Qu’est-ce que la santé et le bonheur ?
Il y a plusieurs facteurs qui nous permet de nous sentir en bonne santé et heureux.
Il semblerait, d’après les experts, que le facteur numéro un est le lien social. Et en deuxième, l’hygiène de vie. Le lien socialIl est extrêmement important dans le sens ou si on ne peut communiquer et partager avec les autres, on peut en mourir. La vie perd de son sens. Encore plus vrai lorsque l’on est sur une voie de transition alimentaire ou d’hygiène de vie plus saine, si on se sent seul, on ne tient pas ses objectifs, c’est trop dur. Lorsque l’on prend une nouvelle direction dans son existence il est important de se faire des nouveaux amis qui partage nos nouveaux centres d’intérêts. L'hygiène de vieOn entend par hygiène de vie saine : - L’alimentation. A mon sens, une alimentation saine, commence par une part importante des repas constitués de fruits et légumes non traités avec des produits chimiques, frais, de saison avec une part de crudité à chaque repas. Peu de viande ou poisson, des graines germées, des algues, des produits frais et cuisinés maison pour une grande majorité des repas. C’est aussi manger quand on a faim et au calme en mâchant correctement et lentement. On ne devrait jamais manger quand on est stressé ou en colère. - L’eau L’eau de boisson doit être pure et dynamisée. On ne devrait jamais boire l’eau du réseau. - Stress et sommeil Le stress et le manque de sommeil rendent notre organisme fragile et nous acidifient. Il est important de faire son possible pour dormir suffisamment et d’éviter tous les stress. - Le lien avec la nature J’entends par là, que l’on devrait consacrer chaque jours un temps pour être dehors à la lumière naturelle, marcher pieds nus sur la terre ou le sable, respirer sous des grands arbres ou au bord d’un ruisseau, de la mer, d’un lac, à la montagne. Être en contact avec les éléments, le vent, la pluie, le soleil… Le parfum des plantes nous nourrit aussi, de même que l’énergie qui se dégage des arbres, des ruisseaux, de la mer, de la montagne, des cascades etc. et bien d’autres endroits merveilleux. A tel point que des gens, de plus en plus nombreux, peuvent se passer totalement d’eau et de nourriture solide pendant des années. On les appelle les praniques ou respiriens justement parce qu’ils arrivent à se nourrir de cette énergie que les Indiens appellent Prana, par des respirations et le rapprochement avec la nature.
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L'équilibre acido-basiqueIndépendamment du degré d’acidité sur l’échelle pH, les acides peuvent être faibles ou forts. Le plus souvent ils sont liés à une base. Lorsque cette base avec laquelle un acide se trouve associé est forte (chimiquement parlant), l’acide compte pour peu dans la liaison. Il est dit faible car il peut être rejeté facilement. A l’inverse, lorsque la base est faible, l’acide compte pour beaucoup. Il est stable, se combine mal avec autre chose et il est dit fort. La distinction entre acides forts et faibles est utile à connaître car physiologiquement parlant, les acides forts sont plus difficiles à neutraliser et à éliminer de notre organisme que les acides faibles. Les acides forts proviennent essentiellement des protéines animales : acides urique, sulfurique et phosphoriques. Leur élimination demande un travail important au foie et aux reins. Ce qui n’a pu être éliminé par le foie et les reins va se stocker dans les tissus. Il est donc important de ne pas en consommer trop ni trop souvent. Les acides faibles sont essentiellement d’origine végétale (hydrates de carbone et protéines végétales). Acides citrique, oxalique, pyruvique, acétylacétique etc. Les acides faibles sont volatils car une fois oxydés, ils s’éliminent sous forme gazeuse par les poumons, en tant que vapeur d’eau et gaz carbonique. Cette élimination est facile à éliminer et non limitée. C’est en pratiquant l’exercice physique et les respirations que l’on augmente les éliminations de ce type. Le pH du sang doit rester stable à 7,39 très légèrement alcalin. Il ne peut varier que de très peu environ jusqu’à 7,36 (acidose) et 7,42 (alcalin). Si ces limites sont dépassées, le corps ne peut plus fonctionner et le coma ou la mort peuvent suivre. Toute modification du pH sanguin, même minime, est rapidement corrigée par l’organisme et ramenée à la mesure idéale de 7,39, sinon des troubles physiques et de modification de la conscience apparaissent rapidement. Le pH du terrain peut, lui, subir des modifications plus importantes que le sang, bien qu’encore réduites, puisqu’elles ne doivent pas dépasser 7,36 et 7,42 pour que le corps demeure en bonne santé. L’acidose est la plus courante des maladies. Mais chaque organe ou humeur de l’organisme a son propre pH qui n’a rien a voir avec celui du sang ou celui du terrain. Par exemple sont franchement acides : le milieu intérieur de l’intestin grêle (pH6), les couches superficielles de la peau (5,2), le milieu gastrique (2). Au contraire sont basiques les sucs pancréatiques (de 7,5 à 8,8) et l’intérieur du côlon sigmoïde (8). Ces valeurs correspondent a des besoins précis de l’organisme. L’acidité du milieu gastrique est indispensable pour la digestion des protéines, qui se fait dans l’estomac. Celle de la peau aide à détruire les microbes qui tenteraient de pénétrer dans l’organisme. Aussi lorsque l’on dit que l’on veut rétablir un pH normal du corps, on parle du pH du terrain. C’est en effet l’acidification du terrain qui est à l’origine des troubles de santé dus à l’acidité. Que fait le corps pour garder l’équilibre ?Pour garder l’équilibre entre les bases et les acides, le corps dispose de 2 moyens. La première consiste à réduire les substances en excès en les rejetant vers l’extérieur du corps, la seconde à neutraliser une partie en formant des sels neutres à l’aide de matière aux propriétés inverses. Pour la première manière, ce sont essentiellement les émonctoires comme les poumons et les reins qui sont chargés d’éliminer les acides faibles à l’extérieur du corps. En oxydant les acides, les poumons peuvent les rejeter rapidement vers l’extérieur sous forme de gaz carbonique et de vapeur d’eau. En pratiquant les respirations amples dans un environnement naturel ou des exercices physiques, on augmente cette capacité à rejeter le gaz carbonique. En revanche pour les acides forts qui sont non volatils, ils ne peuvent être éliminés que sous forme solide par les reins. L’acide urique, sulfurique etc. sont donc filtrés hors du sang par les reins et rejetés à l’extérieur du corps, dilués dans l’urine. Mais les quantités évacuées ne peuvent pas dépasser un certain taux quotidien. Une autre porte de sortie, en cas d’excédent est la peau en passant par les glandes sudoripares. Plus de 2 millions de ces glandes sudoripares travaillent comme les reins et éliminent les mêmes genres de déchets. Nous éliminons en moyenne 0,8 litre de sueur par jour et 1,5 litre d’urine. Le système tamponAcides et bases sont des substances qui possèdent des caractéristiques inverses. En s’associant, leurs propriétés s’annulent et devient ce qu’on appelle un sel neutre. Les substances basiques que l’organisme utilisera pour neutraliser ou tamponner les acides forts non éliminés mais aussi les acides faibles en masse, se trouvent un peu partout dans le corps et pas seulement dans le sang. Les bases que le corps va utiliser se trouvent dans les organes. Ils pourront être remplacés facilement par des minéraux basiques de l’alimentation. C’est pourquoi il est important à la fois de ne pas consommer d’aliments très acidifiants et de consommer des fruits et des légumes frais, en partie au moins, crus ou des jus frais pour apporter régulièrement des minéraux basiques. Ainsi les organes ne seront pas lésés. Ce qu’il est important de comprendre c'est que les minéraux captés ainsi dans les organes ne sont pas des stocks pour remédier à l’acidification de l’organisme mais sont plutôt des minéraux appartenant aux organes eux-mêmes et remplissent un rôle précis. C’est donc un système de soupape sécuritaire que l’organisme utilise mais ne doit pas être utilisé de façon quotidienne et régulière sous peine de causer de la déminéralisation des tissus organiques. Mais dans notre mode de vie moderne, il n’y a pas que l’alimentation qui amène l’acidose, car le manque de sommeil et le stress sont eux aussi extrêmement acidifiants et sollicite exagérément notre système tampon. Ceci entraîne des troubles, maladies et mal-être dont souffre la population de nos jours. Pourquoi tombons-nous malade ?Nous tombons malade de 3 manières différentes. 1 – les enzymes sont des «petits ouvriers » à la base de toutes les transformations biochimiques dans le corps et sont dépendants du bon fonctionnement des organes. Ils travaillent correctement dans un environnement au pH bien défini. Différents troubles s’installent au fur et à mesure que des enzymes plus nombreux sont perturbés dans leur activité par l’acidification du terrain. 2 – Le corps devient malade lorsque l’agression des acides présents est en surnombre dans les tissus car ils irritent les organes avec lesquels ils sont en contact en entraînent une inflammation ou des lésions ou des scléroses des tissus. Invisible à nos yeux mais bien ressentie par les personnes concernées, l’agression des acides provoque des douleurs articulaires (arthrite), des nerfs (névrite), et des intestins (entérite, colite, brûlures anales). Une grande partie des eczémas, urticaires, démangeaisons et rougeurs de la peau est due à l’irritation causé par l’acidité excessive de la sueur. Lorsque l’urine est trop chargée en acide, les mictions sont douloureuses, les voies urinaires « brûlent » et s’enflamment (urétite) ou s’infectent (cystite). Une infection microbienne ou virale peut se réajouter car les lésions des muqueuses laissent pénétrer les microbes qui s’y multiplient. 