absolues. Il recommande aux personnes souffrant de maladies inflammatoires et auto-immunes la plus grande prudence ainsi que les personnes souffrant de thrombophlébite (formation de caillots), et certaines maladies cardiaques, où l’épaississement du sang peut être très dangereux. Il recommande alors un mix entre jeûne sec et jeûne hydrique. Quoiqu’il en soit, il recommande aux personnes qui veulent expérimenter le jeûne sec seules, de ne pas dépasser 5 jours. Au-delà, de se faire accompagner par une personne expérimentée dans ce type de jeûne et d’accompagner la cure par des techniques de massages, de thérapie par les ventouses ou les sangsues médicinales. Il est délétère également de jeûner à sec dans une ville, à cause de la pollution, parce que dans ce type de jeûne, il y a absorption, notamment de l’humidité de l’air. Jeûne sec et cancerQuant au cancer, c’est dans le début de la maladie qu’il y a le plus d’améliorations, avant qu’il n’y ait des métastases. La chirurgie reste parfois nécessaire malgré tout. Mais un jeûne sec de 10 jours peut avoir de très bons résultats pour faire disparaître une tumeur et vaut le coup d’être tenté après une excellente préparation En préventionLe jeûne sec permet d’éviter à priori l’apparition de cancer. Mais si un cancer devait être diagnostiqué il aurait toutes les chances d’être guérit spontanément en jeûnant, toujours d’après les dire de S. Filonov Après un jeûne21 jours après un jeûne on observe une augmentation des cellules souches, c’est ainsi que l’on rajeunit et qu’on est en pleine forme surtout après 3 semaines, mais j’ajouterai qu’il est très important pour cela, que l’alimentation après le jeûne soit exempt de tous « poisons » et être majoritairement composée de végétaux frais, de graines germées, d’oléagineux, d’avocats, avec un minimum de sucre pour prolonger encore davantage les effets positifs du jeûne. Et tout cela si possible à l’instinct comme le préconise Dominique Guyaux Fertilité, grossesse et jeûneComme je l’ai souvent conseillé aux personnes qui s’adressaient à moi, les couples qui ont un projet d’enfant ont vraiment tout intérêt à pratiquer le jeûne avant la conception pour se donner les meilleures chances de conception, de grossesse et aussi la meilleure santé possible pour leur futur enfant. Les femmes sont les plus concernées dans le couple puisqu’elles portent l’enfant et le nourrit pendant son développement. Il est important d’avoir des intestins parfaitement « propres » et pour cela je recommande les lavements et l’hydrothérapie du colon ainsi que les implants rectaux. Une alimentation riche en fibres pour que le biote intestinal soit équilibré car la mère transmet son biote à son enfant lors d’une naissance naturelle par voie vaginale. Filonov recommande aussi le jeûne sec avant la conception et en plus de cela 3 ou 4 jours de jeûne hydrique pendant le 2ème trimestre de la grossesse. Sinon il est préférable d’éviter le jeûne de plus de 2 ou 3 jours pendant la grossesse et plus de jeûne pendant l’allaitement pour ne pas risquer de tarir le lait. Les sportifsLes sportifs aussi ont intérêt à pratiquer le jeûne sec pour améliorer leurs performances et avoir une plus grande résistance. Le développement des cellules souches après le jeûne permet d’améliorer la réparation cellulaire et les traumatismes que les sportifs ont souvent. C’est une façon saine et autorisée pour se préparer aux compétitions. Sergei Filonov et les jusSergei n’est pas d’accord avec les personnes qui se préparent ou sortent de jeûne avec les jus. Pour lui, l’aliment dans son entièreté est préférable car les fibres et chaque partie d’un végétal comestible à son importance et son utilité dans l’organisme. Le fait qu’il n’y a pratiquement pas de digestion dans les jus provoque un stress pour le pancréas et peut entraîner des complications graves. Si en plus vous utilisez des végétaux non bio, votre foie va en souffrir beaucoup également. Il est donc prudent de ne pas consommer de jus même frais pendant les 2 ou 3 semaines après le jeûne. Ma touche personnelleSergei Filonov conseille à tous de faire un jour de jeûne sec par semaine pour rester toujours en bonne santé. C’est à la porté de tout le monde à priori. Pour aller plus loin, jugez de votre niveau de vitalité. Il est le résultat de tout ce que vous faites, mangez, respirez, pensez, ressentez, etc. tout au long de votre vie, de manière consciente ou non. Vous devez adopter votre démarche en fonction de cet état et l’améliorer progressivement. Vouloir griller les étapes peut s’avérer plus néfaste que positif, et ce n’est pas le but. Je reçois régulièrement des personnes qui font du jeûne sec long, c'est-à-dire plus de 6 ou 7 jours. Quelques unes ont fait 9 jours et 10 nuits sans difficultés majeures. Je reçois parfois aussi des personnes qui ont déjà pratiqué le jeûne sec long avec Sergei Filonov, et personnellement, je ne suis pas en accord avec la façon dont il fait reprendre la nourriture. La reprise après un jeûne sec longSi les bouillons chauds, les légumes cuits, le poisson cuit etc. peuvent convenir en Russie avec des températures bien en dessous de 0, en France, même en hiver, je recommande de couper le jeûne sec par de l'eau chaude ou à température ambiante, puis par des légumes crus à la croque ou un peu de jus de légumes, le 2ème jour, jus de légumes, légumes à la croque ou fruits, en petites portions toutes les 2 ou 3 heures. Et le 3ème jour, on augmente la quantité de légumes crus et on ajoute un avocat, ou quelques oléagineux pour progressivement revenir à une alimentation normale. C'est mon expérience et celle de plusieurs personnes, et cette reprise progressive convient à tous sans danger. Mes sources : 2 interviews de Sergei Filonov Le jeûne sec thérapeutique- Dr Filonov - Michel Deladoey, naturopathe. Les précautions en jeûne sechttps://www.youtube.com/watch?v=xfTK69Ji4f4 et https://www.youtube.com/watch?v=9SIazewLBCI Téléchargez gratuitement mon e-book spécial jeûne sec sur ce site dans la page d'accueil Diabète, glycémie, résistance à l’insuline, Alzheimer et inflammation. Les sucres, encore et toujours les sucres !
Comme je l’ai déjà mentionné, je me passionne pour le sujet des glucides dans notre alimentation parce que je me bats moi-même contre un problème de glycémie haute et de résistance à l’insuline.
« Ce n’est que récemment que des chercheurs ont prouvé la relation de cause à effet entre la maladie d’Alzheimer et une mauvaise alimentation. D’autres affections neurodégénératives pourraient également bénéficier de cette découverte. Depuis que notre espèce existe, le glucose, la principale source d’énergie pour la plupart de nos cellules, a très souvent été une denrée rare. Notre organisme s’adapte donc facilement et constitue des réserves de glucose pour le synthétiser à partir de précurseurs non glucidiques. Il peut produire notamment, si nécessaire, du glucose à partir de graisses ou de protéines, c’est ce que l’on appelle « gluconéogenèse » ou « néoglucogenèse » qui demande plus d’énergie que la conversion des amidons et du sucre en glucose. Cette molécule indispensable est mise à la disposition des cellules par l’insuline, une hormone sécrétée par les cellules bêta du pancréas. L’insuline est l’une des substances biologiques les plus importantes qui soient pour le métabolisme cellulaire. Son rôle est de transporter le glucose présent dans le système sanguin jusqu’aux muscles, aux cellules graisseuses et aux cellules hépatiques pour être utilisé comme carburant. Les cellules saines sont très sensibles à l’insuline. Mais lorsque les cellules sont constamment exposées à une dose élevée d’insuline du fait d’un apport supérieur aux besoins, elles réagissent. Il s’ensuit une diminution du nombre de récepteur à l’insuline situés à la surface cellulaire. En d’autres termes, ces cellules se désensibilisent elles-mêmes, d’où une résistance à l’insuline, également appelée « insulino-résistance ». Elles ne tiennent pas compte des informations transmises par l’insuline et n’utilisent plus le glucose véhiculé par le sang. Le pancréas se met alors à produire de plus en plus d’insuline. Il faut ainsi des taux d’insuline toujours plus élevés pour que le sucre pénètre dans les cellules. Ce cercle vicieux peut prendre d’énormes proportions et favoriser un diabète de type 2. Les personnes diabétiques ont un taux élevé de glucose dans le sang (glycémie), car leur organisme ne peut pas le transporter jusqu’aux cellules cibles afin qu’il y soit stocké et converti en énergie. Or, un excès de glucose dans le sang se révèle toxique et peut causer nombre de dommages : cécité, infections, troubles du système nerveux, maladies cardiaques et, ne l’oublions pas, maladie d’Alzheimer – impossible de les énumérer exhaustivement, la liste serait trop longue. Tous ces troubles sont dus à une inflammation. L’insuline ne se contente pas de convoyer le glucose afin qu’il pénètre dans les cellules. C’est aussi une hormone anabolisante, c'est-à-dire une hormone qui stimule la croissance, favorise la formation et la rétention des graisses et conduit à l’inflammation. Lorsque le taux d’insuline est élevé, le taux des autres hormones sécrétées par l’organisme peut augmenter ou baisser, générant des troubles ou des dysfonctionnements qui empêchent l’organisme de retrouver un métabolisme normal. Le fait de changer certaines habitudes alimentaires et de corriger son mode de vie peut suffire à traiter, voire à soigner le diabète de type 2, alors que le diabète de type 1 ne se guérit pas à priori. » Je rajoute toutefois que j’ai connu des personnes diabétiques de type 1 se passer totalement d’injection d’insuline avec la pratique de l’alimentation appelée Instinctothérapie, tout en mangeant raisonnablement des fruits. « Il est important de garder à l’esprit que, si les gènes jouent un rôle primordial dans le développement du diabète de type 1, l’environnement aussi. En France en 2011, on estimait à 25000 le nombre de jeunes de moins de 20 ans diabétiques : 95% touchés par le diabète de type 1 et 5% par le diabète de type 2 (source Caisse primaire d’assurance maladie). Il y a encore 10 ans, le diabète de type 2 était qualifié de « diabète de l’adulte ». Mais on ne peut plus dire cela aujourd’hui tellement le nombre de malades jeunes a augmenté. On sait aussi que cette pathologie évolue plus rapidement chez les enfants que chez l’adulte. Le traitement des jeunes sujets est en outre plus complexe que la prise en charge des sujets plus âgés. Autre découverte : la résistance à l’insuline, qui joue un rôle dans le développement de la maladie d’Alzheimer, favorise la formation de plaques séniles, également appelées « plaques amyloïdes », dans les cerveaux malades. Ces agrégats dus à l’accumulation d’une étrange protéine se logent entre les neurones. Si l’appellation « diabète de type 3 » commence à circuler dans les milieux scientifiques, c’est parce que les chercheurs ont établi une corrélation entre un faible taux d’insuline et les maladies cérébrales. Il est également prouvé que les personnes obèses encourent un risque accru de souffrir de troubles cérébraux et que les sujets obèses diabétiques ont deux fois plus de risques de développer la maladie d’Alzheimer. La maladie d’Alzheimer et le diabète sont toutes deux générés par des aliments qui obligent l’organisme à mettre en place des mécanismes biologiques se traduisant dans un premier temps par un dysfonctionnement, puis dans un second temps, par une maladie. Des chercheurs de l’université nationale australienne de Canberra ont publié une étude dans la très sérieuse revue scientifique « Neurology » de l’académie américaine de neurologie, montrant une relation entre un taux de sucre dans le sang élevé, néanmoins toujours considéré comme « normal », et une atrophie du cerveau. Les résultats de cette étude ne font qu’étayer la notion de diabète de type 3. Il est important de mesurer, d’une part, le taux de glucose dans le sang à jeun et, d’autre part, le taux d’insuline à jeun. Un taux d’insuline élevé à jeun est en effet révélateur d’un pancréas qui a du mal à maintenir la glycémie dans les valeurs normales et d’une consommation excessive de glucides. » Conclusion Il est plus facile de prévenir plutôt que de guérir. Dans cette optique, je vous encourage toutes et tous et réduire considérablement les glucides de votre alimentation. Cela signifie, de ne plus consommer de sucre raffiné, plus de boisson sucrée, mais aussi plus de céréales (pain, pizza, biscuit, dessert classique, les céréales du matin etc.) Consommer des pommes de terre, féculents et légumineuses qu’occasionnellement. Mangez des fruits un peu tous les jours mais pas des caisses entières ! Pendant 30 ans, tous les midis je faisais un repas que de fruits et l’été il m’était courant d’en remanger encore le soir. Les fruits sélectionnés que l’on trouve sur les étales sont tellement faciles à manger, on ne se rend pas compte qu’on n’en mange trop. Préférez toujours des fruits moins sélectionnés ou des baies. Ne croyez pas que votre alimentation va devenir austère, bien au contraire, il y a des tas de recettes dites « cétogènes » sur le net, pour se régaler sans se faire de mal. A retenir On peut très bien ne pas déclarer de diabète ni d’hyperglycémie et pourtant être insulino-résistant. Les études ont révélé que les sujets résistants à l’insuline présentaient beaucoup plus de risques de développer des troubles cognitifs que ceux dont le taux d’insuline est normal. Source : Ces glucides qui menacent notre cerveau. Dr David Perlmutter L’alimentation cétogène ou LCHF (de l’anglais : Low Carb High Fat)
On parle souvent du régime cétogène, qui pour moi, n’est pas à considérer comme un régime dans le sens ou ce n’est pas une alimentation à suivre ponctuellement mais plutôt une hygiène alimentaire à conserver toute sa vie pour être au mieux de sa forme.
