Les aliments ou additifs à fuir
La liste des additifs toxiques est trop longue pour la passer en revue, mais on peut étudier leurs incidences sur la santé à travers deux exemples d’additifs couramment utilisés, sans que le consommateur soit conscient, pas plus qu’averti des dangers qu’ils représentent pour sa santé.
Avec les additifs les industriels réinventent un goût, une texture, une couleur avec des produits chimiques d’un coût infiniment moins cher que le produit d’origine. Le glutamateC’est un poison alimentaire présent partout : dans le sel, l’huile, les conserves, les boissons industrielles, le pain, les pâtisseries, les viennoiseries, les vins, les sauces, les plats cuisinés, les surgelés, les produits allégés, les produits laitiers dégraissés, les yaourts, la viande crue des supermarchés, les petits pots pour bébé, les biscuits, les bouillons cubes, les crèmes pâtissières industrielles, les biscuits apéritifs, les farines industrielles, les glaces, les médicaments etc. Cet exhausteur de goût permet de mettre un minimum de matières premières et d’avoir un produit ayant le goût voulu. Il irrite le tube digestif et déclenche une faim mécanique qui pousse le consommateur à continuer à manger. C’est une des causes de la crise d’obésité mondiale actuelle. Le glutamate existe naturellement dans notre corps, c’est un acide aminé faisant fonction de neurotransmetteur, présent dans le cerveau qui a un rôle sur les hormones et les neurones. Mais dans l’alimentation, les industriels utilisent une molécule chimique de synthèse que notre corps ne peut pas reconnaître parce qu’elle lui est étrangère. Les scientifiques ont constaté dès 1969 les dégâts foudroyants dans l’hypothalamus, petite glande du cerveau qui contrôle le système neuro hormonal. Codes et noms chimiques du glutamate : E620 Acide L-glutamique, E621 Monosodium glutamate/Aji-no-moto/Sodium hydrogène L-glutamate/MSG, E622 Mono potassium glutamate/Potassium hydrogène L-glutamate, E623, E624, E625, E627, E631, E635, E636, E637. Source : revue Soignez-vous n°13 janvier 2002 L’aspartameOn en trouve également partout : dans les boissons, les confiseries, les plats préparés, tous les produits industriels et beaucoup de consommateurs en rajoutent dans leur café sous forme de sucrettes. Espérer maigrir en prenant de l’aspartame est un leurre, il trompe le cerveau qui en retour, stocke les sucres. De plus, l'aspartame est toxique. Il est responsable de tumeurs cérébrales, a un effet direct sur la chimie du cerveau, tels que la sérotonine, il modifie le comportement, incite les utilisateurs à consommer davantage d’hydrate de carbone… Il serait responsable de migraines, de dépressions, d’apoplexies, de nausées, de spasmes musculaires, d’irritations cutanées, de fatigues, de tachycardies, de prises de poids anormales, d’insomnies, de problèmes de vision et d’audition, de difficultés respiratoires, de douleurs articulaires etc. Attention aux femmes enceintes, car il est aussi abortif. Il peut aussi provoquer des troubles endocriniens et altérer les cycles des menstruations, induisant des maladies congénitales et l’infertilité. Les huiles et graissesDepuis la deuxième guerre mondiale, la fabrication des huiles n’est plus faite à froid mais à chaud pour des raisons de rendement. En chauffant les graines entre 160 et 200°C, on obtient le double de production d’huile. La qualité a disparu : les acides gras poly-insaturés, acide linoléique et linolénique, ou vitamine F, perdent leur structure chimique et deviennent dangereux pour la santé. Ces acides gras TRANS sont particulièrement dangereux pour le cœur, ils sont impliqués dans la survenue de l’infarctus, les accidents vasculaires cérébraux, le cancer, l’épidémie d’obésité et dans l’augmentation de troubles nerveux et maladies mentales. Ces graisses hydrogénées sont utilisées dans la margarine que l’on retrouve dans la restauration rapide, les pâtisseries industrielles, les plats cuisinés tout prêts, les fritures etc. Laits, fromages, yaourts dénaturés, pasteurisés, allégés : dangerL’emploi d’hormones de croissance et d’antibiotiques pour des raisons de profit permet à une pauvre vache prisonnière de donner 40 litres de lait au lieu de 12 auparavant. Ce lait est de mauvaise qualité. La vache a une espérance de vie de 5 à 8 ans au lieu de 25, elle est malade avec tous les produits nocifs qu’elle ingurgite ; vaccins, antibiotiques, hormones de croissance, ensilage malsain, engrais dans les prairies, si elle peut aller aux prairies ! Bref son foie est malade comme tout son organisme. Ce lait entraîne des risques de cancer du sein, des ovaires et de la prostate multipliés par 10 ! Ensuite les produits fabriqués à partir de ce lait sont la plupart du temps pasteurisés, c’est à dire chauffés à haute température et donc sans vitalité. La pasteurisation et les autres procédés de longue conservation représentent une liste sans fin de dommages pour le consommateur : Tous les produits pasteurisés et chauffés à haute température rendent leur calcium inorganique qui, s'il est ingéré, va se fixer de