3 – la troisième cause de souffrance est quand la personne est en acidose elle se déminéralise puisque le corps cède des minéraux basiques pour neutraliser les acides. Cela touche essentiellement le squelette et les dents. Mais peut aussi toucher les vaisseaux sanguins. Les aliments acidifiants et alcalinisants sont définis en fonction de l’effet que les aliments ont sur le corps. Alors que les aliments acides ne le sont qu’en fonction de la caractéristique même de l’aliment, c'est-à-dire de son goût, sans considération de son effet sur l’organisme. Mais ce qui intéressent les personnes soucieuses de leur santé, ce sont les effets des aliments sur leur organisme. En effet un aliment peut présenter des caractéristiques alcalines, mais avoir un effet acidifiant. C’est le cas du sucre blanc, utilisé pour rendre moins acide le goût fortement acidulé des fruits comme la rhubarbe, les cassis, les fraises, par exemple. Cette neutralisation est réelle au niveau du goût mais pas au niveau de l’organisme. Lorsqu’il est métabolisé, le sucre blanc produit de nombreux acides, il est donc fortement acidifiant. Une grande erreur en diététique consiste à ne considérer que les analyses chimiques des aliments et de croire que l’organisme bénéficiera forcément des substances nutritives mentionnées dans l’analyse. En réalité, l’aliment n’a que la valeur que le tube digestif peut assimiler correctement. Par exemple les aliments crus sont bénéfiques pour une personne avec un bon tube digestif. Mais non pour un malade souffrant d’entérite ou de colite qui ne supportera pas l’agression des fibres sur ces muqueuses digestives enflammées. Les aliments acidifiants sont principalement les aliments riches en protéines, en hydrate de carbone ou en graisses. Bien que n’étant pas constituées de tissus animaux, les légumineuses (soja, pois chiche, lentilles etc.) amènent beaucoup d’acide urique car elles sont riches en purines. Alcalines en soi, ces purines sont en effet transformées en acide urique pour être éliminées. La présence de grandes quantités de purines dans le café, le thé et le cacao explique que ces boissons ainsi que le chocolat sont acidifiants. La production d’acides est surtout le résultat des mauvaises transformations des longues chaînes de glucose. Tout comme les graisses et les protéines, les hydrates de carbones passent par différentes étapes lors de leur transformation, durant lesquelles ils changent de caractéristique, devenant acides alors que jusque-là, ils étaient basiques. Or, si ces transformations sont interrompues en cours de route (comme c’est souvent le cas avec la suralimentation (pain, céréales, pâtes, biscuits etc.), l’organisme s’acidifie car les substances intermédiaires acides ne seront pas retransformées en substances basiques, comme cela devrait normalement se passer en fin de processus. Mais si les céréales sont acidifiantes, les graines germées ne le sont pas car leur composition se transforme en cours de germination. Ces graines sont considérées comme alcalinisantes et classées avec les légumes verts. Ce sont des jeunes pousses à différents stades. Même chose pour les légumineuses germées comme le soja, haricot, lentille, pois chiche etc. Pour neutraliser chaque acide que le corps désire éliminer, la présence d’une base est donc nécessaire. Celles apportés par un régime alcalin, même stricte, ne suffisent souvent pas pour venir à bout d’une telle tâche ou impliqueraient de trop nombreuses années pour le faire. Les jus de légumes verts frais permettent un apport considérable de minéraux sans pour autant mettre en branle le système digestif. Un apport quotidien de jus verts soutient les efforts de l’organisme et accélère grandement la désacidification. Ils soulagent le malade des symptômes douloureux et des troubles néfastes qui résultent des surcharges en acides. Grâce eux jus, ces troubles s’atténuent peu à peu et quelques fois en un temps étonnamment court. La disparition des symptômes et des troubles de surface ne signifie cependant pas que l’organisme se soit débarrassé de la totalité de ses acides. Il en reste en profondeur. Plus tard en poursuivant et d’autant plus si vous pratiquer le jeûne intermittent régulièrement et les cures de jeûnes plusieurs fois par an, votre organisme sera débarrassé de tous ses acides accumulés et retrouvera son fonctionnement normal. Quelques plantes médicinales pour le drainage des acides par les reins : Infusion : boisson obtenue en soumettant une plante quelques minutes à l’action de l’eau chaude Cassis : Les feuilles sont diurétiques et donnent une boisson très agréable. Une poignée (40 g) de feuilles pour 1 litre d’eau ou une cuillérée à soupe pour une tasse. Laissez infuser 10 mn. Boire 3 tasses au moins par jour avant ou entre les repas. L’artichaut : Les feuilles et non les bractées de la fleur que l’on mange, ont une action diurétique. Elles stimulent en outre le travail du foie. Boisson amère. 10 g de feuilles pour un litre d’eau ou 1 cuillère à café pour une tasse. Laissez infuser 10 mns. Et boire 3 tasses par jour avant les repas. Décoction : boisson obtenue en faisant bouillir une plante dans l’eau, le couvercle de la casserole fermé. Queues de cerises : Les pédoncules ou queues sont utilisés pour leur action diurétique. Faites comme moi et garder les queues des cerises bio lorsque vous en mangez et faites-les sécher. Boisson rafraîchissante. Une poignée pour un litre d’eau. Laissez bouillir 10 minutes. Boire 3 tasses par jour au moins. Aubier de tilleul : Excellent draineur des acides, il est recommandé pour tous les rhumatismes. Il dissout aussi les calculs. 40 g d’écorces pour 1 litre d’eau. Laissez bouillir jusqu’à réduction d’un quart de litre. Boire le liquide obtenu dans la journée. Faites une cure de 20 jours à un mois, à répéter. Drainage des acides par la peauComme les reins, la sueur éliminée par les glandes sudoripares permet d’éliminer les acides forts. Il y a 70 à 120 glandes sudoripares par cm3 de peau, ce qui donne environ 2 millions de glandes pour l’ensemble du corps. Les glandes sudoripares agissent comme un simple filtre sur les acides et les toxines charriés par le sang. En traversant ce filtre, les acides sont retenus et rejetés à l’extérieur, dilués dans de l’eau (la sueur). Le sang qui amène les déchets circule dans les vaisseaux très fins : les capillaires. Il faut donc une bonne circulation sanguine cutanée pour que la sueur soit abondante. L’exercice physique et la chaleur (sauna, hammam, bains chauds) améliorent cette circulation sanguine et dilatent les capillaires et donc favorise la transpiration. Dans des conditions normales, la peau rejette entre 1 et 1,5 litre de sueur par jour. Souvent, elle s’évapore de suite. Une vie sédentaire réduit cette élimination. La stimulation par l’exercice physique intense peut éliminer ½ litre de sueur en une heure. Avec le sauna elle peut être encore plus importante. Lors d’une bonne fièvre, un malade élimine des quantités équivalentes ou supérieures. Si vous possédez une baignoire vous pouvez pratiquer les bains hyperthermiques avec de l’eau chaude. La chaleur créera une fièvre artificielle qui engendrera une forte sudation, donc une forte élimination d’acides. Il suffit d’entrer dans un bain à 37° environ puis progressivement ajouter de l’eau bien chaude pour augmenter la température jusqu’au supportable. Et cela au moins pendant 15 minutes. Selon les personnes la température peut monter jusqu’à 40 ou 42° voir un peu plus. Il est impératif que l’organisme s’habitue progressivement au bain hyperthermique, et on n’hésitera pas à n’augmenter la température et la durée des bains que graduellement. Ne jamais entrer brusquement dans un bain très chaud. Lorsque le bain est terminé, sortir et s’étendre une ½ heure, emmailloté dans un linge éponge et une couverture. Ce repos permet à l’organisme d’achever sa sudation et de retrouver son équilibre. On peut prendre 1 bain tous les jours pendant 2 ou 3 semaines, ou 1 tous les 2 jours pendant plusieurs mois. Il se prend plutôt le soir car il favorise le sommeil. La fièvre rappelons-le, est un moyen de défense qu’emploie l’organisme pour intensifier les métabolismes et accélérer les échanges afin de brûler les déchets comme les acides. Lorsque les combustions s’intensifient pendant la fièvre, les déchets et les acides qui se trouvent un peu partout dans le corps sont dégradés pour fournir des matériaux énergétiques ou constructeurs : il y a donc combustion des toxines non circulantes incrustées en profondeur. On retrouve ces mêmes processus lors du jeûne sec. C’est pourquoi il est si efficace ! Les plantes peuvent là aussi aider les pores de la peau qui sont bouchés à se nettoyer et à travailler plus activement. Les effets des saunas, bains chauds ou exercices physiques sont renforcés si l’on boit avant et après la séance 1 ou 2 tasses d’infusion bien chaude de plantes sudorifiques. Quelques exemples : Le sureau : les fleurs de sureau sont sudorifiques et diurétiques et donnent une boisson très agréable. Une cuillère à soupe de fleurs par tasse et laissez infuser 10 mns. Boire 3 tasses par jour. Le tilleul : Bien connu il est utilisé depuis longtemps pour ses vertus sudorifiques et calmantes. Une bonne poignée par tasse infusée 10 mns. Boire 3 tasses ou plus par jour. Décoction : Bardane : Cette plante est diurétique, cholérétique et laxative. Elle est souvent recommandée dans les maladies de la peau. 40 g de racines pour 1 litre d’eau, bouillir 10 mns et boire 3 tasses par jour. Drainage des acides par les poumonsLes poumons ont un double rôle dans l’élimination des acides. C’est grâce à l’oxygène qu’il absorbent que les acides volatils peuvent être oxydés. Cette transformation a lieu non pas dans les poumons eux-mêmes, mais dans les tissus. L’oxygène ne doit donc pas seulement entrer en suffisance dans les voies respiratoires, mais il doit en plus être conduit suffisamment en profondeur par le sang pour que l’oxydation des acides puissent se faire dans les tissus. C’est d’ailleurs le rôle du bol d’air Jacquier de favoriser l’apport d’oxygène en profondeur. C’est pourquoi l’association CureNature s’est équipé depuis deux an du bol d’air pour tous les curistes. Les acides sont rejetés par les voies respiratoires sous forme de gaz carbonique (CO2). Ce gaz doit parvenir aux poumons et être rejeté en suffisance vers l’extérieur pour que l’organisme en soit véritablement débarrassé. Tout le monde ne respire pas de la même manière. D’une personne à l’autre le débit d’air peut varier du simple au double ou plus encore. Au repos si on inspire ½ litre d’air par inspiration, une personne active en inspirera 1 litre. Un sportif en pleine action, brassera 5 à 6 litres d’air par respiration. Plus l’activité et l’alimentation sont abondantes, plus l’organisme a besoin d’oxygène. Lorsqu’il n’en reçoit pas suffisamment, les oxydations se font mal. La production d’acides est alors accrue. De plus le volume d’air exhalé étant réduit, la quantité de CO2 éliminé l’est également. Il en résulte une acidification de l’organisme par les acides faibles. Jeûnes, cures de jus et monodiètesA la faveur des restriction alimentaires, le corps fait remonter des quantités importantes de toxines des profondeurs tissulaires, afin de les conduire aux émonctoires où elles seront éliminées. Ces diètes doivent être bien préparer avant pour ne pas mettre les personnes souffrant d’une faiblesse métabolique en difficulté. Lors de ces cures, l’énergie économisée au niveau digestif (grâce à l’absence de repas totalement ou de repas compliqué) pourra être utilisée pour intensifier l’élimination des acides par les reins et les glandes sudoripares. En monodiète on choisira uniquement un aliment alcalinisant plutôt un légume vert pour les personnes ayant une faiblesse métabolique ou fruit seulement pour les personnes ayant un bon métabolisme face aux acides. Effectivement ces dernières étant capables d’oxyder les acides faibles des fruits, ceux-ci seront transformés en bases et les aideront à alcaliniser leur terrain. Comment se faire un bon microbiote et une bonne immunité : suite en audio
Pour compléter mon article sur le microbiote intestinal, je laisse la parole à : Question du jour avec Marion Kaplan et Martine Cotinat, gastro-entérologue spécialiste de nutrition.
Les ondes électromagnétiques
Aujourd’hui il est devenu crucial pour notre santé et notre bien-être de limiter notre exposition aux ondes électromagnétiques.