Du moins si l’on considère l’aspect réduction des sucres, car pour le reste je vous dis plus bas ce que j’en pense. Toutefois la plupart des gens adoptent cette alimentation en vue d’améliorer une pathologie. Mais il y a aussi beaucoup de sportifs qui l’adoptent pour améliorer leurs performances. Quel est le principe de l'alimentation cétogène ?L’alimentation cétogène consiste à réduire considérablement les apports alimentaires en sucre (tous les sucres) et à ajuster les apports en protéines et en graisses, mais surtout en bonnes graisses. La plupart d’entre nous transformons nos réserves de sucre en énergie, mais ce « carburant » s’épuise assez rapidement, les marathoniens le savent bien, c’est pourquoi ils ont besoin de s’alimenter en sucres pendant les longues courses d’endurance. Mais nous pouvons aussi, lorsque les réserves de sucre sont faibles, produire des corps cétoniques qui se transforment également en énergie. C’est l’autre carburant que notre cerveau utilise admirablement mieux que le glucose. C’est ce qui se passe lorsque l’on pratique le jeûne. Sevré de sucres, le corps doit se débrouiller autrement pour fonctionner. Et ce fonctionnement-là, est celui que l’on n’aurait jamais dû perdre. Si l’on remonte au temps où les humains vivaient de cueillette, de pêche et de chasse. Avant l’ère de l’agriculture donc, les apports de sucre étaient limités aux sucres des fruits sauvages (beaucoup moins sucrés et beaucoup plus fibreux que les fruits sélectionnés que nous trouvons aujourd’hui), des feuilles, des racines, et diverses plantes sauvages comestibles pauvres en sucre. Les protéines animales ne contiennent pas de glucides ou en quantité négligeable. Il n’y avait pas ou peu de céréales, de pomme de terre ou de légumineuses. L’énergie importante indispensable à ce type de vie était puisée dans les réserves de graisses présentes dans les muscles. Le foie a en effet la capacité de transformer les graisses en corps cétoniques dont le cerveau peut faire son miel. Mais depuis les années 70 environ, on a cru que les maladies cardio-vasculaires et la vague d’obésité en marche aux USA, étaient causées par la consommation de graisse, et l’on s’est mis à chasser toutes les graisses de notre alimentation sans avoir prouvé quoique ce soit. L’industrie agro-alimentaire s’est emparée de cette « mode » pour faire son beurre, c’est le cas de le dire, et a proposé à la consommation, des gammes de produits « low fat » réduites en matières grasses, sans pour autant se soucier de la qualité des matières grasses en question ! Un Leurre !Malgré tout cela, les maladies cardio-vasculaires et l’obésité n’ont cessé d’augmenter, bien au contraire. Tandis que les cancers, le diabète et les maladies dégénératives ont explosé dans les mêmes temps ! On a juste remplacé les matières grasses par des sucres coûtant moins chers pour les industriels et rendant les plats plus addictifs. C’est seulement depuis peu que les scientifiques remettent en question ces régimes pauvres en matières grasses et parlent des dégâts occasionnés par la consommation excessive de sucres. Nous commençons à différencier les bonnes des mauvaises graisses. C’est ainsi que l’on voit des améliorations spectaculaires dans grands nombres de pathologies en réduisant les sucres et en augmentant les apports en bonne graisse. Les conséquences de cette découverte sont considérables pour notre santé. Elle nous donne des clés crédibles pour accompagner plus efficacement de nombreuses pathologies : Voici quelques exemples de pathologies que l’alimentation cétogène permet d’atténuer très efficacement. Cancers ; Alzheimer ; Parkinson ; Epilepsie ; Troubles neurologiques divers ; Vieillissement, etc. Dans le cadre de l’alimentation cétogène, on ne limite pas les apports alimentaires mais, et c’est très important, on change l’équilibre entre glucides, lipides et protéines. Concernant les micro-nutriments, il n’y a pas de changement, il en faut et on les trouve principalement dans les végétaux pauvres en sucres. On insiste considérablement sur les bonnes graisses. Cela donne la répartition suivante entre les apports alimentaires des macronutriments : 65 à 75 % ou plus de graisses ; 15 à 25 % de protéines ; 5 à 10 % de glucides. C’est une véritable révolution pour l’organisme. C’est un changement de carburant et ce changement entraîne des effets positifs sur la santé. Mais attention toutefois si vous métabolisez moins bien les lipides, le résultats peut être négatif ! Quel est le but de l'alimentation Cétogène ?Le but de l’alimentation cétogène est de relancer le métabolisme en le nourrissant d’une manière différente. Par exemple, selon le Dr Joseph Mercola aux États-Unis, le passage au régime cétogène favorise le nettoyage cellulaire dans notre corps. C’est ce que l’on appelle l’autophagie et la mitophagie. Ces mécanismes améliorent le fonctionnement du métabolisme ; détoxifient le corps ; aident à soigner la démence ; baissent le niveau d’insuline, ce qui a deux conséquences : des muscles qui se développent mieux et une meilleure vitalité générale ; limitent l’obésité, le surpoids et le diabète ; préviennent les cancers, augmentent les hormones de croissance de manière considérable ; améliorent la santé cardiovasculaire ; facilitent le fonctionnement du pancréas ; améliorent la circulation du glucose ; augmentent les niveaux de lipides ; réduisent la pression sanguine ; réduisent les niveaux de graisse viscérale ; réduisent le poids des personnes ; améliorent les fonctions auto-immunes ; améliorent les fonctions neurologiques, ce qui a un effet positif sur les maladies de Parkinson et d’Alzheimer. En clair, ce régime, adopté sur une période de plusieurs mois, peut sérieusement désencrasser le métabolisme. On retrouve là, des effets assez proches de ceux apportés par le jeûne. Le régime cétogène, c’est donc à la fois une cure de détox pour les cellules et une cure de jouvence pour l’organisme. Voici une petite liste des quelques bienfaits que vous pouvez espérer avec une alimentation LCHF :
Je pense utile de souligner le véritable renforcement de son état de santé général lorsque l’on adopte une alimentation LCHF. Comme nous l’avons vu, le sucre impacte négativement la capacité de notre système immunitaire à nous défendre. Le bannir de son alimentation, aide véritablement à faire face aux virus et bactéries. Concrètement :Il s’agit de supprimer ou de réduire considérablement de son alimentation, les céréales, les pommes de terre, les légumineuses, tous les sucres raffinés, et choisir des fruits peu sélectionnés comme les baies et modérer son appétit pour les fruits sucrés classiques. Plus concrètement, on parle en gramme, et suivant le résultat que l’on cherche à obtenir, on se limitera à moins de 20 gr de sucre par jour pour les plus stricts jusqu’à 100 gr, selon le but recherché et le métabolisme de la personne. Pour vous aiderAu début, nous n’avons souvent aucune idée du nombre de gramme de glucose que l’on ingère dans une journée. Pour s’en rendre compte, il est utile de noter ce que l’on mange et de vérifier sur la table Ciqual sur internet et d’inscrire en face de chaque plat le nombre de grammes de glucose.
Pour vous donner un ordre d’idées voici un extrait du tableau que je me suis fait avec des aliments courants :
Aliments Protéines /100 gr Glucides / 100 gr Lipides / 100 gr amande 25,4 7,85 53,4 noix cerneaux 15,7 6,88 67,3 noix de macadamia 8,42 8,35 72,9 pollen frais 17,5 37,7 5,17 algue crue 0,54 6,25 0,03 artichaut cru 3,1 5,02 0,18 cresson cru 2,06 0,9 0,15 fenouil cru 1,14 2,3 0,2 avocat 1,61 3,67 13,8 banane pulpe crue 0,98 19,06 0,25 fraise crue 0,65 6,14 0,18 myrtille crue 0,87 10,6 0,33 melon Canteloup 0,73 6,57 0,2 orange pulpe crue 1,1 7,92 0,36 PersoJ’ai tenté de pratiquer cette alimentation pendant plus de 2 mois pour perdre du poids. J’ai même suivi la formation de eatfat2befit pour tout comprendre et faire au mieux. Je n’ai pas perdu un gramme par cette technique. C’est ainsi que j’ai appris qu’effectivement, il y a quelques personnes résistantes. J’ai donc creusé un peu plus et c’est ce qui m’a amené à faire les 21 jours de jeûne sec dont je vous ai parlé dans mon dernier article L’inconvénientLe problème c’est que dans toute la littérature sur le régime cétogène, je n’ai jamais trouvé d’exemple en cru. Bien au contraire. J’ai vraiment du mal à être en accord avec les gens qui disent que l’on peut boire autant de cafés ou de thés que l’on veut, que c’est bon pour la santé ! Que la viande, la charcuterie sont bonnes pour nous… Le fruit du caféier mur est rouge et délicieux, j’en ai souvent mangé en Indonésie lorsque j’y habitais. Mais la graine à l’intérieur que l’on utilise pour faire du café est torréfiée et comme tout ce qui est torréfié, c’est cancérigène. Sans compter qu’il ne faut pas en abuser à cause de la caféine qu’il contient. La qualité de l’alimentation est vraiment au cœur du problème
La viande n’est pas mauvaise à condition qu’elle soit de bonne qualité c’est à dire provenant d’animaux qui ont vécu en liberté et qui ont mangé de la nourriture physiologique pour leur espèce, comme l’herbe grasse des pâturages pour les herbivores. Cette viande est riche en oméga 3.