manière anarchique dans l’organisme et provoque des calcifications, des calculs etc. La pasteurisation détruit la protéine qui permet de fixer le fer. Elle détruit aussi les enzymes contenus dans le lait cru. Les molécules du lait sont réduites en taille et vont traverser la barrière intestinale ce qui n’est pas normal. Elles vont alors migrer dans le sang et vont coloniser des organes hormonaux dépendants comme la prostate chez l’homme ou les seins, l’utérus et les ovaires chez la femme. Les produits allégés Les produits allégés sont largement vantés comme moyens pour maigrir. Pour garder le caractère onctueux donné par les graisses, les industriels utilisent des carraghénanes (E407), qui ont effet de colle dans l’intestin et qui, de par leurs effets mécaniques, sont soupçonnés de favoriser le déclenchement de cancer du côlon. Les aliments irradiés Depuis plusieurs années, nous observons chez les marchands des fruits et légumes éternellement frais, les fraises, les tomates notamment. Un aliment qui se conserve indéfiniment, ne peut être que mort et un aliment mort au mieux ne nous est pas utile et au pire nous empoisonne. L’irradiation est à la fois utile pour l’industrie nucléaire qui recycle ainsi ses déchets nucléaires et l’industrie agroalimentaire pour éviter les pertes, les problèmes de stockage et de germinations intempestives pour les oignons, les pommes de terre, l’ail etc. Plus de risques tels que salmonelloses, bactéries, parasites, attaques de rongeurs et d’insectes, pas si bêtes, les bêtes ! Dans les tunnels d’irradiation, la technologie employée utilise des isotopes radioactifs, ou déchets nucléaires pour créer une radiation équivalente à une dose de 10 à 70 millions de rayons X. Lorsque l’aliment est bombardé, la radiation amorce une succession complexe de réactions qui fait littéralement exploser la structure moléculaire de l’aliment. On observe alors la formation de radicaux libres qui peuvent réagir avec les aliments pour créer de nouvelles substances chimiques appelées produits radiolytiques. Certains sont connus pour être cancérigènes, tels que le benzène présent dans le bœuf irradié. Peu d’études sont prises en compte sur les dangers de cette nouvelle technologie, mais il faut savoir que sur des échantillons sanguins prélevés après consommation du blé irradié, on a trouvé des cellules anormales. On a d’ailleurs discrètement fait disparaître le mot irradiation par le mot ionisation, terme qui fait moins peur. L’aliment est donc devenu toxique, il a perdu toutes ses vitamines, ses oligoéléments et ses enzymes, son ADN est altéré plus ou moins profondément. On assiste aussi à une oxydation des lipides et surtout des acides poly-insaturés protecteurs du système cardiovasculaire. Les produits génétiquement modifiésLes arguments développés pour nous faire accepter les OGM, Monsanto et autres, voulaient nous convaincre que notre planète et notre alimentation seraient moins polluées, car les OGM nécessitent moins de produits chimiques pour lutter contre les parasites divers. Nous savons que ce qui se passe est exactement le contraire. Les résidus de traitements sont bien supérieurs et plus dangereux qu’en culture conventionnelle. Nous connaissons maintenant les dégâts sur notre santé des hybridations que nous pensions sans conséquence. Nous savons qu’une céréale hybridée contient des molécules que notre métabolisme ne peut reconnaître et donc accepter. C’est le problème avec le blé moderne hybridé qui n’est plus assimilable, qui entraîne une baisse de notre résistance immunitaire avec production de déchets qui encombrent et fatiguent notre organisme au quotidien. Les OGM nous en consommons tous les jours sans le savoir. Si vous mangez de la viande savez-vous que plus de 60% des animaux de boucherie sont élevés aux tourteaux de soja transgénique ? Si vous mangez du poisson, 40% des poissons consommés sont élevés en pisciculture avec des céréales transgéniques. Nous avons connu la crise de la vache folle avec les farines animales, mais cette nouvelle catastrophe annoncée du transgénique ne va-t-elle pas se révéler d’une ampleur à nulle autre pareille ? Nous sommes en droit de nous poser la question mais personne ne nous répond, on nous promet d’attendre d'hypothétiques recherches sur la dangerosité des OGM consommés actuellement. L’oxyde de graphèneCelui-ci ne se trouve pas dans notre alimentation, mais il fait beaucoup parler de lui actuellement. Avec la pandémie du covid 19, l’oxyde de graphène est de plus en plus mis sur la sellette, il se trouve paraît-il dans les masques que l’on nous oblige à porter, dans l’écouvillon du test PCR, dans les vaccins etc. Cet oxyde de graphène nous transformerait en antenne ambulante… à vérifier peut-être car actuellement, nous lisons et entendons tout et n’importe quoi ! Toutefois, un principe de précaution devrait être de mise pour nous consommateurs. Source: La diététique et Beljanski de Dany Toussaint et Monique Beljanski
1 Commentaire
michel
3/14/2022 18:17:31
tres interessant
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