Il faut prendre conscience que les ondes artificielles ont été multipliées par plus d’un milliard ces 30 dernières années. Nos organismes sont-ils capables de s’adapter à ce nouvel environnement ? Et plus encore, ceux de nos enfants et petits-enfants qui sont surexposés en permanence à ces ondes? Cela pourrait-il expliquer, en partie du moins, le nombre toujours croissant d’enfants subissant de longues hospitalisations pour des maladies graves qu’auparavant nous observions seulement chez des personnes beaucoup plus âgées? Enfin que dire des personnes hypersensibles aux ondes électromagnétiques qui sont obligées de s’isoler dans la nature, parfois au milieu des bois, seules, loin des villes, des bureaux, des immeubles à la recherche de zones dites “zones blanches”, de plus en plus rares d’ailleurs, pour trouver un sommeil réparateur, éviter les maux de tête, les sensations de brûlures, les douleurs articulaires et musculaires, les acouphènes, la dépression, l'irritabilité, les problèmes cardiaques, les problèmes de concentration, les cancers etc.? Pour éviter d’en arriver là, il est indispensable d’avoir une hygiène électromagnétique au quotidien le plus efficace possible. Qu’est-ce que l’hygiène électromagnétique ?La définition qu’en donne Bruno Geissert dans la préface du livre : Comment se protéger des ondes électromagnétiques de David Bruno est : “ Action d’abaisser la surexposition chronique d’ondes électromagnétiques dans son entourage direct, afin de vivre dans un environnement le plus sain possible, en conciliant le bénéfice des appareils utilisés au quotidien et les ondes qu’ils génèrent par des usages adaptés”. Quelles sont les personnes à protéger en prioritéLes femmes enceintes, les enfants et les personnes déjà électrosensibles doivent impérativement être les plus éloignés possibles des champs électromagnétiques en tous genres sous peine de perdre la santé momentanément ou définitivement. Bio-initiative est un groupe de scientifiques internationaux indépendants qui a publié dès 2007 le rapport Bio-Initiative, rendu public et accessible à tous, sur les effets sanitaires indésirables voire la dangerosité liés aux ondes électromagnétiques de basses et hautes fréquences. D’autres études viennent confirmer les risques accrus de cancers et des effets biologiques des ondes sur la santé :
Qu’est-ce qui se passe dans notre corps lorsque l’on est exposé aux ondes électromagnétiques ?Plus la fréquence de l’onde est élevée, plus l’énergie dégagée et son effet thermique sur le corps sont importants. Cela signifie que l’énergie de l’onde de haute fréquence est emmagasinée par le corps et entraîne dans ce cas un échauffement des cellules, à l’instar des effets du four à micro ondes! Les spécialistes savent qu’il existe des effets biologiques spécifiques pour chaque fréquence ou bande de fréquence du champ électromagnétique auquel on est exposé. Par exemple le champ magnétique 50 Hz de basse fréquence augmente de manière significative les risques de leucémie aiguë, le champ électromagnétique de haute fréquence des téléphones portables peut engendrer des tumeurs cérébrales. Certaines cellules de notre corps et de notre cerveau sont composées de cristaux de magnétites (micro-aimants) appelés magnétosomes. Ces micro-aimants composés de fer ont la propriété de s’orienter en fonction du champ magnétique terrestre qui est constant. Le champ magnétique artificiel, qu’il soit de basse ou de haute fréquence, modifie sans cesse l’orientation de ces magnétites à la vitesse de la fréquence émise. Les cellules sont ainsi perturbées, cela stimule deux glandes; l’hypophyse et l’épiphyse qui, en réaction, émettent une hormone appelée mélatonine (l’hormone du sommeil). Cette superproduction forcée de mélatonine finit par épuiser ces glandes. Or la mélatonine exerce une action protectrice majeure contre la prolifération cancéreuse des cellules, dans la destruction des radicaux libres et dans la neutralisation des hormones de stress. La perte de la mélatonine conduit à un épuisement du système immunitaire, à la diminution importante des globules blancs, qui peut entraîner des problèmes allant de l'insomnie à la leucémie en passant par la dépression et bien d'autres maux. Les courants et tensions induits dans le corps humainLe corps humain est constitué de cellules, qui regroupées forment les organes, le système sanguin et lymphatique, le système musculaire, le système nerveux, le système glandulaire et le système osseux. Ces différents systèmes utilisent ou produisent de l’énergie électrique. C’est le cas des nerfs, du cerveau, des muscles dont le coeur, du sang, de la peau. Les champs électromagnétiques artificiels de basses et hautes fréquences agitent et font vibrer ces charges électriques présentes dans notre corps à la même vitesse que la fréquence de l’onde émise. Cela génère des courants ainsi que des tensions induits dans notre corps venant entre autres perturber l’équilibre électrique de toutes nos cellules organiques. Tout corps biologique vivant situé dans un environnement électromagnétique va être investi par les courants et tensions induits correspondant aux fréquences de cet environnement. Cela concerne les humains, les animaux, les insectes… Acquérir un petit détecteurSi vous avez encore besoin de preuves ou de motivations pour vous protéger, vous pouvez acheter un petit détecteur d’ondes qui vous montrera les endroits de votre domicile ou de votre bureau les plus pollués en ondes néfastes. Un mesureur de champs électriques comme le Gigahertz ME3030B est un appareil adapté et de qualité suffisante pour débuter dans les mesures. Les détecteurs de type ESI 23 et 24 permettent de détecter simultanément des champs électriques de basses fréquences, des champs magnétiques de basses fréquences, des champs électromagnétiques de hautes fréquences. Faire appel à un professionnelIl existe des professionnels qui se sont spécialisés en conseils en environnement pour vous aider à analyser votre environnement personnel ou professionnel et vous proposer des solutions adaptées à votre situation. Un minimum à connaîtreLes ondes électromagnétiques sont invisibles, silencieuses, inodores et non palpables. Pour autant, entre les ondes de hautes fréquences et celles de basses fréquences, elles sont omniprésentes à l’intérieur comme à l'extérieur de nos habitations: les foyers, les écoles, les rues, les lieux de travail et se nomment : la téléphonie mobile, la wifi, le téléphone sans fils, la radio FM, le bluetooth, les lignes à hautes tensions, le réseau électrique domestique et tous les appareils électriques, électroniques, informatiques etc. de plus en plus nombreux qui coexistent avec nous. Nous sommes entourés d’un brouillard électromagnétique intense et artificiel. Toutefois chaque cellule organique du corps humain fonctionne et communique grâce à des courants électriques et des champs électromagnétiques naturels. Mais les ondes électromagnétiques artificielles de notre environnement exercent une influence sur l’ensemble de notre corps et en particulier sur notre système nerveux. Il est indispensable de réduire au maximum son exposition aux champs électromagnétiques dans son lieu d’habitation et surtout durant la période de sommeil pendant laquelle nous sommes davantage vulnérables. Notre sensibilité est variable selon les individus. Toutes les études scientifiques indépendantes recensent des effets thermiques ainsi que des effets biologiques sérieux comme la destruction des brins d’ADN, l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique… Les effets les plus connus des ondes sur notre santé sont :
Qu’est-ce que l’on peut faire facilement chez soi pour limiter l’exposition à toutes ces ondes ?
Quels sont les matériaux qui atténuent le champ électrique ?Ce sont les matériaux conducteurs comme l’argent, le cuivre, le carbone etc. reliés à la terre. La terre, la pierre, le béton, le ciment sont des matériaux qui atténuent le champ électrique uniquement lorsqu’ils sont maçonnés comme les murs, les dalles etc. et en contact avec le sol pour la liaison à la terre. Se mettre soi-même à la terreLa condition naturelle d’un être vivant est d’être en relation permanente et conductrice avec la surface de la terre. Marcher pieds nus sur la terre ou sur le sable donne une sensation très agréable et permet de se décharger. Le contact direct avec la terre apporte des avantages comme la chute de la tension induite mesurée du corps, la guérison des inflammations, un meilleur sommeil. ConclusionCertaines personnes et certains sites marchands proposent du matériel pour se mettre à la terre lorsque l’on travaille ou lorsque l’on dort. Ils proposent aussi d’autres objets pour mettre nos appareils à la terre ou pour couper le compteur électrique et bien d’autres techniques pour nous aider à limiter toute cette pollution électromagnétique. Il y a aussi des thérapies magnétiques qui se pratiquent en cabinet médical. Si vous souhaitez aller plus loin dans cette démarche, je vous encourage à trouver un spécialiste dans votre région qui pourra faire un diagnostique de votre habitation et vous indiquera les techniques à mettre en place en fonction de votre budget. De même que si vous souhaitez construire votre habitation, il est préférable de faire faire la partie électrique de la maison par un spécialiste des ondes électromagnétiques, afin que dès la conception vous puissiez prévoir de vous protéger au maximum. Source : Comment se protéger des ondes électromagnétiques? Par David Bruno Comment se faire un bon microbiote et une bonne immunité
Parmi les sujets que vous souhaitez que j’aborde, voici un thème qui a été suggéré par Chantal et qui intéresse beaucoup d’entre vous.
On parle de plus en plus du biote, mais qu’est-ce que c’est exactement ?Anciennement appelé flore microbienne, le microbiote humain est l'ensemble des micro-organismes (bactéries, virus et champignons) qui vit sur et dans le corps humain. La plupart des micro-organismes du biote se situent essentiellement sur la peau et dans le tube digestif, mais aussi dans le vagin, le nez, les poumons etc. Ils sont essentiels à notre survie. Leur rôle est de protéger les muqueuses contre l’invasion de pathogènes en travaillant en symbiose pour notre santé. Celui dont on parle le plus actuellement c’est le biote intestinal. Peu étudié jusqu’à ces dernières décennies, il est aujourd’hui l’objet de nombreuses recherches. Le biote intestinal humainPlus le biote est diversifié, plus il est sain. Il a un rôle essentiel dans l'immunité, la digestion et l’assimilation. En principe Il est transmis par la mère et varie pour chaque individu et lui est propre comme ses empreintes digitales. Mais il est fluctuant en permanence, principalement après la naissance. Lors d’un accouchement par voie basse l’organisme du nouveau né est ensemencé par le biote de sa maman. Lors d’une césarienne, c’est le biote de la salle d’opération qui ensemence l’organisme du nouveau né, ce qui pose un grave problème car ce biote là est très pauvre et ne ressemble en rien à celui naturel de la mère. C’est pourquoi aujourd’hui, de plus en plus couramment, après une césarienne, les soignants prélèvent un peu de la flore bactérienne dans le vagin maternel à l’aide d’un tampon qu’ils passent autour de la bouche du nouveau né. On mesure ainsi l’importance du rôle de ces bactéries favorables à notre santé et notre bien-être. Ensuite le biote varie en fonction de l’alimentation; L’alimentation physiologique du nouveau né est le lait maternel jusqu’au minimum 6 mois, l’âge où le bébé va commencer l’alimentation diversifiée. L’idéal étant de continuer l’allaitement maternelle jusqu’à 2 ou 3 ans. Son biote sera variable selon le mode de vie, le lieu et l’alimentation de la famille. Une autre période de la vie ou le biote peut varier considérablement est celle d’une maladie. La prise d’antibiotique : anti-biote! Comme son nom l’indique, détruit en grande partie la richesse bactérienne et fait de nombreux dégâts pour l'organisme, même si par ailleurs ces médicaments permettent de lutter activement contre des bactéries pathogènes. On remarque aussi que les antibiotiques fonctionnent de moins en moins, la médecine traditionnelle tente de les remplacer mais cela ne semble pas si facile. C’est pourquoi les chercheurs étudient de plus en plus le microbiote pour trouver des moyens de soigner par des ajustements de cet ensemble de micro-organismes. Nous savons maintenant qu’un grand nombre de maladies chroniques si ce n’est pas toutes les maladies chroniques prennent naissance dans nos intestins. Le plus connu des organismes du microbiote est la bactérie Escherichia coli,qui vit dans le côlon dont chaque partie renferme une catégorie spécifique de bactéries ayant une fonction bien particulière. Par ailleurs, le microbiote intestinal participe à la digestion et au métabolisme. Les bactéries intestinales assurent la dégradation des aliments non digestibles ou facilitent la digestion des sucres complexes comme l'amidon et la cellulose. Elles synthétisent aussi des vitamines indispensables à notre survie, mais que notre corps ne produit pas, et aussi des enzymes qui facilitent la digestion. Notre microbiote est en lien direct avec notre système immunitaire. Si le système immunitaire est affaibli, la plupart de ces bactéries de la flore normale agissent en tant que pathogènes opportunistes. Les bonnes bactéries sont appelées bactéries symbiotiques ou commensales. Elles agissent directement sur le système nerveux en communiquant avec nos neurones via le nerf vague. Elles influencent notre humeur car elles agissent directement sur notre système hormonal, sur notre métabolisme, les carences en vitamines K et B12 etc., sur la qualité de notre système immunitaire et sur la qualité de nos pensées et de notre mental. Le lien entre microbiote et maladieL'altération des fonctions et de la composition du microbiote est appelée dysbiose et serait en lien avec plusieurs maladies chroniques inflammatoires. Par exemple, il a été observé que le microbiote des patients souffrant de la maladie de Crohn ou de colite ulcéreuse est moins diversifié que celui des personnes saines. Dans le cas des personnes obèses, il a été observé que certaines d'entre elles ont un microbiote moins diversifié que les personnes non obèses. Dans un microbiote normal, les Firmicutes sont prédominants (64 % des bactéries appartiennent à ce groupe), puis viennent les Bactéroïdes (23 % des bactéries intestinales appartiennent à ce groupe) et il y a encore d'autres divisions. Le microbiote intestinal comme médicamentLa conclusion des recherches est que dans la mesure où le microbiote est lié à des pathologies, il peut donc être utilisé comme médicament. C'est dans cette optique qu’aux USA se sont développées les expérimentations nommées transplantations fécales. Ces transplantations consistent à introduire dans le côlon d’un patient malade une préparation de matière fécale issue d'un patient sain. En France, cette technique est utilisée comme traitement pour des diarrhées à Clostridium difficile résistantes aux antibiotiques. C'est la seule utilisation autorisée pour le moment, mais des essais cliniques de transplantation fécale pour les maladies de Crohn ou le syndrome du côlon irritable sont en cours. Ce qu’il faut retenir sur le microbiote
Il est donc essentiel de préserver notre microbiote à l’aide de pratiques hygiéniques au plus juste, pour se protéger des agents infectieux sans endommager les micro-organismes naturellement présents. Lorsque l’on se nourrit de végétaux bio, il est préférable de ne pas les laver systématiquement. Un excès de désinfection dans la maison est défavorable à notre organisme. Cet inconvénient à bien été observé durant la période de confinement et de désinfection systématique des mains et de l’environnement dans son ensemble. Les gels hydro-alcooliques, s’ils permettent de se laver occasionnellement les mains, éliminent complètement le microbiote de la peau, et peuvent donc fragiliser l’organisme si l’on en abuse.