Tandis que les animaux d’élevage nourris avec des compléments alimentaires bon marché, antibiotiques et vaccins pour les maintenir vivants produisent une viande dans laquelle on retrouve forcement ces produits avec un déséquilibre préjudiciable entre omega 3 et omega 6. Elle n’est pas du tout recommandée. A ce jour, pour maintenir un taux minimum de glucides quotidiennement, tout en restant dans le cru, je n’arrive pas à consommer autant de protéines et de lipides que ce qui est indiqué. Mais ce que je vais retenir de toutes mes recherches, c’est qu’il est important d’être conscient des taux de sucres consommés régulièrement et de les diminuer fortement, si on veut être en bonne santé et plein d’énergie. Cela implique pour la plupart de supprimer ou fortement réduire les pâtes, le pain, les pizzas, les biscuits, les pommes de terre, le maïs, le riz et toutes les céréales du matin, les boissons sucrées, les pâtisseries etc. Pratiquement toutes les recettes classiques peuvent se décliner en mode cétogène. Dans les différents livres que je vous cite ci-dessous, il y a des recettes adaptées. Gardez toujours en mémoire, qu’il est important de manger varié, et d’avoir à chaque repas un plat de crudités pour les minéraux indispensables qu’ils apportent. Je voudrais tout de même souligner que dans l’enquête Campbell qui relate toutes les recherches qui ont été faites pour démontrer quelle influence l’alimentation peut avoir sur les maladies les plus connues. Il ressort que tous les produits animaux sont néfastes à la santé à moins qu’ils ne soient consommés qu’en toute petite quantité environ 50 gr par jour, et pas tous les jours. Cela comprend, la viande, le poisson, les œufs, les fromages et le lait. Colin Campbell a pu mettre en évidence que l’on peut guérir et surtout prévenir des maladies comme le cancer, les maladies cardio-vasculaires, le diabète etc. En minimisant au maximum l’apport de produits animaux cela permet de réduire les protéines qu’il vaut mieux trouver dans les végétaux tout en réduisant les graisses et le cholestérol pratiquement toujours associés à ces produits animaux. Cela va totalement à l’encontre de ce qui est conseillé dans le régime cétogène. Il me semble donc important de retenir essentiellement qu’il est bon de réduire les sucres de son alimentation, mais qu’il est préférable d’avoir une alimentation plutôt végétarienne pour rester en bonne santé. Bibliographie :-Le nouveau régime Atkins du Dr Atkins -Le régime cétogène contre le cancer des Pr. Kämmerer, Dr Christina Schlatterer et Dr Gerd Knoll -Céto-académy de Eatfat2befit -Le nouveau régime IG antidiabète du Dr Pierre Nys Mais aussi (sans spécificité Cétogène) -Ma bible de la naturopathie, spéciale alimentation végétale crue de Sarah Juhasz -Le guide complet du jeûne du Dr Jason Fung -L’enquête Campbell de T. Colin Campbell & Thomas M. Campbell – Les aliments qui tient et ceux qui peuvent vous sauver la vie. Ma mousse au chocolat préférée et végan !Un dessert cru, sans œuf, sans gluten et sans sucreLa réalisation de cette recette prend entre 5 et 10 minutes. Ingrédients :- 100 gr de graisse de coco vierge et bio fondue au bain-marie - 8 dattes Sukkari que vous avez dénoyautées ou une autre variété de dattes tendres de Jurassic fruit - 200 ml de crème de coco bio - 40 gr de cacao cru en poudre bio - 1 pincée de sel marin - Pour la décoration des cerneaux de noix de votre choix (noix de Grenoble, de Pécan, noisettes, noix de cajou etc.) La recette de cette mousse au chocolatMettre tous les ingrédients dans le blender (sauf les noix) Mixer bien comme il faut pour obtenir une patte lisse et fine Verser la préparation dans des verrines et poser sur le dessus un cerneau de noix et appuyer légèrement. Mettre au frigo au minimum 1 heure avant de déguster éventuellement accompagné du Chai dont je vous ai donné la recette dans la partie blog du site. N'oubliez pas qu'avec le code: CURENARTURE (en majuscules), vous avez 10 % de réduction sur votre première commande à Jurassic fruit. Ma recette de Chai (thé aux épices ou tisane indienne)
Le chai est du thé aux épices Indien ou si l’on ne met pas de thé, il devient une tisane aux épices.
Personnellement je l’aime assez fort en épices, mais vous pouvez ajuster les quantités en fonction de vos goûts. Pour 4 litres d’eau froide filtrée, je mets :
Puis je filtre et je déguste avec un lait végétal (de noisette, de chanvre, d’amande ou autre) et si vous l’aimez sucré, ajoutez du miel. A déguster seul ou avec un petit dessert cru bien sûr ! Production simplifiée d’herbe d’orge
1 - Je laisse tremper mes graines dans de l'eau pure 1 nuit
2 - je les rince 2 ou 3 fois puis je les garde sans eau dans un saladier et je les rince et les égoutte 2 fois par jour pour qu'elles restent humides 3 - En 2 jours les petites racines sont sorties, je pose mes graines très serrées sur des plateaux de terre d’environ 2 ou 3 cm d’épaisseur bien humide et j'appuie avec ma main sur toute la surface pour enfoncer légèrement les graines sans casser les racines mais juste qu'elles soient bien en contact avec la terre 4 - je pulvérise les graines 2 fois par jour et selon la température l'herbe atteint environ 15 cm en 8 ou 10 jours. A cette hauteur elles sont bonnes à couper le plus près possible de la terre sans arracher les graines, avec un long couteau bien aiguisé, pour faire du jus d'herbe.
J’ai fait l’expérience de supprimer certaines phases indiquées dans les livres spécialisés, comme par exemple de poser une planche sur les graines nouvellement en contact avec la terre pour que les racines s’enfoncent bien dans la terre. Je n’ai pas vu de différence.
Ensuite j’ai supprimé aussi la phase ou les jeunes pousses doivent sortir dans le noir pour que la tige reste blanche jusqu’à 4 cm environ. Comme vous le voyez sur les photos, les tiges sont blanches au départ et le goût du jus au final n’est ni plus ni moins amer. Enfin, je ne laisse plus l’herbe repousser une deuxième fois, c’est une perte de temps inutile car la deuxième pousse est moins drue, moins haute, assez longue à pousser et plus amer. Lorsque j’ai fini de couper l’herbe de mon plateau, je dépose ce qu’il reste (terre et racines) sur mon tas de compost avec mes déchets végétaux de cuisine que je recouvre de feuilles mortes et que j'arrose régulièrement. Cela me permet quelques mois plus tard de réutiliser cette bonne terre. La lacto-fermentation
La lacto-fermentation est un moyen ancestral de conserver les légumes et parfois les fruits pour la saison ou il n’y en a pas beaucoup. Ce moyen est très répandu encore aujourd’hui en Roumanie et dans les pays d’Europe de l’est.
Chez nous, il revient à la mode parce qu’il contient des bonnes bactéries intéressantes pour notre biote intestinal. Cette forme de conservation transforme les sucres des légumes et des fruits en acide lactique par l’action des bactéries, (Lactococcus, Lactobacillus et Streptococcus). Les plus connus sont la choucroute et les yaourts. L’avantage par rapport aux conserves classiques ou congélations c’est qu’il n’y a pas de pertes de nutriments et pas de produits chimiques, cela en fait un mode de conservation sain et sans danger. Les spécialistes disent même que les minéraux seraient davantage bio-disponibles, c'est-à-dire mieux assimilés dans les légumes lacto-fermentés que dans les légumes frais. « L’acidification des aliments rendrait en effet leurs minéraux plus solubles. C’est le cas du fer par exemple : l’acide lactique augmente le nombre de molécules de fer solubles (1). Les scientifiques ont trouvé aussi des taux de vitamine C et de vitamines B6 et B12 plus hauts dans les légumes lacto-fermentés par rapport à leurs homologues natures (2) » Toutefois ces légumes lacto-fermentés ont un goût acide ce qui ne permet pas d’en consommer de grandes quantités et c’est tant mieux car ils sont légèrement acidifiants. Ajouter une petite quantité régulièrement dans vos salades, vous permet un apport en probiotiques naturels. Si vous variez les légumes, vous aurez ainsi un apport plus varié de bactéries servies avec les fibres des légumes et vont ainsi nourrir les bonnes bactéries de vos intestins. Les effets de ces bactéries sont :Une normalisation de la composition de votre biote intestinal, et donc une amélioration de vos défenses immunitaires. Une diminution du risque d’allergie et des pathologies liées aux intestins. Que faut-il pour faire de la lacto-fermentation ?
Quelles sortes de légumes faut-il utiliser ?Un peu tous les légumes peuvent être conservés de cette façon toutefois personnellement, j’évite les légumes mous comme les concombres, car ils se défont totalement. Ou alors il faut utiliser une variété très ferme de concombre. On peut les aromatiser avec de l’ail, de l’oignon, des plantes aromatiques et des épices. Les plus connus sont le chou, les carottes, les betteraves, les haricots verts, les cornichons… Deux formes de lacto-fermentation
La lacto-fermentation au selPersonnellement je préfère utiliser de l’eau de mer que du sel mais à vous de faire comme vous pouvez. Rappez ou coupez très fin vos légumes et placez-les dans un bocal propre en les tassant un peu. Vous pouvez faire un bocal avec un seul légume ou un mélange, comme vous voulez. Ajoutez-y tous les aromates que vous souhaitez. Ajoutez soit de l’eau froide avec une pincée de sel fondue dedans, soit 1/3 d’eau de mer et 2/3 d’eau. Utilisez toujours de l’eau pure filtrée ou de source, jamais de l’eau chlorée. Recouvrez tous les légumes avec l’eau ainsi obtenue de manière que rien de dépasse. Si nécessaire placez une soucoupe ou un galet propre sur vos légumes pour qu’ils ne sortent pas de l’eau. Placez une assiette sous votre bocal que vous ne fermerez pas totalement car la fermentation va faire déborder le liquide, et laissez à température ambiante environ 4 à 6 jours selon la température. Après ce temps, fermez hermétiquement votre bocal et conservez-le à l’abri de la lumière autant que vous voudrez. Une cave convient très bien. Il est conseillé d’attendre quelques semaines avant de consommer mais ce n’est pas obligatoire. Une fois que vous avez ouvert votre bocal, utiliser toujours un couvert bien propre pour vous servir et gardez le reste au frais maximum 15 jours. La lacto-fermentation sans selMa préférée, mais je ne l’ai réussie qu’avec du chou blanc. Je prends une bonne moitié de mon chou que je passe en jus avec mon extracteur de jus, et je rappe ou coupe finement la petite moitié qu’il reste. Je place mon chou dans un saladier et je le recouvre totalement avec le jus obtenu. Je place un torchon propre au-dessus et je laisse à température ambiante 3 à 5 jours. Ensuite je mets ma préparation dans un bocal et au frais. Elle se conserve environ une semaine seulement mais c’est un délice. Mon conseil pour réussir ses lacto-fermentationsCommencez par faire des petites quantités pour voir si vous les réussissez bien avant d’en faire en plus grande quantité. Je n’ai jamais raté ceux avec l’eau de mer, mais je connais des gens qui les ont ratés ! alors prudence. Il y a aussi des boissons lacto-fermentées comme le kéfir ou la Kombucha, mais dans ce cas il faut des bactéries pour ensemencer votre préparation. Tandis que pour les légumes, ce sont les bactéries des légumes et de vos mains qui font le travail. (1) Scheers N, Rossander-Hulthen L, Torsdottir I, Sandberg AS. Increased iron bioavailability from lactic-fermented vegetables is likely an effect of promoting the formation of ferric iron (Fe(3+)). Eur J Nutr. 2016 Feb;55(1):373-82. doi: 10.1007/s00394-015-0857-6. Epub 2015 Feb 12. (2) Gupta U, Rudramma, Rati ER, Joseph R. : Nutritional quality of lactic fermented bitter gourd and fenugreek leaves. Int J Food Sci Nutr. 1998 Mar;49(2):101-8. Les graines germées
Les graines germées sont des aliments hors pair, efficaces pour combler d’éventuelles carences alimentaires, et très bon marché. Ce sont de véritables pépites pour la santé et une mine de vitamines, d’enzymes et de minéraux.
Les graines germées nécessitent peu de temps, peu d’argent et peu de place. On peut les placer dans un petit coin de la cuisine. Nous pouvons faire germer les graines pour 2 types d’utilisation :
Il ne reste plus qu’à les couper au raz de la terre avec un couteau bien aiguisé, les rincer et les consommer toutes fraîches en salade. Concernant les céréales, je vous propose de cliquer sur le lien suivant pour lire ou relire mon article intitulé : parlons des jus d’herbe de céréales, dans ce cas on ne consomme que la pousse pas la graine et les fibres des herbes étant très dures, nous les consommons en jus d’une grande richesse nutritionnelle. Quelles graines utiliser ?Il s’agit de graines sèches de céréales, de légumineuses, de légumes ou d’oléagineux, qui, placées dans des conditions optimales de culture, révèlent leur incroyable condensé nutritif. Les enzymes se réveillent, les macronutriments sont alors facilement assimilables par notre organisme, et les micro-nutriments augmentent de façon vertigineuse… Les graines germées sont riches en :
Quinoa (il germe en 24 h et peut être consommé de suite, le germe est minuscule) ; Roquette, cresson, psyllium, lin, pourpier (attention ces dernières sont mucilagineuses, il ne faut pas les mettre à tremper ou juste 1 heure puis les étaler sur une grille fine ou un germoir à cresson et les pulvériser deux fois par jour, sinon elles restent en paquet compacte et ne donne rien de bien). Alfalfa ou luzerne ; Radis ; moutarde ; l’ail ; le basilic ; le brocoli ; le poireau et j’en oublie surement… Les graines plus grosses qui demandent entre 6 et 8 heures de trempage : Raifort ; fenouil ou aneth, persil ; coriandre ; lin ; betterave rouge ; fenugrec ; tournesol à germer de préférence pour faire des jeunes pousses de 5 à 7 cm de hauteur ; petit pois ; lentilles (blondes, corail, vertes, noires etc.) ; pois chiche ; haricots, fèves et surement bien d’autres encore. Les oléagineux qui demandent un temps de trempage d’au moins 8 à 12 heures, comme les amandes, les noix, les noisettes etc. Les temps de germination sont indicatifs et peuvent varier selon la température extérieure et la température de l’eau. Sur les paquets de graines à germer, vous avez souvent les indications en temps de trempage et sur les germoirs du commerce aussi. Sur ce lien, vous trouvez un tableau avec les temps de trempage et de germination : Les germoirsIl existe plusieurs types de germoirs dans le commerce, ils sont souvent pratiques mais pas indispensables si vous n’avez pas les moyens. Un simple bocal en verre avec un voile au-dessus maintenu par un élastique fait très bien l’affaire. Important à savoirLes graines sortent de leur dormance grâce au trempage dans l’eau. N’utilisez pas d’eau chlorée pour le trempage, mais de l’eau filtrée ou minérale ou encore de source. Car les graines gonflent et absorbent beaucoup d’eau. Il est important de bien les rincer plusieurs fois après leur trempage pour éliminer les enzymes qui les protégeaient et qui ne sont plus nécessaire. Placez-les dans un bocal, un saladier, un bol ou autre en petite quantité (2 cuillères à soupe pour commencer), car elles vont prendre du volume. Les graines ont besoin d’eau, d’air et de chaleur pour se développer. On peut aussi les laisser germer dans un sac en tissu fin (voile, lin, tulle). Les moisissures ne doivent pas se développer si les graines sont bien aérées et rincées chaque jour. Le germe apparaît entre quelques heures et quelques jours selon les espèces. La germination a un réel pouvoir de démultiplication des nutriments contenu dans la graine non germée. Ainsi, 100 grammes de soja vert par exemple, contiennent 100 milligrammes de vitamine C, au bout de 24 heures de germination, et 700 milligrammes au bout de 72 heures… impressionnant ! Pour aller plus loin : Les graines germées de A à Z, de Carole Dougoud Chavannes, disponible sur : Les 5 étapes d'une transition alimentaire réussie
Hippocrate, le père de la médecine a dit : « Que ton aliment soit ton médicament »
A partir de là, voici donc le résumé des 5 étapes que je vous ai proposé. Vous n'êtes pas obligé de les faire dans l'ordre. Chaque étape peut prendre 1 jour, 1 semaine, 1 mois, 1 an... l'important est que vous modifiez dans le bon sens votre hygiène de vie en générale. 1) Mangez plusieurs fruits et des légumes crus chaque jour, notamment des légumes verts très alcalinisant qui contiennent des fibres moins irritantes que les légumes racines pour ceux qui ont des intestins fragiles. 2) Buvez des jus de fruits (jamais ceux du commerce même bio) et des jus de légumes frais que vous faite vous-même à l'aide d'un extracteur de jus. Consommez des aliments non traités aux produits chimiques et non chauffés. Ceci dans le but de vous apporter un maximum de vitamines et minéraux facilement assimilables sans fatiguer votre système digestif. Faite-en profiter toute votre famille. Il est important de ne plus boire de boissons sucrées du commerce et d'éviter le thé, café, l'alcool, les cigarettes et les médicaments de confort. Toutes les drogues et si possible tout ce qui contient des produits chimiques. 3) Réduisez votre consommation de protéines animales, viande, poisson, œuf. Privilégiez la qualité plutôt que la quantité si vous en mangez. Ne consommez plus de sel de table et sucre raffiné, il y a d'autres alternatives : eau de mer, sel non raffiné de Guérande ou de l'Himalaya, les algues fraîches et sèches pour le goût salé. Pour le goût sucré, le miel, les dattes, les fruits séchés comme les figues, les raisins, les bananes et si nécessaire, le Rapadura en magasin bio vaudra mieux que le sucre blanc. Et plus encore que l'alimentation délétère, le manque de sommeil et le stress permanent vous détruisent à petit feu ! Dormez 8 heures par jour, n'oubliez pas que les heures avant minuit sont les plus importantes. Mettez tout en œuvre pour avoir un bon sommeil, et évitez les sources de stress. Rapprochez-vous de la nature s'il le faut, changez de boulot aussi, c'est votre santé qui est en jeu. Prenez en conscience dès maintenant avant que la maladie s'installe. Il y a des tisanes et toutes sortes de plantes pour favoriser le sommeil ou les cataplasmes d'argile ou d'huile de ricin pour vous aider. Profitez des centres de bien-être, allez marcher, nager, faire du sauna, du hammam, du yoga, pratiquez le jeûne court pour commencer mais régulièrement. 4) Évitez voir même supprimez les aliments qui contiennent du gluten et les céréales en général, qui laissent des déchets que l'on nomme des colles qui nous encrassent sous forme de glaires, de mucosités etc. Evitez voir supprimer totalement et pour toute la famille le lait animal et les produits laitiers. Vous pouvez les remplacer par du lait d'amande, de noisette etc. (Ne consommez pas du lait de soja). 5)Ajoutez à votre alimentation plus d'oléagineux, de graines germées, de jeunes pousses vertes, des algues. Attention aux savons, shampoings, maquillages, lessives, assouplissants etc. tout ce qui est en contact avec la peau doit être sans produit chimique. Hippocrate a dit aussi : ” Si quelqu’un désire la santé, demande-lui d’abord s’il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Alors seulement, tu pourras l’aider.” La casse
Du nom scientifique de Cassia Fistula. La casse est une légumineuse de l'arbre cassier à fleurs jaunes en grappes. Elle se présente en longues gousses d'environ 50 cm de long et de la grosseur d'un doigt, qui pendent dans l'arbre. Vertes lorsqu'elles ne sont pas mûres et noires à maturité elles finissent par tomber toutes seules à la saison des pluies. La casse est originaire d'Asie du sud, mais on la retrouve dans tous les pays chauds, en Afrique, en Amérique du sud etc.
Wikipédia nous indique : Propriétés et utilisations de la casseDans la médecine ayurvédique, Cassia fistula est connu sous le nom d'aragvadha (« maladie meurtrière »). La pulpe du fruit est utilisée comme léger laxatif doux, contre la fièvre, l'arthrite, les vatavyadhi (maladies du système nerveux), toutes sortes de rakta-pitta (saignements, tels que l'hématémèse ou hémorragie), ainsi que contre les problèmes cardiaques ou gastriques tels que le renvoi. La pulpe contenue dans les siliques ou fruit de la casse est depuis longtemps employée comme purgative et particulièrement dans les maladies qui ont un caractère inflammatoire. C'est vers l'an 824 que les Arabes introduisirent l'usage de la casse dans la médecine. Bien que son utilisation dans l'herboristerie soit attestée depuis des millénaires, cet arbre fait l'objet de peu de recherche médicale dans le monde moderne. » Toutefois la recherche a identifié des principes bio-actifs qui auraient des propriétés anti-bactérienne, anti-virale et anti-douleur. Comment j'ai connu la casse ?La casse est un fruit sauvage puissant, idéal pour une cure de “détox”. Elle est populaire dans de nombreux pays pour ses effets dépuratif, purgatif, laxatif et anti-inflammatoire. Personnellement c'est en découvrant l'instinctothérapie que j'ai connu la casse en 1989, dans un stage sur les différentes formes d'alimentation saine. Lorsque l'on passe d'une alimentation classique ou même végétarienne comme c'était mon cas, à une alimentation 100% crue et en suivant son instinct avec des aliments « natifs » c'est-à-dire tel que la nature nous les offre, sans préparation, sans mélange et sans transformation faite par l'homme. Forcement, le corps réagit et détoxifie de façon parfois spectaculaire. Dans le centre d'instinctothérapie qui existait jusque dans les années 2000, on recommandait toujours, surtout les premiers mois, voir même les premières années de prendre de la casse tous les jours. Si parfois on ne se sent pas bien, qu'on a attrapé un virus ou autre, le mieux est d'arrêter de manger et de prendre de la casse plusieurs fois par jour afin d'aider l'organisme à se nettoyer et à se réparer. J'ai rencontré des personnes plus âgées que moi qui m'ont dit qu'autrefois sur les marchés français les Africains vendaient de la casse, c'était leur « médicament » naturel quand ils avaient mal au ventre ou mal à la tête. Mon ancienne collègue Patricia originaire de Martinique, me racontait que lorsqu'ils étaient enfants, leur mère leur donnait de la casse fondue dans du lait bouilli 1 ou 2 fois par an. En 1989 la première fois que j'ai voulu en acheter je suis allée à la grande herboristerie de Fourvière à Lyon, ils en avaient mais elle était vieille et toute sèche ! Peu de gens en achetait j'imagine. La détoxificationLorsque notre système digestif commence à se reposer (plus de grignotage) et ne reçoit que des aliments parfaits pour l'organisme (aliments physiologiques) tels que les fruits et les légumes crus et mûrs à point, nos cellules se nettoient et se débarrassent des toxines accumulées souvent depuis longtemps. C'est ce que l'on appelle la détox. Ces toxines sont remises en circulation dans le sang et la lymphe. Ensuite nos émonctoires, les organes spécifiques de l'élimination doivent prendre le relais et évacuer ces toxines hors de l'organisme. Malheureusement, bien souvent, ces organes de l'élimination sont paresseux, encombrés et ne fonctionnent plus comme ils le devraient. Les principaux organes d'élimination sont les intestins, les reins, les poumons mais aussi la peau. Pour les aider, la casse prise à jeun tous les matin ou/et le soir avant de se coucher, permet de drainer ces toxines qui circulent dans le sang et nous perturbent, vers les intestins pour être évacuées plus rapidement sous l'effet purgatif naturel de ce « fruit » sucré. Le fruitLa casse a une forme particulière, longue et noire. Pour ouvrir la casse, utilisez un casse-noix et fendillez une zone du bâton. Vous pourrez ainsi en extraire les fines rondelles. Ces rondelles sont recouvertes d’une pulpe noire, seule partie consommable du fruit. Laissez fondre une rondelle sur la langue, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une petite pastille ligneuse sans pulpe (de couleur brune). Les petites graines marron clair ne sont pas comestibles. Une autre manière de la consommer est de laisser les rondelles fondre dans un peu d'eau et boire l'eau de préférence à jeun. Pour les enfants c'est souvent plus facile de cette façon. Quelle quantité prendre ?Au début commencez par 4 ou 5 rondelles toujours à jeun. Attendez au minimum 30 à 60 minutes avant de boire ou de manger. Si vous ne remarquez rien au bout de 5 à 6 heures, la prochaine fois augmentez de 2 rondelles et ainsi de suite. Si vous en prenez trop vous aurez mal au ventre et aurez la diarrhée. Les besoins d'une personne à l'autre sont très différents. Certaines personnes se contentent de 3 rondelles d'autres, plus rares, prendront un demi-bâton de casse ! Plus la casse est fraîche plus elle est efficace. Ou acheter la casse en Europe ?Si vous souhaitez vous en procurer à moindre frais en petite quantité pour essayer, je propose de la casse décortiquée sur la boutique du site envoyée en enveloppe pour 10 euros frais d'envoi compris pour la France. Il y a environ 75 rondelles de casse. Vous pouvez la commander et la régler directement sur le site par CB ou Paypal en cliquant sur ce lien. Vous recevrez gratuitement par mail mon E-book sur la casse : https://www.curenature.fr/la-casse.html Vous pouvez aussi commander de la casse à Jurassicfruit avec d'autres produits merveilleux. N'oubliez pas qu'en indiquant le code promo : CURENATURE vous aurez 10 % de réduction sur votre première commande. Cliquez ici pour aller sur le site : https://www.jurassicfruit.com/fr/ Ils la proposent en bâton ou en pot déjà toute décortiquées. Plus la casse est fraîche plus elle est efficace et moins vous aurez besoin d'en prendre. Les bâtons peuvent se conserver facilement 2 ans et s'ils sont secs, vous pouvez les ré-humidifier en les plaçant dans un torchon humide. Vous ne vous sentez pas bien ou votre enfant est maladePrenez ou donnez-lui de la casse, cela va aider son organisme à éliminer les déchets qui l'encombrent. N'oubliez pas que la maladie est utile et qu'elle sert à expulser hors du corps des déchets dont le corps ne sait que faire. Plus cru, moins cru : quand est-ce assez cru ?