Que faire pour avoir un bon biote intestinal ?Nous devons traiter notre tube digestif aussi bien que l’on traite notre jardin potager ou notre verger. Il faut le chouchouter, écarter les nuisibles et favoriser le développement des micro organismes. Il ne faut rien faire d'agressif comme, par exemple, introduire des huiles essentielles beaucoup trop puissantes pour un milieu aussi sensible. Les produits chimiques sont tous à éviter bien entendu. Ce qui nourrit les bonnes bactéries ce sont les fibres alimentaires que l’on trouve dans les végétaux. En revanche la viande reste longtemps dans le côlon et provoque des putréfactions. Les mélanges
Les mélanges
Faire trop de mélanges lors des repas rallonge le temps de digestion et provoque des fermentations Qu’est-ce que l’on entend par mélanges ?On appelle mélanges lorsque dans un même repas on consomme des types de nutriments qui ne vont pas forcément bien ensemble pour une bonne digestion, ou qui provoque des fermentations exagérées et des ballonnements, comme les sucres et les protéines animales ou végétales; les graisses, les fruits et les féculents dans le bol alimentaire. Il est préférable de tenir compte des aliments qui se digèrent mieux lorsqu’on les mange à part, comme le melon, la pastèque, les arachides… Pour faire court, les légumes s’associent bien avec tout ; avec des protéines végétales ou animales, avec des fruits mais pas les deux dans un même repas, sauf si on mange tranquillement et qu’entre les protéines et les fruits on mange des légumes et le tout avec une bonne mastication pour faciliter la digestion. Il faut toujours manger tranquillement et avec une bonne mastication. Il y a cette phrase connue qui dit : mâchez les jus et buvez vos aliments! En effet les jus frais ne se boivent pas comme de l’eau, il faut les consommer par petites gorgées doucement. Même lorsque l’on boit de l’eau, on ne devrait jamais boire trop vite. Et l’on devrait avaler une bouchée de nourriture que lorsqu’elle est totalement liquide. Trop de sucre partout !Dans l’alimentation dite moderne constituée de plats achetés tout prêts, des burgers et cie, il n’y a quasiment pas de fibres. En revanche il y a des sucres et des produits chimiques en quantité; Dans la catégorie sucre, on trouve bien entendu le sucre raffiné, le miel, les fruits, mais aussi les sucres dits lents comme dans les céréales donc dans toutes les farines, les pommes de terre, tous les féculents, lentilles, pois chiches, haricots divers etc. Aussi lorsque l’on mange du pain, de la pizza, des biscuits, des pâtes, purée, gratins, céréales du matin, riz etc. nous consommons des sucres. Cette consommation excessive de sucres déséquilibre notre biote intestinal. De plus ils sont addictifs; Le type de bactéries qui se nourrissent de sucre se développent en trop grands nombres et réclament leur dose de sucre et toujours davantage. Tous ces sucres ingurgités se stockent dans le foie puis se transforment en gras et c’est pour cela que l’organisation mondiale de la santé s’inquiète du nombre croissant de personnes développant une stéatose du foie ou foie gras! Lorsqu’il est conseillé de varier son alimentation, ce n’est pas juste pour apporter tous les nutriments nécessaires à nos cellules, c’est aussi pour nourrir de façon harmonieuse un maximum de micro-organismes dans notre tube digestif. Un excès dans une catégorie d’aliments déséquilibre ce biote sensible. Prébiotique et probiotique ?Quelle est la différence entre prébiotique et probiotique?Les prébiotiques et les probiotiques sont des éléments apportés par l'alimentation pour préserver l'équilibre salutaire de la flore intestinale (microbiote intestinal). Ils sont nécessaires et complémentaires : “Les probiotiques sont des micro-organismes vivants (lactobacilles, bifidobactéries...) présents dans des produits alimentaires fermentés. Ils constituent une partie indispensable de la flore microbienne digestive et ont besoin, pour leur survie dans l'intestin, d'un apport d'aliments prébiotiques.
Les prébiotiques sont présents dans les fibres solubles des végétaux. Leur quantité est particulièrement importante dans les fruits, les légumes verts, les légumineuses et les céréales complètes. En plus de nourrir et de potentialiser l'action des probiotiques, les prébiotiques ont plusieurs effets bénéfiques pour la santé :
Pour les cas où l'apport alimentaire est insuffisant, des prébiotiques seuls ou associés à des probiotiques, des vitamines et/ ou des oligoéléments sont proposés dans différents compléments alimentaires. Toutefois, un excès de prébiotiques peut entraîner des flatulences et des ballonnements dus à la prolifération excessive des bactéries et à la fermentation.” Source :https://medicament.ooreka.fr/astuce/voir/587959/prebiotique Les bactéries probiotiques jouent un rôle dans la synthèse de plusieurs molécules essentielles (comme les vitamines K ou B12, et les folates), dans le maintien de l'intégrité de la paroi intestinale et dans l'amélioration de notre immunité. Où trouve-t-on des prébiotiques ?C’est dans notre alimentation que l’on va les trouver. Les fruits et les légumes, les céréales, les graines germées, les oléagineux, les algues contiennent tous naturellement des fibres qui nourrissent les micro-organismes qui tapissent notre tube digestif. Où trouve-t-on des probiotiques ?Les probiotiques apportent des souches de bactéries spécifiques. On les trouve dans les lacto-fermentations; jus, légumes fruits lacto-fermentés, mais aussi dans les yaourts ou autres produits fermentés à base de lait animal ou végétal. Les boissons comme le kéfir ou la Kombucha apportent elles aussi des souches bactériennes favorables à notre santé. Vous pouvez faire de temps en temps une cure de probiotiques en complément alimentaire si vous pensez en avoir besoin ou si votre naturopathe vous en prescrit. Enfin, pour les cas les plus graves, comme nous l’avons vu plus haut, en transplantation fécale en milieu hospitalier Microbiote, immunité et coronavirus…Le plus désolant dans cette triste pandémie de coronavirus, c’est que les autorités ne nous parlent jamais de renforcer notre immunité afin que le virus, même s’il nous contamine, ne nous rende pas ou peu malade. Une alimentation saine riche en fruits et légumes, graines germées etc., un entraînement progressif à résister au chaud et au froid, à l’activité physique comportant des périodes dites de cardio etc. nous aide à être beaucoup plus résistants aux virus. Tandis que la peur, l’enfermement, la sédentarité et une alimentation pauvre en fibres va au contraire nous rendre beaucoup plus vulnérables. A vos marques … prêt, partez ! L’hydrothérapie du côlon, appelée aussi l'irrigation du côlonQu’est-ce que l'irrigation du côlon ?C’est une méthode douce de nettoyage du gros intestin nommé côlon avec de l’eau filtrée en petite quantité que l’on introduit dans le rectum en accompagnement de massages doux sur l’abdomen. Pourquoi ?Au fil du temps, les déchets et les toxines amenés par l’alimentation mais aussi par le stress et la pollution, s’accumulent dans le côlon et finissent par l’encrasser en déposant des matières qui s’accrochent à la muqueuse ou qui forment des sortes de croûtes noires qui tapissent l’intestin et empêchent son bon fonctionnement. C’est une pratique datant de l’antiquité qui se perpétue aujourd’hui avec une technologie moderne et adaptée. Le côlonNotre côlon renferme de très nombreuses bactéries favorables à notre santé. Chaque partie de notre intestin est pourvu d’un type de bactéries spécifiques en rapport avec le rôle de la partie du côlon qui lui correspond. Lui même est en liaison étroite avec une région du corps : les voies digestives, urinaires et respiratoires, mais aussi la peau, le système nerveux etc. Ainsi les déchets qui s'accumulent ont un impact sur tout le corps. Lorsque l’on vient de faire une hydrothérapie du côlon, on remarque tout de suite un changement positif sur la peau et sur son bien-être général. Le côlon est un lieu d’échanges et de transit, il possède son propre système nerveux et abrite un microbiote très diversifié qui fait l’objet de nombreuses recherches médicales. On l’appelle le second cerveau. Le côlon est un organe qui est fortement relié à nos émotions, il se modifie en permanence selon notre hygiène de vie et notre ressenti. C’est ainsi qu’il peut être spasmé, irrité, dur ou souple. Les effets d’une irrigation du côlon
Comment l’hydrothérapie se pratique ?Nous nous installons confortablement allongé sur le dos sur une table de massage. Le thérapeute formé à l’hydrothérapie du côlon introduit dans le rectum une canule stérile prolongé d’un tuyau relié à une machine. Dans ce tuyau arrive un autre petit tuyau qui amène de l’eau filtrée à température du corps (en fonction de notre côlon entre 36 et 37,5°), en goutte à goutte et en permanence. Le gros tuyau sert à évacuer les matières, l’eau et les gaz qui passent dans la machine et que l’on peut voir passer par un tube en verre transparent. Cela permet d’évaluer leur nature et leur ancienneté dans notre intestin; plus les matières sont foncés, plus elles sont anciennes; si l’on voit un liquide jaune on peut en conclure que le foie détoxine etc. Il n’y a ni odeur ni désagrément. Le débit de l’eau et la température sont réglables et c’est votre thérapeute qui les ajuste après avoir palpé votre ventre et évalué l’état de votre côlon. Le thérapeute effectue successivement des bains d’eau tiède en alternant avec les évacuations lorsque la pression est plus forte. C’est pendant ces bains et ces évacuations successifs que le praticien masse votre abdomen dans un sens puis dans l’autre. Il réalise ainsi le décollage des résidus fécaux et stimule le péristaltisme. Le massage est très léger dans le sens opposé des aiguilles d’une montre pour conduire l’eau en douceur à travers l’ampoule rectale, puis le côlon descendant, le transverse et si possible jusqu’à l’angle hépatique et le côlon ascendant. La lenteur des mouvements, le filet d’eau qui entre, permettent de ramollir les déchets et vieilles “croûtes” ainsi formées au fil de temps. Dans le sens des aiguilles d’une montre lorsque l’on est en évacuation, les massages sont plus prononcés pour aider à “décrocher” les déchets et “croûtes” et évacuer les gaz par le gros tuyau de la machine. Parfois le praticien sent une zone dure qui est douloureuse pour son client, cette zone correspond à des matières accrochées à la muqueuse intestinale. Dès qu’elles sont décollées grâce au massage et au bain d’eau tiède, les points durs et douloureux sont éliminés. Une séance dure entre 1 heure et 1 heure trente. Il n’est pas nécessaire d’être entièrement dévêtu, juste le bas du corps. Une couverture et parfois une bouillotte sont installées sur les jambes et les pieds pour le confort et la détente. Il est indispensable d’être détendu pendant la séance et ne pas essayer de retenir quoi que ce soit. Il faut aller aux toilettes après la séance pour finir d’évacuer en position verticale. L’encrassement du côlonLe côlon est responsable de nombreuses pathologies. L’irrigation du côlon est beaucoup plus efficace qu’un lavement, on dit qu’une hydrothérapie équivaut à 14 lavements! Elle permet l’élimination des déchets incrustés dans tous les replis de la muqueuse intestinale, des parasites, des toxines et des gaz. Le côlon ainsi nettoyé, retrouve toutes ses fonctions; l'immunité naturelle est stimulée, les processus d’assimilation - élimination sont rééquilibrés. C’est une prévention de la dégénérescence et de nombreuses pathologies. Si vous n’en avez jamais fait, il est possible que votre thérapeute vous propose de faire 3 séances rapprochées de quelques jours à quelques semaines si votre intestin est très encombré. Pour le maintien d’une bonne santé, il est recommandé par la suite de faire régulièrement en moyenne 2 hydrothérapies du côlon par an. Préparation à l’hydrothérapieUne semaine avant votre séance, il est recommandé de prendre chaque jour du psyllium à raison de 1 cuillère à café par jour au début et de 1 cuillère à soupe matin et soir en fin de semaine, à prendre dans un verre d’eau ou de bouillon et boire à la suite, 2 à 3 verres de liquide. Ne consommez pas de protéines animales cette dernière semaine. La veille, il est préférable de ne consommer que des liquides; eau, tisanes, jus de légumes, soupes ou bouillons. Le jour de l’hydrothérapie, soyez à jeun de nourriture solide mais vous pouvez boire des bouillons, des jus de légumes, des tisanes et de l’eau Contre indications à l'hydrothérapie du côlonLes personnes qui ont subi une opération des intestins récente doivent s’abstenir, ainsi que les femmes enceintes en début et en fin de grossesse, en revanche faire plusieurs hydrothérapies avant la conception de l’enfant sera bénéfique pour le foetus qui se développe dans la zone la plus polluée de notre organisme. Les personnes qui ont fait une purge récente doivent attendre au moins une semaine avant de faire une hydrothérapie RecommandationsLa profession d’hydrothérapeute du côlon n’est pas encore reconnue par l’état français alors qu’elle l’est dans d’autres pays. Au Luxembourg par exemple, elle est même remboursée par la sécurité sociale. Une équipe de praticiens et d’avocats sont en train de faire les démarches nécessaires pour que cela change et qu’un diplôme soit officiellement reconnu. En attendant, cela signifie que n’importe qui peut ouvrir un cabinet et proposer des irrigations du côlon sans même avoir fait une véritable formation. Certains ont fait une petite formation de quelques heures, ce qui est totalement insuffisante pour pratiquer cet acte. Le fait que la personne soit infirmière n’est pas un gage de bonne pratique de cette thérapie et de l’appareil qu’elle utilise. Un bon thérapeute pratique le massage de l’abdomen avec douceur et sans se presser. Il a fait une formation d’au moins une semaine dans une école spécialisée, a obtenu un diplôme et a pratiqué plus de 20 hydrothérapies accompagnées par un formateur et/ou le fabricant de sa machine. Une séance doit durer au minimum 1 heure et se passe dans un cabinet propre, aéré et confortable, comportant une table de massage protégée par du tissu à usage unique et un cabinet de toilette. La canule et le tuyau reliant à la machine sont également à usage unique et doivent être ouverts devant vous. La machine doit posséder un cycle de nettoyage et de désinfection mis en marche après chaque client, elle a aussi un système de filtrage de l’eau du réseau. La température doit être réglable ainsi que le débit de l’eau avec un système de mise sur pause si nécessaire. N’hésitez pas à poser des questions avant de prendre rendez-vous. Par exemple :
Bloc notes santé
Je vous livre ici quelques informations que j’ai recueillies à différentes sources : conférences par des diététiciens, ouvrages traitant de l’alimentation ou de la santé.