La quantité et la qualité de l'alimentation vivante que vous apportez dans votre vie quotidienne est entièrement votre propre choix en fonction de vos besoins, de vos contraintes, de vos enfants et de votre conjoint(e).
Si votre tube digestif n'est pas trop en vrac, plus vous apporterez de végétaux fraîchement cueillis donc vivants, sans faire trop de mélanges, plus vous aurez d'énergie et mieux vous vous sentirez. Témoignages après 3 semaines d'alimentation vivante : "J'ai un meilleur sommeil, on ne sent plus la digestion, plus de coup de pompe, peau plus jolie, cheveux sains, plus calme de l'intérieur, moins besoin d'aller se défouler dans une salle de sport, douleurs en diminution voir même certaines totalement disparues. Je me sens moins dépressive, je ressens une joie de vivre que j'avais perdue. La première semaine, j'étais fatiguée, la deuxième je me sentais de mieux en mieux et la troisième a été la meilleure, je n'ai plus envie d'arrêter ! Au début j'avais froid de l'intérieur car je détoxinais, je me promenais avec ma bouillotte bien chaude" La transition se fait à votre rythme. Pour certains, en une semaine ils sont passés du cuit classique au cru à 100% ! Ce n'est pas forcément le mieux car souvent les « tout feu tout flamme » ne tiennent pas très longtemps. Or c'est une hygiène de vie qu'il faut adopter, ce n'est pas un régime. Il n'est pas forcement nécessaire d'être au cru à 100 % non plus ! D'autres vont mettre un mois, six mois, un an, 3 ans... pour stabiliser leur apport au cru. Le principal est d'aller vers le meilleur pour vous. Vous et votre famille éventuellement. Nous en reparlerons à d'autres occasions. Lorsque vous avez décidé de manger mieux et plus cru, vous n'avez pensé qu'à l'alimentation, mais l'hygiène de vie en générale est aussi à revoir, cela forme un tout. Cela demande réflexion, acquisition de connaissance, nouvelle organisation, changement de comportement pour les achats, changement de magasins aussi. Il est important d'avoir une vie équilibrée, d'être bien ancré dans la matière mais avoir aussi des aspirations spirituelles : Corps, esprit, cœur et âme. Pour tenir dans cette orientation il est important d'avoir des relations avec d'autres personnes, d'autres familles qui partagent les mêmes valeurs, sinon on se sent vite isolés et même dépérir ! Physiquement : changez vos habitudes de vie et incluez une alimentation qui vous convienne bien, un niveau d'activité physique adéquat, exposez-vous au soleil, à l'air frais, au vent et buvez une eau pure tous les jours. Marcher pieds nus sur la terre, le carrelage, le sable pour vous décharger du rayonnement électro-magnétique, passez-vous les mains sous l'eau régulièrement dans le même but. Ne dormez pas dans la même pièce qu'un ordinateur, la télévision, votre portable qui se recharge, même s'il est sur mode avion etc. Émotionnellement : prenez le temps d'être conscient de chacun de vos gestes, paroles, actes. Concentrez-vous sur le présent ici et maintenant. N'hésitez pas à vous faire des nouveaux amis qui correspondent mieux à votre vie d'aujourd'hui et fréquenter des gens qui partagent vos valeurs. Évitez les personnes qui vous « polluent » l'esprit, le cœur, l'énergie etc. Si vous avez du mal à vous aimer et à vous respecter ou si vous avez un ou des traumatismes, faite vous aider par un thérapeute. Avant de pouvoir aimer les autres il faut commencer par s'aimer soi-même. Votre esprit : travailler à changer votre façon de penser et de voir les choses, les événements et les personnes de votre entourage. Travailler à penser positivement dans tous les domaines. Réorganisez votre façon de vivre, de travailler. Rangez votre intérieur pour vous aider à ranger vos pensées. Pièce après pièce faite le trie, évacuez tout ce qui ne vous sert pas, mettez de l'ordre et rangez correctement et sans encombrement ce que vous gardez. Soyez zen, allégez vos bibelots, vos meubles, votre déco en général. Commencez par votre pièce principale, puis votre chambre, votre bureau etc... Gardez propres et harmonieux ces espaces. Vous allez tout de suite sentir que vous respirez mieux, que vous êtes bien, que vous vous sentez plus léger(e). Votre âme : branchez-vous à quelque chose de supérieur à vous. Appelez-le comme vous voulez, Dieu, l'Univers, vos anges gardiens, votre fée, peu importe le nom que vous donnez. Faite confiance à ce qui vous dépasse mais pourtant qui vous accompagne dans votre évolution spirituelle. Vous aviez choisi cette vie avant de vous réincarner, vous l'avez oublié mais vous l'aviez choisi dans un but précis. Et quelque part des êtres non incarnés vous suivent et vous aident pour aller vers votre objectif de départ. Ils vous parlent dans votre être intérieur, essayez de les entendre et de les écouter. Vous verrez que vous pouvez leur faire confiance, ils sont de votre côté et sont une aide précieuse. Pour y arriver, il y a la méditation, la relaxation, la prière, les techniques diverses pour se reconnecter à soi-même, les stages, les retraites, les livres etc. L'éveil amorcé par l'alimentation vivante surprend parce que beaucoup d'entre nous étions totalement coupés de la nature et des éléments. En s'intéressant aux fruits et légumes qui nous nourrissent, du même coup on se rapproche de mère nature qui nous nourrit dans notre ensemble et pas seulement des végétaux ! Lorsque l'on mange un fruit, on n'absorbe pas seulement des vitamines, des minéraux, des enzymes etc. mais aussi l'énergie cosmique et terrestre, l'énergie du soleil qui a fait grandir ce fruit. C'est ce que l'on appelle le prana. N'oubliez pas que sur la planète il y a des centaines de personnes qui ne mangent plus du tout de solide ni de liquide depuis plusieurs mois ou plusieurs années. Ils se nourrissent de prana et se portent bien. Ils ont stabilisé leur poids et leur énergie. Ils ont appris à se nourrir du prana. Non non ce n'est pas de la science-fiction, chercher sur le net, vous verrez, c'est bien réel. On les appelle les praniques ou les respiriens. Ce n'est pas donné à tout le monde, mais il existe des stages de 3 semaines pour s'y préparer et tenter de faire cette expérience. Si vous cherchez à ralentir le processus de vieillissement vous devez changer votre style de vie en changeant le type d’aliments que vous mangez, le plus frais, le plus vivant, et le plus bio possible, en buvant l’eau la plus pure et la plus vivante possible (dynamisée par vortex et filtrée ionisée et alcaline si possible) et aussi en faisant de l’exercice. Les meilleurs aliments pour la santé et la vitalitéProduits lacto-fermentés sans sel, fruits et légumes bio, graines germées, jeunes pousses de légumes et de plantes aromatiques, algues, oléagineux etc. Les radicaux libres sont nuisibles à votre santé quel que soit votre mode de vie et votre environnement Certains facteurs déterminent la façon dont les radicaux libres influencent votre santé, par exemple :
Les radicaux libres, provoquent une détérioration graduelle de nos cellules, ils sont les premiers responsables du vieillissement prématuré. L’organisme ne fabrique pas d’antioxydants, on les trouve dans l’alimentation. Tous les fruits et légumes contiennent des antioxydants, certains plus que d’autres. Il faut en manger suffisamment et le plus bio et plus frais possible, sachant que les propriétés diminuent fortement 3 jours après la cueillette. Eviter les produits oxydants, comme les sodas, le café, l’alcool, les fritures, les charcuteries, les viandes rouges, surtout grillées (barbecue), les poissons et viandes fumées, etc. La première source de radicaux libres est naturellement produite par l’activité de nos cellules. En fait chaque fois que l’on respire, l’utilisation de l’oxygène par l’organisme entraîne la formation de radicaux libres. Lorsque la production de radicaux libres devient trop importante, nos réserves d'antioxydants ne suffisent plus à neutraliser l'effet néfaste de l'oxydation des radicaux libres sur nos tissus et cellules. Au-delà du cruVous avez intégré l'alimentation vivante à votre style de vie. Vous avez réorganisé vos achats, votre cuisine, vos repas. Vous avez cherché sur le net des recettes de crusine. Vous vous sentez bien, rajeunit, plus fort(e), plus d'énergie, plus de confiance en vous. Il n'y a pas que votre assiette qui a changé, c'est un cheminement vers un nouveau style de vie, un peu plus atypique, mais tellement plus joyeux et enrichissant. Lorsque vous avez de l'énergie plus qu'il n'en faut, que vos idées sont claires, votre pensé positive, demandez-vous si votre vie au quotidien vous satisfait ? Si votre travail est épanouissant ou si vous aimeriez vous reconvertir ? Vos amis sont-ils sources de joie et de partage ? Votre habitation est-elle idéale pour vous en ce moment ? Votre région ? Votre pays même ? Et votre conjoint(e) fait-il (elle) le même cheminement que vous ? Vos enfants si vous en avez, vous suivent-ils dans votre évolution ? Nous parlerons des enfants et la transition alimentaire dans un prochain article. La crusineOn appelle CRUSINE, la cuisine crue. C'est à dire, la préparation de plats, d'assiette raffinés, délicats et présentés comme s'ils étaient cuits mais fait uniquement à base d'aliments crus, sans gluten et sans produit laitier. Vous trouvez sur le net des tas de recettes crues, vous avez des livres de recettes crues, et des ateliers, stages et formations à ce style d'alimentation. https://www.crusineacademie.com http://www.crusinesante.com https://ateliersante.fr/les-recettes C'est parfait pour varier, pour recevoir ou apporter un dessert cru lorsque vous êtes invité. Toutefois c'est long et demande des ustensiles un peu plus spécifiques. Personnellement si je crusine pendant plusieurs jours d'affilés, j'ai l'impression de retomber dans la casserole comme on dit chez nous ! Pour moi l'avantage de manger cru, en dehors de l'aspect santé, c'est ne n'avoir rien à préparer ou si peu, et de réduire la vaisselle sale et de pouvoir la laver à l'eau froide ou tiède sans spécialement de détergeant. Et cela est excellent pour la maîtresse de maison, je vous assure ! Parlons des jus d'herbe de céréalesLe livre de Ann Wigmore : L'herbe de blé – Source de santé et de vitalité – La faire pousser et la préparerEditions Jouvence
Ce livre a été écrit en 1985 et édité en France en 2001.
Cela fait déjà plus de trente ans qu'Ann Wigmore, fondatrice du centre de santé Hippocrate a commencé à l'utiliser à des fins curatives. Elle consomme quotidiennement du jus d'herbe de blé, s'est soignée de colites en quelques semaines de cette façon et depuis resplendit de santé et de vitalité malgré ses 75 ans. Ann Wigmore est née en 1909 et elle est décédée en 1994 à l'âge de 85 ans dans l'incendie du centre Hippocrate de Boston qu'elle avait créé. Elle y soignait des patients atteints d'une maladie incurable et sur lesquels la médecine orthodoxe ne faisait plus d'effet, avec les jus d'herbe, d'autres aliments verts, des graines germées et des aliments crus Elle a écrit ce livre pour les personnes qui désirent prévenir la maladie et améliorer leur santé. Le jus frais de plants de blé est une réserve naturelle de vitamines, minéraux, chlorophylle, enzymes et énergie vitale. Des médecins comme le docteur Robinson qui dirige le programme de recherche portant sur les curistes du centre Hippocrate a fait des expériences qui mettent en évidence les pouvoirs des aliments vivants et des jus d'herbe, que l'on appelle aussi « alicament », de la contraction aliment-médicament. Le docteur Thomas et de docteur Charles Schnabel ont bien étudié le jus d'herbe de blé et le docteur Schnabel a estimé que 7 à 8 kilos d'herbe de blé étaient l'équivalent en protéines et en valeur nutritionnelle globale à 175 kilos de légumes ordinaires. Après sa guérison et l'observation sur des personnes âgées et alitées, des résultats stupéfiants de la consommation de jus d'herbe de blé, Ann Wigmore en conclut que : « la dégénérescence et les maladies dont nous souffrons de nos jours proviennent du manque de vitalité et de vie dans les aliments que nous consommons. La majeure partie de la nourriture consommée par les occidentaux est trop cuite et à moitié morte (ainsi 100% des enzymes des aliments sont détruits par la cuisson). Les boissons sont surchargées de sucre, d'alcool et de stimulants, lesquels donnent une illusion d'énergie qui s'évanouit rapidement au fil de la journée. A l'inverse, les nutriments contenus dans l'herbe de blé et les aliments crus comme les graines germées, les légumes frais, les fruits, les noix, les graines ainsi que dans les préparations du régime Hippocrate réalisés à partir de ces aliments, ne sont détruits ni par la cuisson, ni par leur mode de préparation. Ces aliments vivants sont en mesure de restaurer la vigueur et l'énergie d'un organisme malade et fatigué. L'herbe de blé est un puissant revigorant. » «Réalisée par le docteur Thelma Arthur, une étude démontre qu'en 2 semaines du régime Hippocrate à base d'aliments vivants et de jus d'herbe de blé, le sang est désintoxiqué et le système immunitaire renforcé. Ces 2 modifications sont à l'origine du surplus d'énergie et de la meilleure aptitude du corps à combattre et vaincre la maladie. L'herbe de blé, en plus d'être un aliment sain est aussi d'une culture et d'un emploi facile et de surcroît d'un prix dérisoire. » J'ai acheté la semaine dernière pour 1,58 euros 500 gr de blé à germer au magasin bio. J'ai mis à tremper les 500 gr une nuit dans l'eau filtrée. Je les ai ensuite rincés à l'eau 2 fois par jour pendant 2 jours et le 3ème jour, les germes étaient assez grands pour que je pose tous les grains sur la terre de 5 à 6 plateaux selon leurs grandeurs. J'ai posé un carton dessus pour les maintenir à plat sur la terre et dans l'obscurité pendant 2 jours et le 3ème jour j'ai enlevé les cartons les pousses ayant déjà presque 2 cms. Il ne fait pas très chaud en ce mois d'avril, mais je pense que dans une semaine, je pourrai commencer à récolter mon herbe de blé que j'ai mise à l'intérieur à cause de la météo. Pour l'orge c'est la même chose, mais l'herbe d'orge semble moins fragile, plus drue et verte plus foncée que l'herbe de blé. En revanche son goût est plus amer, personnellement j'ai plus de mal à la boire, mais de par son amertume, elle doit agir efficacement sur la sphère hépatique. J'en bois environ 60 à 100 ml par jour en 2 fois. La première à jeun et la seconde avant le repas du soir. Je l'utilise aussi en implant rectal chaque jour à raison d'environ 50 ml. Un plateau (selon la grandeur) donne environ 100 à 120 ml de jus d'herbe. Ann nous dit qu'il y a d'autres façons d'utiliser le jus d'herbe comme par exemple en soin capillaire pour les cheveux ternes. Comme tonique, astringent et tenseur pour la peau, mais encore pour les sinus, pour la cicatrisation de blessures, Qu'elle draine les poisons etc... Dans son livre Ann nous dit comment l'utiliser pour désintoxiquer, guérir, améliorer notre façon de nous nourrir, retrouver un physique agréable et prévenir la maladie. Elle parle aussi du jeûne d'herbe de blé et jus verts, qui pour moi s'appelle davantage une cure de jus qu'un véritable jeûne. Elle donne également des recettes. Page 33 « Le docteur Hans Fischer et son groupe de travail reçurent le prix Nobel pour leurs travaux sur les globules rouges. Au cours de leurs recherches, les scientifiques remarquèrent que le sang humain qui transporte l'oxygène à nos cellules est pratiquement identique à la chlorophylle au niveau moléculaire. Dans le corps humain, les globules rouges se caractérisent par la présence d'hémoglobine, qui assure le transport d'oxygène et dont le noyau central contient du fer. Par ailleurs, la plupart des plantes vertes se caractérisent par la présence de chlorophylle, dont le noyau central contient du magnésium. Ces 2 molécules montrent de frappantes similitudes » « Les médecins ont employé la chlorophylle pour soigner l'anémie, mais même si l'on est pas anémique, le simple fait d'augmenter notre taux de globules rouges va permettre une meilleure circulation, une meilleure oxygénation des cellules et un rapide drainage de l'organisme. Le cerveau consomme à lui seul environ 25% de l'oxygène disponible dans le corps. Or un sang bien oxygéné stimule notre système immunitaire... » Ann Wigmore nous expose ce qu'est réellement la chlorophylle, comment elle agit et qu'est-ce qu'elle apporte à nos organismes. En résumé c'est de l'énergie solaire condensée. Elle tonifie le cœur et le système cardio-vasculaire, les intestins, l'utérus, les poumons. Elle a un rôle de draineur et régénérateur hépatique. C'est aussi un déodorant corporel. Elle est utilisée dans les médicaments, les dentifrices ou les produits pour purifier l'haleine. C'est un remède puissant et efficace. Elle insiste sur l'importance des enzymes contenus dans le jus d'herbe, de puissants dépuratifs du sang. Les enzymes permettent la circulation, perdre du poids, penser, digérer, se mouvoir, purifier le sang, tout cela nécessite l'activité de milliers d'enzymes. La cuisson détruit à 100% les enzymes que l'on trouve dans les aliments. Les enzymes représentent probablement l'élément majeur de l'efficacité de l'herbe de blé. Il y a des centaines d'enzymes dans les pousses de céréales. Les herbes sont de véritables réservoirs d'enzymes. Dans certains cas, on a aussi constaté leur capacité à « digérer » ou dissoudre les excès de lipides et de protéines du corps et même des tumeurs et des kystes. L'une des enzymes présente dans les pousses de céréales la SOD est considérée par les scientifiques comme étant peut-être une enzyme anti-âge. Elle réduit aussi l'effet des radiations, présente une action anti-inflammatoire et même susceptible de prévenir les dommages cellulaires qui sont la conséquence d'une crise cardiaque ou de l'exposition à des irritants. Elle protège nos cellules de l'empoisonnement dû à une mauvaise nourriture, à la pollution de l'air ou aux médicaments. Le docteur Yasuo Hotto, biologiste à l'université de Californie à San Diego a isolé un autre composé des jeunes pousses, provisoirement dénommé P4D1, capable de stimuler la production et la réparation naturelle des cellules reproductrices du sperme humain et de l'AD N. Les vitamines A, C et E sont des exemples d'anti-oxydants naturels. Le jus d'herbe est hautement assimilable dont la digestion ne demande que peu d'énergie. Elle recommande 10 à 20 cl de jus d'herbe frais par jour, soit 100 ml à 200 ml par jour. Toutefois le blé a tellement été sélectionné, hybridé, trafiqué par l'homme qu'il n'a plus rien à voir avec le blé sauvage qui n'existe plus sur notre planète. A tel point que certains prétendent que l'on peut l'assimiler à un OGM. Pour cette raison, je ne préfère pas utiliser de blé. J'ai tenté l'expérience avec de petit épeautre mais je n'ai pas réussi. Avec le sarrazin, j'ai eu peu de grains qui ont germés et poussés, donc mon herbe était plutôt très clairsemée. Tandis qu'avec l'orge, je vois qu'il pousse très bien, il est plus sauvage, plus vert foncé, plus amer au goût, moins fragile que le blé. Cette céréale me semble plus facile à faire pousser et je soupçonne qu'elle soit plus riche en nutriments et excellente pour le foie. Je me suis donc penchée... Dans le livre de Barbara Simonsohn - Le jus d'herbe d'orge - La boisson naturelle complète Editions Chariot d'Or
Voici ce que j'y trouve :
« Tout comme Ann Wigmore qui s'est guérit par le jus d'herbe de blé, le docteur Yoshihide Hagiwara s'est guérit par le jus d'herbe d'orge. L'herbe d'orge surpasse l'herbe de blé en termes de concentration de la plupart des nutriments. Elle contient environ 2 fois plus de calcium facilement assimilable et 2 fois plus de potassium, ce qui est important pour l'équilibre acido-basique. En même temps, l'herbe d'orge contient à peine la moitié du phosphore de l'herbe de blé un élément trop abondant dans notre alimentation moderne, (peut être responsable des troubles du sommeil). De plus l'herbe d'orge contient de la chlorophylle et des enzymes en plus grande abondance que l'herbe de blé. Enfin, l'herbe d'orge est plus alcaline que l'herbe de blé. De plus, les experts pensent qu'en comparaison de l'herbe de blé, l'herbe d'orge contient de la catalase, un enzyme qui active le système immunitaire dans sa bataille contre les cellules cancéreuses. L'herbe d'orge contient de nombreux antioxydants, y compris les flavonoïdes 2''-O-GIV qui ont été mis en évidence comme étant des antioxydants plus puissant pour prévenir l'oxydation des lipides que le bêta carotène, la vitamine C ou la vitamine E. A ce jour, les 2''-O-GIV n'ont été trouvés dans aucune autre herbe de céréale ou légume. Constituants amers Un avantage supplémentaire de l'herbe d'orge en comparaison avec l'herbe de blé se trouve dans les constituants plus amers de la première, qui profitent principalement au pancréas, à l'estomac, au foie et à la vésicule biliaire. » L'auteur nous parle aussi de l'aspect spirituel de l'herbe notamment à partir de l’évangile secret des Esséniens. L'orge, la plus ancienne herbe douce du monde et la plus ancienne céréale qui fut jamais cultivée. L'orge pousse au Tibet jusqu'à 4400 mètres d'altitude et elle est même cultivée dans le Sahara jusque autour de l'Equateur. L'orge était déjà cultivée il y a 7000 ans. L'herbe d'orge est un supplément alimentaire naturel et très concentré. 