La cohérence cardiaqueQu’est-ce que la cohérence cardiaque ?C’est une pratique non contraignante, basée sur la respiration, qui allie le corps et l’esprit et qui agit sur notre rythme cardiaque. Une méthode d’apaisement par la respiration qui fait de plus en plus d’adeptes et que vous pouvez tester pendant votre séjour à CureNature. L’objectif de cette respiration ?L’objectif est de mieux gérer notre stress, apaiser nos émotions, obtenir un meilleur sommeil etc. Bref un apaisement de tout notre organisme. Pourquoi agir sur le système nerveux autonome ?Parce que notre système nerveux autonome (celui que l’on ne contrôle pas volontairement), est composé de 2 parties qui travaillent de pair en permanence dans notre corps, pour notre équilibre et en toute circonstance. Il s’agit du système nerveux sympathique, dont le rôle est de nous mettre en état de vigilance, avec son rôle d’accélérateur. Et le système nerveux parasympathique qui lui à l’opposé, rétablit l’équilibre en jouant un rôle de frein. C’est ainsi que quelque soit les circonstances, notre coeur peut s’accélérer ou au contraire ralentir, Avant de faire la différence entre le système sympathique et le système parasympathique, il faut préciser que tous les systèmes nerveux et notre corps ne sont pas contrôlés volontairement. Il y a un nombre infini de processus qui se font sans s’en rendre compte à chaque seconde. Nous avons donc le système nerveux somatique : lié aux actions volontaires et conscientes. Lié aux muscles responsables des mouvements tels que les membres, le visage et les muscles, la respiration et les sens. Il s’agit principalement du système nerveux périphérique. Et le système nerveux autonome ou neurovégétatif : il implique principalement le système nerveux central et avec lui la plupart des processus nerveux involontaires tels que les mouvements péristaltiques, la régulation du système endocrinien, les biorythmes cardiovasculaire et corporel, la production de la pensée, entre autres fonctions. Dans ce système nerveux autonome se trouve le système nerveux sympathique et parasympathique Le rôle du système nerveux parasympathiqueNous savons que le système nerveux sympathique mesure nos économies d’énergie. En d’autres termes, le parasympathique nous aide à passer d’un état d’alerte à un état de calme. Il régule le rythme cardiaque après une course. Il détend les poumons, Il réduit l’entrée d’oxygène et favorise ainsi un état de calme… Tous ces processus essentiels de notre quotidien sont réglés et contrôlés par une partie fondamentale de notre corps : le système nerveux parasympathique. Les techniques respiratoires très élaborées en yoga par exemple influencent énormément notre état intérieur et nos sensations. La cohérence cardiaque est simple et accessible à tous. La musique a un effet thérapeutique sur le système nerveux parasympathique chez les personnes souffrant d’une altération dans ce domaine. Son activité et ses fonctions s’améliorent. Cela s’explique sans doute par la capacité de la musique à favoriser le calme et la détente. Les fonctions du système parasympathique dans le système cardiovasculaire sont contrôlées par le nerf vague. Ainsi, sa tâche principale est de réguler la fréquence cardiaque, à la fois la fréquence et la force de la contraction. Il réduit également la pression artérielle. En outre, nous pouvons dire que, grâce au système parasympathique, nous sommes en mesure d’améliorer les processus cognitifs aussi importants que la mémoire, l’attention, la résolution de problèmes Il intervient aussi dans le processus de digestion par différentes voies. La première est le contrôle de la paroi de l’ l'estomac en facilitant les contractions et l’activité péristaltique. Deuxièmement, il facilite la sécrétion d’hormones telles que la gastrine, la sécrétine et l’insuline. Il régule également la salivation et la déglutition. D’autre part, il y a un aspect que nous ne pouvons pas oublier. La digestion demande un coût énergétique élevé. Pour cela, le système nerveux parasympathique concentre toute l’énergie pendant ce processus dans notre système digestif. C’est pour cette raison qu’après un repas très copieux, on est plus apte à faire la sieste qu’à se concentrer! La fonction de ce système dans nos poumons est essentielle pour stimuler la broncho constriction. C’est-à-dire le mécanisme par lequel les voies respiratoires se rétrécissent pour bloquer ou réduire le flux d’oxygène que nous recevons. Il a aussi un rôle dans notre système excréteur, génital et visuel. Parmi les effets produits par l’activation du système parasympathique on trouve donc :
Le rôle du système nerveux sympathiqueIl participe à d’autres types de comportement comme ceux liés à l’activation, à la réponse physiologique à une menace, au stress, etc. Dans ce cas, nous parlons de la partie du système nerveux autonome qui facilite la restauration de l’énergie corporelle. Aussi, il y a des tâches que cet ensemble de fibres nerveuses accomplit sans contrôle conscient. Connaître le fonctionnement de ce type de structure nous permet de découvrir comment nous pouvons assurer notre santé et notre bien-être. Ce système est associé à l’activation des réponses d’alarme et de stress aux stimuli non neutres, c’est-à-dire, d’une certaine manière, la perte de l’homéostasie et de la sécurité pour l’organisme. Ainsi, le système nerveux sympathique est psychologiquement associé à toute réaction impliquant des émotions telles que la peur, l’angoisse, l’euphorie, la colère et le plaisir. Il intervient également dans l’exécution de l’exercice physique, en favorisant l’apport sanguin aux muscles lisses ou moteurs tels que ceux des extrémités, en outre, dans le cadre du système nerveux autonome, son alimentation principale se fait par les glandes. D’autres réponses dont s’occupe le système nerveux sympathique sont :
La cohérence cardiaque équilibre les deux avec des effets psychologiques comme l’amélioration de la variabilité cardiaque, la régulation hormonale etc. Les hormonesElles gèrent de manière invisible la moindre de nos émotions - positives ou négatives: hormone du stress (cortisol), du plaisir et de la récompense (dopamine), de l’attachement (ocytocine), de la dépression (sérotonine).. Et leur système, très complexe est régulé à chaque pratique de cohérence cardiaque RelaxationPour certaines personnes la relaxation n’est pas toujours suffisante pour les plonger dans un état de relaxation complète. C’est pourquoi à CureNature nous commençons toujours par 15 ou 20 minutes de cohérence cardiaque, suivi par 15 ou 20 minutes de relaxation musicale. Vous comprenez maintenant pourquoi et comment ces techniques agissent sur notre détente musculaire, mentale et psychique Trop de “trop”, c’est trop…On nous dit et on nous répète que pour rester en bonne santé il ne faut pas
Mais alors que faut-il faire ?
A vos marques, prêt...Où en êtes-vous de ces 2 listes? Faites le point, rectifier les “trop” et équilibrez les choses positives qui sont encore un peu faibles chez vous. Cochez chaque point qui vous semble satisfaisant, faites un mémo en inscrivant chaque point à améliorer et mettez-le en évidence sur votre frigo ou devant votre bureau, puis donnez-vous un mois pour tout réaliser correctement. Bien entendu, il ne s’agit pas de rentrer en religion. Vous pouvez vous lâcher de temps en temps et faire quelques écarts, mais jamais plus de 2 fois par semaine avec un minimum de 5 jours entre deux Cela vous va-t-il de cette façon ?L’important c’est d’avancer vers le mieux, vers la santé, le bonheur. L’objectif c’est de rester en pleine forme le plus longtemps possible. En rayonnant vous-même, vous montrez l’exemple et vous offrez à vos proches l’opportunité d’en faire autant. Plus il y aura de gens heureux et en pleine santé, moins l’ombre aura d’emprise sur les humains et en ces temps bien perturbés, nous en avons tous bien besoin. Prendre soin de son foie
Le foie est l’organe le plus volumineux et le plus vascularisé. Il contient plus de 10% de notre sang. Il pèse environ 2,5 kg quand il est sain. Le foie ne contient pas de fibres nerveuses sensitives, ce qui explique l’on ne ressent pas son foie ni de crise de foie, contrairement à la croyance populaire. On le sent uniquement quand il est trop gros à cause d’une maladie. Si on croit avoir mal au foie, c’est plutôt la vésicule biliaire qui est placée elle, sur le lobe droit du foie et qui est une sorte de petit sac contenant une réserve de bile sécrétée par le foie.