100 gr apportent la valeur nutritionnelle de 1,8 kilo des meilleurs légumes biologiques. Si on ne veut ou ne peut pas faire pousser de l'herbe d'orge chez soi, on peut la consommer séchée sous forme de poudre dans un verre d'eau ou un jus. Comment la fait-on pousser ? Faire tremper les grains d'orge avec de l'eau pendant 12 heures puis rincez-les plusieurs fois. Placez-les dans un saladier recouvert un tissu fin et rincez-les 2 fois par jour avec une passoire afin qu'ils restent humides mais qu'ils ne trempent pas dans l'eau. Cela pendant 2 à 3 jours selon la température. Lorsque les racines sont visibles, il est temps de préparer vos plateaux recouverts de 4 à 5 centimètres de terreau ou de compost. Etalez les grains bien serrés sur la terre mais pas les uns sur les autres, enfoncez-les légèrement puis arrosez-les avec un arrosoir ou un pulvérisateur. Couvrez-les avec un carton pour les laisser dans le noir 3 à 5 jours pour favoriser le développement des racines, toujours les pulvériser pour garder l'humidité. Puis exposez-les à la lumière du jour pour que la chlorophylle puisse se former. Pensez toujours à les garder humide en les arrosant ou en les pulvérisant 2 fois par jour. La terre ne doit pas devenir sèche ni détrempée. La récolte commence au bout de 7 à 14 jours quand l'herbe a atteint 8 à 10 centimètres de hauteur. 2 plateaux suffisent pour donner environ 1 kg d'herbe dont on peut extraire environ 300 grammes de jus. Pour conserver ce rythme, il faut planter 2 bacs tous les 2 jours. On coupe l'herbe avec des ciseaux ou un couteau bien aiguisé au ras de la terre. Une deuxième pousse vient après mais elle aura une capacité de guérison et une concentration en nutriment qui sera de la moitié de la première. Boire le jus extrait immédiatement car il commence à s'oxyder au bout de 10 minutes. Ne buvez jamais plus de 10 cl en une fois. On peut mélanger le jus pur avec de l'eau filtrée. Le mieux de commencer doucement avec 30 ml 2 fois par jour, puis augmenter progressivement la quantité. On peut aussi mâcher l'herbe. Recrachez les fibres quand elles n'ont plus de goût. Buvez de l'eau de temps en temps. Cette mastication active la circulation du sang dans le cerveau, renforce les gencives et soigne les éventuelles saignements. Barbara Simonsohn nous dit également : « Les aliments végétaux qui contiennent de la chlorophylle ont beaucoup de calcium qui ne peut être utilisé par le corps que dans une combinaison organiquement équilibrée avec du magnésium. Malgré les éloges qu'il reçoit, le lait n'est pas capable de fournir du calcium car il ne contient pas de magnésium et l'absorption du calcium ne peut être garantie sans la présence de magnésium. Le jus d'herbe d'orge régénère la flore intestinale, les organes digestifs et l'ensemble du système endocrinien producteur d'hormones, en raison de leur abondance en enzymes. En conséquence, la digestion et l'utilisation des aliments sont optimisés. En plus, la chlorophylle détruit les germes. De plus, la chlorophylle améliore les fonctions du cerveau et peut abaisser le taux de cholestérol. Les enzymes comme le superoxyde dismutase (SOD) et la catalase trouvée dans l'herbe d'orge peuvent prévenir et même guérir le cancer. Le seigle, le froment, l'orge, le blé, l'avoine et la canne à sucre appartiennent tous à la famille des herbes. » Pour la petite anecdote voici ce que relate Barbara Simonsohn : « Ann Wigmore raconte une prophétie faite il y a des milliers d'année sur le continent englouti qu'était l'Atlantide. Cette prophétie dit qu'une civilisation lointaine recevra un jour une « clef » sous la forme d'une herbe de céréales qui préservera une civilisation décadente de l'extinction. Est-ce que cela se réfère à notre civilisation ? » « Même les publications scientifiques aux USA sur l'herbe d'orge mentionnaient dans les années 50 qu'elle contient tous les nutriments dont le corps humain à besoin (à l'exception de la vitamine D qui est produite par la peau). Elle contient sous forme concentrée du bêta carotène, du calcium, de la chlorophylle, des fibres, du fer et de la vitamine K. En outre, l'herbe d'orge est une bonne source de protéines aisément assimilés par le corps, de même que la vitamine B12, l'acide folique, la vitamine B6 et de nombreux éléments à l'état de traces. « Le docteur Yoshihide Hagiwara, comme le docteur Charles Schnabel 50 ans plus tôt, arriva à la conclusion que les herbes de céréales étaient ce qu'il y avait de plus proche de la perfection sur cette planète. Parmi tous les aliments qu'il testa, il découvrit que c'était les feuilles jeunes d'orge et quelques autres types de céréales qui avaient les niveaux les plus remarquables de composants actifs. Le docteur Yoshihide Hagiwara décida pour plusieurs raisons que l'herbe d'orge était le complément nutritionnel idéal pour les êtres humains. Par exemple, les pousses d'orge germent plus vite à une température inférieure à 15°, une température à laquelle les gênants champignons de moisissure et les bactéries ne peuvent se développer. De plus, l'herbe d'orge remplit les critères suivants : la meilleure qualité nutritive, les meilleures conditions de récolte et un bon goût. « « Important pour les végétariens et les végétaliens, l'herbe d'orge est l'une des rare sources végétales de vitamines B12. Pour purifier les vaisseaux sanguins et lymphatiques, les experts recommandent de boire 4 fois par jour : 10 cl de jus d'herbe d'orge en ajoutant dans le verre 40 cl d'eau de source pour éliminer les toxines et les dépôts de tous les organes. On dit que cette thérapie renforce le système immunitaire, régénère les cellules et a un effet rajeunissant durable particulièrement de la peau. Le jus d'herbe d'orge a le même pH que le lait maternel. Barbara Simonsohn donne les indications suivantes : 150 gr d'herbe de blé ou d'orge correspondent approximativement à la valeur nutritionnelle de 35 kg de végétaux cultivés biologiquement. « Par son effet alcalin, le jus d'herbe d'orge change l'environnement du corps. Beaucoup de maladies comme les rhumatismes et le cancer ne se développent que dans un environnement trop acide, « une terre acide ». Les malades du cancer ont toujours une acidose, une hyperacidité des fluides du corps, en particulier autour des cellules cancéreuses avec un pH extrêmement acide de 5,5 à 6. L'herbe d'orge est l'un des aliments les plus puissants, sinon le plus puissant pour restaurer l'équilibre acido-basique sans effets secondaires comme avec les préparations alcalines. » Je ne reprends pas les nombreux avantages de l'herbe d'orge sur les différents aspects du corps humains comme les antioxydants etc. Et comme Ann Wigmore, elle donne aussi des recettes et se répète pas mal en reprenant les choses à la fin dans son A à Z. Ce que je retiens de ces deux livres, c'est que les jeunes pousses d'herbe de céréales ont en effet rééquilibrant, détoxifiant, alcalinisant pour nos cellules. Grace à la chlorophylle qu'elles contiennent, elles ont des effets désodorisants, transportent l'énergie du soleil jusqu'à nos cellules, elles agissent sur le sang et renforcent nos organes, nous protègent contre les maladies infectieuses, améliorent les fonctions du cerveau, elles renforcent nos capacités d'auto-guérison etc... D'après l'auteur le jus d'herbe d'orge est plus puissant que celui de blé. Par expérience je me suis aperçu aussi que l'herbe d'orge est plus facile à faire pousser que celle de blé, même dehors au printemps, l'herbe pousse vite, elle est plus résistante, elle est verte plus foncée, les brins sont plus larges et ne se courbent pas aussi facilement que les brins de blé sous l'effet de la Tramontane de notre région. En revanche son goût est plus amer, ce qui indique aussi qu'il agit davantage sur la sphère hépatique. Personnellement ça m'ennuie beaucoup d'utiliser le blé qui au fil de temps à tellement été hybridé par l'homme que l'on peut presque l'assimiler à un OGM. Je vais donc arrêter le blé et continuer de faire pousser de l'herbe d'orge, et si j'y arrive, je ferai aussi pousser du petit épeautre ou du Sarrasin pour varier et tester les différents goûts. LES FODMAPS
Vous avez des ballonnements, des gaz, vous souffrez de constipation, de diarrhée, de douleurs à l’estomac, de problèmes de digestion, du colon irritable et bien d’autres troubles du tube digestif ?
Vous êtes peut-être intolérants à certains types d’aliments. Que faire ? Il est possible de suivre une alimentation pauvre en Fodmaps pendant 6 à 8 semaines et d’observer comment vous vous sentez et vérifier si vos symptômes disparaissent. Puis réintroduire chaque famille d’aliment un par un afin de constater laquelle vous pose des problèmes et de la supprimer de votre alimentation pendant quelques mois jusqu’à une année avant de la réintroduire doucement par la suite. Qu’est-ce que les Fodmaps ?Ce sont des sucres bien particuliers qui sont difficiles à digérer et à assimiler par l’intestin grêle du fait d’une faiblesse enzymatique. Du coup ces sucres particuliers se retrouvent dans le colon où ils fermentent et causent divers problèmes. FODMAP est un acronyme qui signifie : « Fermentable by colonic bacteria Oligosaccharides, Disaccharides, Monosaccaharides And Polyols ». Ce qui signifie : « Oligosaccharides, disaccharides, monosaccharides et polyols fermentescibles par la flore intestinale ». Ou tout simplement des sucres (glucides) particuliers dits glucides fermentescibles à chaîne courte. Le régime FODMAP a été mis au point par une nutritionniste australienne Sue Shepherd, pour traiter les problèmes fonctionnels intestinaux. Cette diète consiste à réduire la quantité de FODMAPS dans l’alimentation. Le docteur Pierre Nys explique dans son livre que ces fodmaps ne sont pas ou peu digérés dans l’intestin grêle. Cette mauvaise absorption est à l’origine d’une forte teneur en eau dans l’intestin grêle ce qui peut entraîner une distension de l’intestin, c’est le fameux ventre gonflé ! ou des douleurs ou des diarrhées chez les personnes plus sensibles aux fodmaps. Ces fodmaps qui se retrouvent dans le colon seront digérés par des bactéries, c’est la fermentation des sucres par ces bactéries qui est à l’origine des gaz, ballonnements, douleurs et autres maux chez les personnes sensibles, qui seraient de nos jours de plus en plus nombreuses. Pratique du régime pauvre en FodmapsIl s’agit de supprimer pendant quelques semaines les aliments répertoriés qui sont riches en fodmaps c'est-à-dire riche en glucides à chaîne courte qui entraînent des symptômes de colopathie fonctionnelle chez les personnes sensibles. Ce régime momentané se fait en 3 temps :
Mise en gardeCe régime pauvre en fodmaps ne doit pas être prolongé plus des 8 semaines indiquées, car il permet simplement de rétablir un équilibre digestif satisfaisant et de tester ensuite les familles d’aliments pour lesquelles ont aurait des intumescences afin de les éviter. Guérir la cause profondeToutefois si cette expérience est intéressante à faire, il convient aussi de renforcer son système immunitaire et son potentiel enzymatique par une alimentation riche en végétaux biologiques, frais, et si possible non produit en mono culture et consommer au maximum cru afin d’avoir un maximum d’enzymes qui, à la cuisson, disparaissent au-dessus de 40 degrés. Mon conseilJe vous invite aussi à faire à l’automne et au printemps une cure de 1 à 2 bouteilles de Régulat Pro qui est un « sirop » composé uniquement d’enzymes. Cette fabrication de fermentation en cascade a été mise au point par plusieurs médecins Allemands. Il est inutile d’en prendre beaucoup à la fois mais plus utile d’en prendre d’une manière régulière par cure de 1 à 2 mois. Symptômes et alimentation des enfants
Le virus est un processus adaptatif, il permet à l'organisme de faire un bon nettoyage. La grippe, les rhumes, et toutes les maladies infantiles sont utiles pour faire ces gros nettoyages de façon ponctuelle. Les enfants réagissent rapidement et de façon spectaculaire lorsqu'ils ont besoin d'évacuer beaucoup de déchets. C'est une chance, et nous devons nous en réjouir plutôt que de vouloir supprimer ces signes et stopper ces nettoyages.