Le foie est aussi le seul organe capable de se régénérer après une lésion ou une ablation partielle. Il repousse ! Le rôle du foieIl filtre environ 1,4 litre de sang par minute, soit 2016 litres par jour! Il active des processus hormonaux, enzymatiques et génétiques. Il purifie, synthétise, régule inlassablement. Les tâches vitales du foieIl est un réservoir de vitamines A, D, B12, et de fer. Il fabrique la bile qui permet une bonne digestion. Il fabrique, à partir des acides aminés issus de la digestion, de nombreuses protéines qui servent de structure, de piliers, de ciment, pour bâtir nos cellules. Il contribue à la production de substances essentielles pour l’organisme comme l’albumine, les protéines du métabolisme, ou encore les lipoprotéines qui permettent le transport des lipides, dont le cholestérol, dans le sang. Il produit des facteurs de coagulation indispensables en cas de saignement. Il synthétise 75% du cholestérol indispensable à notre immunité, à nos sécrétions hormonales et à notre digestion, les 25% restant étant apportés par l’alimentation. Il participe activement à l’efficacité de nos défenses immunitaires en nous débarrassant de nombreux produits toxiques comme les pesticides, les perturbateurs endocriniens. Il neutralise les reliquats des médicaments après leur action. Sinon les médicaments restent actifs dans la circulation générale. C’est pour cette raison qu’il est fortement déconseillé de consommer de l’alcool lorsque l’on prend des médicaments. Le foie désactive d’abord l’alcool (en priorité) au détriment des médicaments. Il stocke une réserve de glucose qui est le carburant le plus courant du cerveau. Ainsi le foie conditionne l'activité cérébrale. Hommes, femmes, pas tous égaux Les femmes ont en principe un foie plus résistant que les hommes, du moins avant leur ménopause. Parce que jusqu’à la ménopause les oestrogènes protègent le foie contre les radicaux libres qui sont des déchets toxiques liés au fonctionnement cellulaire. On peut donc protéger au mieux le foie en adaptant son régime alimentaire et son hygiène de vie pour minimiser les radicaux libres. Après la ménopause, les femmes sont égales des hommes. Comment protéger son foieLe premier point est déjà d’avoir un IMC normal, c'est à dire compris entre 19 et 30. Le second point est d’avoir un tour de taille normal, car certaines personnes peuvent avoir un IMC normal mais une taille trop épaisse ( plus de 100 cm de tour de taille pour les hommes et plus de 90 cm pour les femmes). Ce tour de taille trop grand révèle la présence de graisse viscérale profonde qu’il faut impérativement perdre si l’on veut rester en bonne santé. Le foie n’aime ni ce qui est très chaud, ni ce qui est très froid. Il faut donc éviter de consommer des tisanes ou soupes trop chaudes ou des glaces et sorbets trop froids. Le foie à une horloge qui lui est propre. Il fonctionne tout le temps mais il est plus efficace pendant 8 heures environ. Et il se repose la nuit. Il ne faut donc jamais manger la nuit ni trop tard le soir, et rassembler ses repas si possible dans une plage horaire de 8 heures. Pour cela le jeûne intermittent est parfait puisque l’on ne mange pas le matin. Le foie n’aime pas ce qui est trop gras et trop sucré. Cela lui donne beaucoup de travail qui ralentit le métabolisme. Il a besoin pour son bon fonctionnement de fibres solubles dans l’eau et aussi des fibres insolubles dans l’eau pour un bon biote intestinal. Le microbiote est intimement lié au foie. La flore bactérienne intestinale joue un rôle crucial dans notre métabolisme. Notre tube digestif contient plus de 100 000 milliards de bactéries, réparties en plus de 1000 espèces différentes, sans compter les virus et les bactériophages, soit environ 2 kilos de bactéries dans nos intestins qui accomplissent un travail vital pour le corps, selon l’endroit de l’intestin où elles se trouvent. La flore de l’intestin grêle sécrète des vitamines, digère les sucres et les graisses. La flore du côlon aide notre corps à réabsorber les aliments laissés de côté par l’intestin grêle, en les faisant fermenter afin de les rendre digestes. La flore du côlon sécrète environ 80 % de la sérotonine, l’hormone du bien-être, destinée au cerveau. La prise de médicament régulière fatigue le foie, il est donc recommandé souvent de faire ce que l’on appelle des “fenêtres thérapeutiques” c’est à dire des pauses de quelques jours pour laisser le foie se recomposer. C’est une chose que vous devait voir avec votre médecin. Bien-sûr, la consommation d’alcool est fortement déconseillée, idem pour toutes les drogues, qu’elles soient douces ou dures. Les boissons fortement sucrées comme les sodas, et la nourriture industrielle qui contient des produits chimiques sont aussi tout à fait néfaste au foie. L’activité physique est une alliée pour le foieLes spécialistes considèrent qu’il faut au moins 150 minutes d’activité physique par semaine. Cela représente 2h30 au minimum, on peut facilement aller jusqu’à 5 heures par semaine. Cela peut être de la marche, de la natation ou bien d’autres sports. Pour être efficace on dit qu’il faut pouvoir parler mais pas chanter. Si on ne peut pas parler, c’est que c’est trop intense, si on peut chanter, c’est que ce n’est pas assez intense. Il faut donc ajuster pour être efficace. L’alimentation idéalePour un foie en parfaite santé, le mieux est de consommer des fruits entre 1 et 4 - 5 par jour, selon votre métabolisme et votre activité physique. Manger des légumes crus pour avoir un maximum de nutriment et sans pesticide dans la mesure du possible. Cuits également si vous le souhaitez. Des oléagineux (toutes les sortes de noix, noisettes, amandes etc), des céréales sans gluten, des graines germées et des légumineuses germées ou cuites après trempage et début de germination. La consommation de protéines animales est à réduire au minimum, soit pas plus de 2 fois par semaine et en petite quantité. Le gluten et les produits laitiers sont plutôt délétères pour notre organisme. Mais si vous voulez en consommer préférez le fromage de chèvre ou de brebis, mais seulement 1 ou 2 fois par semaine en quantité raisonnable. Notre foie un organe vital aussi important que notre coeurLes médecins ont d’abord combattu les atteintes virales et parasitaires du foie avant de se préoccuper des troubles métaboliques auxquels il peut être confronté. Ces troubles sont d’apparition récente et les épidémies annoncées de diabète et de NASH (stéatose du foie ou foie gras), doivent nous faire réagir. Le danger est réel! Notre foie est tout aussi important que notre coeur, prenons-en grand soin! Source:
Vitamine D
« Même si une partie de la vitamine D présente dans notre corps peut provenir de la nourriture, nous pouvons en général avoir toute la vitamine D dont nous avons besoin en nous exposant quelques heures au soleil chaque semaine. En fait, c’est notre capacité à produire nous-mêmes cette vitamine qui fait dire aux scientifiques qu’il ne s’agit pas d’une vitamine mais d’une hormone (substance fabriquée par une partie de notre corps, mais utilisée dans une autre partie de celui-ci).
Les rayons ultraviolets du soleil synthétisent la vitamine D à partir d’un précurseur chimique présent dans notre peau. Si nous prenons suffisamment le soleil, nous avons toute la vitamine D nécessaire. Bien sûr, nous pouvons aussi en trouver dans des aliments comme le lait enrichi, ou les huiles de poisson et des suppléments vitaminiques. La vitamine D produite par notre peau se déplace ensuite vers le foie, où une enzyme la convertit en métabolite de vitamine D. La principale fonction de ce métabolite est de servir « d’entrepôt » à la vitamine D (surtout dans le foie, mais aussi dans les parties adipeuses du corps). La prochaine étape est cruciale. Quand le besoin se fait sentir, une partie de la vitamine D entreposée dans le foie est transportée vers les reins, où une autre enzyme la convertit en 1,25 D. Le rythme auquel la forme entreposée de vitamine D est convertit en vitamine D super chargée 1,25 D constitue un élément crucial dans cet enchevêtrement de processus biochimiques. C’est le métabolite 1,25 D qui fait presque tout le travail important de la vitamine D dans notre corps. Le métabolite super chargé 1,25 D est environ mille fois plus actif que la vitamine D mais ne survit que 6 à 8 heures une fois qu’il a été fabriqué. Par contre, notre réserve de vitamine D peut survivre 21 jours ou plus. Ce processus montre un principe important que l’on retrouve typiquement dans cet enchevêtrement de phénomènes, à savoir qu’une activité plus grande, une durée de vie plus courte et des quantités moindre de 1,25 D donnent un système très actif où la vitamine 1,25 D peut rapidement ajuster ses activités instant par instant et microseconde après microseconde, tant et aussi longtemps qu’il y a assez de vitamine D en réserve. L’une des choses les plus importantes que la vitamine D accomplit, principalement en se convertissant en vitamine super chargée 1,25 D, est de contrôler l’apparition de toutes sortes de maladies graves. Nous pouvons voir comment une bonne exposition au soleil peut assurer une réserve suffisante de vitamine D et aider à empêcher les cellules de devenir malades. Cela laisse entendre que certaines maladies sont plus communes dans certaines zones du monde où il y a moins d’ensoleillement, soit dans les pays plus près des pôles Nord et Sud. Dans ce cas, il est recommandé de se supplémenter en vitamine D. Dans les conditions optimales, l’exposition au soleil peut à elle seule fournir toute la quantité de vitamines D dont nous avons besoin pour produire au bon moment cette si importante vitamine 1,25 D. Même les personnes âgées, qui ne peuvent plus produire autant de vitamine D à partir du soleil que les gens plus jeunes, ne doivent pas s’inquiéter de savoir si elles ont assez de soleil ou pas. Que signifie assez ? Si vous savez quelle quantité de soleil cause une très légère rougeur sur votre peau, alors sachez que le quart de cette quantité, à raison de deux ou trois fois par semaine, est plus que suffisant pour combler vos besoins en vitamine D et entreposer celle-ci dans votre foie et dans vos tissus adipeux. Si votre peau devient légèrement rouge après environ trente minutes d’exposition au soleil, alors dix minutes trois fois par semaine suffisent pour emmagasiner suffisamment de vitamine D. » Aussi ne manquez pas les rayons du soleil à chaque fois qu’il y en a en été comme en hiver. D’après le livre : l’enquête Campbell. Les poisons majeursProduits ingérés
Facteurs environnementaux
Cette liste n'est pas exhaustive Le sunyoga
Le sunyoga permet une pratique plus souple que celle du sungazing dont je vous ai décrit le protocole dans mon dernier article.