Les enfants font habituellement deux sortes de maladies. Les maladies colloïdalesPour évacuer de l'organisme des glaires, des mucosité, des viscosités (ce que l'on mouche, ce que l'on crache) déchets provoqués par les sucres lents non digérés dans leur totalité et qui viennent de l'alimentation de la mère pour le bébé allaité ou de sa propre alimentation si l'enfant est plus vieux. Tous les sucres lents, c'est à dire les féculents, les pommes de terre, toutes les céréales avec ou sans gluten, les pâtes, les gâteaux, les viennoiseries, biscuits etc. ne peuvent pas être totalement traités par le foie. Celui ci ne peut traiter que les sucres rapides des fruits, par conséquent tous les résidus des sucres lents viennent ralentir la circulation de la lymphe et encombrer l'organisme. Cela provoque des maladies gênantes, pénibles mais non douloureuses comme les rhumes, l'asthme etc. Ces glaires et viscosités ne sont pas solubles dans l'eau. Pour s'en débarrasser il est préférable de s'abstenir de manger et même de boire, le temps que la situation s'améliore et de se reposer. Pour accentuer les éliminations par les selles et non par les voix respiratoires et ORL, il est utile de poser un cataplasme d'huile de ricin sur le ventre plusieurs heures chaque jour. Si c'est un nourrisson, lui masser simplement le ventre avec de l'huile de ricin bio. Les maladies colloïdales maladies cristalloïdalesLes maladies provoquées par les résidus qui devraient s'éliminer par les urines. Il s'agit de l'acide urique. Quand s'ils sont en trop grand nombre, la encore l'organisme ne peut les traiter. Ces résidus d'acide urique viennent de l'alimentation : des protéines animales comme la viande en excès, les poissons, les œufs, le fromage etc. Ces maladies sont douloureuses comme les otites ou les fièvres fréquentes chez les enfants. Ces réactions de l'organisme servent à expulser l'acide urique. Sans cela le système nerveux et neuronale sont perturbés. L'alimentation de l'enfantPlus l'enfant est jeune plus il est attiré par les aliments naturels et crus. Le début d'été est le moment idéal pour laisser vos enfants croquer dans les tomates, les concombres, les petits pois tout frais cueillis, le céleri branche, les radis, les cerises, les abricots, les pêches, les nectarines. Proposez-lui au goûté, un morceau de melon ou de pastèque, il se régalera ! Atelier jardin et germinationFaites avec lui un atelier de germination pour qu'il apprenne à faire germer lui même quelques graines et légumineuses comme les lentilles vertes, jaunes, noires ou corail. De l'alfalfa, fenugrec, tournesol, haricot mungo, chou rouge, radis etc. Ces aliments sont des bombes nutritionnelles ! Il suffit de les faire tremper quelques heures dans de l'eau, puis de bien les rincez et les maintenir humide mais pas dans l'eau en les rinçant 2 fois par jour jusqu'à l'obtention de germes bien visibles. Une astuce : les couvrir d'un torchon pour éviter que les moucherons se mettent dessus. A consommer avantageusement dans une salade. Si vous avez la chance d'avoir un jardin, laissez lui un petit carré de potager rien qu'à lui pour faire pousser 2 ou 3 pieds de tomates cerises, des petits pois, framboises, groseilles, fraises, 2 ou 3 salades. Bref tout ce qu'il aime et qu'il aura tant de plaisir à voir pousser et à déguster lorsqu'ils seront à maturité.
En prenant l'habitude tout l'été de croquer dans les aliments sains que la nature nous offre, il sera plus facile pour lui de continuer après à manger des fruits lors des goûters et des crudités à chaque repas.
Diminuez les protéines animales, il trouvera tous les acides aminés nécessaires à son organisme en pleine croissance dans les graines germées et les oléagineux trempés (noix de Grenoble, amandes, noisettes, pistaches, noix de cajou, macadamia, pignons de pin, tournesol etc.) Tous crus bien sur. Attention en magasins bio la plupart sont chauffés, il vaut mieux les acheter directement aux producteurs de votre région ou les commander à une société spécialisée comme Jurassic fruit : https://www.jurassicfruit.com/fr/ N'oublie pas qu'avec le code promo : CURENATURE vous aurez 10 % de réduction sur votre première commande. Vous constaterez que vos enfants sont plus calmes, moins souvent malades, tout en ayant des courbes de taille et poids tout à fait normaux. Un enfant en pleine santé, ça se voit, il n'est pas nécessaire de le montrer à un médecin pour savoir s'il va bien et s'épanouit correctement. Le gluten
Le plus redoutable pour les enfants, c'est le gluten qui se trouve dans quasiment toutes les céréales et les produits laitiers, surtout ceux de vache qui sont presque toujours pasteurisé !
Supprimez au plus vite le bol de lait et céréales du matin. Les tartines de pain beurrées avec du beurre pasteurisé lui aussi ou avec de la confiture pleine de sucre raffiné ne présentent pas un meilleur petit déjeuner, dans la mesure ou ils n'apportent quasiment pas de nutriments utiles aux cellules et beaucoup de déchets que l'organisme devra éliminer par la suite tant bien que mal. Un petit déjeuner sain pour les petits et les grandsVoici une recette facile que vous pouvez varier à volonté : Laissez gonfler des graines de chia dans un lait végétal de votre choix (amande, noisette, chanvre ou autre, sauf le soja qui présente de nombreux inconvénient pour la santé) Ajoutez un peu de miel ou du pollen (frais si possible), des baies de goji ou des raisins secs, quelques amandes ou noisettes que vous avez laissés tremper quelques heures auparavant, coupez-les en petits morceaux et coupez quelques fruits frais de saison dedans. Voila un petit déjeuner complet et sain pour passer toute la matinée sans fatigue. Les céréalesLes céréales qui ne contiennent pas de gluten sont : le sarrasin, le riz, le quinoa pour les principales. A consommer raisonnablement, car ces céréales forment malgré tout des « colles » dans les intestins. Les enfants adorent les pâtes, préférez les pâtes de riz plutôt que celles faites avec du blé. Les produits laitiersRemplacez les produits laitiers par des fruits frais et bien murs, mais si votre enfant veut manger du fromage, préférez celui au lait de chèvre ou brebis plutôt qu'au lait de vache. Cet aliment aussi ne doit pas être consommé régulièrement. L'homme est la seule espèce à boire du lait (d'une autre espèce) à l'âge adulte, c'est anti-physiologique. En fait, le lait de vache est l'aliment le plus producteur de mucus. Le taux de caséine du lait de vache est excessivement élevé, soit environ 300 % plus fort que celui du lait humain. La caséine du lait de vache est un adhésif particulièrement tenace utilisé comme colle à bois. Ceci est l'une des raisons des encombrements muqueux chez les enfants, mais aussi chez les adultes qui absorbent de grandes quantités de lait de vache. Rhumes, nez qui coulent, amygdales, végétations et complications bronchiques, sont les conséquences caractéristiques de la présence de mucus, alors que le jus de carottes est l'un de nos plus puissants alliés dans l'élimination de mucus. Lorsqu'elle affecte les adultes, cette production phénoménale de mucus dans le corps suite à l'ingestion de grandes quantités de lait de vache peut avoir des effets beaucoup plus désastreux, car la résistance décroît en proportion de l'âge et n'est plus ce qu'elle était chez les organismes jeunes. Des glaces sans sucre ni lait est-ce possible ?Oui il est très facile de faire des glaces naturelles sans lait ni sucre. Il suffit de mettre au congélateur des bananes, des abricots ou d'autres fruits bien murs coupés en morceaux de la taille de la cheminée de l'extracteur de jus. Une fois durcis par le froid, on les passe à l'extracteur de jus avec le tamis spécial sorbet, il sort un véritable sorbet naturel et délicieux. N'attendez pas pour le tester Les massagesLes enfants adorent les petits massages. Si le votre a facilement mal au ventre, n'hésitez pas à lui masser le ventre avec de l'huile de ricin bio, le soir avant le coucher. Étudiez aussi ce qu'il a mangé dans la journée et noter-le pour pouvoir faire des regroupements. Une amie pédiatre m'a dit un jour que 90% des enfants qu'elle avait en consultation avaient des intolérances alimentaires ! Les enfants sont plus sensibles que nous aux aliments qui ne sont pas physiologiques, car ils ne sont pas encore en tolérance comme nous. Ils réagissent rapidement par des symptômes et c'est plutôt bon signe En 1989, je découvrais l'alimentation vivantePersonnellement j'ai eu 2 enfants lorsque j'étais végétarienne. Ils ont eu des problèmes d'otites, rhumes, soignés aux antibiotiques etc. jusqu'au moment où ne sachant plus quoi faire pour éviter tout cela, je les ai soignés avec l'homéopathie. Ce qui nous a permis d'ailleurs d'arrêter définitivement les antibiotiques ! Quelques années plus tard, j'ai découvert l'alimentation vivante par le biais de l'instinctothérapie, c'était il y a exactement 30 ans. Puis j'ai eu 2 autres enfants cette fois-ci en mangeant 100% cru et instincto. Dès leur naissance je les ai allaités, comme les 2 premiers, mais cette fois-ci beaucoup plus longtemps et ils ont eux aussi mangé totalement cru jusqu'à leur adolescence. Mais plus grands avec les copains et les copines, ils ont commencé à goûter des choses qu'ils ne connaissaient pas... Mais l'un comme l'autre n’a jamais été chez le médecin, à part pour des certificats médicaux pour faire du sport. Je ne dis pas qu'ils n'étaient jamais malades, non comme tous les enfants, parfois ils étaient enrhumés ou avaient un peu de fièvre, ou encore des boutons sortaient. Mais dans ces cas-là, on arrêtait les fruits, ils mangeaient juste un peu de légumes et de la casse fistula * à jeun et s'ils n'avaient pas faim, rien du tout. Je surveillais et attendais que ça passe tout seul. Cela à toujours bien fonctionné. Je signale à ce propos, qu'ils n'ont jamais eu de carie. Nous avons donné la vie, notre rôle en tant que parents est bien de rendre cette vie belle et joyeuse, saine et harmonieuse. Nous conduisons nos enfants progressivement vers leur indépendance et leur maturité. Nous leur devons de leur offrir le meilleur de la vie, la santé par la nature. *Je vous parle de la casse dans un prochain article. |
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