Il n’y a pas d'heure précise pour l'observation du soleil. L'angle d'inclinaison des yeux par rapport au soleil est l'une des différences fondamentales par rapport au sungazing, dans lequel les yeux n'ont pas d'inclinaison particulière. Il est fortement conseiller de faire un stage de sunyoga avant de pratiquer, et c'est ce que j'ai fait il y a quelques années avec l'indien Uma Sankar Sunyogi, pendant une semaine en région parisienne. La pratique du sunyoga se déroule en 3 parties :
Chacune des parties à son importance. Première partieSi vous débutez, commencez plutôt le matin, dans les 2 heures qui suivent le lever du soleil jusqu'à ce que vos yeux s'habituent à la lumière solaire. Après, vous pourrez pratiquer quand vous le souhaitez même à midi ! Commencez directement par 15 à 30 minutes d'observation quotidienne, puis avec l'habitude, prolonger autant que vous voudrez. Asseyez-vous dans votre asana (posture) préférée (lotus ou demi-lotus, jambes croisées...). L'important est d'avoir le dos droit pour faciliter la circulation de l'énergie. Exposez le plus possible de votre corps pour une absorption maximum du rayonnement solaire. Ôtez vos lunettes si vous en portez. Fermez les yeux et remerciez mentalement vos parents avec votre cœur, sans qui vous ne seriez pas là. Rendez grâce à tous les maîtres de chaque tradition : Mahavatar Babaji, les Bouddhas, Le Christ Jésus, le prophète Mahomet etc. Remercier ensuite vos maîtres, vos idoles, tout ceux qui ont apporté quelque chose sur votre chemin spirituel. Ressentez que toutes les créatures de ce monde font parties d'une seule et même famille : les animaux, les humains, les insectes, le royaume des plantes. Egalité entre les castes, les couleurs, les pays, les religions... Envoyez une intention d'Amour à tous les êtres vivants. Posez-vous les questions essentielles comme :
La voie du yoga n'est jamais sans problèmes, nous devons avoir confiance et persévérer. Il faut de la volonté et de la puissance. Après cela pensez au soleil comme un être bienveillant qui nourrit sans relâche les besoins de tous les êtres vivants sur cette planète et qui leur apporte son amour inconditionnel, sa chaleur, la force de vie. Pensez au soleil comme un ami très cher avec qui vous parlez avec votre cœur et qui va vous faire grandir. Umasankar dit tout le temps : « faites l'amitié avec le soleil ». Abandonnez-vous complètement et ayez confiance dans les bienfaits qu'il peut vous apporter. Cette phase de préparation dure environ 10 minutes. Détendez-vous et ouvrez votre cœur. Deuxième partieOuvrez les yeux et commencez à observer au-dessus du soleil. C'est là aussi une grande différence avec le sungazing et c'est la raison pour laquelle l'heure est moins importante, on ne regarde pas le soleil directement mais juste au-dessus en plaçant les iris vraiment le plus haut possible la tête légèrement inclinée vers le bas. Orientez vos iris vers le 3è œil entre les sourcils appelé Ajna chakra. Devenez ami avec le soleil. Pour vous aider vous pouvez placer votre doigt entre vos sourcils pour être plus conscient de l'endroit où vous devez diriger vos yeux physiques et quelques centimètres au-dessus du soleil. Dans le sunyoga, l'angle des yeux peut varier de 30 à 90° environ vers le haut. Cette inclinaison PERMET UN IMPACT OPTIMAL DE LA LUMIERE SOLAIRE SUR LA GLANDE PINEALE (ajna chakra), qui alors peut réceptionner 100% de la lumière contre 20 à 30% avec la pratique ou l'on observe simplement le soleil en face de nous, sans inclinaison particulière du regard. Sachez que même si vos pupilles n'observent pas directement le soleil, la sclérotique blanche des yeux le fait. A la fin de cette partie lorsque vous arrêtez l'observation solaire, fermez doucement les yeux et serrez-les très fort pendant une dizaine de secondes, puis relâchez-les tranquillement sans les ouvrir et observez les couleurs que vous voyez. Cela détend les yeux et fait apparaître des phénomènes lumineux. Recommencez 3 fois. A la 3ème fois, profitez de cette belle lumière dans le 3ème œil pour méditer sur celle-ci tranquillement. Après cela, procédez au « palming ». Frottez-vous les mains énergétiquement l'une contre l'autre pour amener une forte chaleur et placez la paume de vos mains en coquille sur vos yeux quelques instants et recevez le prana de vos mains (l'énergie). Puis descendez tranquillement vos mains et avec le bout des doigts massez vos yeux et leur contour doucement. Recommencez 3 fois. Enfin prosternez-vous en direction du soleil et remerciez-le de nous donner cette belle lumière, cette expérience d'éveil à notre réalité lumineuse. Personnellement j'utilise cette prière apprise depuis mes 20 ans de mon professeur de yoga Aramati. « Que la paix, le bonheur, la santé, la prospérité soient pour tous les êtres dans toutes les directions de l'espace ; au nord, au sud, à l'est, à l'ouest, au zénith et au nadir ». Troisième partiePrenez la posture Shavasana, ou posture du cadavre, allongez-vous sur le dos, bien détendu, mais contrairement à cette posture du yoga ou habituellement les paumes de mains sont tournées vers le ciel, pour le sunyoga, on place les paumes de mains tournées vers le sol. Détendez vos jambes, vos bras qui sont légèrement écartés, votre dos, votre tête, le visage tourné vers le ciel, fermez les yeux. Relâchez toutes les articulations. Procédez à ce que l'on appelle le « body scan » pour vous assurer que chaque muscle, chaque articulation est bien détendu. Puis imaginez que votre conscience sort de votre corps pour vous observer de l'extérieur. A présent faites remonter votre conscience vers le soleil puis faites-la entrer dans le soleil et se vivifier grâce à lui. Vivifiez aussi tout votre corps physique à distance que vous observez maintenant à partir du soleil. Regardez tous vos organes et toutes les parties de votre corps depuis le soleil, rechargez-vous et guérissez-vous depuis le soleil. Depuis le soleil envoyez dans vos organes de l'énergie pour leur donner une bonne santé, insistez sur les organes affaiblis si vous en avez. Rechargez-vous globalement depuis le soleil. Doucement faites redescendre votre conscience du soleil vers votre chakra de la couronne, votre cerveau, votre cervelet, la glande pinéale, le 3ème œil, les yeux, les oreilles, le nez, la bouche, le cou, les épaules, les coudes, les articulations des poignets, les doigts des mains, le cœur, le foie, la vésicule biliaire, l'estomac, les reins, les hanches, les genoux, les chevilles et les doigts de pieds. La conscience est à nouveau à l'intérieur de votre corps. Avec cette conscience divine, regardez toutes ces parties de votre corps et rechargez-les, guérissez-vous à travers elle qui est à présent dans le corps physique. Pour terminer, sortez progressivement de cette relaxation consciente en bougeant doucement vos mains, vos jambes. Prenez quelques respirations douces, mettez-vous sur le côté gauche et asseyez-vous puis ouvrez vos yeux le plus lentement possible. QUE LA PAIX ET LA LUMIÈRE VOUS ACCOMPAGNENT... Pour plus d'information : https://sunyoga.info/ Sungazing, où l'observation solaire
Le sungazing est l'art d'accueillir l'énergie solaire en soi pour l'utiliser comme source d'énergie pour son corps physique, mental et spirituel.
Les indications qui suivent sont proposées par Hira Ratan Manek. Suite à une pratique de 3 années, Hira proposa à la science d'observer son corps puis effectua deux « jeûnes » (un de 211 jours et l'autre de 411 jours) sous un contrôle médical strict. La conclusion du rapport stipulait que Hira Ratan Manek ne se nourrissait pas d'aliments matériels et avait subi quelques transformations physiologiques, notamment au niveau du cerveau. Le sungazing consiste à rester debout pieds nus sur le sable ou la terre ferme face au soleil levant ou au soleil couchant, lorsque les UV sont proches de 0 soit l'heure qui suit l'heure officielle du lever du soleil ou l'heure qui précède le coucher du soleil dans votre région). Dans cette position, observez le soleil avec un regard détendu et sans lunettes. Le protocole est précis : le premier jour juste 10 secondes d'observation aux horaires autorisés, le jour suivant on rajoute 10 secondes, et ainsi de suite jusqu'à atteindre 44 minutes d'observation solaire. S'il pleut ou qu'il n'y a pas de soleil, on n'augmente pas le temps et l'on reste sur le temps de la dernière observation. Si vous ne pouvez pas pratiquer plus d'une semaine, reculez votre temps de pratique sungazing de 10 secondes lorsque vous reprenez. Si vous ne pouvez pas pratiquer pendant plusieurs mois, l'hiver par exemple, reprenez à une minute puis augmentez chaque jour non pas de 10 secondes mais d’une minute jusqu'à retrouver le temps ou vous vous étiez arrêté. S'il y a du soleil l'hiver, vous pourrez reprendre et comme à cette saison les UV sont bien moins importants, vous pourrez être plus souple dans les horaires d'observation avant 11 heures le matin et après 16 heures le soir. Lorsque vous aurez atteint les 44 minutes, vous arrivez à la seconde étape. Vous arrêtez l'observation solaire et vous irez marcher pieds nus et tête nue chaque jour sur la terre ou le sable pendant 45 minutes. Faite cela pendant un an. Mais si vous aimez particulièrement l'observation solaire, vous pouvez aussi continuer en descendant le temps d'une minute chaque jour. Ne descendez pas au dessous de 15 minutes, et vous pouvez ainsi continuer toute votre vie avec la marche de 45 minutes. Ce procédé tout comme le sunyoga (voir le prochain article), recharge la glande pinéale qui s’atrophie sinon avec l'âge. Au bout de trois mois de pratique, vous aurez regardé fixement le soleil 15 minutes. Que se produit-il lorsque vous arrivez à 15 minutes ?L'énergie du soleil ou les rayons passant par l’œil humain chargent la région de l'hypothalamus qui est la voie derrière la rétine menant au cerveau. Pendant que le cerveau reçoit l'alimentation en énergie par cette voie, il est activé comme « un minuteur ». Un des programmes du logiciel inhérent au cerveau amorcera son fonctionnement et vous commencerez à réaliser les changements puisque vous aurez, dès lors, beaucoup moins de tensions mentales ou d'inquiétudes, voir plus du tout. Une paix sans objet semble doucement s'insérer dans vos vies. Vous serez plus armés pour faire face aux problèmes de la vie en développant un mental positif. Le courage se développe et les défectuosités de l'esprit disparaissent progressivement. Les humains ont de bonnes et de mauvaises qualités, qui sont 2 côtés de la même pièce de monnaie. En l'absence de la lumière du soleil, nous développons des attributs disharmonieux. Quand la lumière du soleil entre dans le cerveau, les bonnes qualités se développent en remplaçant les disharmonies. Après 3 mois d'observationAprès 3 mois d'observation fixe du soleil, vous développez un sentiment de confiance et connaitrez intuitivement les réponses pour vous-même. Vous développerez ainsi les puissances qui sont déjà inhérentes en vous. Les mauvaises qualités disparaitront progressivement : irritabilité, avarice, jalousie... Vous deviendrez une personne aimable, compatissante. Ce qui sera une grande contribution à la paix dans le monde. En outre, la dépression mentale partira. Les psychiatres observent que très souvent la tristesse est provoquée par un manque de lumière du soleil. Lorsque vous pratiquez entre 3 et 6 mois70 à 80 % de l'énergie synthétisée par la nourriture est utilisée par le cerveau et employée vers le haut en servant de combustible pour les tensions et l'inquiétude. Avec une diminution des tensions mentales, le cerveau n'exige pas la même quantité d'énergie qu'auparavant. Grâce à cette diminution de tensions, le besoin d'ingestion de nourriture diminuera. Quand vous atteindrez la durée de 30 minutes à regarder sans interruption le soleil, vous serez lentement libéré de la maladie physique, car à ce moment là, toutes les couleurs résultantes du soleil auront accédé au cerveau et au corps par les yeux. Il semblerait que seuls les problèmes mécaniques ne puissent être soignés par le sungazing. A partir de 7 mois et demi, la faim commence à descendre de façon palpable. On ressent le besoin de diminuer l'ingestion de nourriture et d'en modifier la qualité pour que celle-ci soit la plus proche possible de l'énergie solaire. La faim vient en raison des besoins en énergie du corps, c'est une nécessité pour son existence. La nourriture physique n'est pas une nécessité pour que le corps fonctionne, L'ENERGIE seule l'est. Après 9 moisAprès neuf mois ou quand vous atteindrez 44 minutes d'observation, vous devrez stopper l'exposition des yeux puisque la science solaire interdit de regarder plus longtemps le soleil pour le soin des yeux (information issue d'anciens écrits). Toutefois, le corps va se décharger quand vous cesserez la pratique, il doit donc être rechargé en marchant pieds nus sur la terre nue pendant 45 minutes au moins 6 jours sur 7 pendant un an. Marchez détendu, sans stress, n'importe quand dans la journée, de préférence quand le sol est un peu chaud. Vous pouvez continuer l'observation solaire en baissant d'une minute chaque jour jusqu'à 15 minutes. Si vous arrivez à faire tout le cycle, le besoin de nourriture solide peut disparaître et vous vivrez de prana (énergie). Votre corps sera alors épuré et vos cellules perméables emmagasineront facilement l'énergie disponible dans l'atmosphère. C'est une des plus belles récompenses de votre pratique solaire. Vous serez libéré du besoin de manger de la nourriture physique lorsque vous pourrez vous abstenir d'absorber de la nourriture durant 5 jours sans en être affecté (perte d'énergie / perte de poids trop excessif...) Globalement, au cours de la pratique, les besoins du corps évoluent vers une alimentation plus proche de l'énergie solaire lumineuse. Les aliments contenant une énergie lumineuse la plus proche du soleil sont les aliments vivants, tels que les fruits, les légumes, les graines germées, les jeunes pousses... non cuits. Vous pouvez aussi boire de l'eau solarisée (chargée au soleil). C'est un antioxydant formidable qui complète les effets du sungazing. Pour cela remplir à moitié une bouteille en verre avec de l'eau potable filtrée ou de source. Placez-la sur la terre nue si possible et laissez-la au soleil pendant 5 à 8 heures. Boire cette eau dans les 24 heures. Pour plus de renseignements vous pouvez aller sur le site sungazing.fr Ces renseignements m'ont été donnés par Sébastien que j'ai rencontré dans les tous premiers stages Régénère en 2013. Il a lui même pratiqué le sungazing plus de 3 ans, et il a pu lui aussi constater les bienfaits à tous les niveaux. Il partage son expérience dans sa ville, à Lyon où je l'ai revu lors d'une séance au parc de la Tête d'Or puis à une conférence donnée à Lyon également. Il œuvre pour que le sungazing se développe en France. Personnellement je pratique le sunyoga dès que je le peux. Nettoyage du foie et de la vésicule biliaire, mon témoignage
Andréas Moritz a écrit de nombreux livres dont les plus connu : L'incroyable nettoyage du foie et de la vésicule biliaire.
A. Moritz nous explique dans ses livres, comment se débarrasser naturellement de nos calculs biliaires et hépatiques. « Un nettoyage préventif est un puissant moyen de santé et a souvent des effets bénéfiques inattendus sur de nombreux symptômes pathologiques... Surprenez-vous ! C'est simple, rapide, et ça ne coûte rien...Il indique qu'il ne faut pas commencer un nettoyage du foie si l'on n'est pas certain de continuer et d'en faire au moins 6 à 12 d'affilé à 3 ou 4 semaines d'intervalle, car si l'on entame un processus qui n'est pas poursuivi, cela peut causer plus de dégâts que de ne rien faire. Le meilleur jour pour le faire étant à la nouvelle lune, je me suis fait un devoir depuis fin 2018 d'en faire un à chaque nouvelle lune. Je viens donc de faire mon 7ème nettoyage du foie et de la vésicule biliaire selon les instructions d'Andréas Moritz. Les 2 premiers ont été un peu compliqués d'une part parce que le protocole doit être respecté à la lettre et lorsque l'on n'est pas habitué, cela demande de prendre des notes et d'avoir une bonne organisation. D'autre part, boire un litre de jus de pomme chaque jour pendant 6 jours, me donnait des brûlures d'estomac. Enfin, les sels d'Epson me donnaient un dégoût épouvantable. Bref, je me faisais violence pour le faire ! Puis j'ai appris qu'il y avait un deuxième volume au livre bien connu du même auteur : L'incroyable nettoyage du foie et de la vésicule biliaire, comment faire ce nettoyage. Je m'y suis plongée et c'était tellement intéressant que j'ai lu ensuite les 5 tomes toujours de A. Moritz : Secrets éternels de santé et de jouvence. Choisissez toujours un week-end ou vous ne travaillez pas, pour vous reposer car ce nettoyage fatigue l'organisme, ou choisissez un jour de repos surtout pour le 7ème jour, le jour des éliminations Le protocole résumé1- Pendant les 6 jours de préparation, boire un litre de jus de pomme ou 1 litre d'eau + acide malique en dehors des repas. Les pommes contiennent naturellement de l'acide malique qui ramollit les calculs. 2- les 2 derniers jours, ne plus consommer de matière grasse pour que la bile soit en plus grande quantité, et éviter les protéines animales. 3- Le 6ème jour, le mieux est de faire une hydrothérapie du colon sinon faire un ou plusieurs lavements. Boire son litre avant 14 heures, et prendre son dernier repas léger, jus de fruits et légumes, fruits ou légumes à la croque avant 14 heures. Puis ne buvez que de l'eau. Pour 18 heures préparer 75 cl d'eau additionnée de sulfate de magnésium (sels d'Epson) pour dilater les voies biliaires. A 18 heures boire un quart de cette préparation, qui correspond à un verre. A 20 heures boire un second quart ou 2ème verre Pour 22 heures préparez 120 ml soit un demi verre d'huile d'olives vierge 100 % olives et pressées à froid, mélangé à un demi verre de jus de pamplemousse ou orange avec un peu de jus de citron. Secouez le mélange au moins 20 fois pour qu'il devienne mousseux. Allez aux toilettes si besoin. Préparez votre lit en rehaussant la tête de lit avec plusieurs oreillers. Buvez votre mélange huile d'olives et jus d'agrumes juste bien secoué, debout à côté de votre lit et d'un seul coup ou très rapidement et couchez-vous de suite sur le dos, avec la tête plus haut que l'abdomen et ne bougez plus pendant 20 minutes, et ne parlez pas non plus, c'est important ! Après les 20 minutes, vous pouvez changer de position, restez sur le dos ou mettez-vous sur le côté pour dormir. Il est possible que durant la nuit la purge commence à agir. Le lendemain matin, prenez le 3ème verre de sulfate ou citrite de magnésium à 6 heures ou 6h30. A 8 heures ou 8h30 prenez votre dernier verre. Deux heures plus tard, vous pourrez prendre un jus de fruits, 30 minutes après, manger un fruit et une heure plus tard mangez normalement sans excès. Il est fortement conseillé de faire des lavements dans les deux jours qui suivent pour éviter que des calculs toxiques ne séjournent dans le colon. Mes aménagements dans le protocoleAvec les deux hépatites que j'ai eues, je sais que mon foie est fragilisé, les marqueurs du foie dans les prises de sang sont souvent à la limite supérieure et à l'échographie, on voit que mon foie est plus gros et gras que la normal. Ceci indique qu'il est bien chargé de toxines. On voit nettement aussi quelques calculs à la vésicule biliaire. D'après Andréas, on ne commence à percevoir une gêne au niveau du foie qu'à partir du moment où 60% de cet organe est obstrué par des calculs, alors que tous les examens hépatiques de labo se révèlent encore « normaux » ! La bile diminue, et entraîne des problèmes digestifs, donc des problèmes intestinaux et une intoxication croissante avec apparition de symptômes divers (dos, articulations, artères etc.) J'ai donc décidé de faire le nécessaire pour qu'il puisse se régénérer totalement. Dans ses livres, A. Moritz indique d'autres substituts, notamment pour le jus de pomme que j'ai remplacé par un litre d'eau additionné d'une demie cuillère à café d'acide malique, beaucoup plus facile à boire entre les repas par petites gorgées pendant les 6 jours de préparation. Cela permet de ramollir les calculs afin qu'ils puissent s'évacuer sans douleur et sans danger. J'ai aussi remplacé les sels d'Epson franchement infectes à boire par du citrite de magnésium, que j'ai commandé en pharmacie mais depuis, une personne m'a indiqué un site qui en vend 3 fois moins cher que celui que j'ai pris en pharmacie. Le lien : https://www.sunday.fr/poudre-citrate-magnesium.html?gclid=CjwKCAiA_P3jBRAqEiwAZyWWaG1mP4-WBv_M2tCrpln1-_TxxWiFyIOE2MAN3UYT1Or14ywkABg8bxoC5L4QAvD_BwE Dernier aménagement que j'ai fait, remplacement le jus de pamplemousse que je n'aime pas par un jus d'orange ou de mandarine avec un peu de jus de citron dedans. Que se passe -t-il ensuite ?La purge agit quelquefois la nuit après le 2ème verre de sels d'Epson ou le lendemain suivant les gens et même suivant les cures et vous allez éliminer aux toilettes plusieurs fois. Si vous avez fait des lavements ou une hydrothérapie du colon et que vous n'avez pas trop mangé les 2 derniers jours, il y aura surtout de l'eau, observez ce qui flotte. Il peut y avoir des calculs mous ou durs, des noirs, bruns, jaunes ou verts. Plus ils sont foncés plus ils sont vieux. Certains viennent de la vésicule biliaire et d'autres du foie lui-même (ceux-ci ne sont pas visibles lors d'une échographie du foie). Ces évacuations de calculs peuvent durer d’un à plusieurs jours. On peut éliminer aussi des espèces de boues qui viennent aussi du foie. Les calculs sont, à priori, de nature cholestérique à priori. La grosseur des calculs peut varier de quelques millimètres à 2 centimètres de diamètre en moyenne. Quelquefois plus. Leur quantité varie énormément d'une fois à l'autre, d'une petite douzaine à des centaines... Mon expériencePersonnellement j'en ai vu des petits comme des graines de poivron. J'en ai vu des gros comme des billes ou des pois chiches d'aspect dur mais lorsque j'appuyais dessus, ils éclataient en mille petits morceaux qui ressemblaient à nouveau à des graines de poivron. J'en ai eu des bruns, des jaunes pâles, et des verts tout ronds comme des petits pois tendre. Au début je n'en voyais pas ou très peu, et je n'étais pas très sûr quant à leur origine. Plus les mois passaient et plus j'en sortais, et là c'était net. Au 5ème nettoyage, je n'ai rien vu, je me suis demandée si j'en avais encore ou pas. A. Moritz dit que l'on peut arrêter lorsque deux fois de suite il ne sort pas de calcul ou presque pas. Au 6ème nettoyage j'en ai sorti des centaines très petits jaunes, et quelques dizaines de « petits pois » verts tout au long de la journée. Le lendemain matin, je me suis fait un lavement, j'en ai sorti encore. Le surlendemain matin, je refais un lavement et j'en ai sortis encore toujours petits jaunes ou « petits pois » verts, mais aussi quelques foncés assez noirs ! Au 7ème, cela continue... Quand cela va-il s'arrêter ?Je ne sais pas. A. Moritz dit qu'en moyenne, il faut en faire 8 à 12 mais pour certaines personnes beaucoup plus 20 ou 30... Lorsqu'il n'y a plus de calculs ou presque plus deux fois de suite, on peut arrêter et ne le faire qu'une ou deux fois par an en entretien. Les effets bénéfiquesToujours d'après Andréas, les effets bénéfiques sont divers. Cela peut agir sur les douleurs articulaires, l'ostéoporose, la thyroïde, les seins, les poumons, le cœur, la peau, la prostate, les intestins, les yeux etc. Les causes des calculsLes causes sont diverses, comme des faibles sécrétions gastriques, boire trop de jus et smoothies, passer trop de temps devant des écrans, les stress émotionnels etc Continuer les nettoyages...Il faut donc que je continue régulièrement mes nettoyages. Personnellement je constate que je me sens très bien après, j'ai plus d'énergie, à tel point que j'attends avec impatience mon prochain nettoyage et que pour rien au monde je ne voudrais le manquer. Aussi j'inscris sur mon agenda à l'avance toutes les nouvelles lunes et je note les 6 jours précédents pour prendre l'acide malique et ne pas risquer de l'oublier. Cet été je vais voyager, il est possible que je sois obligée de reporter 1 ou 2 nettoyages, mais c'est certain, à la rentrée je vais reprendre et continuer aussi longtemps que nécessaire. En plus de ma cure de jus d'herbe d'orge et des implants coloniques de jus d'herbe d'orge et de Quinton, j'espère bien voir des changements positifs lors de mes prochains examens sanguins et d'échographie du foie fin juin. Je vous dirai... Je ne fais pas l'apologie systématique de cette cure du foie. C'est une démarche volontariste. Si vous n'avez pas de problème particulier, pas le teint jaune, le nez rouge, des vomissements ou des diarrhées en jeûne etc. votre foie se nettoie naturellement lorsqu'on le laisse se reposer. Si votre dernier repas de la journée n'est pas trop tardif et pas trop lourd, et que vous ne mangez rien et buvez juste de l'eau jusqu'au lendemain 13 ou 14 heures ou plus tard (jeûne intermittent), il va se nettoyer quotidiennement. Si en plus, vous faites régulièrement des cures de jeûne, ce nettoyage sera plus profond et très bénéfique pour le plus gros organe de notre corps. Il a tant de fonctions que s'il fatigue, il ralentit toutes les autres fonctions de l'organisme. On lui dénombre à ce jour, plus de 650 fonctions. Pour vous donner une idée, il filtre en moyenne 2000 litres de sang par jour, il a un rôle de détoxification, c'est un organe de stockage, de synthèse et de transformation. C'est un immense filtre avec une fonction d'auto-nettoyage. Il souffre énormément lors des traitements médicamenteux de toutes les sortes et essentiellement lorsqu'il y a chimiothérapie ! En jeûne, j'ai vu une personne vomir des résidus de traitements hormonaux pris 30 ans plus tôt ! Elle les a reconnus au goût et à l'odeur... 12 choses à appliquer tous les jours pour vivre longtemps et en bonne santé
1 - Pratiquez le brossage à sec tous les matins, avec une brosse en poils végétaux
2 – Faites un lavement qui peut être suivi d'un implant rectal, (lavement et implant tous les jours en cure de 3 semaines ou 2 fois par semaine aussi longtemps que vous le souhaitez). 3 – Éventuellement un implant rectal de jus d'herbe d'orge ou de Quinton isotonique ou encore jus vert, comme pour le lavement 1 ou 2 fois par jour en cure de 3 semaines ou 2 fois par semaine aussi longtemps que vous le voulez. 4 – Pratiquez le sun yoga ou sun gazing (observation solaire) 5 - Buvez de l'eau pure avant de manger et/ou un jus d'herbe d'orge ou jus vert 6 - Faites 2 repas par jour maximum c'est suffisant pour les adultes 7 – Pour certain un seul repas étalé sur 3 heures par exemple pour être en jeûne le reste du temps. (Jeûne intermittent) 8 - Mangez des fruits en début de repas ou faites un repas de fruits uniquement 9 - Mangez des légumes crus (et cuit si vous voulez), avec beaucoup de verdure, des jeunes pousses de légumes et des graines germées 10 - Mangez cru les protéines et produits gras du règne végétal (et animal si vous n'êtes pas végétarien) : avocat, olives, oléagineux etc. ou viande, poisson, produits marins 11 - Faites de l'exercice tous les jours ou au minimum 4 fois par semaine 12- Gardez des pensés positives en toutes occasions. |
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